• http://www.nationspresse.info/?p=175351

    Nouvelle fusillade dans le Nord : il n’y a pas de fatalité !

     

    Communiqué de Steeve Briois, secrétaire général du Front National

    Une nouvelle fusillade a eu lieu ce matin dans le Nord, à Bertry, après que le tireur se soit vu refuser l’entrée des lieux. S’il n’y a pas de victimes à déplorer, le bilan d’une dizaine de blessés et la multiplicité d’évènements de ce genre font froid dans le dos.

    Steeve Briois, secrétaire général du Front National et conseiller régional du Nord Pas-de-Calais, tire la sonnette d’alarme : si une politique sécuritaire et carcérale réellement dissuasive n’est pas mise en œuvre très vite, ces actes barbares se produiront et se reproduiront de plus en plus souvent.

    Comment s’étonner qu’un individu imite Fayçal Mokhtari, l’assassin de la tuerie de Lille, quand on sait que ce dernier était un multirécidiviste quasi-impuni ? La faute à des juges trop laxistes et idéologues, qui par leur manque de fermeté encouragent ces individus à la récidive, quand ce n’est pas au passage à l’acte.

    Dans une France correctement gérée, ce ne sont pas les citoyens qui vivraient dans la peur, mais bien les criminels avérés ou potentiels : la tolérance zéro, voilà le seul mot d’ordre qui permettra d’endiguer la flambée de violence que connaît notre pays.
    Il n’y a qu’un établissement qui doit laisser entrer ces individus et les y garder le plus longtemps possible : c’est la prison !

    Les réformes de Taubira et des socialistes sont prévisibles, et elles seront destructrices : arguant du manque de places dans les prisons, on prendra soin de laisser des dangers publics en liberté. Nous privilégierons toujours le bon sens : s’il manque des prisons, il faut construire des prisons !

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  • http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20120708trib000707943/moscovici-ne-ferme-pas-la-porte-a-une-csg-competitivite.html

    Moscovici ne ferme pas la porte à une CSG compétitivité

     
     
    Copyright Reuters
     
    Louis Gallois et les économistes présents aux rencontres économiques d'AIx préconisent un choc d'offre, sous la forme d'un tranfert des cotisations sociales sur la CSG. Pierre Moscovici souligne que cela ne figure pas dans le projet Hollande... mais si un consensus peut se dégager en ce sens, à l'issue de la conférence sociale...

     

     

     A la veille de la conférence sociale, qui devrait aborder ce sujet de la compétitivité des entreprises, économistes et patrons ont imposé ce week-end le thème d'un nécessaire « choc d'offre » lors des 12èmes rencontres d'Aix, sous l'égide du Cercle des économistes. Nouvellement nommé commissaire général à l'investissement, -chargé, donc de gérer les 35 milliards d'euros du grand emprunt- Louis Gallois, en a fait le cœur de son intervention. Il faut baisser massivement les cotisations salariales payées par les entreprises, afin de réduire le coût du travail. « je crois qu'il faut faire un choc de compétitivité, qui doit toucher le secteur exposé », a-t-il expliqué. « Pour toucher le secteur exposé, il faut que ce choc soit assez massif et qu'il porte sur les cotisations sociales, concernant des salaires relativement élevés. Il s'agit de transférer 30 à 50 milliards pour avoir un effet significatif ». Et de souligner : « on a besoin je crois de créer un choc de confiance dans le pays. Il va falloir à un moment ou à un autre qu'on se rende compte qu'on ne peut pas se contenter de demi-mesures, il faut créer une onde de choc en faveur des entreprises. »

    Moscovici favorable si une solution consensuelle se dégage
    Transférer les cotisations sociales sur quoi ? La TVA étant exclue par François Hollande, reste la CSG. Le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici n'a pas totalement fermé la porte à une telle réforme, ce dimanche. « Ce n'est pas dans la projet », a -t-il d'abord dit devant la presse. Pour ensuite préciser : « la conférence sociale va aborder la question de la compétitivité. Nous étudierons les propositions en ce sens, les études des économistes qui y sont favorables, afin de voir si, à l'issue de nos travaux, une solution consensuelle peut se dégager ».
    De fait, la plupart des économistes approuvent cette orientation. Un expert proche de François Hollande, Philippe Aghion, défend ardemment auprès du chef de l'Etat l'idée d'un « choc d'offre ». Il suggère de transférer sur la CSG l'ensemble des cotisations patronales finançant la maladie et la famille, soit, à terme, 18,1 points de cotisation. Un transfert énorme, représentant près de 110 milliards d'euros -un point de cotisations sociales représente quelque 6 milliards- qui serait largement échelonné. Dans un premier temps, il s'agirait d'augmenter de seulement trois points la CSG, soit 33 milliards d'euros (ou 1,65 point de PIB), un chiffre se situant, donc, dans la fourchette citée par Louis Gallois. « Nous préconisons des réformes structurelles à moyen-long terme, mais à court terme, il est important de relâcher la pression compétitive vis-à-vis de l'Allemagne » souligne Gilbert Cette, co-auteur avec Philippe Aghion, Elie Cohen et Mathilde Lemoine, d'un rapport du Conseil d'analyse économique, qui faisait une proposition similaire dès juin 2011.

    Trois points de CSG supplémentaires contre 5,5 points de baisse des cotisations
    Comment éviter une perte de pouvoir d'achat des salariés ? La proposition de Philippe Aghion consiste à requalifier les contrats de travail, de sorte que les salariés touchent l'ensemble de leur salaire et des cotisations, qu'elles soient dites salariales ou patronales. L'objectif est de baisser le coût du travail, sans diminuer le salaire net.
    Comment parvenir à un tel... miracle ? Si l'on augmente la CSG de trois points (soit 33 milliards d'euros), il est possible de diminuer les cotisations salariales de 5,5 points, pour un rendement global équivalent. Le gain est évident, sur la feuille de paie. Reste à savoir comment le partager entre l'employeur et le salarié.
    Les miracles n'existant pas en matière de finances publiques, qui paie ? Si le salaire net est inchangé et les cotisations diminuent, au profit, principalement, des employeurs, qui verraient le coût global du travail diminuer, ce sont les revenus du capital (épargne, placements, revenus fonciers) et les retraites qui paieraient la différence.
    Ainsi, les prélèvements sociaux sur les revenus de l'épargne passeraient de 15,5% aujourd'hui à 18,5%. S'agissant des retraités, la hausse serait échelonnée, de façon à ce que les pensions soient gelées, mais ne diminuent pas (du moins en euros courants).
    Selon Gilbert Cette, il est possible de transférer sur la CSG les 18,1 points de cotisation famille et maladie en l'espace de quatre ans. Il en résulterait une baisse du coût du travail de 5%.

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  •        

    Dette publique

     
    Cent Euros




    100 € - Représente 2 jours de smic (environ 50 € par jour).




    Dix mille Euros




    10 000 €, soit une liasse de 100 billets de 100 €. Assez pour de belles vacances, ou une voiture d'occasion.
    C'est également un peu moins d'une année de smic.




    Un million d'Euros




    1 000 000 € - Cela représente la valeur de 5 maisons à 200 000 €.




    Cent million d'Euros




    100 000 000 € - ça laisse de quoi voir venir et ça tient sur une palette aux normes ISO de taille standard.




    Un milliard d'Euros




    1 000 000 000 € - Vous aurez besoin d'aide pour dévaliser cette banque.
    Maintenant on commence les choses sérieuses.




    Mille milliards d'Euros (soit 1 trillion d'Euros comme disent les américains)




    Gardez bien à l'esprit que le dessin ci-dessus représente 2 couches de palettes de 100 millions d'euros !
    Il vous faudra un nombre conséquent de camions pour déplacer une telle quantité d'argent.
    Si vous dépensiez 1 millions d'euros par jour depuis la naissance du Christ,
    vous auriez seulement dépensé 734 milliards en décembre fin 2011.




    1 000 000 000 000 € - Comparons cette somme à la taille d'un terrain de football et d'un boeing 747-400.




    Mille sept cent milliards d'Euros (soit 1,7 trillions d'Euros)




    1 700 000 000 000 € c'est la dette de la France,
    cela représente 4 palettes de billets empilées les unes sur les autres
     soit la hauteur d'une maison de 2 étages couvrant
     la surface d'un terrain de football.

    Pour être encore plus concret notez bien que pour rembourser cette dette
     chaque français (enfants, chomeurs, et retraités inclus)
     devrait verser 25 000 euros !
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  • http://www.paperblog.fr/5659044/chomage-nouveau-record-en-mai-pour-la-zone-euro/

    Chômage: nouveau record en mai pour la Zone Euro

    Le taux de chômage s’établit pour la première fois également, en mars. Les analystes interrogés par DowJones Newswires s’attendaient à ce qu’il reste à 11,0% en mai.

    chomage Portugal

     

    Il s’agit aussi du 13e mois consécutif au cours duquel le chômage a atteint ou dépassé le seuil de 10% dans la zone euro.

     Par rapport à mai 2011, le nombre de chômeurs s’est accru de 1,82 million de personnes dans l’Union monétaire.

     Dans l’ensemble de l’Union européenne, le taux de chômage a atteint 10,3% en mai, un niveau record là aussi, contre 10,2% en avril (chiffre révisé).

     L’Espagne, plus mauvais élève des 27 en matière de taux de chômage, voit encore son niveau augmenter en mai, à 24,6%. Le chômage touche plus d’un jeune sur deux dans ce pays (52,1% des moins de 25 ans).

     La Grèce, dont les données disponibles datent de mars, arrive juste derrière avec un taux de chômage de 21,9% (contre 15,7% un an plus tôt).

    A l’inverse, les taux de chômage les plus bas ont été enregistrés en Autriche (4,1%), aux Pays-Bas (5,1%), au Luxembourg (5,4%) et en Allemagne (5,6%).

    Le taux de chômage s’établit pour la première fois depuis la création de la zone euro au-dessus du seuil de 11%, qu’il avait atteint, pour la première fois depuis la création de la zone euro au-dessus du seuil de 11%, qu’il avait atteint, pour la première fois depuis la création de la zone euro au-dessus du seuil de 11%, qu’il avait atteint, pour la première fois également, en mars. Les analystes interrogés par DowJones Newswires s’attendaient.

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  • http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/20120707trib000707885/taxe-petroliere-facture-de-150-millions-pour-total-.html

    Taxe pétrolière : facture de 150 millions pour Total

    Copyright Reuters

    Le groupe ne précise pas si la nouvelle taxe sur les stockés pétroliers sera répercutée sur les prix à la pompe. Mais son PDG a déjà une idée précise de son coût : entre 140 et 160 millions d'euros.
     

    Christophe de Margerie n’a donné qu’une fourchette. Le PDG de Total estime que l’instauration de la taxe pétrolière devrait coûter entre 140 et 160 millions d’euros au groupe pétrolier. « Je vous donne une fourchette, parce que cela va dépendre de l’assiette », a-t-il expliqué, en marge des Rencontres Economiques qui se tiennent ces jours-ci à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).

    Un centime par litre, selon Bercy

    Le gouvernement a annoncé mercredi l’instauration d’une taxe sur le secteur pétrolier. Elle devrait rapporter 550 millions d’euros à l’Etat. Instauré sur les stocks prétroliers, elle sera prélevée cette année à titre exceptionnelle. Selon Bercy, si elle était répercutée, cette taxe augmenterait les prix des carburants à la pompe d’un centime par litre.

    Christophe de Margerie n’a pas précisé si cette taxe serait effectivement répercutée à la pompe dans les station-service (20% des ventes de carburants en France). Il a toutefois rappelé que cette nouvelle taxe "va affecter un secteur déjà affaibli", alors que les activités françaises de raffinage subissent des pertes.

    Total veut rester à 25% dans le projet Shtokman

    *Toujours en marge des Rencontres Economiques d’Aix-en-Provence, Christophe de Margerie s'est également déclaré confiant dans l'issue des négociations sur le projet gazier géant Shtokman dans l’Arctique russe. Total souhaite toujours rester à hauteur de 25%, a-t-il fait valoir.

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  • http://www.atlantico.fr/decryptage/accord-europeen-hollande-vote-pillage-france-banques-bruno-bertez-411213.html?page=0,0

    Accord européen : quand François Hollande vote pour le pillage de la France par les banques

    Un compromis a été trouvé au dernier sommet européen de Bruxelles. Les pays membres ont adopté le "pacte de croissance" voulu par François Hollande, tandis que la France acceptait enfin le « pacte budgétaire ». Le PS et le président de la République ont affiché un sentiment de victoire. Pourtant, en entérinant la recapitalisation des banques par le MES, les États ne font qu'alimenter un trou sans fond.

    Nous avons expliqué que la défaite de Merkel était une victoire pour les kleptos ou plutôt pour le couple klepto-états. Le couple klepto-États étant cimenté par le fameux “je te tiens, tu me tiens par la barbichette…”. Les kleptos financent les dépenses des États qui en échange les aident à tondre les citoyens, les épargnants, les nourrissons et tous ceux qui ne sont pas encore nés...

    Angela Merkel, nulle en diplomatie selon la tradition allemande, nulle en dialectique comme tout membre d’un gouvernement, s’est faite manœuvrer par Mario Monti / Goldman Sachs et, le dos au mur, elle a accepté de signer l’accord infâme qui vend la peau des citoyens aux banques. Pour sa défense, elle a argué que c’était purement tactique, pour sauver le vote du Bundestag sur le Mécanisme européen de stabilité et l’intégration fiscale.

    De reculades en reculades, elle a donc laissé s’ouvrir une brèche.

    La brèche a été reconnue par les marchés qui se sont envolés et surtout par l’organe klepto phare, le Financial Times qui a écrit : "It’ a very good aggreement" (excellent accord). Si le FT le dit, c’est que la cause est entendue.
    Il est évident que la France est responsable de cet accord infâme, dans la mesure où François Hollande a échangé son soutien au pacte fiscal contre le plat de lentilles d’un faux plan de soutien à la croissance de moins de 1% du PIB européen. Et qu'il a soutenu Mario Monti et Mariano Rajoy dans leur coup de chantage contre Angela Merkel.

    La France a passé un marché de dupes, car c’est elle - avec l’Allemagne - le plus gros contributeur du MES, lequel va être pillé par les banques privées : Hollande a voté pour le pillage… de la France. Lui qui n’aime pas les riches, il les engraisse ! Sans aucun espoir de voir un jour la France en bénéficier, car si la elle venait a être classée "pestiférée", elle serait trop grosse pour être sauvée et donc trop grosse pour le MES et l’Allemagne. La France a voté contre ses véritables intérêts à long terme, lesquels étaient - et restent - de tenir le cap pour ne pas augmenter trop ses engagements. Il faut se souvenir que le MES ne fait au maximum des maximums que 500 milliards et qu'une fois que les banques l’auront pillé, il ne restera plus grand chose.

    Comme le dit Munchau, la seule victoire d'Angela Merkel 
    est d’avoir refusé l’augmentation de la masse des "bail out funds" (fonds de sauvetage) européens. Ce qui confirme que la France ne pourra pas en profiter et que ses engagements ne serviront qu’aux autres et … à l’endetter encore plus. On rit des soi disant trous découverts dans le budget ces jours ci, de ces misérables petits milliards en regard du coup de crayon magique qui vient d’augmenter les risques du pays, dans la plus totale immoralité.

    Le Bundestag est un ramassis de politiciens lâches, ils auraient dû voter contre la ratification du MES et du pacte fiscal, mais la fameuse discipline antidémocratique qui fait voter pour le pouvoir en place et contre les peuples a joué : le Bundestag a ratifié un accord marqué par le chantage. Un accord contre les intérêts du peuple allemand .

    Nous sommes heureux de notre analyse, selon laquelle les kleptos avaient marqué une victoire et jubilaient. Garin Hewitt, european editor de BBC news, vient ce matin de rejoindre notre camp et soutenir notre analyse.

    Sous le titre : Coup d’État, gouvernement des banques, par les banques, pour les banques on peut lire :

    • Le "bail out fund" va prendre un intérêt dans les banques ;

    • Le risque total se trouve accru pour tout le monde en Europe ;

    • Les Trésors nationaux sont dégagés, mais c’est le public français et allemand qui se substitue ;

    • 500 milliards, ce sera insuffisant, ce sera avalé rapidement ;

    • Le trou des banques est sans fond et inconnu ;

    • Le bail out fund est un cadeau aux banques privées , un “welfare pour les riches” ;

    • Il n’ y a pas de plafond fixé aux sommes qui vont devoir être  engagées ;

    • Il y a irresponsabilité totale des dirigeants, pas de contrôle, aucune possibilité de recours contre l’organisation intergouvernementale non élue qui va distribuer l’argent .


    Quelques précisions à suivre et à valider

    La Finlande a fait savoir qu’elle voterait contre le "bail out" (renflouement) des banques par le MES, elle a ajouté être soutenue par les Pays Bas. L’Espagne a répondu qu’il existait une dérogation de vote qui permettrait de passer outre à l’unanimité et qu’avec 85% des votes les "bail out" seraient accordés.

    Reuters rapporte que le gouvernement finlandais a indiqué devant une commission parlementaire qu’il s’opposerait à ce que le MES, le fonds de secours permanent pour la zone euro, puisse acheter des obligations souveraines de pays de la zone euro sur le marché obligataire.

    C’est une mauvaise nouvelle pour l’Europe : en effet, pour que l’accord permettant l’achat d’obligations d’État par le MES soit ratifié, il nécessite une décision unanime de tous les membres.

    La Finlande n’est pas la seule à douter de cet accord, puisque les Pays Bas ont également fait connaître leurs réserves. Mais alors que les Finlandais rejettent globalement la possibilité de faire intervenir le MES, les Pays-Bas sollicitent que toute demande de rachat d’obligations par le MES soit préalablement évaluée sur une base individuelle. Le Premier ministre hollandais, Mark Rutte, a déclaré la semaine dernière qu’il n’était pas un « grand fan des achats d’obligations avec les instruments existants », parce que c’était une solution coûteuse.

    L’Espagne est “en train de négocier avec la Commission” européenne les conditions de l’aide pour ses banques, qui pourraient inclure dès le 9 juillet un premier montant chiffré pour les entités les plus fragiles, a indiqué mardi le ministre de l’Économie Luis de Guindos. L’Eurogroupe devrait alors confirmer le recours au FESF (fonds européen de stabilité financière), le fonds de secours encore doté de 200 milliards d’euros. La zone euro s’est en effet engagée le 9 juin à fournir une aide jusqu’à 100 milliards d’euros aux banques espagnoles.

    L’option choisie par l’Espagne sera “une injection au fur et mesure qu’apparaissent les besoins”, et non un versement d’argent en une seule fois. “Nous allons nous concentrer” sur les banques déjà sous intervention publique espagnole : “c’est une question de semaines pour déterminer” de combien elles ont besoin, aussi “il est possible que, quand on rédigera le protocole d’accord, il y figure une quantité déjà disponible pour elles”. L’idée est que, pour ces banques les plus fragiles (Bankia, CatalunyaCaixa, NovaGalicia et Banco de Valencia), “cela se fasse de manière très, très rapide, en quelques semaines”, a insisté le ministre.

    M. de Guindos a rappelé son souhait d’obtenir un prêt avec “une durée très longue, une période de carence et des taux d’intérêt très bas”. “Le taux d’intérêt ne fera pas partie du mémorandum” qui sera approuvé le 9 juillet car “il fait partie des statuts du FESF et du MES”, les fonds de secours européen, a-t-il précisé. “Ce n’est pas une partie fondamentale de la discussion”, a-t-il assuré. Le prêt inclura “des conditions horizontales pour le secteur financier” espagnol dans son ensemble et des conditions pour chaque entité recevant de l’argent européen, comme “la cession d’actifs” ou “la réduction de capacité”, par exemple en fermant des agences bancaires.

    Et alors que les Pays-Bas et la Finlande se sont opposés à ce que le MES achète des obligations sur le marché secondaire (marché de l'achat et de la vente d'actifs financiers déjà existants), des mesures censées aider les pays fragiles comme l’Espagne et le Portugal, M. de Guindos s’est voulu confiant : “il y a un point fondamental dans le MES, qui est que les décisions ne se prennent pas à l’unanimité mais à la majorité absolue”, donc ces décisions “ne pourraient pas être bloquées” par une minorité de pays.

    Le résultat majeur du sommet est que, si tout suit son cours, le MES pourra aider les banques directement à se recapitaliser : on nous dit qu’ainsi sera coupé le lien entre la faiblesse des banques et la faiblesse des Souverains: On argue les banques faibles affaiblissent les souverains donc il faut couper le lien. 

    Il est évident que cela est faux, voire mensonger : si les banques sont recapitalisées avec l’argent de le MES, elles vont pouvoir employer ce capital et le "leverager" (niveler), mettons avec un multiple de 9, ce qui est encore raisonnable par les temps qui courent. 

    À notre connaissance, rien ne va les empêcher de refaire ce qu’elles ont fait avec l’argent du LTRO (prêt pour un refinancement à long terme à bas taux), c’est à dire qu’elles vont souscrire aux emprunts de leurs souverains, comme le font depuis le début les banques espagnoles et italiennes. 

    À moins  que les banques concernées aient interdiction de réaccumuler des obligations de leurs souverains, nous ne voyons pas en quoi le lien entre banques et souverains sera rompu. 

    Au contraire, la mécanique du refinancement indirect des souverains par la BCE va pouvoir s’enclencher de plus belle : telle banque espagnole va recevoir 10 milliards, la reconstitution de ses ratios va lui permettre de souscrire aux obligations émises par son souverain, de les porter en collatéral à la BCE pour obtenir des refinancements et ainsi faire tourner le tourniquet fatal. Car si le souverain faiblit à nouveau, ce qui est probable, sinon certain, le bilan réel de la banque va se détériorer, les marchés vont à nouveau se méfier, etc. Le tourniquet qui joue positivement dans le sens vertueux, peut évidemment s’inverser dans le sens vicieux avec une catastrophe beaucoup plus importante.

    À notre connaissance rien n’a été annoncé dans les communiqués ou dans les commentaires qui empêche le tourniquet infernal entre les banques et leur govies (emprunts d'État). L’argument de couper le lien entre les banques et les souverains est fallacieux. En cas de hausse des engagements de banques sur leur souverain, avec un multiple des nouveaux fonds propres, le risque est non pas réduit mais magnifié.

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  • deux familles agressées par une vingtaine de jeunes(Racailles)

     
    Deux familles de Neuilly-sur-Marne ont été victimes d'une expédition punitive samedi soir.

    Réunies autour d'un barbecue pour fêter l'anniversaire d'un enfant de la famille, deux couples ont vécu une soirée cauchemardesque samedi soir, dans un quartier tranquille de Neuilly-sur-Marne, en Seine-Saint-Denis.
    Peur du Taser

    Tout commence vers 21 heures. Deux enfants des couples, des ados, sortent faire un tour dans le quartier avec leurs copines. Au coin de la rue, ils se font encercler par une dizaine d'ados, de 10 à 14 ans qui insultent leur copine avant que l'un d'entre eux ne sorte un Taser. "Mon neveu a pris peur et lui a fait un balayage pour le faire tomber", raconte au Parisien Corinne, qui recevait chez elle.

    Les cris alertent les parents, réunis dans le jardin familial non loin. Ils les rejoignent vite. "Quand ils nous ont vus, ils sont partis. On a réussi à en attraper un". Son mari "l'a sermonné puis on lui a dit de partir", poursuit-elle.
    Frappés à la batte de baseball

    Les deux familles rentrent alors chez elles poursuivre la soirée. Mais dix minutes plus tard, elles voient débarquer plusieurs jeunes d'une vingtaine d'années, armés de battes de baseball. "Ils hurlaient : 'on va vous tuer'". Les deux hommes tentent tant bien que mal de les contenir, tandis que les enfants, paniqués, rentrent dans la maison. "Ils se jetaient à quatre ou cinq sur l'un d'entre eux et ils le traînaient plus loin, au coin de la rue, où un autre le frappait à coups de batte", témoigne la femme, encore choquée. "Ils venaient pour nous lyncher.

    Ce n'est que lorsque les pompiers et les policiers arrivent, une dizaine de minutes plus tard, que les jeunes fuient. Aucun n'a été interpellé, précise le quotidien. Le père de famille attaqué est toujours hospitalisé mercredi, même si son état s'améliore. Six autres personnes ont également été légèrement blessées dans cet incident qui a pris des proportions dramatiques.

    Europe 1
     
    Etonnamment la presse dans sa grande mansuétude ainsi que les associations antiracistes n'en ont pas fait état, silence quasi total dans les journaux écris comme télévisuels, heureusemment que internet existe pour informer.
      
    Si ces deux familles avaient été juives ou islamiques n'auraient elles pas eu un autre traitemment de faveur vennant de la part des médias et du gouvernemment?
    C'est vrai que ce n'est que deux familles, française et de confession chrétienne alors pourquoi s'en inquièter?
      
    Un jeune de 17 ans, juif de confession, s'est fait agresser dans un train, ce qui est intolèrable, condamnation immédiate de la classe politique la une des journaux, tout le monde s'offusquent, les deux agresseurs sont déjà interpellés!
      
    Deux familles française agressées par des racailles du quartier voisin, je vous laisse imaginer leur origine, rien dans les médias , rien au niveau politique, et aucune arrestation en une semaine, faut il être juif ou musulmam pour avoir le même traitement de faveur avec la police et la justice de notre pays?
      
    En tout état de cause tout le monde sera apprècier le courage légendaire de ces racailles (à 20 avec des battes de baseball contre 2 hommes 2femmes et 4 enfants) que je nomme aisèmment des Lacostes, non pas parce qu'ils s'habillent avec ce genre de vêtemments mais parce qu'ils sont comme les crocodiles de la marque, de grandes gueules avec des petites pattes!
      
    Patriote64
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  • http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/07/06/97001-20120706FILWWW00444-lille-le-tireur-arrete-en-espagne.php

    Fusillade de Lille : les suspects arrêtés

    L'auteur présumé de la fusillade devant une discothèque de Lille le week-end dernier a été retrouvé en Espagne et interpellé en compagnie de son complice, annonce le procureur de Lille, Frédéric Fèvre, confirmant une information d'Europe 1.

    Recherchés par la PJ de Lille, les deux hommes étaient en fuite depuis dimanche soir. Ils ont été arrêtés près de la frontière française, à Figueras. Dimanche, une information judiciaire avait été ouverte pour assassinat.

    Le tireur, Faycal Mokhtari, 32 ans, est originaire de la banlieue lilloise. Il est connu des services de police pour des faits de violence. Condamné à Meaux en 2008 à deux ans de prison ferme pour vol aggravé et association de malfaiteurs, il n’a jamais exécuté cette peine. Son complice présumé est également connu des services de police pour des faits "moins graves".

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