• http://www.contrepoints.org/2012/08/31/95728-ogm-sale-temps-pour-les-marchands-de-peur

    OGM : sale temps pour les marchands de peur

    Publié le 31/08/2012

    Les organismes génétiquement modifiées (OGM) ne sont nuisibles ni pour la santé humaine, ni pour l'environnement, selon les conclusions d'un programme de recherche suisse, dont les résultats ont été publiés mardi.

    Par Stéphane Montabert, depuis Renens, Suisse.
     
    "Les OGM ne sont nuisibles ni pour l'humain ni pour l'environnement, selon une étude" annonce fièrement la RTS, faisant état de la conclusion du Programme national de recherche "Utilité et risques de la dissémination de plantes génétiquement modifiées" (PNR 59) dont les résultats ont été publiés mardi.

    En guise de titre, c'est un vil mensonge, puisqu'il ne s'agit pas d'une étude mais de trente dans le cadre d'un programme étalé sur quatre ans. Pour ceux qui gardent encore un soupçon d'ouverture d'esprit sur la question des OGM, les conclusions sont de la plus grande banalité :

    Les nombreux projets de recherche menés sur la biosécurité dans le cadre du PNR 59 ne permettent pas de conclure à la dangerosité des cultures de plantes utilitaires génétiquement modifiées. Leurs résultats corroborent en ce sens ceux d'autres enquêtes importantes effectuées en Suisse et à l'étranger.

    La coexistence entre agriculture conventionnelle et agriculture biotechnologique est possible - moyennant un modeste surcroît de dépenses. En échange, les cultures d'OGM peuvent assurer des bénéfices économiques supplémentaires. Un régime légal de coexistence entre cultures conventionnelles et OGM peut être mis en place à l'aide d'un petit nombre d'adaptations à la loi sur le génie génétique.

    Eh voilà. Les OGM ne sont pas du poison et n'ont même pas à être cantonnés dans des laboratoires. Comment s'en étonner alors que l'importance des cultures d'organismes génétiquement modifiés ne cesse de croître dans le monde ? En 2011, 32% du maïs était OGM ainsi que 83% du coton et 75% du soja.

    Oui, les trois-quarts du soja produit sur Terre sont génétiquement modifiés. Aujourd'hui.

    De l'Européen au Burkinabé, les adversaires des OGM persistent, envers et contre tout. Voilà pourquoi le programme national de recherche de la Confédération est aussi important : il est le fait d'une entité respectée par tous dans le débat. Pas possible pour les anti-OGM de défausser, comme à leur habitude, des conclusions n'allant pas dans leur sens au prétexte que l'étude serait biaisée à cause de son commanditaire.

    Évidemment, une nouvelle annonçant (une fois encore) l'innocuité des OGM implique d'offrir un billet gratuit à un invité pour venir expliquer sur les plateaux télévisés tout le mal qu'il en pense. La RTS n'a pas dérogé à la règle et nous a donc gratifié de la présence du directeur de l'Union Suisse des Paysans, Jacques Bourgeois, fermement opposé à cette nouvelle technologie mais avec suffisamment de diplomatie pour habiller son opinion d'un pragmatisme de bon aloi :

    "Cette étude ne tient pas compte du principal argument, c'est les consommateurs... Les consommateurs ne veulent pas d'OGM dans leur assiette et quelle entreprise serait prête à mettre sur le marché un produit qu'elle sait pertinemment d'avance, qu'il n'y a pas de demande par rapport à ce produit-là."

    Bel argument circulaire : les consommateurs ne risquent pas d'acheter des OGM si on ne leur en propose jamais. Mais en réalité, cette simplification n'est pas tout à fait exacte. La question a aussi été abordée par le programme PNR 59. Les conclusions montrent que le rejet est loin d'être aussi net que ne l'espèreraient les anti-OGM :

    Des ventes tests effectuées dans notre pays confirment le fait qu'un consommateur sur cinq achèterait des produits génétiquement modifiés si on lui en offrait la possibilité. En outre, pas moins de 71% de l'ensemble des consommateurs plaident pour la liberté de choix entre végétaux génétiquement modifiés et végétaux de culture traditionnelle.

    Clouons le dernier clou du cercueil :

    Le nombre de personnes qui achèteraient des produits OGM dépasse même actuellement celui des consommateurs de produits bio.

    Que les consommateurs acceptent l'idée d'acheter des OGM, les paysans suisses n'en produiraient pas de toutes façons, n'est-ce pas ? Là encore, ce n'est pas tout à fait vrai : "comme le révèle l'étude PNR 59, plus de 35% des agriculteurs du canton de Zurich interrogés répondent positivement à la question de savoir s'ils accepteraient de cultiver des plantes génétiquement modifiées."

    Dont acte. La recherche - la vraie, celle de gens en quête de vérité et sans présupposés idéologiques - n'a rien contre les OGM, et ce n'est pas faute d'avoir cherché. Le monde entier fonctionne aux OGM, sauf l'Europe et la Suisse, enfermées dans des peurs soigneusement entretenues, mais parfaitement illusoires.

    La Suisse a décrété un moratoire contre les OGM en 2005. Alors que celui-ci a été prolongé à 2013, elle a lancé en parallèle le programme PNR 59 précisément pour répondre scientifiquement aux questions sur leur dangerosité et leur impact sur la nature. Depuis mardi, les conclusions sont là. Le dossier à charge contre les OGM est vidé de sa substance.

    Il n'y a plus aucune raison objective de prolonger le moratoire.

    Qui pense vraiment que les adversaires des OGM se rendront à ces nouveaux arguments ? Pas besoin d'être grand clerc pour deviner que leur combat n'est pas prêt de s'arrêter. Mais alors, qu'il soit désormais clair aux yeux de tous qu'ils n'agissent ni au nom de la science, ni même au nom du principe de précaution.

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  • Petit retour en arrière pour rappeler aux Umpéistes pour qui ils vont voter pour la présidence de leur parti!

    Patriote64

     http://www.islamisation.fr/archive/2011/10/13/cope-et-fillon-convergent-pour-augmenter-l-immigration-adger.html

    Copé et Fillon convergent pour augmenter l'immigration algérienne

    210112_101851_PEEL_My8SAZ.jpg

    Rappel avant de voter :

    Lu dans El Watan du 8 décembre 2011 :

    "Le taux de refus de visas pour la France a baissé de 6% cette année. Seulement 21,77% des demandes de visa formulées par les Algériens ont reçu des réponses négatives depuis le début de l’année, contre 27,84% en 2010, à la même période.

    «Une avancée due à la simplification des procédures pour faciliter la circulation des Algériens entre l’Algérie et la France», dont s’est félicité, hier, le consul général de France à Alger, Michel Dejaegher, en présence de l’ambassadeur de France, Xavier Driencourt, lors d’une conférence de presse tenue à la résidence du consul à Alger. A l’ordre du jour, le bilan des dix premiers mois d’activité du consulat général de France à Alger qui a traité 140 751 dossiers de demandes de visa. Ainsi, 80 746 visas ont été délivrés depuis le 1er janvier 2011, dont 73 000 visas court séjour, contre 72 956 visas à la même période de l’an dernier
    .suite

    Répondant à un journaliste de Tout sur l'Algérie, le secrétaire général de l'UMP Jean-François Copé explique :

    "La France délivre près de 140 000 visas par an, pour environ 200.000 demandes. Le taux de refus diminue, nous délivrons de plus en plus de visas de circulation et nous avons fait un effort important pour améliorer les conditions d'accueil, notamment par le recours au prestataire Visa France. L'Algérie bénéficie en outre d'un régime favorable pour les visas de longue durée et pour le séjour, conformément aux accords de 1968 que nous sommes prêts à améliorer encore, pourvu que nos préoccupations soient prises en compte, conformément au principe de réciprocité. D’un point de vue personnel, je pense que la renégociation de l’accord de 1968 doit être l’occasion d’améliorer la mobilité des chefs d’entreprise, des chercheurs, des artistes."J-F Copé dans TSA

    François Fillon lors de son voyage officiel en Algérie de juin 2008  promit 170 000 visas par an aux Algériens. :

    "ALGER (AFP) 21/6/2008 :

     — Le chef du gouvernement algérien, Abdelaziz Belkhadem [islamiste notoire], a interpellé samedi à Alger son homologue français François Fillon, en visite à Alger, sur "la nécessité d'une plus grande fluidité dans la circulation des personnes entre les deux pays".(...)   La France, régulièrement critiquée par l'Algérie au sujet de la circulation des personnes, fait valoir la progression du nombre de visas, désormais octroyés au rythme d'environ 170.000 par an, contre 57.000 en 1997 [sous Lionel Jospin!]

    Les Algériens ayant voté à majorité pour le Front Islamique du Salut en 1991, et le co-fondateur du FIS Ali Belhadj ayant rendu hommage à Mohamed Merah, la plus élémentaire des précautions serait de ne pas distribuer autant de visas touristiques (viennent-ils visiter les châteaux de la Loire?), première porte d'entrée de l'immigration clandestine (on entre légalement, on reste illégalement une fois le visa expiré). La France organise légalement sa propre submersion démographique.

     
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  • http://www.les4verites.com/TVA-ou-CSG-Le-choix-est-vite-fait-4752.html

    TVA ou CSG : Le choix est vite fait !

    Trémeau Bernard - mercredi 29 août 2012

    tva, csg
    Notre gouvernement vient d’annoncer qu’il n’augmenterait pas la TVA, mais qu’il augmenterait probablement la CSG. Un tel choix rendra automatiquement nos entreprises moins compétitives. Le chômage risque donc d’augmenter en France.

    La Taxe sur la Valeur Ajoutée (la TVA) est un prélèvement fiscal que doivent payer toutes les entreprises à l’État. Les entreprises intègrent donc dans leurs dépenses le coût de la TVA. La TVA n’est qu’une des dépenses obligatoires que doit faire une entreprise.

    Si une augmentation de la TVA n’est pas couplée à une diminution des autres charges pesant sur les entreprises, une augmentation de la TVA fait automatiquement grimper les prix. Plus l’augmentation isolée de la TVA est importante, plus les prix montent. Plus le pouvoir d’achat des consommateurs diminue.

    Si, par contre, l’augmentation de la TVA est couplée à une réduction équivalente des autres charges pesant sur les entreprises, les entreprises vont automatiquement abaisser leurs prix pour redevenir compétitives.
    Car avec la mondialisation de l’économie, une énorme concurrence pèse sur toutes les entreprises françaises. Plus l’augmentation de la TVA couplée à une diminution équivalente des autres charges sera importante, plus les prix diminueront. Plus le pouvoir d’achat des consommateurs augmentera.


    La Contribution Sociale Généra­lisée (la CSG)
    est un prélèvement fiscal obligatoire décidé par Michel Rocard le 19 novembre 1990 et pesant sur tous ceux qui touchent des revenus : salariés, retraités, propriétaires louant leur maison, propriétaires d’un livret A…


    Ce prélèvement obligatoire est destiné, non pas à renflouer les caisses de l’État terriblement vides, mais uniquement les caisses de la Sécurité sociale. Il donne donc à la Sécurité sociale de l’argent lui permettant d’augmenter les prestations qu’elle verse.

    Une augmentation de la CSG diminuera automatiquement les revenus des retraités ou des chômeurs. Et ils ne pourront pas se mettre en grève pour s’opposer à ce nouvel impôt réduisant leur pouvoir d’achat.

    Par contre, une augmentation de la CSG pesant sur les salariés déclenchera automatiquement une action des syndicats
    . Ils obtiendront pratiquement toujours, par la grève au besoin, une augmentation équivalente de leurs salaires. Cette augmentation des salaires fera augmenter les prix en France. Cette augmentation des prix diminuera d’autant le pouvoir d’achat de tous les consommateurs.


    L’économie va donc stagner encore un peu plus. Les entreprises françaises seront encore moins compétitives : elles déposeront leur bilan ou délocaliseront.

    À propos de la TVA, il est enfin nécessaire de rappeler deux points précis.
    La TVA est adoptée par les pays européens, alors que la CSG ne l’est pas. La CSG donne même lieu à des contentieux avec Bruxelles.
    Surtout, la TVA impose tous les produits achetés en France : ceux qui y sont fabriqués et aussi tous ceux que nous importons. Et, quand une entreprise installée en France exporte un produit, elle l’exporte « Hors TVA », donc moins cher. La TVA remplace ainsi, d’une certaine façon, les droits de douane. Ce qui n’est pas le cas de la CSG.

    Si l’on veut vraiment rendre nos entreprises compétitives, il ne faut surtout pas augmenter la CSG. Les prix français ne pourront qu’augmenter du fait de la pression des syndicats.

    Il faut, par contre, augmenter la TVA, en couplant cette augmentation à une diminution équivalente des autres charges pesant sur les entreprises.
    Les prix français vont alors baisser. Le pouvoir d’achat des Français ne va pas diminuer. Et les entreprises françaises vont redevenir compétitives.
    Une relance de l’économie française devient ainsi tout à fait possible.

    Et seule cette relance sera capable de donner au gouvernement l’argent dont il a besoin pour financer un peu mieux l’assurance-maladie.

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  • http://www.wikistrike.com/article-affaire-pedophilie-jack-lang-le-procureur-de-la-republique-de-libourne-gironde-ordonne-une-infor-104435031.html

    Une bombe à retardement

    Sujet : Affaire à suivre. Si cela se vérifie, c'est une BOMBE pour le PS !


    C'était connu,seulement chuchoté, et pas encore sur internet, et..il n'y a pas que cette malheureuse histoire hélas !
     Personne n'en parle mais si c'est confirmé ça va faire mal !!!

     


    Plainte contre Jack Lang pour viol en réunion sur une fillette de 4 ans plainte contre François Hollande et Pierre Moscovici pour non dénonciation de crime. Dépôt de plainte pour pédophilie contre Jack LANG.Taper : Emmanuel Verdin sur Google« Une enquête préliminaire a été ouverte par le Procureur de la République des Sables d'Olonne (Vendée)contre Jack LANG (ex-ministre de la République Française) pour viol en réunion sur LAUREEN,une fillettede 4 ans, aujourd'hui décédée des suites de ces abus. Suite à ses plaintes, M. Emmanuel VERDIN, père de la victime, a été auditionné le 3 janvier 2012 à la Gendarmerie de Bourg-sur-Gironde pendant 4h( audition 1252/2011 ).

    Il a ainsi impliqué François HOLLANDE et Pierre MOSCOVICI pour non dénonciation de crimes et a porté plainte contre tous les protagonistes de l'affaire. Une information judiciaire a ainsi été ordonnée par le Procureur de la République de Libourne (Gironde) concernant les services de police et de justice soupçonnés de faux témoignages et de dissimulation de preuves dans le but d'étouffer l'affaire.Enfin, le Procureur Général de la Cour d'Appel de Poitiers ainsi que la Chancellerie sont saisi de l'affaire»Communiqué d'Emmanuel VERDIN, père de Laureen afin que cette affaire grave ne soit pas étouffée parla justice et les médias, vous pouvez retrouver tous les  témoignages et les documents nécessaires sur Internet.

     


    Rappelez-vous, il y a quelques mois, une année peut-être, le fameux ministre que l'on accusait avoir participé au Maroc à des parties fines avec des petits garçons. A l'époque beaucoup  de noms avaient circulé. Et bien
    il s'agissait de  Jacques Lang ! La aussi, l'affaire a été étouffée. Curieusement, d'ailleurs, on ne le voyait plus
    du tout dans les médias. Il avait du recevoir la consigne de se faire oublier.
    Comment y dit Porcinet, EXEMPLAIRE !!!!  Ça commence bien !

    http://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/05/24/la-plainte-pour-viol-en-reunion-contre-lang-hollande-est-recevable/

     

    “La plainte pour viol en réunion contre Lang, Hollande est recevable”

     

     

    Viol en réunion : La plainte contre Lang et Hollande est recevable” [enreg. num. 12/244, TGI Paris] Source : “M. Verdin, le père de Laureen, une enfant décédée d’une MST contractée lors des viols en réunion dont elle a été victime, a déposé une plainte contre Lang, Hollande (…). Celle-ci vient d’être jugée recevable, donc un juge d’instruction devrait (…) instruire. M. Verdin l’a annoncé hier sur la page de son groupe Facebook, la plainte qu’il a déposée (…) est donc retenue par la Justice, ce qui ne manque pas d’étonner. (…)" (Dondevamos)

    Pour rappel, DDH 48, Article 11 : "Toute personne accusée d’un acte délictueux est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d’un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées (…)"

    + voir également : dispositions – Bulletin Officiel Ministère de la Justice n°82 – sur "la présomption d’Innocence et les droits des victimes"relatif à la procédure de dépôt de plainte

     

    Pour rappel, DDH 48, Article 11 : "Toute personne accusée d’un acte délictueux est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d’un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées (…)"

    + voir également : dispositions – Bulletin Officiel Ministère de la Justice n°82 – sur "la présomption d’Innocence et les droits des victimes"relatif à la procédure de dépôt de plainte / 2.1.1.al.3 Délivrance d’un récépissé de plainte : "Ces déclarations, destinées à permettre l’identification des auteurs des faits, pourront être recueillies ultérieurement par le service qui sera chargé de l’enquête." / 2.1.2.al.1 Délivrance d’un récépissé de plainte : "Il convient, ainsi que cela est généralement d’ores et déjà pratiqué, qu’à la demande de la victime lui soit remis un récépissé de dépôt de plainte.")

     

     

     

    Pedocriminalite"(…) Pour résumer l’affaire, Verdin n’a jamais connu sa fille. Elle est née après que sa compagne et mère de l’enfant l’ait quitté, fin 1996. Laureen naît le 31 janvier 1997. Cette année-là, L’ex de Verdin se retrouve dans un foyer pour femmes enceintes: le foyer d’Ariane à La Roche sur Yon. Un foyer qui a défrayé la chronique il y a quelques années.

     

    Etrangement, selon le quotidien Le Parisien du 12/05/2005, le directeur de ce foyer était poursuivi pour viols et agressions sexuelles sur des pensionnaires et des salariées. (…). Le directeur en question, (…) a été condamné à 13 ans de prison pour “deux viols, quatre agressions sexuelles et deux harcèlements”, et à 15 ans en appel. (…)

     

    Verdin finit par apprendre que si Laureen a bien été placée, c’était pour des soupçons de pédophilie. Il apprend encore par un témoin, voisin et autre ex de la mère de Laureen, (…) que des partouzes ont bien eu lieu, dont Laureen a été victime.

     

    Verdin lance alors, (…) une procédure pour les viols en réunion, procédure qui s’est perdue, lui explique-t-on en juillet 2011.(…)” (Dondevamos)

     

     

      

     

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  • http://www.contrepoints.org/2012/08/30/95641-le-credit-immobilier-de-france-au-bord-du-gouffre-vers-une-nationalisation

    Le Crédit Immobilier de France au bord du gouffre : vers une nationalisation ?

    Publié le 30/08/2012

    Le Crédit Immobilier de France est incapable de payer sa dette d’octobre. Il est virtuellement mort. Que va faire le gouvernement ? 

    Par Thibault Doidy de Kerguelen.

    Les 10 et 21 mai dernier, nous vous annoncions que le Crédit Immobilier de France n’était plus viable et qu’il ne pourrait pas se sauver sans l’aide extérieure d’une structure solide.

    Aujourd’hui, une dépêche AFP annonce que Moody’s aurait abaissé la note de CIF de trois crans. Il s’agit en fait d’une confirmation. Cette confirmation, comme nous l’écrivions déjà en mai dernier, vient sanctionner la situation de la Banque sur les marchés. Nous sommes au pied du mur. La banque n’a plus accès depuis plusieurs mois aux marchés pour se refinancer et doit régler une dette de 1,75Md€ début octobre. Elle n’a pas le premier fifrelin pour payer. Défaut ? Que va faire le gouvernement ? Nationaliser ? [1]

    Le scénario d’une nationalisation du CIF n’a jamais été formellement démenti par les autorités françaises. Un sauvetage serait en tout état de cause un sérieux coup dur pour le système bancaire français et un test grandeur nature pour le nouveau gouvernement. En effet, le président Hollande a promis pendant sa campagne électorale de rendre le système bancaire plus sûr pour éviter aux contribuables de devoir payer la facture en cas de sauvetage d’une banque. Voici la première occasion de montrer à quoi il pensait. C’est d’autant plus intéressant qu’il n’est pas impossible que ce genre de situation ne se représente pour d’autres établissements. Et la manière dont l’affaire CIF (finalement un petit enjeu au regard de ce qui risque de tomber dans le courant de l’année prochaine) déterminera, tant aux yeux des banques qu’aux yeux des usagers des banques et aux yeux des contribuables la manière dont réagira l’État. Une nationalisation, et c’est le feu vert à tous les excès, les banques se croyant garanties par la fameuse loi « à moi les profits, à l’État les pertes ». Un plantage et c’est le spectre de la crise systémique. Pas tout de suite, les CDS sur la dette de CIF ne doivent représenter grand chose, mais si le signal gouvernemental serait « laisser faire » (politique hautement libérale dans son esprit) et les professionnels sachant ce que valent [2] les banques françaises, le cours des CDS vont s’envoler, et la crise va s’amorcer plus vite que prévu avec des conséquences sur tout le système bancaire européen.

    Une attitude qui ressemblerait bien à notre Président serait de faire sans faire tout en disant qu’il ne fait pas mais qu’il a néanmoins résolu le problème. À quoi cela pourrait il ressembler ? À un ordre donné à une banque dépendant de l’État de reprendre CIF. Ah oui, cela permettrait de dire que l’État, à proprement parlé, n’a pas sorti un cent mais qu’il est intervenu pour sauver un établissement jouant un rôle prépondérant dans le logement social. Le problème, c’est que visiblement, il va falloir le donner, cet ordre. Parce que depuis le temps que la piste Banque Postale est évoquée, on ne peut pas dire que cette dernière se soit précipitée de joie à l’idée de jouer les bons Samaritains. BPCE a jeté l’éponge dès le départ de l’affaire (trop occupée avec Natixis ?), Crédit Agricole a deux ou trois autres problèmes à régler et cherche plus à se débarrasser de ses canards boiteux qu’à en récupérer… « On » dit dans les milieux qui se disent (ou se croient) bien informés que HSBC, qui avait été mandatée pour trouver un repreneur, a jeté l’éponge, estimant qu’il n’y a plus d’autre solution raisonnable que la nationalisation.

    Alors, Banque Postale ou nationalisation ? la Banque Postale est déjà obligée d’avaler la couleuvre Dexia, au moins pour sa partie financement des collectivités locales. Le dossier est bouclé, il ne manque plus que l’aval de Bruxelles. Reprendre dans la foulée le Crédit Immobilier de France est « limite raisonnable ». Bien sûr, une équipe étudie la chose, mais sans grande conviction. On dit, pudiquement, que le dossier « Dexia » mobilise déjà les énergies. Politiquement, il est à peu près certain que le gouvernement va donner l’ordre à Banque Postale de reprendre CIF. Avec le risque de fragiliser le repreneur. Nous risquons donc de voir se jouer une partie de poker menteur dans laquelle le but de la direction de la banque sera probablement de noircir un maximum le tableau (plus qu’il n’est, cela risque de devenir un « trou » noir, et non plus un tableau) afin de négocier des compensations…. Les semaines qui viennent seront intéressantes !

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  • http://www.lecri.fr/2012/08/28/hollande-fabrique-des-pauvres/35407

    Hollande fabrique des pauvres

    François Hollande par Innocent

    Parvenu à cent jours de pouvoir et rentrant de vacances, le nouveau Président se trouve, selon la presse, devant des dossiers brûlants. En fait, ce ne sont que les calamités qu’il a créées ou amplifiées et les solutions en préparation ne feront que les aggraver.

    La « République Fromagère » (R.F. pour les intimes), repose sur des principes fondateurs. L’un d’entre eux est le principe des calamités dont voici l’énoncé : « Quand les Hommes de l’État ont créé par leurs agissements une calamité trop visible, ils en créent une deuxième pour la corriger, sans évidemment jamais y parvenir ».

    Retenons seulement, parmi d’autres, trois dossiers signalés par la presse avec avidité : la panne de croissance, le chômage et le pouvoir d’achat. Ils sont, certes, imbriqués l’un dans l’autre mais les distinguer facilite l’analyse.

    La croissance

    Le pouvoir, à juste titre, verse des larmes sur la croissance perdue.

    Elle est si basse que personne ne la voit plus sous le tapis ! Tout en pleurant, il fait le nécessaire pour la tuer. C’est, notamment par le tsunami fiscal dont les nouvelles sont chaque jour imprécises et changeantes. C’est comme si le nouveau pouvoir voulait « se tirer une balle dans le pied ».

    La chasse contre les riches, contre les entreprises et, contre les pauvres aussi est ouverte perpétuellement. Aux 7 milliards officiellement annoncés, s’en ajoutent d’autres.

    La destruction de l’économie est aggravée par deux faits. Le supplice fiscal dure depuis des mois, il a commencé dès la précampagne de l’élection présidentielle. La bougeotte fiscale est permanente, personne ne sait comment il sera taxé, les médias annonçant sans cesse de nouvelles mesures. L’idée folle de taxer les entreprises qui auraient l’audace de verser des dividendes a été lancée ! La bougeotte dans les idées annonce les fabuleuses usines à gaz administratives.

    Dans cette ambiance, il est clair que les entreprises, seules vraies créatrices de richesse, mettent en veilleuse leurs projets attendant que l’orage passe : pourquoi investir si personne ne sait si l’on tirera parti des efforts consentis ? Il en est de même des particuliers dont les choix ont beaucoup d’importance pour la croissance.

    Le pouvoir, conscient du problème, imagine alors des encouragements divers ; or ils ne font qu’aggraver les choses : par exemple, les investissements sont baptisés mensongèrement « d’avenir » dans le cadre du mythique grand emprunt !

    Le chômage

    Le prophète Jérémie pleurait sur le malheur des temps mais ne le créait pas lui-même. Les lamentos publics sur le chômage ne cessent pas et ne sont pas près de cesser à mesure que les mauvaises nouvelles déferlent. Comme pour la croissance, ces lamentations sont d’autant plus fortes qu’elles proviennent de ceux-là mêmes qui créent le drame, tout en veillant avec soin à y échapper personnellement.

    Les chiffres varient chaque jour et le total doit être de 3 millions de chômeurs ; toutes les catégories de la population sont touchées mais surtout les jeunes et les seniors. Le phénomène est ancien ; les pouvoirs socialisants que nous subissons depuis longtemps ont lancé des plans successifs sans aucun succès.

    François Hollande agit de même.

    En réalité, trois causes principales émergent : la fiscalité en folie que l’on retrouve ici, le code du travail et l’immigration sauvage. Pour un patron de PME, chaque décision d’embauche répond à un challenge : produit nouveau, marché à l’extérieur, concurrent agressif, acquisition d’une licence, opportunité à saisir…. Le risque est toujours important. Il est très grand pour l’entreprise personnelle ou familiale, car le patrimoine du patron est souvent dans la balance.

    Les solutions existent avec, comme pour la croissance un armistice fiscal ; il faudrait enlever de l’inextricable code du travail les mesures dirigées directement contre l’emploi et réguler l’immigration.

    Au lieu de cela, le pouvoir a donné un coup de pouce au SMIC, ce qui envoie à coup sûr des travailleurs au chômage et simultanément il se lance dans la comédie bureaucratique des emplois d’avenir.

    Et le bien commun?

    Un autre dossier se trouve sur la table à la fin de ces cent jours : celui du pouvoir d’achat. Que dire de plus ? Écraser les gens d’impôts, les envoyer au chômage ne peut que créer de la pauvreté. Ces politiques détestent tant les riches qu’ils fabriquent des pauvres à tour de bras.

    Les politiciens échappent à la rigueur organisée pour les autres. La paupérisation est manifeste et se traduit, notamment, par des salaires tirés vers le bas et par la prospérité inattendue des restos du cœur.

    Le Président voulait le pouvoir et l’a eu dans sa totalité d’une façon étonnante. Tout seul à la manœuvre, il pouvait et peut encore libérer le peuple français et l’engager sur la voie de la prospérité. Sans attendre un 2013 lointain, il faudrait par une deuxième loi de finance rectificative corriger fermement la calamité de la première.

    Bien sûr, un ouragan d’économies serait nécessaire. Il ne faudrait pas chercher des idées du côté de l’administration. Si le Président avouait en être dépourvu, nous connaissons les adresses où il en trouverait à foison.

    Pour emprunter ainsi la route de la liberté, il faudrait qu’il quitte le rafistolage médiocre. En est-il capable ?

    Les pessimistes répondront qu’il est prisonnier de son idéologie et des intérêts financiers de ses amis avides de se partager le fabuleux butin étatique. Une excuse se trouve dans la quasi absence de la prétendue opposition : elle se trouve engluée dans sa philosophie étatiste .

    Les optimistes peuvent observer que la réalité va le rattraper et le contraindre à agir dans le sens du bien commun avant l’écroulement final.

    Soit, mais dans quel délai et avec quel fracas ?

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  • http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2012/08/lemprise-des-pays-musulmans-sur-notre-%C3%A9conomie.html

    L'emprise des pays musulmans sur notre économie

    Jean-Marc Nesme, maire de Paray-le-Monial, ancien député et ancien vice-président du groupe d’amitié France-Qatar, livre son analyse des relations avec le Qatar, où un Français est toujours otage :

    "Pour toutes les relations diplomatiques, le Quai d’Orsay préfère la sérénité à des situations qui peuvent être conflictuelles. Le Qatar investit beaucoup en France et en Europe. La France espère bénéficier de ces investissements qataris. Prenez le football. Les Français adorent. La venue du Qatar au PSG a permis l’intégration du meilleur avant-centre européen dans cette équipe et laisse donc présager de bons résultats pour les footballeurs français. Si le PSG gagne la Ligue des Champions, les Français seront heureux et fiers. Le Qatar a bien compris cela. Et en terme d’image, c’est très bon pour la France.

    [...] Mais j’ai le sentiment que ces investissements des Qataris dans l’immobilier, l’hôtellerie, le télévisuel ou le sport ne sont qu’une manière pour le Qatar, comme pour l’Arabie Saoudite, de conforter l’emprise de pays musulmans sur l’économie occidentale. Derrière ces opérations financières, on peut en effet se demander s’il n’y aurait pas d’autres objectifs, comme celui de conforter l’islam. Car l’islam, au travers des pays musulmans, a une volonté d‘expansion à la fois pour des raisons politiques et religieuses. Dans l’Islam, il n’y a pas de séparation entre l’église et l’État.

    Conforter l’Islam sous-entend-il que ces pays auraient un jour la main mise sur notre pays ?

    Oui mais pas qu’en France… Dans l’Europe entière, à commencer par les pays qui souffrent de la crise. Certains disent que ces investissements massifs ont pour but d’assurer l’avenir des Qataris quand leurs ressources en sous-sol seront épuisées. D’où les relations amicales que la France veut préserver avec le Qatar. [...]"

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  • http://www.contrepoints.org/2012/08/28/95377-la-crise-de-leuro-ne-se-limite-pas-a-la-grece

    La crise de l'euro ne se limite pas à la Grèce

    Publié le 28/08/2012

    Pendant que tout le monde a les yeux rivés sur la Grèce, des informations alarmantes émergent d'autres pays de l'eurozone : Espagne, Portugal, Chypre, Irlande...

    Un article d'Open Europe.
     
    Cela peut sembler totalement évident, mais la crise de l'eurozone ne s'arrête pas à la Grèce. Oui, Athènes fait peut-être face à sa "dernière chance" (dixit Juncker) de rester membre de l'eurozone. Et oui, l'offensive diplomatique lancée par Antonis Samaras pour obtenir une extension de deux ans du programme d'ajustement UE-FMI mérite attention.

    Cependant, pendant que tout le monde parle de la Grèce, des informations plutôt importantes émergent d'autres pays de l'eurozone, à propos desquelles, comme toujours, nous vous offrons une revue complète dans notre daily press summary.

    En particulier :

    - Selon certaines sources recueillies par Reuters, le gouvernement espagnol est en discussion avec ses partenaires de l'eurozone pour que le FESF, le fonds de sauvetage temporaire, achète des obligations espagnoles - mais aucune décision ferme quant à l'opportunité de demander cette aide n'a été prise. Sans surprise, la commission européenne a déclaré qu'aucune négociation n'était en cours, et qu'une demande de renflouement de l'Espagne n'était pas à attendre "sous peu". Très bien

    - Selon un responsable très haut-placé du ministère des finances portugais, cité par le Jornal de Negócios, le Portugal ("l'homme oublié" de la crise de l'euro) ne sera pas en mesure de coller à l'objectif d'un déficit de 4,5% du PIB réclamé par l'Union Européenne cette année à moins que de nouvelles mesures d'austérité ne soient adoptées. La principale raison à cet état de fait est surtout le déclin prononcé des revenus fiscaux : - 3,6% pendant les 7 premiers mois de cette année, au lieu des 2,6% de hausse que le gouvernement comptait atteindre en 2012. L'alternative, suggère la presse portugaise, serait de demander à la Troïka (UE-FMI-BCE) de réduire cet objectif. Boa sorte [NdT : Bonne chance] pour ça, surtout étant donné que le Portugal sera en septembre à moins d'un an de revenir sur les marchés. Or, rappellez vous ce qu'est devenue l'exigence du FMI (un pays devrait être prêt à rejoindre les marchés en moins de douze mois) en Grèce

    - Un porte-parole du gouvernement chypriote a avoué à la presse jeudi dernier que le déficit public de l'île atteindra environ 4,5% du PIB cette année ; bien plus élevé donc que les 3,5% prévus initialement. Certainement pas une bonne nouvelle, dans la mesure où cela va certainement accroître le sauvetage que Chypre est actuellement en train de négocier avec l'UE et le FMI. Un autre mal de tête pour la Troïka qui est censée se rendre sur l'île à nouveau sous peu (sans qu'une date précise n'ait pour l'instant été spécifiée).

    - De nouvelles données publiées par la Banque Centrale Irlandaise ont montré que 30,5 milliards soit 27,2% des 112 milliards de prêts immobiliers actuels des banques irlandaises étaient en arriérés ou avaient été restructurés à la fin du moins de juin, soit plus que les 29,5 milliards (26%) déjà atteints au mois de mars. En outre, le ministre des finances allemand Wolfgang Schäuble a confié à l'Irish Times qu'il s'opposerait à tout plan de soutien à l'Irlande qui "générerait de nouvelles incertitudes sur les marchés financiers et ferait perdre à l'Irlande la confiance qu'elle est juste sur le point de regagner".

    Ajoutons à cela les décisions de la Cour constitutionnelle allemande à propos du traité concernant le MES et les élections générales néerlandaises (où le parti socialiste mené par Emile Roemer, critique de l'UE, mène dans les sondages) et on sent qu'on ne va pas s'ennuyer en septembre.

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