• 10 rue Solférino, la Rose Vichyste.

    http://www.enquete-debat.fr/archives/quelle-est-lhistoire-cachee-de-solferino-44226

    Quelle est l’histoire cachée de Solférino ?

    La véritable idéologie socialiste et communiste a bien changé avec les années, les français devraient se poser les bonnes questions! Patriote64

    Comme chacun le sait, le siège du Parti Socialiste se trouve 10 rue de Solférino à Paris. Pourtant, peu savent ce qui se cache derrière cette adresse apparemment banale, mais qui en dit en fait très long sur la gauche dans ce pays.

    Le diable se trouve souvent dans les détails, nous a-t-on dit, en voici un nouvel exemple. Le Parti Socialiste de François Mitterrand avait décidé de s’installer en 1980 au 10 rue de Solférino, dans l’immeuble qui avait été, sous l’Occupation, le siège du ministère de l’Information chargé de la propagande du régime de Vichy, symbole de la Collaboration. Quel symbole, pour celui qui avait reçu la francisque et qui était l’ami de René Bousquet bien après la guerre et la rafle du Vel d’Hiv dont il était l’un des principaux responsables !
    Cet immeuble, où avait siégé la CGT entre 1944 et 1978, était en 1980 la propriété de la toute puissante FEN (Fédération de l’Education Nationale),  qui “avait consenti un loyer si avantageux que le PS n’envisageait plus de déménager à nouveau”, selon la lettre A, lettre confidentielle citée par Jean Montaldo dans son livre La maffia des syndicats (Albin Michel, 1982). Un conflit d’intérêt évident, avec l’argent public (comme souvent avec les socialistes). Voilà pour la petite histoire.

    Quant à la grande, il faut savoir que le PS a ainsi choisi sans le vouloir le nom d’une bataille les plus meurtrières de l’histoire pour son siège, qu’on appelle le plus souvent « Solférino ». Sans le savoir, les journalistes, les politiques et les citoyens parlent de “Solférino” qui est le siège du PS et une boucherie humaine. On est loin de la rose, côté symboles, vous avouerez…

    « 24 juin 1859, la boucherie de Solferino

    En 1859, l’empereur d’Autriche est en passe de croiser le fer avec Victor-Emmanuel II, roi d’Italie, qui veut récupérer le nord de son pays. Le Premier ministre Cavour obtient de Napoléon III une aide militaire en échange du comté de Nice et de la Savoie. La première confrontation a lieu à Montebello, le 20 mai. Après Turbigo, c’est à Magenta que les armées s’affrontent le 4 juin. En France, l’opinion est favorable à cette campagne en faveur de l’unité de l’Italie. Pour autant, les observateurs étrangers rédigent des rapports accablants sur la brutalité des combats. Ils dénoncent également l’incurie des services sanitaires et l’énorme taux de mortalité qui règne dans les établissements hospitaliers. Le 24 juin, la bataille décisive se profile enfin. De part et d’autre, on attend les ordres pour partir à l’assaut sur un front de seize kilomètres. C’est aux alentours de midi qu’a lieu l’offensive de la colline de Solferino. Le choc, où s’affrontent près de 350 000 hommes, se prolonge toute la journée. S’étripant pendant plus de dix heures autour de chaque ferme, chaque bosquet, les soldats sont décimés par les bouches à feu. Le lendemain matin, des hommes par milliers, souvent mortellement blessés, s’en vont remplir les hôpitaux de la région, de Castiglione à Brescia[1]. »


    « Combat des chefs, le FN plus démocratique que l'UMPS!Quel repris de justice à la tête du PS, vive la morale socialiste!!! »
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