• http://www.robertmenard.fr/2012/07/30/deja-perdants/

    Déjà perdants

    zeuro

    Décidément, politiciens et journalistes ont la mémoire courte. Alors qu’ils ne cessent de multiplier déclarations et analyses plus inquiétantes les unes que les autres sur la situation de l’Espagne – et, plus généralement, de la zone euro -, on est tenté de leur rappeler leurs propos aux lendemains du dernier sommet européen. Souvenez-vous, tout ou presque était réglé : Espagnols et Italiens avaient roulé dans la farine le dragon Angela Merkel, le président français était arrivé à ses fins, la croissance enfin programmée, nous n’avions plus qu’à attendre les fruits de cette stratégie victorieuse. Et chacun de saluer l’exploit de François Hollande, son sens tactique, sa capacité de synthèse, sa vision émancipatrice. Il avait manœuvré tout son monde comme dans un congrès socialiste. Avec un chef d’Etat pareil, crise, banquiers, traders, City, et même Wall Street n’avaient qu’à bien se tenir.

    On avait presque envie d’y croire à cette France conduite avec doigté, à ces Français qui allaient s’en sortir ! Si un Président socialiste réussissait ce tour de force, nous étions prêts à l’applaudir ! Mais les mauvaises nouvelles n’ont pas tardé à pleuvoir. Il a bien fallu regarder la triste réalité en face : on ne réglera pas la crise actuelle avec quelques accords arrachés au bout de la nuit. On ne fera pas l’économie d’une remise à plat de l’euro, du fonctionnement des institutions européennes, de cet aveuglement qui a conduit tous nos responsables à dépenser plus que nous ne gagnons depuis… 1974 ! De droite comme de gauche !

    L’Espagne est entrée dans une « spirale de la mort », explique maintenant un analyste. Je crains que l’Occident ne soit au bout du rouleau. Et pas uniquement pour des raisons économiques. Il ne suffira pas de mobiliser la Banque centrale européenne, d’instaurer une taxe sur les transactions financières, de mutualiser la dette : nous avons lâché prise, honteux de ce que nous sommes, déjà perdants.

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  • http://liesidotorg.wordpress.com/2012/07/30/limmobilier-plafonne-avec-des-taux-au-plancher-depuis-1945/

    L’immobilier plafonne avec des taux au plancher depuis 1945

    En France, le marché de l’immobilier a largement profité des crédits alloués par les banques : 70,8 milliards en 2001, 87,3 en 2003, 143,7 en 2005 et 170,2 en 2007. Mais depuis le début de l’année, les signaux d’alerte se multiplient malgré des taux d’intérêt très bas. En effet les taux d’intérêt reculent depuis mars et ne sont plus très loin de leur plus bas niveau historique depuis 1945 (3,25% en moyenne) atteint en novembre 2010. Ils se sont établis en moyenne à 3,59% en juin contre 3,97% par exemple en janvier, perdant 36 points de base en quatre mois, selon Crédit Logement.

    C’est un paradoxe : les taux sont au plus bas, mais les crédits diminuent…

    Le montant des crédits immobiliers accordés par les banques a en effet enregistré un très fort recul au premier semestre avec une chute de 33,1% par rapport au semestre correspondant de 2011, selon une étude de l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Pour Michel Mouillart, professeur d’économie à l’Université Paris-Ouest et auteur de l’étude, il existe trois raisons à cet effondrement : 1) la demande s’est effondrée, 2) des aides publiques ont disparu (comme le prêt à taux zéro PTZ dans l’ancien) et 3) l’offre de crédit s’est réduite en raison des problèmes de refinancement des banques.
    Pour le seul deuxième trimestre, la chute est encore plus brutale avec une baisse de 39,2% par rapport au trimestre correspondant de 2011.

    Et pour 2012 ?

    Pour l’ensemble de l’année 2012, les crédits immobiliers accordés par les banques devraient être compris entre 110 à 120 milliards d’euros, soit une baisse de près de 25% à 30% par rapport à 2011 (160 milliards), loin du record absolu de 2007 (170,2 milliards), estime Michel Mouillart qui anticipait, début 2012, un montant de 130 milliards pour l’ensemble de l’année.

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  • http://www.causeur.fr/diversite-quand-le-ps-fait-dans-le-racialisme,18549

    Najat Vallaud-Belkacem n’est pas Claudine Dupont

    Oui, le PS a promu des candidats en raison de leurs origines ethniques

    « Elle s’appellerait Claudine Dupont, elle ne serait peut-être pas là. Elle doit assumer son identité et en être fière ». Cités par Le Point, ces propos de Ségolène Royal au sujet de Najat Vallaud-Belkacem, jeune pousse ségoléniste devenue porte-parole du gouvernement, ont fait couler beaucoup d’encre la semaine dernière. Mais Royal a par la suite affirmé que sa pensée avait été déformée et qu’elle ne se reconnaissait pas « dans les propos réducteurs que lui prête le journal Le Point à propos de Najat Vallaud Belkacem et qui aboutissent à lui faire dire le contraire de ce qu’elle a toujours affirmé ».

    Cette affaire vient peu après la polémique autour du passage sur Europe1 de Fleur Pellerin, ministre des PME et de l’Economie numérique. En introduction de son interview, le journaliste Daniel Schick lui a demandé : « Savez-vous vraiment pourquoi vous avez été choisie ? Parce que vous êtes une belle femme issue de la diversité ? Parce que vous appartenez à une minorité peu visible ? ». En retour, la sénatrice PS Laurence Rossignol a exigé qu’on « vire » Daniel Schick de l’antenne d’Europe1.

    Il n’empêche qu’une question demeure. Les personnalités politiques « issues de la diversité » (mot politiquement correct pour ne pas dire Noir ou Beur) doivent-elle leur ascension essentiellement voire uniquement à leur origine ethnique ? Vallaud-Belkacem et Pellerin étaient-elles les meilleures à leur poste ?

    A droite, Nicolas Sarkozy qui s’était vanté d’avoir nommé un « préfet musulman » en 2004, n’a pas caché ses positions en matière de discrimination positive. A gauche, au vu des réactions sur les affaires Pellerin et Vallaud-Belkacem, on semble considérer cette pratique comme anti-républicaine.

    Sauf que dans les faits, le PS et ses cadres ont clairement avoué leur conception de la méritocratie. Sans oublier… Fleur Pellerin elle-même. Dans une interview donné à Elle, peu avant son passage sur Europe1, elle était revenue sur les raisons de sa promotion : « Quand il a fallu renouveler les équipes, on a cherché des femmes, jeunes, issues de la société civile et de la diversité, même si cette dernière donnée m’énerve. Je cochais pas mal de cases, et j’ai des compétences en finances publiques ».

    Durant les législatives, le PS avait réservé 23 circonscriptions aux candidats « issus de la diversité » comme la 10e circonscription de l’Essonne, celle de Julien Dray devenu aujourd’hui le fief de Malek Boutih. Sur 6 autres circonscriptions réservées, c’est le bureau national du PS qui a désigné d’office les candidats, quitte à se fâcher avec les militants locaux. En Haute-Garonne, Kader Arif, élu et devenu ministre des anciens combattants, a ainsi dû affronter deux candidatures dissidentes.

    A l’époque, le PS, par la voix de Christophe Borgel, secrétaire national aux élections, avançait que ces désignations d’office avaient été décidées parce que « les conditions locales d’investiture étaient telles qu’il y avait des refus d’accueillir un candidat ou une candidate issue de l’immigration ou des DOM ».

    Et pour quelles raisons les sections locales ont fait barrage ? Imaginons qu’il y ait des militants PS purement racistes qui refusent de soutenir un candidat, pourtant méritant, en raison de la couleur de sa peau. Le règles internes au parti et le Code Pénal sont largement suffisants pour sanctionner de tels comportements (Frêche a été exclu pour moins que cela) et permettre que le meilleur candidat soit désigné, quelque soit ses origines ethniques. En revanche, imposer un candidat noir ou beur depuis Solférino est le meilleur moyen d’acter le fait que ce dernier a été choisi pour ses qualités génétiques plus que politiques.

    Ce n’est pas la première fois que le PS avoue de telles pratiques. En février 2009, Martine Aubry avait lancé dans Le Parisien : « Sur la question de la diversité, la gauche n’a pas été bonne, je le reconnais. Aujourd’hui, nous agissons : 20 % des membres de notre direction sont ainsi issus de la diversité. Pour les élections européennes, nous garderons le même critère, y compris pour les places éligibles et les têtes de liste. » Sans le dire, Aubry a avancé l’idée d’un quota ethnique chiffré pour désigner ses candidats. Reste à savoir si placer un métis compte pour un demi-candidat issu de la diversité et si un noir de confession musulmane compte double.

    On répondra que les députés et autres élus doivent représenter leurs électeurs. Que sans ces mesures, il n’y aurait que des mâles blancs dans les assemblées. Mais les députés sont censés représenter politiquement et non ethniquement leurs électeurs. Un noir de gauche se sentira toujours plus proche de Jean-Marc Ayrault que de Rama Yade. Or, les « icônes de la diversité » sont souvent issues des mêmes moules idéologiques que les mâles blancs. Le discours sur la diversité ne fait que ripoliniser la domination des mêmes castes. Fleur Pellerin a fait Sciences Po et l’ENA, Najat Vallaud-Belkacem a raté l’ENA mais est elle aussi diplômée de l’IEP de Paris. Si leur promotion a servi la diversité ethnique de la politique, elle n’a pas spécialement fait progresser la diversité idéologique. Les diplômes influent bien plus sur la vision du monde que le taux de mélanine.

    Si on veut une Assemblée « à l’image de la France », il faut donc agir ailleurs. Combien de députés et de ministres sont des ouvriers, des enfants d’ouvriers, des sans-diplômes ? Le PS cherche ses « Obama » mais où sont ses Bérégovoy ? Bizarrement, la question de la promotion sociale ne semble pas intéresser le PS ni les médias dits « de gauche ». Libé aurait-il fait sa une sur les « cabinets bourgeois (ou énarques) de la République » ?

    La carte de la diversité est finalement contre-productive. Pire que le racisme négatif qui exclut les Noirs parce qu’ils sont Noirs, il y a le racisme positif qui promeut les Noirs… parce qu’ils sont Noirs. Les intentions sont différentes mais le fond de la pensée est le même : les Noirs ou les Beurs sont avant considérés selon leurs origines et non selon leurs qualités professionnelles ou politiques. On ne leur réserve plus des places à l’arrière des bus mais des circonscriptions et des têtes de liste. Bref, le PS veut supprimer le mot « race » de la Constitution mais il le maintient dans sa pensée.

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  • http://www.dreuz.info/2012/06/francois-hollande-roule-en-ds5-enfin-sauf-quand-il-se-croit-a-labri-des-photographes/

    François Hollande roule en DS5. Enfin… sauf quand il se croit à l’abri des photographes…

    Devant les photographes, François Hollande roule en Citroën DS5 hybride. C’est l’image parfaite pour le président normal. La gauche, symbole de la rigueur.

     Mais quand il se croit à l’abri des photographes, Monsieur Hollande roule en … Maserati. C’est sa façon de nous dire que la rigueur, c’est pour les cons.

    Je suppose que c’est pour mieux comprendre les riches qu’il déteste tant, que François Hollande a choisi de vivre comme eux.

    Hollande, très surpris d'avoir été repéré

    Hollande, très surpris d’avoir été repéré en Masérati

    Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
    © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

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  • http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/industrie-financiere/20120727trib000711375/la-banque-de-france-va-t-elle-devoir-vendre-son-or-.html

    La Banque de France va-t-elle devoir vendre son Or ?

    Si la banque de France doit se recapitaliser pour absorber les pertes liées à une nouvelle décote des obligations souveraines grecques, elle devra faire appel à l'Etat ou peut-être...vendre son Or.
     
    Copyright Reuters
     

    L'Europe travaille à une nouvelle restructuration de la dette qui pourrait contrainte la banque centrale européenne (BCE) et la Banque de France à se recapitaliser. Pour faire baisser l'endettement de la Grèce et maintenir ainsi le pays dans la zone euro, cette restructuration de la dette supposerait en effet des pertes importantes pour la Banque centrale européenne et les banques centrales nationales. L'objectif serait, selon des informations obtenues par l'agence Reuters, de réduire l'endettement de la Grèce de 70 à 100 milliards d'euros afin de le ramener à 100% du produit intérieur brut.

    L'une des options envisagées consisterait pour la BCE et les banques centrales nationales membres de l'Eurosystème à accepter une décote de 30% sur les obligations de l'Etat grec qu'elles détiennent. Le montant total des créances du secteur officiel sur la Grèce , qui comprend les prêts bilatéraux consentis à Athènes par les Etats membres, est estimé entre 220 et 230 milliards d'euros.

    Les banques centrales de la zone euro détiennent en effet de grandes quantités de titres grecs acquis notamment dans le cadre du SMP (securities markets programme) et ces titres sont généralement assortis de taux d'intérêt très élevés. D'ailleurs, la Banque de France va reverser à la Grèce les intérêts qu'elle a perçu au tire des obligations souveraines grecques qu'elle détient, soit 754 millions d'euros comme le premier plan de restructuration le prévoyait.

    Vers une recapitalisation de la Banque de France ?

    La BCE s'est refusé à tout commentaires sur ce sujet. Mais certains responsables européens estiment que la Banque de France et les banques centrales de Malte et de Chypre seraient en première ligne. Elles sont les plus exposées à la dette publique grecque, et pourrait avoir besoin d'être recapitalisées pour compenser les pertes liées à la décote des obligations souveraines qu'elles détiennent. Certains imaginent même qu'elle pourrait vendre son Or...

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  • http://www.irefeurope.org/content/le-couple-hollande-paye-t-il-l%E2%80%99isf

    Le couple Hollande paye-t-il l’ISF ?

    Le couple Hollande paye-t-il l’ISF ?

    Il n’y a pas de concubine plus notoire que Madame Trierweiler. Et il paraît qu’elle est riche. Paye-t-elle pour autant l’ISF avec son concubin ?

    L'article 885 A du CGI pose le principe que les couples mariés font l'objet d'une imposition commune. Il en résulte que les couples mariés, quel que soit leur régime matrimonial, doivent souscrire une seule déclaration qui regroupe l'ensemble de leurs biens, droits et valeurs imposables ainsi que ceux de leurs enfants mineurs lorsqu'ils ont l'administration légale de leurs biens.

    Chacun des époux est soumis à l'ISF, à raison de ses biens, droits et valeurs imposables, dans les deux situations suivantes :

    a.  Les époux sont séparés de biens et ne vivent pas sous le même toit (CGI art. 6, 4-a. L'imposition distincte est subordonnée à ce que les deux conditions prévues à l'article 6, 4-a du CGI soient simultanément remplies :
    -  il faut que les époux soient mariés sous le régime de la séparation de biens ;
    -  il faut également que les époux ne vivent pas sous le même toit, c'est-à-dire qu'ils aient effectivement cessé toute vie commune.

    b.   Les époux font également l'objet d'une imposition distincte lorsqu'ils sont en instance de séparation de corps ou de divorce et qu'ils résident séparément dans les conditions prévues aux articles 255 et suivants du Code civil, c'est-à-dire lorsque le juge les a autorisés à résider séparément.

    En l’espèce, il est plus que vraisemblable que Madame Trierweiler, déjà divorcée une première fois, n’a pas épousé Monsieur Trierweiler sous un autre régime que la séparation de biens. Et comme il est notoire qu’elle ne vit plus avec son mari avec lequel elle est en cours de divorce sinon déjà divorcée, il ne fait pas de doute qu’elle ne doit pas déclarer son patrimoine avec Monsieur Trierweiler.
    Mais pour l'établissement de l'ISF, le législateur prend en compte  la situation de concubinage notoire. En introduisant ce dispositif, le Parlement a entendu lutter contre l'évasion fiscale, estimant qu'il fallait éviter la fraude à laquelle certains couples auraient pu être tentés de recourir pour échapper à l'impôt.
    Il résulte des dispositions de l'article 515-8 du Code civil que le concubinage est une union de fait, caractérisée par une vie commune présentant un caractère de stabilité et de continuité, entre deux personnes, de sexe différent ou de même sexe, qui vivent en couple. Cette définition est transposable en matière d'ISF depuis le 1er janvier 2000.
    En l’espèce, qui pourrait contester que Madame Trierweiler est la concubine la plus notoire de France ? Comme telle, elle devrait joindre son patrimoine à celui de Monsieur Hollande pour payer avec lui l’ISF. Les informations disponibles ne permettent pas de penser que l’ISF de Monsieur Hollande ait été calculé sur cette base.
    D’ailleurs, Monsieur Hollande a fait une déclaration de fortune en tant que chef de l’Etat d’un peu moins de 1 3000 000€, sous-estimant sans doute sa maison de Mougins, soit un montant inférieur au seuil actuel de déclenchement de l’ISF fixé à 1 300 000€.
    Mais en associant la fortune de sa concubine notoire, le couple devrait payer l’impôt et peut-être même un gros impôt.
    Il serait intéressant que le plus grand nombre de citoyens écrivent à Monsieur Hollande pour lui demander, par souci de transparence, s’il paye l’ISF ? A défaut, il conviendrait d’en alerter les services fiscaux. Mais peut-être qu’une simple demande sur twitter suffirait à faire réagir la dame qui en était l’adepte.

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  • http://www.enquete-debat.fr/archives/dans-la-serie-antiracisme-a-deux-vitesses-31766

    Dans la série antiracisme à deux vitesses…

    … je voudrais le magazine Brune. Sur son compte Facebook voici comment se présente ce magazine : “Brune est un magazine féminin généraliste haut de gamme francophone destiné aux Africaines, Antillaises et femmes noires des diasporas habitant La France et l’Europe, l’Afrique, la Caraïbe, l’Océan Indien, les États-Unis et le Canada.” Et voici leur dernière couverture. Donc de deux choses l’une : soit on est légaliste, ce que nous sommes, et les mêmes lois doivent s’appliquer à tous, donc ce magazine doit être condamné lourdement pour racisme. Soit on est pour la liberté d’expression totale, ce que nous sommes aussi, et un autre magazine peut titrer “Immigration : au secours, les Noirs débarquent” sans être poursuivi en justice, ce qui serait totalement improbable. Bref, la peste brune (justement) est forcément blanche, cherchez l’erreur.

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  • Je demande à tous de bien écouter le sens des questions posées par un journaliste du système gauchiste, de voir avec quelle intonnation les questions sont posées et avec quelle insistance il veut faire dire à de jeunes écoliers ce qu'il veut entendre et transmettre!

    La manipulation des esprits a commençé très tôt par la gauche, en s'attaquant à la jeunesse, en faisant passé les blancs pour les méchants.

    Ce reportage nous montre bien jusqu'où les gauchistes peuvent aller dans la manipulation, étrangement cela rappelle les tristes heures du stalinisme, et bien plus près de nous de la Corée du Nord! 

    Patriote64 

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