• Un homme entre dans un bar super high-tech, de 4ème génération,    

     avec écrans plasma et claviers digitalisés de partout.  

    En plus c'est un robot qui sert à boire.  

    L’homme s’installe confortablement et, dans la nano seconde qui suit,  

    le barman-robot s’approche et lui demande :  

    - Quel est votre QI ?  

    L’homme répond :  

    - 150  

    Alors, le robot lui sert un Whisky de 18 ans d’âge,  

    et entame la conversation sur le réchauffement climatique,  

    l’interdépendance environnementale, la physique quantique,  

    les nanotechnologies etc …  

    Au bout d’un moment, le client règle sa consommation  

    (naturellement on-line avec sa carte de crédit), et sort.  

    Il est vachement impressionné par ce qui vient de se passer,  

    et décide de revenir tester le robot à nouveau.  

    C’est d’ailleurs ce qu’il fait le lendemain même.  

    Il revient donc dans ce même bar, et le même scénario se reproduit.  

    Il est à peine assis que le même barman-robot s’approche et lui demande :  

    - Quel est votre QI ?  

    Cette fois-ci, l’homme répond :  

    - 80  

    Immédiatement, le robot lui sert une bière et lui parle de foot, de tiercé,  

    de ses plats favoris, de femmes etc …  

    Au bout d’un moment, l’homme repart.  

    Il est de plus en plus intrigué et décide de revenir à nouveau le jour suivant.  

    Le lendemain donc, même topo!  

    Le barman-robot s’approche et demande :  

    - Quel est votre QI ?  

    Ce coup-là, l’homme répond :  

    - 20 je crois !  

    Alors, le robot lui sert un verre de gros rouge et,  

    en lui posant la main sur l’épaule,  

    lui demande avec condescendance:  

    - Alors, comme ça, on a voté Hollande en 2012 ?  

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  • http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/29/97001-20120929FILWWW00351-enquete-sur-le-fils-de-laurent-fabius.php

    Enquête sur le fils de Laurent Fabius

    Le fils du ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius est visé par une enquête préliminaire pour "tentative d'escroquerie et faux" à la suite d'une plainte, indiquent des sources judiciaires et proches de l'enquête.

    A l'issue d'une enquête préliminaire, le parquet peut décider de classer sans suite la plainte, de désigner un juge d'instruction pour enquêter plus avant ou de citer directement Thomas Fabius à comparaître devant un tribunal.

    Selon la source judiciaire, la justice française a fait en août dernier une demande d'entraide internationale aux autorités du Maroc dans le cadre de cette enquête. La nature précise des faits susceptibles d'être reprochés à Thomas Fabius n'a pas été révélée. Une autre source proche du dossier en France a pour sa part indiqué à l'AFP que les faits reprochés datent de novembre 2011.

    L'enquête a été ouverte par le parquet de Paris en mars 2012 après le dépôt d'une plainte en décembre 2011, selon la source judiciaire qui n'a pas donné plus de précision.

    Interrogé par l'AFP, l'avocat de Thomas Fabius, Cyril Bonan, n'a fait aucun commentaire. Également sollicité, l'entourage du ministre n'a pas souhaité "commenter cette affaire à caractère privé".

    Dans un autre dossier, Thomas Fabius avait été condamné en juin 2011 à 15.000 euros d'amende, dont 10.000 avec sursis, pour abus de confiance par le tribunal correctionnel de Paris, dans le cadre d'une procédure de "plaider-coupable", procédure destinée à éviter un procès à condition que l'intéressé reconnaisse sa culpabilité et accepte la peine proposée.

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  • Pas surprennant de voir que dans un quartier de Marseille où vie une majorité d'immigré d'origine algérienne ou français d'origine maghrébine des heurts ce sont produits contre un campement de Roms, entre deux communautés l'une d'elle à été plus forte en chassant les Roms de leur quartier avec l'avalisation de cet acte d'une élue socialiste Samia Ghali ! 

    Là où l'on s' étonnera encore moins c'est l'omerta, le silence des associations anti-raciste comme Sos racisme, la Licra et le MRAP, car cet acte est un acte grave et violent de racisme envers une communauté!

     

    Patriote64

    http://www.libemarseille.fr/henry/2012/09/des-roms-chass%C3%A9s-%C3%A0-marseille-par-des-riverains.html

    Des riverains délogent et incendient un campement rom

    ROMS - Plusieurs habitants et riverains d'une cité de Marseille ont contraint à la fuite, jeudi soir, des familles roms installées à proximité et incendié les restes de leur campement, sans violences physiques, a-t-on appris vendredi de source proche de l'enquête. Les policiers sont arrivés sur place vers 19H00 afin de séparer une trentaine d'habitants mécontents et les familles roms, qui ont reflué avec caravanes et véhicules, laissant quelques affaires qui ont été incendiées dans la soirée, selon la même source, qui a précisé qu'aucune interpellation n'avait été effectuée en l'absence d'agression physique...

     
    Cette action, révélée par le quotidien régional La Provence sur son site internet, était préméditée puisque ces habitants avaient informé les autorités, dont une élue des quartiers nord, de leur passage à l'acte si les roms ne quittaient pas les environs de la cité des Créneaux, dans le 15e arrondissement de la ville. Caroline Godard, membre de l'association Rencontres Tsiganes, s'est dite "effarée", soulignant qu'environ 35 personnes étaient installées dans ce campement depuis quelques jours. "Des habitants sont venus me voir jeudi matin, ils étaient excédés par la présence des Roms", qu'ils accusaient d'avoir commis des cambriolages, indique Samia Ghali, sénatrice-maire PS des 15e et 16e arrondissements de Marseille. Selon elle, des femmes s'étaient aussi plaintes que les Roms "salissent tout et essayent d'entrer dans les immeubles", dont certains sont en partie vides en raison d'une procédure de démolition en cours.

    En présentant les modalités d'application locale de la circulaire interministérielle du 26 août sur la gestion des campements illicites, le préfet des Bouches-du-Rhône avait fait état récemment à l'AFP de la préoccupation des services de l'Etat à l'égard de ce genre de tensions. Mais certains acteurs publics ont envoyé ces derniers mois des messages confortant ce genre de pratiques. En mai, dans les quartiers nord de la ville, des militants associatifs, dont le président de la Ligue des droits de l'Homme des Bouches-du-Rhône, avaient été pris à partie par des riverains d'un camp de roms installé à Château Gombert (13e arrondissement), en présence d'une candidate UMP aux élections législatives. Quelques mois plus tôt, l'ex- préfet délégué à la sécurité Alain Gardère était venu un soir prendre l'apéritif avec des riverains pour fêter le départ de familles roms voisines évacuées un peu plus tôt.

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  • http://www.wikistrike.com/article-grece-en-flammes-partout-a-la-une-sauf-en-france-110640211.html

    Grèce en flammes : partout à la Une, sauf en France


    Plus de 30 000 Grecs dans les rues d'Athènes contre la rigueur, selon la police : les flammes des cocktails Molotov jetés par certains manifestants sont à la Une de la presse mondiale, du Koweit à la Chine en passant par le Brésil et les Etats-Unis... Mais pas en France.

    La photo de Une du quotidien hollandais ND montre des policiers grecs au milieu des flammes provoquées par un premier cocktail Molotov, tandis qu'un deuxième, lui aussi enflammé, arrive et se détache nettement sur le fond de ciel bleu.

    Pas de Une de la presse française pour la Grèce aujourd'hui, et le matinaute remarquait déjà hier que la manifestation de Madrid n'était pas non plus en tête des préoccupations des médias audiovisuels... Lire L'indigné espagnol, ce balourd.

    Ne pas en parler pour ne pas donner envie ? Avec les tensions sociales, l'augmentation "hilarante" du chômage... ne surtout pas parler de la Grèce paraît évident ! Et tant pis pour l'information.

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    Grande-Bretagne, USA

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    Edition Europe duWall Street JournaletInternational Herlard Tribune

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    Canada, Suisse

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    Brésil, Italie

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    Portugal, Allemagne

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    Koweit, Chili

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    Belgique, Grande-Bretagne

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    Chine

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  • Médiapart à ne pas douter est un journal de gauche qui peut nous rendre service, son seul hic c'est qu'il est incapable d'être objectif et donc de ce fait refuse de produire les mêmes enquêtes sur ses amis de gauche, dommage !!!!

    Néanmoins nous pouvons imaginer aisément que ce qui ce passe à l'UMP se passe aussi au PS, système UMPS oblige. Je reste même persuadé que pour la plupart des généreux donateurs qui sont suffisament malin pour être là où ils sont, doivent jouer sur les deux tableux en signant des chèques ausi bien à l'un qu'à l'autre.

    Ne pas mettre ses oeufs dans le même panier est une tactique commerciale qui limite les risques de dépôt de bilan généralisé, de la finance au politique il n'y a qu'un pas, le seul pas à ne pas franchir est la comprossion, car le compromis est lui source de démocratie et de négociaition dans l'intérêt des peuples.  

    Néanmoins nous assistons là à un bel article qui en dit long sur trente ans de collusion entre le monde de la finance et les partis du système UMPS!

    Patriote64

    http://www.wikistrike.com/article-la-liste-secrete-des-544-financiers-de-l-ump-110678052.html

    La liste secrète des 544 financiers de l'UMP 

    WOERTH-SARKO-2.jpgMediapart s’est procuré l’annuaire des membres du Premier Cercle, le club des grands donateurs de l’UMP. Paradis fiscaux, lobbying des multinationales, influences étrangères, possibles contournements de la loi sur le financement des partis : l’étude de cette liste, éditée en juin 2007 et que l’UMP tient secrète depuis, illustre les liens incestueux entre argent et politique. Révélations.

     

     

    Ils sont 544, très majoritairement des hommes. Ils sont riches et puissants. Certains sont célèbres, d’autres parfaitement inconnus du grand public. Mais tous ont un point commun : ils faisaient partie en 2007 du Premier Cercle, le club très select des grands donateurs de l’UMP, dont Mediapart s’est procuré l’annuaire. L’étude détaillée de cette liste inédite, que l’UMP tient secrète, comme tous les partis le font avec leurs grands donateurs, révèle autant qu’elle interroge sur le tabou français des liens incestueux entre argent et politique, entre intérêts privés et esprit public.

    Éditée en juin 2007, au lendemain de l’élection de Nicolas Sarkozy, elle révèle tout d’abord la surreprésentation de la haute finance, notamment des banques (Goldman Sachs), des fonds d’investissement et des hedge funds, en lien avec des paradis fiscaux, dans les financements du premier parti de France (en nombre d’adhérents). La part des “délocalisés” du fisc français, installés en Suisse, en Belgique ou à Londres, saute également aux yeux.

    Cette liste dévoile aussi une forme, à peine déguisée, de lobbying de grandes entreprises (françaises ou étrangères) et la présence, dans les rangs du Premier Cercle, de plusieurs personnalités étrangères influentes (pour l’essentiel anglo-saxonnes) dont les liens avec la France semblent a priori plus que limités, si ce n’est inexistants.

    Elle interroge ensuite sur les possibles compromissions du précédent gouvernement, quand il s’est montré peu regardant avec certains fraudeurs fiscaux, membres du Premier Cercle. Éric Woerth, son principal animateur à l’époque, est désormais poursuivi pour « trafic d’influence » à Bordeaux dans le cadre de l’affaire Bettencourt, pour avoir négligé la frontière entre ses fonctions politiques de trésorier de l’UMP et celles de ministre du budget.

    Cette liste soulève enfin des questions concrètes sur de possibles détournements de l’esprit de la loi sur le financement de la vie publique française.

    Autant de raisons qui, face à l’opacité organisée et le soupçon qui entourent les grands donateurs d’un parti, incitent aujourd’hui Mediapart à enquêter sur les membres du Premier Cercle de juin 2007, au nom d’une exigence de transparence, comme c’est la règle aux États-Unis, au Canada ou à l’échelon européen. Rendre publique pour tous les partis la liste de leurs riches donateurs, dont le patrimoine personnel et l’activité professionnelle interfèrent avec la sphère publique, permettrait de prévenir conflits d’intérêts, trafics d’influence ou favoritisme.

    Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Sur les 544 membres du Premier Cercle de juin 2007, 147 appartiennent au monde de la haute finance. Les plus grands banquiers de la place sont dans la liste : Charles de Croisset (Goldman Sachs), Michel David-Weill (Lazard), David de Rothschild (Rothschild), Nicholas Clive-Worms (Banque Worms), Édouard de Ribes (Rivaud), Charles-Henri Filippi (HSBC)…

    S’agissant de la dizaine de grands donateurs de l’UMP résidant en Suisse, une majorité sont banquiers : Henri Danguy des Déserts (ancien de SG Private Bank), Jean-François de Clermont Tonnerre (banque Hottinger), Aimery Langlois-Meurinne (ancien de GBL et Meryll Linch), Christophe Mazurier (banque Pasche) ou Marc Odendall (ancien de Meryll Linch et JP Morgan).

    Trois responsables de Lehman Brothers, dont la faillite en septembre 2008 a révélé des pratiques comptables plus que douteuses du géant bancaire, figurent également dans l’annuaire du Premier Cercle : Nicolas Pourcelet (managing director), Alexandre Capez (head of structured volatility) et Benoît d’Angelin (co-director investments Europe).

    Trois cadres de la banque d’investissements new-yorkaise Cantor Fitzgerald, spécialisée dans le courtage de bons du Trésor américain et liée à la Réserve fédérale de New York, ont financé l’UMP : Alexandre Artus, Avi Bouhadana et Michael Halimi. Les trois ont élu domicile entre Londres et New-York.

    Les hedge funds, ces fonds spéculatifs opaques et dérégulés, symboles du « capitalisme de casino », sont eux aussi bien représentés par leurs dirigeants dans la liste des grands donateurs de l’UMP : Talaris Capital, Concerto Capital Management, Alphagen, Centaurus, Blackstone, Amber Capital… La plupart d’entre eux sont liés de très près aux paradis fiscaux, ceux-là mêmes que Nicolas Sarkozy dit avoir fait disparaître une fois élu – ils ne se sont en réalité jamais aussi bien portés.

      

    Les cas goldman sachs et pizzorno

    Cela ressemble à une galaxie. En affinant les recherches sur les membres du Premier Cercle, plusieurs dirigeants ou cadres supérieurs d’une même entreprise apparaissent dans la liste des riches donateurs de l’UMP. Le cas le plus flagrant est celui de la banque Goldman Sachs, dont un récent documentaire diffusé sur Arte, Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde, a montré les liaisons dangereuses entretenues avec le monde politique.

    Pour ce qui concerne l’UMP, nous avons pu recenser pas moins de huit responsables de la banque dans la liste des membres du Premier Cercle : Jean-Luc Biamonti (managing director), Charles de Croisset (vice-président Europe), Isabelle Ealet (responsable mondiale commodities), Laurent Dupeyron (co-dirigeant de l’european equity), Pierre-Henri Flamand (directeur du desk global), Hugues Lepic (banquier associé), Philippe Khuong-Huu (chef du département global interest rates products) et le trader Carole Bettane.

    Est-ce un hasard ? Une convergence de convictions personnelles ? Ou un authentique lobbying d’un géant mondial de la finance. Chez Goldman Sachs, on répond qu’il s’agit d’une « coïncidence » et que c’est « à titre personnel que de l’argent a été versé à l’UMP ».

    Autre cas d’école, celui du groupe Pizzorno, spécialisé dans le traitement des déchets. La société, basée à Draguignan (Var), est impliquée dans une affaire de corruption présumée en Tunisie où elle a fait travailler l’ancien ministre de la défense François Léotard. L’annuaire du Premier Cercle fait apparaître qu’une grande partie du comité de direction du groupe a rejoint le club des grands donateurs de l’UMP : Francis Pizzorno (PDG), Frédéric Devalle (directeur général), Maria-Pilar Carrozza (directrice financière), Philippe Bonifacio (directeur juridique) et Frédéric Balse (directeur de la propreté).

    Joint à plusieurs reprises ces derniers jours, Francis Pizzorno, le fondateur du groupe, a refusé de répondre à nos questions. « Je n’ai rien à vous dire. Écrivez ce que vous voulez. Allez vous faire voir »,s’est-il emporté.

    Le cercle des ennemis de l’impôt

    Ils ne parlent que de ça. Selon un ancien membre du Premier Cercle, la question fiscale est – avec les 35 heures – le premier sujet de conversations des membres du Premier Cercle quand ils sont réunis par l’UMP, généralement à l’hôtel Bristol (à deux pas de l’Élysée) ou au cercle Interallié.

    De fait, outre les “exilés” fiscaux et les représentants d’institutions implantées dans les paradis fiscaux, le Premier Cercle compte en son sein plusieurs personnes qui ont maille à partir avec l’administration au sujet de leurs impôts.

    Exemple avec l’homme d’affaires Maurice Bidermann, à l’origine de l’affaire Elf dans les années 1990. Toujours assis au premier rang lors des réunions du Premier Cercle, très actif dans les discussions, Maurice Bidermann est un homme de réseaux, proche d’Éric Woerth et de Claude Guéant.

    Officiellement ruiné en France, au point de ne pas pouvoir payer les dommages exigés dans l’affaire Elf, il jongle pourtant avec les holdings au Luxembourg, en Suisse et au Liban, comme l’a déjà raconté Mediapart. En 2006, l’épouse de Maurice Bidermann, la seule du couple officiellement domiciliée en France, a reçu un avis de notification des services fiscaux. Moins d’un an après, le 8 juin 2007, un mois après l’élection de Nicolas Sarkozy, le fisc lui faisait savoir que le contrôle était finalement achevé « sans rectification ». Un cas rare pour l’administration fiscale…

    Maurice Bidermann est également associé avec un financier libanais de premier rang, le cheik Bechara el-Khoury, actionnaire entre autres de la banque Audi Bank. Membre lui aussi du Premier Cercle, Bechara el-Khoury a été nommé en 2009 consul de… Monaco.

    D’autres illustres “ennemis” de l’impôt français se retrouvent dans l’annuaire. Comme Patrice de Maistre, l’ancien gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, grand chef d’orchestre de la fraude fiscale de l’héritière de L’Oréal et lui-même détenteur d’un compte à la HSBC en Suisse, comme l’a raconté l’ancien procureur de Nice, Éric de Montgolfier. En janvier 2008, le ministre du budget et trésorier de l’UMP, Éric Woerth, remettra la Légion d’honneur à Patrice de Maistre, qui se trouve aussi être l’employeur de sa femme. Le mélange des genres vaut aujourd’hui à l’un et à l’autre des mises en examen pour « trafic d’influence » par le juge bordelais Jean-Michel Gentil.

    André Bettencourt, le défunt mari de la multi-milliardaire Liliane Bettencourt, dont le fisc a découvert l’étendue de l’évasion fiscale en 2010 après la publication des enregistrements clandestins de son majordome, était, lui aussi, membre du Premier Cercle en juin 2007. Les Bettencourt étaient détenteurs de douze comptes à l’étranger non déclarés au fisc, mais ne seront contrôlés qu’après les révélations de Mediapart sur leur patrimoine trois ans plus tard. Jusque-là, et depuis des décennies, le fisc ne s’est jamais penché sur leur situation fiscale. Du jamais vu.

    La bataille familiale pour le contrôle de la fortune du clan n’a pas empêché Françoise Bettencourt, la fille de Liliane et André, et son mari Jean-Pierre Meyers, de s’inscrire eux aussi au Premier Cercle, animé par Éric Woerth.

    Autre exemple, celui de Guy Wildenstein, homme d’affaires et marchand d’art, au cœur avec son frère Alec de lourds soupçons judiciaires et fiscaux au sujet de l’héritage pharaonique – on parle de 4 à 5 milliards d’euros – légués par leur père. La justice a mis au jour un réseau complexe de trusts domiciliés dans un nuage de paradis fiscaux (Bahamas, Guernesey, îles Vierges britanniques…). Alec et Guy Wildenstein sont tous deux membres du Premier Cercle et la question d’éventuelles protections politiques sur leur situation fiscale est aujourd’hui ouvertement posée.

    Dernière illustration avec l’ancien président du Medef, Ernest-Antoine Seillière, autre membre du Premier Cercle visé par des soupçons de « fraude fiscale ». Le parquet de Paris a ouvert une enquête au mois du juin à la suite d’une dénonciation de Bercy. Président du conseil de surveillance du groupe Wendel, le baron Seillière est soupçonné d’avoir monté une opération financière frauduleuse lui ayant permis de toucher 65 millions d’euros, sans verser un centime d’impôt. Son domicile et le siège de Wendel ont été perquisitionnés mardi 25 septembre, selon Le Monde.

    Des familles engagées

    Dans la liste, certains patronymes se multiplient comme des petits pains. La famille Guerrand-Hermès (groupe de luxe Hermès), par exemple, se distingue avec cinq représentants. Le cas le plus frappant ? Quatorze Mulliez (Gérard, Thierry, Vianney, André, Arnaud, Marie, etc.), membres d’une des familles les plus riches de France, aux manettes de la holding propriétaire du groupe Auchan. Quant au Franco-Libanais Jacques R. Saadé, PDG de la troisième compagnie de fret maritime au monde (CMA-CGM), il a rejoint le Premier Cercle avec quatre de ses proches, dont son fils Rodolphe.

    Si la CMA-CGM est peu connue du grand public, l’un de ses yachts de luxe baptisé Le Ponant, 88 mètres de long, a fait la Une des journaux en avril 2008, pris en otage par des pirates somaliens au large du golfe d’Aden. À l’époque, alors que Rodolphe Saadé, directeur général de la société, négocie à la radio avec les pirates sous la supervision du GIGN, Jacques Saadé, le père, rencontre son ami Nicolas Sarkozy à Paris à plusieurs reprises, pour discuter des opérations. Faut-il payer la rançon ? Tout de suite ? Au bout d’une semaine, la trentaine d’otages sera libérée par la marine française (voir ici).

    Après tout, rien de surprenant. On partage souvent les mêmes convictions en famille. Mais dans certains cas, d’après un témoignage recueilli sous le sceau de l’anonymat, des membres du Premier Cercle contournent la loi (qui leur interdit de verser personnellement plus de 7 500 euros), en proposant un « deal » à leurs proches (parents ou amis) : « Tu signes un chèque au bénéfice de l’UMP et je te rembourse sur-le-champ. » Pour ces donateurs, c’est tout bénéfice : ils auront le droit de défiscaliser 66 % du montant…

     

    Source lue

     

     

    http://www.mediapart.fr/journal/fra...

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  • Au final en 2013 le PS supprime 1 287 postes de fonctionnaires, l'armée sera encore la grande perdante, mais jusqu'où la grande muette se taira? Certains militaires n'ont pas touché de salaire depuis deux mois, vu et entendu hier au repas de la Saint Michel par des anciens camarades que j'ai cotoyé !!!!

    Patriote64

    http://www.wikistrike.com/article-les-creations-et-les-suppressions-de-postes-dans-la-fonction-publique-en-2013-110673919.html

    Les créations et les suppressions de postes dans la fonction publique en 2013

    lebordel.jpg

     PARIS (Sipa) — Le budget 2013 prévoit 11.011 créations d'emplois pour les missions prioritaires définies par le gouvernement (enseignement, sécurité, justice) et 12.298 suppressions de postes dans les autres ministères.

    En voici le détail:

    Créations

    - 10.011 dans l'enseignement dont 8.781 dans l'Education nationale, 230 dans l'enseignement agricole et 1.000 dans les universités

    - 1.000 dans la sécurité et la justice dont 520 dans la justice et 480 dans la police et la gendarmerie

    Suppressions

    - 7.234 Défense

    - 2.353 Economie et Finances

    - 662 Egalité des territoires et Logement

    - 614 Ecologie, Développement durable, énergie

    - 614 Intérieur (hors police et gendarmerie)

    - 280 Agriculture, Agroalimentaire, Forêt (hors enseignement agricole)

    - 186 Affaires sociales et Santé

    - 184 Affaires étrangères

    - 141 Travail, Emploi, Formation professionnelle, Dialogue social

    - 15 Culture et Communication

    - 9 Redressement productif

    - 6 Services du Premier ministre (hors justice administrative)

    - 0 Outre-mer

     

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