• http://www.impots-economie.com/les-primes-de-vincent-peillon/

    Les primes de Vincent Peillon

    Vincent Peillon bénéficie d’un budget de 616 000 euros destiné aux primes de ses collaborateurs.

    vincent peillon logement de fonction Les primes de Vincent PeillonEn tant que ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon dispose d’une enveloppe spéciale pour les primes de ses collaborateurs. Le budget primes des collaborateurs de Peillon s’élève à 616 000 euros en 2012.

    Vincent Peillon travaille avec 61 collaborateurs, dont 15 membres de cabinet. Ainsi, chaque collaborateur de Peillon( voir Logement de fonction de Vincent Peillon) touchera en moyenne une prime de 10 098 euros en 2012.

    Au 31 décembre 2012, Vincent Peillon aura utilisé 66% du budget global destiné aux primes de ses collaborateurs, soit 403 750 euros.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Patriote64

    http://lesbrindherbes.org/2012/12/26/france-la-chute-des-mises-en-chantier-de-logements-saccelere-en-fin-dannee/

    France: la chute des mises en chantier de logements s’accélère en fin d’année

    Le plongeon des mises en chantier de logements neufs et des attributions de permis de construire s’est accentué en fin d’année en France, laissant augurer une nouvelle aggravation de la crise immobilière en 2013.

    Les mises en chantier de logements neufs ont plongé en France de 23,8% à 79.242 logements lors des trois mois compris entre septembre et novembre, par rapport à la même période de 2011, et 110.818 constructions neuves ont été autorisées (-11,8%), a annoncé mercredi le ministère du Logement.

    Le plongeon des mises en chantier s’est encore accentué en fin d’année, puisque sur l’ensemble des douze mois achevés en novembre, le recul était limité à 13,1%.

    De septembre à novembre, le recul des mises en chantier a été plus marqué pour les logements collectifs (-28,7%) que pour les logements individuels (-11,5% pour l’individuel « pur » et -19,6% pour le logement « groupé », c’est à dire les programmes de construction de plusieurs maisons individuelles).

    Les chiffres de la fin 2012 souffrent toutefois d’un effet de comparaison défavorable, car la fin d’année 2011 avait été stimulée par l’expiration de certaines incitations fiscales à construire, qui avait amené particuliers et promoteurs à anticiper leurs mises en chantier.

    Le marché « est en recul depuis le printemps à la fois à cause de la crise économique en cours et parce que les dispositifs publics de soutien à la demande ne sont plus aussi puissants que par le passé », résume Michel Mouillart, professeur d’économie à l’université Paris-Ouest et spécialiste du secteur.

    « Il n’y a aucune raison que décembre nous surprenne et l’année 2012 sera une année médiocre », a-t-il ajouté, estimant que 300.000 logements environ auront été mis en chantier cette année, un plus bas depuis 2009.

    Etant donné la chute des délivrances de permis de construire, le recul des mises en chantier « va continuer en 2013″, a-t-il jugé. Il estime que 20.000 logements de moins seront construits en 2013 par rapport à 2012, « ce qui va renforcer les déséquilibres du marché immobilier », selon lui.

    « Les mouvements de pression sur les prix vont se renforcer à peu près partout et les difficultés d’accès au logement vont se renforcer fortement », a-t-il ajouté.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • http://fr.novopress.info/128847/pas-photogenique-marine-le-pen/

    Nouveau traitement biaisé de l’information par l’AFP : Marine Le Pen remet en cause le travail d’un photographe

    24 décembre 2012

    Nouveau traitement biaisé de l’information par l’AFP : Marine Le Pen remet en cause le travail d’un photographe
     
     

    24/12/2012 – 19h05
    PARIS (NOVOpress via l’Ojim) — Vendredi 14 décembre, lors d’une conférence de presse, Marine Le Pen a refusé l’accès à un photographe de presse de l’Agence France Presse.
    Pour justifier ce refus, Charlotte Soula, sa directrice de cabinet, a déclaré à l’AFP : « Vous vendez des photos d’elle qui sont aberrantes, tellement laides qu’elles frisent l’insulte. » « Ce n’est pas un truc de midinette. On a l’impression que c’est délibéré » a-t-elle ajouté.

     

    Invitée à s’exprimer à ce sujet sur LCI, Marine Le Pen a considéré « que ces gens font de l’argent sur notre image, puisqu’ils vendent les photos qu’ils prennent. » Et la présidente du Front National de répondre aux accusations d’atteinte à la liberté d’expression : « C’est la liberté de faire de l’argent avec notre image ? Eh bien ma liberté c’est de leur dire non. Pour des raisons trop longues à expliquer. Ce n’est pas la liberté de la presse, c’est une entreprise commerciale. Vous faites de l’argent bien souvent avant de faire de l’information, c’est en tout cas le cas de ce photographe qui prend un malin plaisir à déformer des photos, ce qui ne me paraît pas très professionnel, pour pouvoir les vendre. Donc j’ai dit stop. »

    De son côté, l’AFP a récusé « les accusations portées contre le photographe mis en cause auquel elle apporte tout son soutien » et a rappelé que ses journalistes « appliquent comme tous les journalistes de l’agence les règles d’impartialité qui sont l’un des fondements de la mission de l’AFP ».

    Ce n’est pas la première fois que l’Agence France Presse est mise en cause dans son traitement de l’information à l’égard de mouvements patriotiques : dans le cadre de manifestations organisées par les Identitaires, l‘AFP s’était signalée à plusieurs reprises pour son parti pris très orienté à gauche : alors que les Identitaires parisiens se faisaient attaquer par des individus casqués et armés à l’issue d’une manifestation en mars dernier, le journaliste présent sur place et témoin de la scène n’avait pas hésité à inverser les rôles ; plus récemment, à l’occasion de leur convention, les Identitaires s’étaient vus obligés d’interdire l’accès à leur manifestation au journaliste Andrea Bambino, en raison de son interprétation très particulière des faits rapportés, ce qui avait valu aux cadres identitaires présents de s’exclamer : “Que l’AFP et le journal Le Monde nous envoient des journalistes, pas des militants !”

    Laissons le mot de la fin à Éric Brunet : « (…) l’immense majorité des 36 300 cartes de presse que compte notre pays pense à gauche. Ceux-là ne sont ni éditorialistes ni débatteurs. On ne les voit pas sur BFMTtv ou i>TÉLÉ. Ce sont des journalistes discrets et “objectifs”, des reporters de radio ou de télévision, des localiers de la presse régionale, des enquêteurs, des correspondants, des interviewers, des reporters d’images, des documentaristes… Des femmes et des hommes de gauche, qui estiment faire leur métier honnêtement mais dont l’écrasante supériorité arithmétique constitue à elle seule une entrave à la liberté d’information ».

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • http://www.francepresseinfos.com/2012/12/maison-de-lhistoire-de-france-cest-fini.html

    Maison de l’Histoire de France : c’est fini


     
    Nous savons tous que les socialistes n’aiment pas l’Histoire de France tant qu’ils ne l’ont pas réécrite eux-mêmes. D’ailleurs, si cela ne tenait qu’à eux, il n’y aurait même plus de France du tout. Juste un petit village avec des "bobos" citoyens du monde. Le pied quoâ !...
     


    Ainsi, l'établissement public de la « Maison de l'Histoire de France », projet de l'ancien président Nicolas Sarkozy, sera officiellement dissous au 31 décembre 2012 par décret paru ce mercredi 26 décembre dans le journal officiel.
     
    Neuf musées nationaux d'Histoire avaient été inscrits au cœur du réseau de la « Maison de l'Histoire de France », dont ceux de Cluny à Paris (Moyen-Âge), Saint-Germain-en Laye (archéologie), Ecouen (Renaissance), Les Eyzies-de-Tayac (Préhistoire) ou encore les châteaux de Fontainebleau et Compiègne. 
    Établissement public depuis le 1er janvier 2012, cette « Maison de l'histoire de France » prévoyait notamment la création d'une « Galerie des Temps ».
    L'ex-chef d'État avait choisi en septembre 2010 de l'installer sur le site parisien des Archives nationales. Une ouverture au public était prévue en 2015. Fin août, la ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti, avait annoncé l'abandon du projet, « coûteux » selon elle, de 80 millions d'euros dont 7 millions déjà dépensés pour l'avant-projet, et « daté », devant être remplacé par une mise en réseaux des différents musées d'Histoire à travers un site internet. Philippetti à la Culture… l’Histoire méritait mieux !
    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • http://www.latribune.fr/technos-medias/telecoms/20121224trib000739150/motorola-veut-supprimer-des-postes-a-toulouse-encore-un-groupe-americain-qui-se-desengage-du-midi-pyrenees.html

    Motorola veut supprimer des postes à Toulouse : encore un groupe américain qui se désengage du Midi-Pyrénées

    Copyright Reuters
    Copyright Reuters
     
    Google, la maison-mère de Motorola Mobility, pourrait supprimer 170 postes à Toulouse. Après Molex, et Freescale, la fermeture de Motorola à Toulouse poursuivrait la série des lourds désengagements industriels américains en Midi-Pyrénées.

    L'annonce de Google en août de supprimer 20% des effectifs de Motorola Mobility (soit 4.000 emplois) rachetée un avant auparavant pour 12,9 milliards de dollars, n'augurait rien de bon pour les salariés français du fabricant de téléphones mobiles. Même si les suppressions de postes étaient censées se situer aux Etats-Unis, cette restructuration menace 170 postes du site de Toulouse de Motorola. L'usine pourrait en effet fermer, au printemps selon la Dépêche du Midi. Direction et représentants du personnel toulousain ont entamé les discussions sur "un éventuel projet de fermeture" la semaine dernière, a déclaré une porte-parole de la direction en France. "Mais rien n'a été décidé", les partenaires sociaux n'en sont qu'au début de la procédure d'information et de consultation du personnel, a-t-elle souligné.

    Installé à Toulouse depuis les années 60
    Le site de Motorola à Toulouse est spécialisé dans la recherche et le développement en matière de téléphonie mobile et de tablettes. Motorola Mobility France emploie sur son second site de Saclay (Essonne), en Région parisienne, une cinquantaine de personnes qui travaillent sur la téléphonie mobile et les boîtiers internet. Motorola est installé à Toulouse depuis la fin des années 1960. En 2004, la division semi-conducteurs (puces électroniques pour l'automobile) de Motorola avait été cédée au fabricant américain Freescale. Celui-ci a fermé définitivement en août son atelier toulousain de fabrication de galettes de silicium; 397 lettres de licenciement ont alors été envoyées. Freescale a en revanche maintenu sur son site toulousain son activité de recherche et développement, qui emploie environ 500 personnes.
    Après Molex, et Freescale, la fermeture de Motorola à Toulouse poursuivrait la série des lourds désengagements industriels américains en Midi-Pyrénées.

    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/agroalimentaire-biens-de-consommation-luxe/20121224trib000739146/triste-noel-pour-un-fabricant-de-peluches-sarthois-contraint-au-depot-de-bilan.html

    Triste Noël pour un fabricant de peluches sarthois contraint au dépôt de bilan

    Copyright Reuters
    Copyright Reuters
    Le fabricant sarthois, en cessation de paiement, emploie 60 salariés. Des repreneurs ont manifesté leur intérêt pour l'impressionnant catalogue de licence du groupe.

    Triste Noël pour les salariés du groupe Jemini. Le fabricant sarthois de peluches et figurines pourrait déposer le bilan jeudi auprès du tribunal de commerce de Paris, d'après France Bleu Maine. Le groupe n'a pas commenté cette information.

    Cette information intervient deux mois après la démission de Patrick Abessira, président et membre du directoire du groupe. Les pertes considérables enregistrées en 2012 l'avaient contraint au départ, un an et demi après l'introduction en bourse du groupe. Sur le seul premier semestre, les ventes du groupe ont baissé de 19% à 11,1 millions d'euros. Ces mauvaises performances commerciales ont aggravé la trésorerie de la société qui est désormais en cessation de paiement.

    D'après la radio locale, le tribunal de commerce de Paris doit se prononcer le 8 janvier prochain. Le fabricant de jouets emploie 60 salariés sur son site d'Ecommoy. Des repreneurs se seraient manifestés pour reprendre les licences détenues par le groupe Jemini comme Spiderman, Babar, Bob l'éponge ou encore Angry Birds, ou un catalogue impressionnant de licence Disney.

      

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2012/12/-ceux-qui-se-font.html

    Depardieu dénonce une oppression française

      
    Ceux qui ont coutume de se faire injurier par les "humanistes" ne peuvent que comprendre Gérard Depardieu.  Et cela fait du monde. Son bras d’honneur au gouvernement et à ses médias est une bouffée d’oxygène. Son salutaire acte de révolte entre en résonance avec l’indignation que suscite une gauche de plus en plus sectaire et manichéenne. Depardieu a raison de refuser d’être traité de "minable" par Jean-Marc Ayrault, au prétexte d’avoir choisi de s’installer en Belgique. Je le comprends quand il explique, dans sa lettre ouverte au premier ministre, publiée dimanche dans le JDD, vouloir rendre son passeport : "Je n’ai malheureusement plus rien à faire ici (…) Je pars parce que vous considérez que le succès, la création, le talent, en fait, la différence, doivent être sanctionnés". Quand Michel Sapin, ministre du travail, évoque une "déchéance personnelle" en guise de commentaire, il dit la morgue glaçante qui habite les donneurs de leçons d’altérité. Excédés par la liberté des autres, ils ont l’insulte en bouche. Dimanche, c’est Dominique Bertinotti, ministre déléguée de la famille, qui a qualifié d’homophobes ceux qui s’opposent au mariage homosexuel. Et je passe ici sur la haine qui habite la presse de gauche quand elle qualifie d’extrémistes ou de "néo-fachos" les quelques-uns qui osent ne pas penser comme elle.

    Depardieu n’est pas l’abruti aviné ni l’affairiste véreux contre qui la meute aboie. Ses intuitions et ses sensibilités à fleur de peau sont celles d’un artiste qui honore la culture. Je me souviens notamment de lui lisant Saint-Augustin à Notre-Dame-de Paris, son fils Guillaume dans l’assistance. Ce qu’il dénonce, en voulant quitter son pays, est une oppression française. Elle s’aggrave et devient insupportable. Cette oppression est intellectuelle, avec son conformisme pesant ; elle est morale, avec son relativisme institutionnalisé ; elle est fiscale, avec ses impôts confiscatoires. Elle ne fait pas seulement fuir les fortunes établies, mais aussi les talents et bien des esprits réfractaires. En fait, Depardieu dit une vérité. Néanmoins, en voulant s’exiler et rendre sa nationalité, il abandonne un combat. Ceux qui rejoignirent Coblence ne firent pas l’histoire. Aussi, si je comprends sa décision, je la trouve prématurée. Rien n’est encore perdu. Pour ma part, je persiste à penser que la résistance, plus que jamais nécessaire, doit être menée de l’intérieur. Les injures des moralistes et de tous ceux qui au nom de l’"apaisement" sont en train de monter les Français les uns contre les autres, marquent leur désarroi. Leur défaite est en eux.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire

  • Auschwitz confirme qu'Elie Wiesel n'a pas le... par enquete-debathttp://www.enquete-debat.fr/archives/elie-wiesel-na-pas-le-tatouage-dauschwitz-quil-pretend-avoir-94416

    Elie Wiesel n’a pas le tatouage d’Auschwitz qu’il prétend avoir

    Enquête exclusive d’Enquête & Débat. (To read the english version of this article, click here)

    Qui ne connaît pas Elie Wiesel ? Véritable conscience vivante de la Shoah, il est l’un des survivants des camps, sinon le survivant le plus connu et reconnu mondialement. Prix Nobel de la paix en 1986, plus de 10 millions d’exemplaires de son livre La nuit ont été écoulés dans le monde entier depuis sa sortie en 1958, docteur honoris causa de plus d’une centaine d’universités dans le monde, Grand-croix de la Légion d’honneur en France, il a également reçu la Médaille d’or du Congrès américain. Or, notre enquête démontre et confirme qu’Elie Wiesel n’a pas le tatouage d’Auschwitz qu’il prétend avoir (dans son livre La nuit, qui n’est pas une fiction selon lui, et dans d’autres déclarations publiques, y compris certaines sous serment), le numéro A-7713. Le premier à l’avoir révélé, dans un silence médiatique total, fut Nikolaus Grüner, survivant d’Auschwitz lui aussi, qui a écrit un livre où il le révèle, ainsi que bien d’autres choses sur Elie Wiesel. Ne pouvant vérifier tout ce qu’il affirme dans son livre, Stolen Identity (Identité volée), nous avons voulu vérifier le fait le plus accablant, en contactant Auschwitz d’abord par mail, puis par téléphone. C’est le responsable des archives du musée, M. Plosa, qui a confirmé que le numéro A-7713, revendiqué par Elie Wiesel sans jamais l’avoir montré, avait été attribué à Lazar Wisel, né 15 ans avant lui, et qui ne peut donc par conséquent pas être confondu avec lui.

    Voici tout d’abord notre échange téléphonique avec M. Plosa : Video en entête.

    Et voici le mail traduit en français (pour voir la version originale en anglais cliquez ici) qu’il nous avait envoyé quelques jours auparavant : 

    Oświęcim, 17 Décembre 2012
    L.dz.I.Arch-577//202
    Mr. Jean ROBIN
    e-mail: jean@enquete-debat.fr

    Cher Mr. Robin,
    Merci beaucoup pour votre message du 4 Décembre 2012. J’aimerais vous informer qu’en nous basant sur les documents des archives dont nous disposons il est possible de déterminer les choses suivantes :
    Le numéro de prisonnier A-7713 a été attribué le 24 mai 1944 à Mr. Lazar WISEL, né le 4 Septembre 1913 à Marmaroasieget (Hongrie). Après la liquidation et l’évacuation du camp d’Auschwitz, Mr. Lazar Wisel a été transféré à KL Buchenald. Son arrivée à ce camp date du 26 Janvier 1945.

    Mr. Nikolaus GRÜNER, né le 4 ou le 6 avril 1928 à Nyiregihaza (Hongrie), avait dans le camp KL Auschwitz le numéro de prisonnier A-11104. Cela signifie que Mr. Grüner a été enregistré dans le camp le 31 mai 1944 après l’arrivée du transport depuis la Hongrie. Après la liquidation et l’évacuation du camp d’Auschwitz Mr. Nikolaus Grüner a été transféré à KL Buchenald. Son arrivée dans ce camp date du 26 Janvier 1945.
    Cordialement
    Wojciech Płosa
    Responsables des Archives
    Musée d’État d’Auschwitz-Birkenau à Oświęcim”

    Ce mail était la réponse au nôtre (pour voir l’e-mail original en anglais cliquez ici) :

    “Madame, monsieur,

    Je suis un journaliste français qui travaille pour Enquête & Débat, et nous voulions nous assurer qu’Elie Wiesel a bien été prisonnier à Auschwitz.
    Comme vous le savez, des rumeurs courent sur Internet selon lesquelles il n’a jamais été prisonnier à Auschwitz, puisque le numéro de prisonnier (A-7713 dans son cas) n’est pas tatoué sur son avant-bras gauche, comme on peut le voir sur cette vidéo.
    Un autre prisonnier à Auschwitz, Miklos Grüner, prétend qu’Elie Wiesel n’était pas prisonnier à Auschwitz mais que Lazar Wiesel l’était, et Lazar Wiesel avait ce numéro A-7713 mais pas Elie Wiesel.
    Donc pour savoir qui dit la vérité, pourriez-vous nous confirmer qu’Elie Wiesel, Miklos Grüner et Lazar Wiesel étaient prisonniers à Auschwitz, sous quelle identité et quel numéro ?

    Cela nous aidera à nous débarrasser des négationnistes qui ont exploité cette suspicion depuis plus de 3 ans maintenant.
    Bien cordialement
    Jean Robin
    (par ailleurs je suis également intéressé par ces questions car la partie juive de ma famille du côté de ma mère a péri en partie à Auschwitz, et mon arrière-grand-père paternel, Noël Robin, a été déporté à Buchenwald et à Dachau – où il est mort – pour acte de résistance contre les nazis).”

    Pourquoi avoir enquêté sur cette question maintenant ?

    Certains d’entre vous, surtout si vous découvrez ainsi Enquête & Débat, se demanderont peut-être pourquoi nous avons décidé d’enquêter maintenant sur cette question. En effet, Nikolaus Grüner a publié ces révélations (et bien d’autres sur Elie Wiesel) il y a déjà quelques années dans son livre, dont nous vous recommandons la lecture. Même nous qui sommes extrêmement informés sur ces questions, et ce depuis de nombreuses années, nous n’en avions jamais entendu parler. Il a fallu que l’antisémite Alain Soral nous lance le défi de mener cette enquête, dans sa vidéo d’octobre 2012 (cliquez ici, et allez vers la 11ème minute), pour que nous en prenions connaissance. C’est alors qu’en nous penchant sur cette question, nous avons découvert que ce sujet était largement traité par les antisémites, négationnistes et autres nazis depuis plusieurs années. Ainsi, le frère Nathanaël sur lequel Soral s’appuie est un antisémite revendiqué et rabique : un rapide survol de son site internet ne laisse aucun doute à ce sujet. Soral lui-même est obsédé par les juifs et s’est même revendiqué de l’antisémitisme. Enfin, Carolyn Yeager, une nazie elle aussi revendiquée traque Wiesel depuis 2010 via un site où elle diffuse tout ce qui peut avoir un rapport direct ou indirect à la question du tatouage d’Elie Wiesel.

    Or la dernière chose à faire serait de faire le cadeau du réel aux antisémites et aux négationnistes, pour paraphraser Alain Finkielkraut. Ces antisémites carabinés utilisent et instrumentalisent le travail et le prestige de Nikolaus Grüner, authentique déporté à Auschwitz et Buchenwald, sur lequel ne pèse aucun doute (il a même montré son tatouage à la télévision américaine) et qui prétend défendre la mémoire de son ami Lazar. Mais les véritables responsables de cette instrumentalisation du travail de Grüner par des antisémites, ce sont les médias et les personnalités en général qui ont eu vent de cette affaire Wiesel et qui n’ont jamais enquêté, ou contre-enquêté, comme nous venons de le faire. En effet, garder tout cela tabou permet à l’antisémitisme de grandir et de se parer des atours du réel, tout en renforçant la négation de la Shoah. En effet, si Wiesel n’est pas celui qu’il prétend être et qu’aucun média ni aucune personnalité ne l’a dénoncé alors qu’un livre avec des preuves factuelles est paru sur le sujet, alors les antisémites peuvent expliquer aux esprits faibles ou corrompus que l’antisémitisme ou le négationnisme a raison, quand l’anti-antisémitisme a tort, et ce factuellement. Encore plus quand il s’agit de l’un des symboles des rescapés de l’holocauste. En mémoire des déportés, dont un bon nombre de membres de ma propre famille, on ne peut laisser passer cela.

    Quelles conséquences ont ces révélations ?

    Cet échange avec le responsable des archives d’Auschwitz, ainsi que le mail reçu de leur part peu de temps auparavant, ne permet plus de douter. Il n’est même plus temps de vouloir demander à M. Wiesel (qui n’est pas revenu vers nous quand nous l’avons contacté par le biais de sa fondation) de montrer son tatouage pour faire taire les rumeurs. Il est temps pour les grands médias surtout, voire des personnalités prétendant être concernées par la Shoah, de se réveiller enfin et de ne plus laisser passer cela.

    Je le répète : les médias n’ont pas fait leur travail, étant donné que le travail de recherche d’un ancien détenu indiscutable d’Auschwitz et de Buchenwald, donc témoin direct, existe depuis des années, et que nous avons pu le vérifier sur un point majeur.

    La catastrophe, la Shoah, doit impérativement empêcher et interdire tout soupçon de fraude à son sujet. En plus M. Wiesel a été couvert d’éloges et d’argent depuis une cinquantaine d’années grâce ou à cause de la Shoah. Un survivant aussi illustre de la Shoah que M. Wiesel doit impérativement avoir un comportement exemplaire. J’en appelle donc à la communauté juive dans le monde, aux personnalités qui se sentent concernées par la Shoah et l’avenir de sa mémoire, ainsi qu’aux grands médias pour prendre leurs responsabilités et l’obliger à répondre aux questions graves qui se posent à son sujet. Il faut le faire pendant que MM. Wiesel et Grüner, les deux principaux concernés dans cette affaire, sont encore en vie, ce qui est une chance mais ne durera hélas plus très longtemps vu leur âge (ils ont tous deux plus de 80 ans).

    Nous ignorons tout à fait si tout cela cache autant de choses que le prétend M. Grüner dans son livre. Mais cela nous suffit à publier noir sur blanc cet article factuel nourri d’indignation, de stupéfaction et de colère. Sans faire le moindre lien entre Elie Wiesel et les autres personnes dont il est question juste après, il convient de rappeler que l’histoire récente nous a fourni des exemples de fraudeurs et d’exploiteurs de la Shoah, qui ont porté un tort incommensurable à la mémoire des victimes et des déportés. Citons Misha Defonseca, et le film tiré du livre Survivre avec les loups, dont l’histoire était totalement inventée. Herman Rosenblat, qui avait inventé son histoire d’amour avec sa femme venant lui jeter des pommes de l’autre côté du camp de concentration. Etc.

    M. Wiesel n’a désormais plus le choix, il doit la vérité au monde. Les honneurs qu’il a reçus depuis si longtemps, sa fortune, et sa gloire ne peuvent souffrir plus longtemps le doute, car l’affaire est désormais connue de trop de monde pour ne pas faire plus de dégâts. Alain Soral touche désormais des centaines de milliers de personnes avec ses vidéos, et Internet lui permet de doubler son audience tous les trimestres environ depuis 2 ans. Il n’est pas le seul antisémite revendiqué, hélas, à surfer sur la vague grandissante de la haine anti-juive, et la pire des choses consisteraient à fermer les yeux en attendant que l’orage passe. Non, l’orage ne passera pas, il ne fait que commencer.

    Des médias qui n’enquêtent plus

    La conclusion la plus amère à tirer de toute cette affaire revient sans doute aux médias. Alors qu’ils étaient les chiens de garde de la démocratie et de la liberté d’expression, ils en sont devenus les premiers ennemis. Nous avions déjà l’exemple de Matt Drudge, qui avait révélé l’affaire Monika Lewinski alors que de grands médias américains détenaient les mêmes informations que lui mais sans oser les publier. Wikileaks, avec ses limites, démontre également que les médias cachent bon nombre d’informations utiles à la démocratie. Maintenant cette affaire Wiesel démontre que les médias n’enquêtent plus, car cette affaire du numéro A-7713 était révélée en 2007 par une source sûre, et démontrée factuellement, preuves à l’appui. Nous n’avons fait que revérifier une information à sa source, et la porter à l’attention du grand public.

    A l’ère d’Internet, les rapports de force entre citoyens et médias ne sont plus les mêmes. N’importe quel citoyen peut devenir un enquêteur, une source voire un journaliste de qualité. Les journalistes dits professionnels ont le plus souvent été formatés dans des écoles de journalisme dont le but est de faire “pisser de la copie” selon un format conforme aux attentes de l’actionnaire principal, qu’il s’agisse de l’État ou d’une multinationale en contrat avec l’État. Tout cela ne peut plus durer, de nouveaux médias totalement indépendants des anciens et de tout pouvoir politique ou financier doivent émerger afin de protéger voire réinstaurer la vérité là où elle a été bâillonnée. La démocratie en dépend.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire

  • Nous avons la preuve que la presse est de gauche par enquete-debathttp://www.enquete-debat.fr/archives/nous-publions-les-preuves-que-les-medias-sont-de-gauche-13412

    Nous publions les preuves que les médias sont de gauche

    Lors de notre conférence “La gauche est-elle le camp du Bien ?” le 12 décembre 2012, nous avons indiqué avoir envoyé une quinzaine de lettres avec accusé réception aux médias ayant fait la promotion de 2 livres parus récemment faisant l’apologie de la gauche, alors qu’ils n’avaient pas dit un mot de 2 autres livres critiquant vivement la gauche.

    Nous avons lancé notre action pour une meilleure égalité médiatique concernant le traitement de la gauche le 26 novembre 2012, où nous citions tous les médias ayant parlé des livres récents de Caroline Fourest et de Jacques Julliard, mais pas de ceux de Bruno de la Palme et de Jean Robin (auteur de cet article). Voici les preuves de ces accusés réception, qui contenaient la lettre que nous publions ici. A noter que seul l’un d’entre vous a participé en envoyant une lettre avec accusé réception, donc ce ne pourra qu’être mieux la prochaine fois (toujours voir le côté positif). 

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire