• http://www.fonjallaz.net/MLH/collabo/Humanite-pcf-gestapo.html

    La collaboration du PCF avec l'Allemagne

    Un document "top secret": Lettre de responsables du journal "L'Humanité" demandant aux autorités allemandes l'autorisation de reparaître le 25 juin 1940 pour défendre la pacification européenne et la pacte germano-soviétique

    Cette lettre révèle les objectifs du PCF (en gras) et demande qu'en échange de cette collaboration, les communistes emprisonnés par le gouvernement de la IIIe République soient libérés. Les attentats organisés dès l'occupation par des organisations résistantes qui étaient de droite ont empêché cette libération, le gouvernement de Pétain puisant parmi les communistes emprisonnés en France, ceux qui étaient en Algérie ont été épargnés, ceux qui ont été fusillé pour des représailles exigées par la Kommandatur.


    22 juin 1940 : le soutien de Moscou
    "Utilisez moindre possibilité favorable pour faire sortir journaux syndicaux, locaux, éventuellement L'Humanité, en veillant (à ce) que ces journaux... ne donnent aucune impression de solidarité avec envahisseurs ou leur approbation."
    Télégramme clandestin signé à Moscou par Georgi Dimitrov, secrétaire général de l'IC, et de Maurice Thorez le 22 juin 1940

     
    Lettre de responsables du journal "L'Humanité" adressée au Colonel Boemelburg de la Gestapo. Paris, le 25 juin 1940.

    Monsieur,

    Comme suite à la conversation que nous avons eue ce matin, nous tenons à vous préciser les préoccupations oui sont nôtres, dans les moments difficiles que nous traversons.

    Laissez-moi vous rappeler tout d'abord que nous, communistes, devant la guillotine ou le poteau d'exécution, nous avons été les seuls à nous dresser contre la guerre, à demander la paix à une heure où il y avait quelque danger à le faire.

    Si on nous avait écoutés, dans les milieux dirigeants français, notre pays ne connaîtrait pas les difficultés qu'il connaît aujourd'hui. La France n'aurait pas connu la guerre. Mais au lieu de nous écouter, on a jeté nos militants en prison, on s'est livré contre nous aux pires persécutions. Ces braves, chacun le sait, ce sont les communistes, et quand, par exemple, les journaux comme "Le Matin" ou "Paris-Soir", qui se sont rendus libres par leurs mensonges, viennent maintenant parler au peuple, qui donc pourrait avoir confiance en eux ?

    Il y a un journal qui est capable d'inspirer confiance au peuple, parce qu'il a été interdit par le Gouvernement des fauteurs de guerre. Ce journal, c'est "L'Humanité", bien connu comme organe central du Parti communiste français.

    C'est pourquoi nous pensons que dans les circonstances actuelles, le journal "L'Humanité" peut rendre d'immenses services au peuple de France, à condition qu'on n'essaye pas de lui dissimuler son véritable caractère, faute de quoi il apparaîtrait comme une contrefaçon sans aucune espèce d'intérêt.

    Nous demandons donc l'autorisation de publier "L'Humanité" sous la forme dans laquelle elle se présentait à ses lecteurs avant l'interdiction par Daladier, au lendemain de la signature du Pacte gerrnano-soviétique.

    "L'Humanité" publiée par nous se fixerait pour tâche d'oeuvrer au redressement économique du pays, en exaltant la mission créatrice des travailleurs, en s'efforçant de développer l'effort de production dans tous les domaines, tant dans l'agriculture que dans l'industrie.

    "L'Humanité" publiée par nous se fixerait pour tâche de dénoncer les agissements de l'impérialisme britannique qui veulent entraîner les colonies françaises dans la guerre et d'appeler les peuples coloniaux à lutter pour leur indépendance contre les oppresseurs impérialistes.

    "L'Humanité" publiée par nous se fixerait pour tâche de poursuivre une politique de pacification européenne et de défendre la conclusion d'un pacte d'amitié franco-soviétique, qui serait le complément du pacte germano-soviétique et ainsi créerait les conditions du paix durable.

    P.S - Afin que "L'Humanité"puisse remplir sa tâche de défenseur et conseiller du peuple, il faut
    1 ° que soient libérés les militants communistes emprisonnés ou internés dans des camps de concentration [par la IIIe république];
    2 ° que soient rétablis dans leurs fonctions et droits de représentants du peuple tous les élus arbitrairement déchus de leur mandat et qui ont, envers et contre tous, défendu le pacte germano-soviétique (sénateurs, députés, maires, conseillers généraux, conseilleurs d'arrondissement, conseillers municipaux).

    TREAND Maurice du Comité central Du Parti Communiste Français
    FOISSIN Robert, Avocat à la Cour de Paris (signé)
    CATELAS Jean, Député - du Comité central du Parti Communiste Français

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  • http://www.lecri.fr/2012/04/25/communisme-toujours-vivant/31571

    Communisme: toujours vivant

     


    L’irruption de Jean-Luc Mélenchon, fort de ses talents et de la richesse que lui donne son statut de député européen, se produit sur fond de drapeaux rouges et de poings levés. Il ne se présente pas directement comme une émanation du PCF ; il est clair, toutefois, qu’il n’est qu’un faux nez. Son programme officiel est un méli-mélo surprenant où la chasse aux riches se trouve en filigrane à toutes les lignes. Le PCF espère bien, suite à son élan, en profiter lors des législatives.
    Le résultat final de l’élection présidentielle est inconnu à la date où ces lignes sont écrites. L’hypothèse de ministres communistes dans un gouvernement français n’est pas exclue. Ce ne serait, certes, pas la première fois. Le déserteur Thorez y figura. Sous Mitterrand aussi il y en eût. Le seul « progrès », bien mince, est que, depuis la chute du mur, la direction centrale n’existe plus. L’idéologie demeure néanmoins présente plus que jamais malgré son lourd passé de ruines et de massacres.
    Le communisme, en effet, n’est mort qu’en apparence. La Corée du Nord et Cuba sont des sanctuaires. Dans les pays prétendument libérés de l’Europe de l’Est les peuples abasourdis voient leurs anciens bourreaux se prétendre repentis et se saisir par la force des biens de l’État. En Chine, le parti a eu l’adresse de libérer l’économie pour donner du pain et des jeux aux victimes de l’horreur. Cela n’empêche pas le parti de régner d’une main de fer, bien que peu visible, sur toute la société. Dans pratiquement tous les pays, l’idéologie meurtrière imprègne de larges couches des médias et de l’opinion.
     
    Un peu d’histoire
    Le communisme s’est manifesté d’abord en Russie où d’une étrange façon il avait trouvé un terrain d’élection avant de s’étendre comme une marée noire dans le monde entier. Il a tué par la faim des millions de gens en Ukraine ou par les armes ailleurs. Au Cambodge, avec Pol Pot et ses complices, une immense partie de la population fut décimée dans d’atroces souffrances. Il a tué aussi par procuration en donnant la main au nazisme, sorte de frère jumeau lui ressemblant de bizarre façon. De ces deux mains entrelacées est née la deuxième guerre mondiale et sa quantité incalculable de victimes. En Asie, il avait réussi à prendre le pouvoir dans l’immense Chine sous la tutelle impitoyable de Mao responsable de la mort de plus de 70 millions de Chinois. Menteur, criminel, obsédé sexuel, tel était celui que Giscard a salué comme un phare de l’humanité.
    Les communistes étaient une fraction importante des hommes de gauche d’avant 1939, qui, en France, ont laissé grandir le nazisme alors qu’ils avaient tous les moyens d’arrêter son ascension. Ces politiques sont, à ce titre, largement responsables de la deuxième guerre mondiale et de tous les massacres dont elle fut l’occasion. Ils ont aidé la victoire du nazisme : désarmement de la France par les 40 heures, grèves, propagande anti-française et multiples sabotages. Après avoir déclaré une guerre qu’ils n’ont pas livrée jusqu’à la trouver « drôle » ; ils l’ont enfin livrée pour la perdre honteusement.
     
    La nature du communisme
    Bien entendu, dans l’espace réduit de ce flash commentant les faits les plus récents et les plus étonnants, il est difficile de résumer ce que des livres multiples ont analysé.
    Dans l’analyse, il est tentant de se limiter à l’aspect économique, à savoir le partage de l’argent : il faudrait prendre aux riches pour donner aux pauvres. L’échec est connu et traduit l’impossibilité de l’objectif ; l’argent volé disparaît purement et simplement ; si des bribes subsistent, rien n’arrive aux pauvres. La conséquence est la ruine pour tous, excepté pour les membres du parti.
    Dans des pays affamés par le communisme, les magasins spéciaux permettent aux chefs de faire bombance. C’est l’aspect mafieux. Quand, après la chute apparente du communisme, les chefs ont continué le pillage d’une autre façon, le système mafieux a continué.
     
    Dépassons l’aspect économique
    La vraie nature du communisme est de vouloir créer un homme nouveau en violentant la nature humaine ; cet accouchement au forceps conduit nécessairement au totalitarisme avec ses conséquences comme le mensonge. Soljénitsyne avait bien remarqué que le mensonge était l’un des piliers du goulag contre lequel il s’est tant battu.
     
    Deux faits montrent la nature réelle du communisme
    Le petit Marcel Van est un des plus grands Vietnamiens de tous les temps. Quand les Viets prirent le pouvoir dans le nord, il était rédemptoriste à Saigon. Il se porta volontaire pour aller à Hanoï afin de « montrer que  la vérité pouvait être honorée en terre communiste ». En peu de mois, le pouvoir communiste le rattrapa et le fit mourir. Sa cause de béatification est introduite.
    Autres temps : Lors de l »ascension des nazis, le père des deux frères Ratzinger s’était aperçu de la haine de ces nazis pour le catholicisme ; l’observation était juste : dès qu’il eût la totalité du pouvoir, le nazisme engagea la persécution contre l’Église et ce fut la première persécution qu’il déclencha ; les frères Ratzinger la subirent dans le séminaire où ils étudiaient. Les deux grands totalitarismes du XX° siècle « se retrouvent ainsi.
    Le plus surprenant est la complicité entre certaines entreprises et les pouvoirs communistes ; nombre de grandes firmes ont financé la fête du journal l’Humanité et des milliardaires ont subventionné directement le parti communiste. Cette complicité explique en partie le silence de plomb qui a régné longtemps sur les crimes communistes comme, par exemple, le massacre de Katyn. En Chine, des hommes d’affaires se précipitent pour adhérer au parti communiste. Lénine s’y connaissait en hommes et avait remarqué que les capitalistes vendraient eux-mêmes la corde qui les pendrait.
    Moins étonnant mais tout aussi significatif se trouve la complicité de la presse. Le gauchisme des grands médias explique bien des désinformations. La prétendue éducation prétendue nationale a parachevé le travail : depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, elle est totalement soumise à des idéologues communistes qui l’ont d’ailleurs transformée en un champ de ruines. L’infiltration des esprits fut largement facilité par le KGB devenu FSB. Le seul vrai succès du communisme fut cette infiltration mondiale.

    Pour un Nuremberg du communisme
    Le mardi 16 octobre 2001, il s’est passé un événement de première grandeur pour la France et peut-être bien au-delà. Ce fut sur Arte qui par son statut franco-allemand a parfois de la liberté de parole. Une émission était consacrée au communisme et au goulag. On vit des images horribles des camps de concentration soviétiques. Voici quelques échantillons des commentaires de la chaine : « Le communisme et le nazisme sont une seule et même chose », « Il y a eu génocide au goulag car les communistes voulaient volontairement tuer une partie de la population », « Le goulag est un crime contre l’humanité », « Il n’y a aucune différence entre le stalinisme, le léninisme et le communisme », « Les camps de concentration et donc le crime contre l’humanité sont contenus dans la philosophie communiste ». La conclusion était que la résurgence et la survie du communisme venaient de ce qu’il n’y avait pas eu de Nuremberg du communisme.
    En attendant cet événement très éventuel, le droit et même le devoir de chacun est de dénoncer sans cesse cette idéologie meurtrière.
    Michel de Poncins, économiste

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  • http://www.enquete-debat.fr/archives/le-livre-noir-de-la-gauche-a-ecrire-durgence-87578

    Le livre noir de la gauche : à écrire d’urgence !

     

    Il existe de nombreux “livres noirs” : de la psychanalyse, du communisme, de l’agriculture, des médecins stars, de la CIA, de l’accueil de la petite enfance, de la condition des femmes, de la Révolution française, du médicament, des serial killers, des hôpitaux, du colonialisme, de la gastronomie française, de la garde à vue, de la chasse, du management, et finalement de la droite. Mais point de livre noir de la gauche à l’horizon… Maintenant que la gauche est revenue au pouvoir, il serait temps qu’un tel livre voit le jour, nous en suggérons le sommaire à l’audacieux qui relèvera le défi, au moment où ne pas être de gauche devient de plus en plus difficile.

    Depuis le temps que la gauche admoneste, sur un ton outré et comminatoire, tous ses adversaires politiques, il serait temps de lui rendre la monnaie de sa pièce. Qui s’y collera ?
    Le dernier redresseur de torts en date est un certain Stéphane Hessel, qui a ajouté la pierre de l’indignation à l’édifice socialiste, forteresse morale si imprenable que la droite s’y est ralliée depuis longtemps. Le seul nom de gauche paralyse tout esprit critique, qui sait qu’à la moindre critique il sera traité de vichyste, de fasciste, de collabo, de pétainiste, de raciste, d’antisémite, de nazi, d’extrême-droite, de salaud, de chien, voire d’ennemi du genre humain !
    Le livre noir de la gauche commence et finit avec François Mitterrand. Il commence avec Mitterrand vichyste, décoré de la francisque, puis ministre de la justice qui autorise la torture en Algérie, l’ami de René Bousquet, l’homme des suicides suspects (de Bérégovoy à de Grossouvre), le créateur de SOS Racisme et du FN, des écoutes téléphoniques et de Bernard Tapie ministre.  Ses créatures lui ont survécu, et principalement SOS Racisme et le FN. Le premier alimente toujours le PS en membre du bureau national et conseillers du nouveau Président Hollande. Le second auréole la gauche, divise toujours la droite, tout en la rendant infréquentable. Tant que Mitterrand, “qui a toujours été d’extrême-droite” selon Georges Frêche, ne sera pas mort définitivement, c’est-à-dire qu’il aura emporté ses créatures avec lui dans le monde des esprits, la gauche restera la gauche, tolérante bien qu’intolérante, méprisable bien que méprisante, morale bien qu’immorale.

    A moins que le livre noir de la gauche ne commence avec Jules Ferry, la nouvelle égérie de François Hollande. Écoutons ce brave homme (par ailleurs créateur de l’école libre et obligatoire), le 28 juillet 1885 à l’Assemblée Nationale : « Messieurs, il y a un second point, un second ordre d’idées que je dois également aborder (…) : c’est le côté humanitaire et civilisateur de la question. (…) Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. (…) Je répète qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures. (…) Ces devoirs ont souvent été méconnus dans l’histoire des siècles précédents, et certainement quand les soldats et les explorateurs espagnols introduisaient l’esclavage dans l’Amérique centrale, ils n’accomplissaient pas leur devoir d’hommes de race supérieure. Mais de nos jours, je soutiens que les nations européennes s’acquittent avec largeur, grandeur et honnêteté de ce devoir supérieur de la civilisation.»

    Paradoxalement, la gauche actuelle dénonce les horreurs du colonialisme, alors que c’est elle qui en a été responsable. Et ne comptez pas sur le PS ou ses alliés pour reconnaître les bienfaits de la colonisation, cette position politique est désormais classée à l’extrême-droite ! La gauche d’aujourd’hui classe donc à l’extrême-droite la gauche d’hier, preuve supplémentaire que la gauche a tous les droits, même de reprocher aux autres ses propres turpitudes et ses propres errements.

    A n’en pas douter, la gauche de demain classera celle d’aujourd’hui à l’extrême-droite, et à raison ! Pour son racialisme : métissage, discrimination positive, diversité. Pour sa haine de la liberté d’expression. Pour sa négation du vote et de la représentation nationale, Mitterrand est aussi l’inventeur du Traité de Maastricht, et Jacques Delors le chef de l’Union européenne en construction, qui ont privé la France de sa souveraineté. Pour son soutien à l’intégrisme religieux, via le soutien sans faille apporté à un islam loin d’avoir fait son aggiornamento (financement public de mosquées, critique de l’islam interdite sous peine d’accusation en racisme), et à l’interdiction du blasphème avec la loi Gayssot, entre autres.

    La gauche ce fut aussi et surtout le Front populaire, et ce cher Léon Blum, qui est en grande partie responsable de la Shoah. Autre paradoxe : un juif responsable du génocide des juifs. Évidemment, cette analyse choquera la gauche, et pour cause, Léon Blum était de gauche. Avec Hitler au pouvoir depuis 1933, M. Blum président du Conseil entre 1936 et 1938 considéra que le plus urgent était de donner des congés payés et la semaine de 40 heures. Mais détruire le régime hitlérien avant que celui-ci ne commette l’irréparable, il n’en était pas question. Voici ce que raconte le Général de Gaulle dans ses mémoires de guerre à propos de sa rencontre avec Blum en 1936 :
    “J’avais eu, pourtant, quelque espoir. Dans le grand trouble qui agitait, alors, la nation et que la politique encadrait dans une combinaison électorale et parlementaire intitulée : front populaire, il y avait, me semblait-il, l’élément psychologique qui permettait de rompre avec la passivité. [...] Au mois d’octobre, Léon Blum, président du Conseil, m’invita à venir le voir. [...] Avec chaleur, Léon Blum m’assura de l’intérêt qu’il portait à mes idées. “Pourtant, lui dis-je, vous les avez combattues.” – “On change d’optique, répondit-il, quand on devient chef du gouvernement.” [...] “Notre actuel système nous interdit de bouger. Au contraire, le corps cuirassé nous y déterminerait. N’est-il pas vrai qu’un gouvernement peut trouver quelque soulagement à se sentir orienté d’avance ?” Le président du Conseil en convint de bonne grâce, mais déclara : “Il serait, certes, déplorable que nos amis d’Europe centrale et orientale soient, momentanément, submergés. Toutefois, en dernier ressort, rien ne serait fait, pour Hitler, tant qu’il ne nous aurait pas abattus. Comment y parviendrait-il ? Vous conviendrez que notre système, mal conformé pour l’attaque, est excellent pour la défense.” Je démontrai qu’il n’en était rien.” Général De Gaulle, Mémoires de guerre, p.28-29, éditions pocket

    J’ai pu visiter le camp de Buchenwald, pour rendre hommage à mon arrière-grand-père déporté là-bas pour faits de résistance, et j’y ai découvert avec amusement la cellule de Léon Blum, proche des baraquements nazis, à l’écart du reste du camp. Et je me suis demandé si M. Blum avait eu le loisir de réfléchir à son erreur considérable alors qu’il était aux responsabilités, et aux conséquences immenses qu’aurait eu de sa part un comportement de chef d’État. La Shoah aurait sans doute été évitée, de même qu’une bonne partie des 50 millions de morts de la guerre. Mais je divague, il est évident que les congés payés sont bien plus importants !

    Donc, la 2ème Guerre Mondiale. Nous avons déjà parlé de la décoration de François Mitterrand par Pétain, et de son amitié avec René Bousquet, celui qui a procédé à la rafle du Vel d’Hiv, nous n’y reviendrons donc pas. Par contre la collaboration n’est pas un bon point pour la gauche, et notamment les antiracistes, écoutons Eric Zemmour qui reprend à son compte la thèse de l’historien israélien Simon Epstein :

    "Vidéo à regarder sur le site en suivant le lien"

     

    On pourrait prolonger cette analyse sur l’antiracisme avec la création de SOS Racisme pour récupérer la marche des beurs, et l’étouffer, afin de devenir une courroie de transmission du PS et de l’UEJF, et réduire au silence toutes les autres voies plus patriotes ou moins morales. Serge Malik l’explique mieux que je ne pourrais le faire :

    "Vidéo à regarder sur le site en suivant le lien"

     

    On sait ce qu’est devenu l’antiracisme : une idéologie, ne tolérant pas la critique (toute critique étant forcément raciste), qui limite la liberté d’expression par des procès en sorcellerie et des procès en justice, qui se finance principalement sur l’argent publique, qui ne reconnaît pas le racisme anti-blanc en partant du pré-supposé qu’un blanc ne peut pas être discriminé (suivant en cela l’exemple d’Houria Bouteldja, islamiste notoire), qui enferme les immigrés dans une case d’”issus de l’immigration”, et qui place le racisme au-dessus de toutes les autres discriminations, beauté, taille, poids, infirmités diverses. Au nom de l’égalité, on bafoue l’égalité, encore un paradoxe.
    L’antiracisme est surtout la meilleure manière qu’a trouvé la gauche pour ne pas avoir à parler des autres sujets, bien plus importants, comme l’économie, l’Etat, la politique étrangère etc. Tout est ramené à un moment ou à un autre au racisme, comme avec l’histoire Taubira/Zemmour récemment.

    Comment oublier l’épisode algérien, Mitterrand ayant justifié la torture en tant que Ministre de la justice de la 4ème République, ce qui n’est tout de même par rien ! On comprend mieux pourquoi Jean-Marie le Pen a été instrumentalisé par Mitterrand pour faire oublier ses propres erreurs politiques. Même son protégé Jacques Attali n’a pas supporté cette justification de la torture : “Pour Attali, qui se référait à une discussion avec Mitterrand, ce dernier «a créé les conditions légales pour que la torture soit en place […] quand il a comme Gardes des sceaux proposé la loi de mars 1956 qui donnait tous les pouvoirs aux militaires en matière de justice» en Algérie. «Il m’a dit, début 1974 : c’est la seule erreur que je veux bien reconnaître dans ma vie», a ajouté Attali.”

    Et comment oublier l’alliance de la gauche avec le parti communiste, et les ministres communistes au gouvernement ! A une époque où le PCF était on ne peut plus proche de l’URSS totalitaire, à une époque aussi où Georges Marchais, leader du PCF, avait déclaré “Le bilan du communisme est globalement positif” ! Sans pour autant déclencher les mêmes hurlements des médias et de l’intelligentsia que pour le “détail” de le Pen, je vous rassure. C’est un député communiste également qui fit voter l’ignoble loi Gayssot, qui a fait du négationnisme par un effet boomerang pourtant prévisible un courant désormais mondial.

    Enfin, pour terminer en beauté, on citera toutes les magouilles au PS, du bourrage des urnes à l’élection du 1er secrétaire à la “Rose mafia” dénoncée par un ancien du PS, Dalongeville, dont nous vous repassons l’émission chez Eric Brunet :

    "Vidéo à regarder sur le site en suivant le lien"

     

    Il y aurait encore beaucoup à dire dans ce livre noir de la gauche, mais pour cela il faudrait un livre !


     

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  • http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2012/06/clonage-des-esprits-et-confusi.html

    Clonage des esprits et confusion des genres

    L'Education nationale, les médias, les grandes écoles : tous concourent à consolider le conformisme de la pensée "progressiste". Cela fait des lustres que l’école publique est la chasse-gardée de la gauche et de l’extrême gauche. Récemment, un vote effectué au Centre de formation des journalistes de Paris, lors de la présidentielle, avait donné 100% des voix à François Hollande.

    Ces jours-ci, c’est le président du jury 2011 de l’Ecole nationale d’administration (ENA), le juriste Yves Gaudemet, qui déplore "l’uniformité de comportement voire de pensée" des futurs décideurs. Dans son rapport, cité ce mercredi par Le Figaro, il souligne la tendance à "choisir le confort apparent des formules convenues, reprises jusque dans le vocabulaire des modes administratives ou médiatiques" et les "difficultés à porter un jugement motivé sur les réformes en cours, à apporter la comparaison". Gaudemet écrit aussi: "Si l’originalité n’est pas une qualité en soi et ne doit pas être recherchée par principe, elle est bienvenue lorsqu’elle traduit simplement une forme de sincérité, de capacité à raisonner par soi-même et de curiosité". François Hollande, Michel Sapin, Ségolène Royal (tous de la fameuse promotion Voltaire) sont passés par cette manufacture de la pensée lisse.

    Ce qu’écrit Gaudemet n’est évidemment pas une révélation, et surtout pas pour ce blog qui combat les absurdités et les mensonges du politiquement correct. Reste que bien peu de voix s’émeuvent du clonage des esprits, qui a contaminé la vie politique. Un travail de réflexion et de prise de conscience est à mener, par chacun des acteurs concernés, sur ce formatage des intelligences, nouveau totalitarisme soft qui fait passer l’élémentaire esprit critique pour une expression d’insupportable extrémisme.

    Dans le domaine que je connais le mieux, le journalisme, je suis par exemple consterné par la bienveillance de ma profession vis-à-vis de Valérie Trierweiler qui, foin du respect ne serait-ce que formel pour l’indépendance de la presse,  entend continuer à travailler à Paris-Match alors qu’elle partage la vie du chef de l’Etat et qu’elle bénéficie à ce titre d’un bureau à l’Elysée, renforcé de sept collaborateurs et d’un chef de cabinet. La confusion des genres, dont on mesure les dégâts avec le règlement de compte de "la première dame" contre Ségolène Royal par tweet interposé, est le résultat d’une homogénéité de caste qui est une autre manière d’accepter le moule des oligarques.

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  • http://www.lejdd.fr/Politique/Elections-legislatives-2012/Actualite/Louis-Aliot-reagit-au-canular-de-Gerald-Dahan-qui-a-piege-Nadine-Morano-519566/?from=headlines

    Aliot : "Le verrou entre l'UMP et le FN est en train de sauter"

    INTERVIEW - Gérald Dahan s'est fait passer pour lui afin de piéger Nadine Morano. Interrogé par leJDD.fr, Louis Aliot, vice-président du Front national, estime que "sous la pression du peuple", "l’UMP est en train d’abandonner petit à petit cette stratégie absurde du cordon sanitaire" avec le Front national.

     

    Louis Aliot

    Louis Aliot, n°2 du Fn et candidat dans la 1ere circonscription des Pyrénées-Orientales.

    Quelle est votre réaction aux déclarations de Nadine Morano, piégée lors d’un canular par Gérald Dahan?
    Je n’ai pas eu le temps d’écouter, mais il parait que l’imitation n’est pas très bonne. Je ne suis pas favorable au procédé du canular. Et puis j’aimerais que monsieur Dahan ne tire pas toujours dans le même sens. Pourquoi ne pas se faire passer pour l’opposant de madame Royal par exemple. Mais au-delà de ça, je pense que ça ne dessert pas Nadine Morano. On ne parle que d’elle depuis vendredi matin, beaucoup de candidats auraient envie d’une telle exposition à quelques jours d’une élection.

    La responsable UMP trouve que Marine Le Pen a "beaucoup de talent". Est-ce un nouvel appel du pied vers les électeurs du Front national?
    Au fond, elle ne dit pas autre chose que ce qu’elle disait dans son interview à Minute. Ce que ça montre, c’est que sous la pression du peuple, l’UMP est en train d’abandonner petit à petit cette stratégie absurde du cordon sanitaire. Le verrou est en train de sauter. Il faut que les Français poussent encore un peu pour qu’il explose.

    Ce canular peut-il laisser penser que les responsables UMP et FN, à l'échelle locale, sont en contact?
    Il y a un dialogue entre les candidats sur des idées, ce qui est le propre de la démocratie. Mais sur les stratégies politiciennes, il n’y a aucune discussion.

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  • http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/jean-luc-melenchon-et-le-front-de-118282

    Jean-Luc Mélenchon et le Front de Gauche une nouvelle fois désavoués par le peuple : une victoire pour les patriotes révolutionnaires

    La cuisante défaite de Jean-Luc Mélenchon à la Présidentielle ne lui avait pas suffit. Non, il en voulait encore ! Rappelez vous avec quelle vanité il pérorait dans les médias promettant une "bataille homérique" à Hénin-Baumont face à Marine le Pen. Résultat des courses ? 21% des voix, derrière le candidat du Parti Socialiste qu'il a quitté en 2008, et bien sûr, derrière la patronne du Front National. Mélenchon est bon pour retourner à Itaque...

    La stratégie de Jean-Luc Mélenchon s'est avérée infructueuse.

    Premièrement, son projet fantasque de "révolution citoyenne" et de "6e République" excluant toutes les avancées et les redécouvertes en termes de démocratie (comme le tirage au sort en politique) avait réussit à rabattre quelques individus suffisamment crédules pour croire qu'un tel projet serait possible. Une Révolution sans Révolution, voilà ce que ce franc-maçon (comme son père, et son grand-père le furent) a voulu faire miroiter aux français tourmentés en ces temps de crise. Car qui pourrait croire qu'une telle chose puisse arriver par les urnes ? Le système électif a été, dès ses balbutiements, été programmé de telle sorte à favoriser les riches et les puissants. Ainsi, en 1794, Maximilien de Robespierre avait déjà compris que rien de bon ne pourrait sortir d'un tel système : "Le peuple a changé de chaînes, et non de destinée !" affirma-t-il alors que les députés de l'Assemblée Nationale adoptaient le marc d'argent, visant à instaurer le suffrage censitaire. Les choses ont-elles évoluées depuis ? Si peu... Le suffrage universel n'existe finalement que pour que le peuple puisse donner son consentement à la domination de ses maîtres, dont la sociologie n'a que peu changé en deux siècles. Aujourd'hui, sans la complicité des médias, et ou les généreux soutiens financiers d'individus ayant des intérêts personnels à soutenir tel ou tel candidat, quel espoir peut nourrir un candidat à la Présidentielle ou à la députation ? Sauf miracle, aucun. Ceux qui disent que la défaite du Front de Gauche était due aux médias se trompent : Mélenchon a profité d'une excellente couverture médiatique, qui tranche d'ailleurs avec les échecs qu'il collectionne.

    C'est ici que nous aborderons le deuxième point de la stratégie mélenchoniste, l'occupation du terrain médiatique pour faire passer ses idées européistes sous couvert d'une hypothétique "Europe sociale". Ce mythe presque aussi vieux que l'Union Européenne, vise à perpétuer la croyance que ces institutions, voulues par des puissances étrangères (par qui étaient financés Schumann et Monet ?) et mises en place par leurs pantins de l'UMPS pourraient un jour devenir le berceau d'une Europe démocratique, où tout le monde serait très beau et très gentil. Si François Asselineau, Etienne Chouard et bien d'autres ont pris le parti de la sortie de l'Union Européenne, il existe des faux-contestataires dont l'objectif est justement de couper l'herbe sous le pied de ceux qui désirent une France libre, indépendante et souveraine. Jean-Luc Mélenchon est de ceux là. Ce retourneur de veste professionnel, qui militait pour donner le pouvoir de création monétaire aux banques privées pour tous les pays de l'Union Européenne lors de la campagne pour la ratification du Traité de Maastricht, affirmant non sans honte qu'il s'agissait d'un "compromis de gauche", il aimerait aujourd'hui nous faire croire que son analyse est pertinente, et que cette fois, il ne se "trompe" pas. Mais si, mais si ! Puisqu'on vous dit qu'il n'y a pas d'alternative au fédéralisme européen, qu'ensemble nous serons plus forts, et piapiapia, et piapiapia... Je regrette profondément que nombre de mes compatriotes se laissent aller à croire à ces histoires. Il faut dire qu'ils ne sont pas aidés par des médias corrompus et incompétents, qui ne savent pas faire grand chose que de répéter sans regard critique ni analyse sur le moyen ou le long terme les déclarations des marionnettes du Circus Politicus qui animent la vie politique française. Et pourtant des alternatives existent.

    Car si l'abstention a battu tous les records de la Ve République, cela signifie bel et bien que les propositions des partis médiatisés ne convainquent pas. Et pourtant, les leaders politiques persistent dans l'erreur. Jean Luc Mélenchon avait lui décidé de diviser la Nation, en menant une sainte croisade contre le Front National, un parti qui récolte davantage de soutien populaire que le sien. A croire qu'il ne suffit pas d'agiter des drapeaux rouges et de vociférer des pseudos slogans révolutionnaires ("place au peuple !", "prenez le pouvoir", etc.) pour convaincre le peuple que ce qu'on lui propose est bon pour lui. JLM occupe un segment marketing du marché juteux de la scène politique, et il le fait avec brillo. Mais tout comme les dealers de crack ne consomment pas ce qu'ils vendent, je ne suis pas certain que le leader du FDG ne pense sincèrement une seule des idées qu'il défend. Un homme aussi intelligent et cultivé que lui ne peut pas ne pas savoir qu'il ne pourra pas y avoir de changement sans unité nationale, et sans que la France puisse retrouver les marges de manoeuvre nécessaire pour se gouverner selon les aspirations de son peuple, et non de quelques technocrates européens appuyés par des élus nationaux idéologiquement corrompus. Son petit jeu avec le Front National n'était qu'un story telling politique de plus, visant à maintenir vivace la dissension entre "le peuple de gauche" et le "peuple de droite". Et puis, il faut avouer qu'utiliser ces marronniers a un côté pratique, cela évite précisément à ne pas évoquer les sujets qui fâchent, comme si le Front National (parti européiste aussi rappelons le...) était la plus grande menace planant sur la République qu'il prétend défendre. Pourquoi n'a-t-il pas abordé l'exercice de son mandat de député européen, lui qui s'est positionné en défenseur d'une hypothétique Europe démocratique ? Peut être est-ce parce que, classé 732e sur 754 au niveau de sa présence au Parlement, il n'a pas vraiment envie de rappeler ce qu'il fait des voix qu'il obtient lorsqu'il lui arrive de remporter des scrutins...

    La défaite cuisante de Mélenchon à Hénin Baumont, et plus globalement du Front de Gauche en France, sera justifiée par un nombre incalculable de raisons alambiquées par les militants fanatiques. Pourtant, Confucius disait que la véritable faute, c'était celle de ne pas avouer sa faute. Mélenchon se trompe lorsqu'il évoque l'hypothèse d'un changement de l'Union Européenne alors que celle-ci est justement faite pour dominer les peuples, Mélenchon se trompe dans sa stratégie de division de la Nation française en jetant l'opprobre sur un parti politique remportant de plus grand succès électoraux que lui, alors que nous avons justement besoin de l'union de tous les citoyens afin de sortir ensemble, et par le haut, dans la situation catastrophique dans laquelle nos élites nous ont mené avec le projet européistes, cheval de troie de l'atlantisme et du libéralisme. Ceux qui ont cru dans le Front de Gauche, et qui ont trouvé dans ce parti des réponses à leurs idéaux humanistes ont perdu du temps, mais il n'est bien sûr pas trop tard pour fuir les rangs de cette organisation contre-révolutionnaire, qui pourrait se révéler menaçante pour les patriotes au service de la Nation.

    Car oui, c'est bien d'une Révolution dont nous avons besoin. Cette perspective est la plus crédible pour nous sortir de l'illusion de l'impasse européiste dans laquelle nous nous trouvons. Une Révolution oui, mais pourquoi faire ? Mettre en place une véritable démocratie, qui pourrait être la première que toute l'humanité pourrait connaître. Il y a suffisamment d'individus talentueux et créatifs pour faire avancer ces débats. Il suffirait de les convier sur des plateaux télés ou de leur donner la parole à grand échelle afin que la pertinence de leurs analyses éclairent l'obscurité de l'esprit de certains de nos concitoyens, imbus de certitudes concernant les chapelles politiques qu'ils défendent.

    Ce scrutin présidentiel et législatif a définitivement démontré, que nous ne vivions pas en démocratie. Si vous vous satisfaisez de cela, continuez donc à militer ou cautionner les partis politiques traditionnels. Sinon, il va falloir trouver d'autres moyens de lutter contre le terrorisme intellectuel qui ronge notre société. Cela commence par porter un regard sans concession sur les positionnements adoptés par ceux qui prétendent nous représenter. Bien souvent, ceux-ci ont abandonné toute quête de vérité pour ne se consacrer qu'à la conquête du pouvoir, qui ne peut s'obtenir que par le mensonge, les manipulations, et l'ignorance (ou les trop grandes certitudes) de ceux qui se déplacent aux urnes.

    Le 17 juin prochain, je resterai ferme sur ma position et je prônerai encore l'abstention. En espérant que quelques journalistes, dans la prise de conscience de leur faillite totale de l'analyse qu'il font au jour le jour, donneront la parole à la plus grande force politique de France.

    Jonathan Moadab

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