• http://liesidotorg.wordpress.com/2013/01/25/deutsche-bank-sur-le-point-de-perdre-son-statut-d-intouchable/

    Deutsche Bank est sur le point de perdre son statut d’« intouchable »

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    Depuis le début de la crise financière en juillet 2007, Deutsche Bank, la plus grande institution financière privée allemande, se sentait protégée par son prétendu statut de « trop grosse pour être poursuivie ». Ce n’est plus le cas depuis le 12 décembre, date à laquelle 500 policiers ont effectué une descente surprise dans les deux tours de la banque à Francfort. Cinq cadres supérieurs ont été arrêtés, des ordinateurs et d’autres documents saisis. L’enquête concerne nominalement une évasion fiscale liée à de faux achats de certificats de droits d’émission de CO2, pour lesquels la banque a injustement obtenu le remboursement de taxes sur la valeur ajoutée à hauteur de 300 millions d’euros.

    Les rôles de son co-président, Jürgen Fitschen, et de son directeur financier, Stefan Krause, dans la signature de la déclaration d’impôt de la banque en 2009 font aussi l’objet d’une enquête, bien qu’ils n’aient pas été arrêtés. Par contre, les principaux experts de la banque en matière juridique et de blanchiment sont accusés d’avoir supprimé d’importantes données bancaires et de ne pas avoir communiqué aux autorités des éléments relatifs au blanchiment d’argent.

    Si l’affaire d’évasion fiscale peut être rapidement réglée – par le remboursement des 300 millions d’euros par Deutsche Bank, en plus d’une amende – une autre enquête sur les pratiques de la banque en 2008 pourrait s’avérer plus dommageable. Un donneur d’alerte américain, Ben Artzi, affirme que la banque a dissimulé des milliards de dollars de pertes dans son portefeuille de titres en 2008. La SEC américaine mène l’enquête, pour laquelle les éléments saisis le 12 décembre à Francfort pourraient être tout-à-fait intéressants.

    Analyste quantitatif des risques à Deutsche Bank depuis début 2010, Ben Artzi a découvert qu’entre la mi-2007 et 2010, la banque n’avait pas correctement valorisé un portefeuille de dérivés complexes appelés leveraged super senior (LSS). Avec un portefeuille de 120 à 130 milliards de dollars en valeur notionnelle,

    Deutsche Bank était à l’époque le premier détenteur de LSS sur le marché. Si elle avait correctement fait état de ses pertes lors du premier pic de la crise à l’automne 2008, la banque aurait pu devenir l’équivalent allemand de Lehman Brothers.

    Le Financial Times laisse entendre que la banque pourrait avoir couvert des pertes allant jusqu’à 12 milliards de dollars. Loin d’être « trop grosse pour faire faillite », Deutsche Bank est un bon exemple de pourquoi une séparation des banques à la Glass-Steagall est plus que jamais nécessaire. (Source : Strategic Alert)

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  • Pour l'année 2012, après 5 mois de gouvernance UMP et 7 mois de gouvernance PS, le constat est sans appel, plus 10% de demandeurs d'emplois en un an c'est un constat d'echec de la politique UMPS.

    La politique UMPS menée, qui est une politique européenne, elle démontre une nouvelle fois qu'elle n'est pas compatible et elle est inadapté à la société actuelle. Le protectionnisme intellegent aux frontières afin de conserver les usines, une fiscalité compétitive créatrice d'emplois pérénnes et non assistés, une immigration zéro provoquerait un allègement des charges de l'état dans l'assitanat de la misère du monde, sur la sécurité le social le logement les emplois etc.....

    Seul le FN présente un programme adapté.

    Patriote64

    http://www.atlantico.fr/pepites/chomage-en-france-3-132-900-demandeurs-emplois-fin-2012-soit-10-plus-qu-en-2011-618419.html

    Chômage en France : 3 132 900 demandeurs d'emplois fin 2012, soit 10% de plus qu'en 2011

    En décembre, la hausse est par ailleurs plus forte si l'on tient compte des demandeurs d'emploi qui travaillent à temps partiel.

    Les chiffres sont tombés ce vendredi vers 18h00. Selon les chiffres du ministère du Travail, le nombre de demandeurs d’emploi a augmenté de 300 en décembre 2012 par rapport à novembre 2012. Le chômage signe ainsi un vingtième mois consécutif de hausse, même minime, et se rapproche encore un peu plus du record, de 21 mois ininterrompus entre mars 2008 et novembre 2009. Il y a donc 3 132 900 chômeurs (catégorie A uniquement, sans les DOM).

    Dans un communiqué, le gouvernement assure que les outils mis en place cette année, comme le contrat de génération ou encore les emplois d’avenir, permettront de contenir de nouvelles hausses. Une promesse à laquelle l’Assurance-chômage n’adhère pas : elle table de son côté pour 185.000 nouveaux chômeurs en 2013.

    En tout, avec l'ensemble des catégories (A, B et C, DOM inclus), la France compte 4,9 millions de chômeurs.


     

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  • http://www.valeursactuelles.com/delano%C3%AB-bobo-maire-sectaire20130123.html

    Delanoë, bobo, maire et sectaire

    Socialistes. En réclamant un “dédommagement” à la suite de la “manif pour tous”, le maire de Paris démontre, une fois encore, son dogmatisme.

     

    Cent mille euros : c’est la somme que réclame Bertrand Delanoë au ministère de l’Intérieur pour la réfection du Champ de Mars. Dans le viseur du maire de Paris, les organisateurs de la “manif pour tous” du 13 janvier, coupables, à ses yeux, d’appartenir au mauvais camp sur le projet de “mariage pour tous”. Guettée par l’asphyxie financière de son collectif, Frigide Barjot, porte-parole de la “manif pour tous”, a déjà opposé une fin de non-recevoir au maire de Paris : « S’il faut replanter le Champ de Mars, on le replante, mais on n’a pas 100 000 euros. »

    Valeurs actuelles peut cependant le révéler : le Champ de Mars n’a pas souffert de la mobilisation massive du 13 janvier. Dès 20 h 30, ce jour-là, l’adjoint aux espaces verts du VIIe arrondissement de Paris, René-François Bernard (UDI), envoyait ce SMS à ses collègues : « Superpropreté. Pelouses jusque place Rueff RAS. » Seul le gazon situé juste devant la tour Eiffel a été endommagé : la neige fondue a embourbé le carré des personnalités.

    Infondé, cet acharnement du maire de la capitale l’est d’autant plus que, le 27 janvier, aura lieu la soirée de soutien au projet de “mariage pour tous” au Théâtre du Rond-point, financée pour moitié par… la Ville de Paris.

    Un “deux poids, deux mesures” qui, loin de son image, est la marque de fabrique de Delanoë. Profitant d’une cérémonie de voeux à la mairie de Paris, il a rappelé sa volonté de faire aboutir la réforme du mariage et distribué le livre le Sel de la vie de l’ethnologue Françoise Héritier, proche de Martine Aubry et fervente partisane du mariage homosexuel. Le 14 juillet 2011, le maire de Paris prêtait aussi gratuitement “son” Champ de Mars à l’association SOS Racisme pour un concert, financé par une subvention municipale de… 230 000 euros. Maire militant, Delanoë célèbre chaque année le ramadan, sans aucune mention des fêtes chrétiennes. Autres initiatives récentes : l’hommage d’octobre 2012 à l’ancien chef de la CGT et dirigeant communiste Henri Krasucki ou encore les subventions accordées à l’association Macaq, dirigée par un élu PS au coeur d’un scandale de sous-location de squat il y a un an…

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  • http://lci.tf1.fr/monde/europe/referendum-les-britanniques-choisiraient-de-quitter-l-ue-7792106.html

    Référendum : les Britanniques choisiraient de quitter l'UE

    Selon un sondage, si le référendum promis par David Cameron était organisé aujourd'hui, 40% des Britanniques voteraient en faveur d'une sortie de l'Union Européenne tandis que 37% choisiriaient d'y rester.

    Alors eurosceptiques ou pas les Britanniques ? Selon un sondage publié vendredi par le quotidien The Times, ils choisiraient de quitter l'Union européenne si le référendum promis par le Premier ministre David Cameron était organisé aujourd'hui. Selon ce premier sondage réalisé depuis l'annonce mercredi de la tenue d'ici la fin 2017 d'un référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l'UE, 40% des personnes interrogées voteraient en faveur d'une sortie et 37% accepteraient d'y rester. Extrapolant le vote des 23% d'indécis, le sondage réalisé par l'institut Populus pour le Times estime que 53% des Britanniques sont favorables à une sortie de l'UE, contre 47% qui veulent rester au sein de l'Union.
     
    David Cameron s'est engagé mercredi sous la pression des eurosceptiques à organiser d'ici la fin 2017 un référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans une UE préalablement réformée, suscitant l'inquiétude de ses partenaires européens. "Faute de réformes, le danger est que l'Europe échoue et que les Britanniques dérivent vers la sortie", a-t-il prévenu. "Si nous quittons l'Union européenne, ce sera un aller simple, sans retour", a-t-il affirmé dans un discours-clé sur l'Europe prononcé à Londres. Le sondage réalisé jeudi auprès de 2.000 Britanniques suggère que beaucoup de votants se sont déjà forgé une opinion.
     
    Le Premier ministre britannique David Cameron s'est efforcé jeudi à Davos de rassurer responsables politiques et hommes d'affaires, réunis comme chaque année dans cette station de ski suisse, après son discours très controversé sur la place de son pays en Europe. "Il ne s'agit pas de tourner le dos à l'Europe, bien au contraire. Il s'agit de savoir comment parvenir à une Europe plus compétitive, plus ouverte et plus flexible, et assurer la place du Royaume-Uni en son sein", a déclaré M. Cameron, devant des dizaines de responsables politiques et grands patrons, dont beaucoup n'ont pas caché leur inquiétude.


     
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  • http://www.lecri.fr/2013/01/24/davantage-dimpots-et-de-taxes-pour-9-francais-sur-10/38390

    Davantage d’impôts et de taxes en 2013 pour 9 Français sur 10

    sondage cri 107

    86% des Français estiment que le montant des impôts et taxes qu’ils payeront en 2013 sera plus élevé qu’en 2012.

    Le Cri du Contribuable a confié à l’Institut CSA la réalisation d’une enquête sur la perception qu’ont les Français de la politique économique du gouvernement et leurs anticipations pour 2013 en matière de pouvoir d’achat.

    Alors que les perspective de croissance pour l’année à venir s’avèrent pessimistes, les personnes interrogées manifestent très majoritairement leur défiance à l’encontre du gouvernement.

    De plus, elles anticipent une baisse de leur pouvoir d’achat et s’attendent à payer davantage d’impôts tout en estimant que les efforts financiers demandés ne sont pas équitablement répartis.

    Lire le sondage

    Les Français doutent majoritairement de la capacité du gouvernement à atteindre ses objectifs sur le front économique.

    A peine plus d’un quart des personnes interrogées (26% exactement) lui font confiance pour rétablir l’équilibre des finances publiques, 23% pour relancer la croissance économique et seuls 21% pour faire baisser le chômage.

    Pour toutes ces dimensions, le gouvernement peut se prévaloir du soutien d’une majorité de sympathisants de gauche. Toutefois, la proportion de personnes ne faisant pas confiance au gouvernement atteint parmi ces derniers des niveaux non négligeables.

    A titre d’exemple, 36% des sympathisants de gauche déclarent ne pas faire confiance au gouvernement pour rétablir l’équilibre des finances publiques et ils sont plus de quatre sur dix (43%) à exprimer leur défiance quant à sa capacité à faire baisser le chômage.

    A ces niveaux de défiance très élevés s’ajoute l’anticipation très répandue d’une baisse du pouvoir d’achat en 2013. Près de trois Français interrogés sur quatre (73%) pronostiquent pour l’année à venir une diminution de leur pouvoir d’achat, 18% pensent qu’il va rester stable et seuls 7% le voient augmenter.

    Notons que les perspectives des Français pour 2013 s’avèrent nettement moins bonnes que celles (déjà mauvaises) observées fin 2011 pour 2012.

    La proportion de personnes interrogées estimant que leur pouvoir d’achat baissera au cours des douze prochains mois progresse ainsi de 10 points en un an (-5 pour l’amélioration et -6 pour la stabilité).

    Cette anticipation d’une baisse du pouvoir d’achat en 2013 s’avère majoritaire auprès de l’ensemble des catégories de population. Signalons toutefois qu’elle croît sensiblement avec l’âge des personnes interrogées, la fréquence des mentions passant de 46% chez les 18-24 ans à 88% chez les plus de 65 ans.

    Les jeunes sont d’ailleurs ceux qui manifestent le plus fréquemment leur optimisme (très relatif) : 15% des 18-24 ans et 12% des 25-34 ans estiment que leur pouvoir d’achat progressera au cours de la prochaine année, contre 1% des plus âgés.

    Cette détérioration des anticipations en matière de pouvoir d’achat doit bien entendu beaucoup au contexte économique et social, aux difficultés et aux craintes qu’il suscite.

    Toutefois, la politique fiscale du gouvernement, telle qu’elle est perçue par les personnes interrogées, peut elle contribuer à renforcer ce sentiment au sein de la population.

    Près de neuf Français sur dix (86%) estiment ainsi que le montant des impôts et taxes qu’ils payeront en 2013 sera plus élevé qu’en 2012. 9% considèrent qu’il sera identique et seuls 2% qu’il sera moins élevé.

    A ce propos, 75% des personnes interrogées considèrent que les efforts financiers demandés aux Français pour l’année 2013 ne sont pas équitablement répartis entre les différents catégories de population, seuls 18% exprimant un avis contraire.

    Ce manque d’équité est majoritairement ressenti par toutes les catégories de population (78% chez les ouvriers et 63% chez les cadres par exemple), y compris chez les électeurs de François Hollande au premier tour de l’élection présidentielle (55%) et plus généralement parmi les sympathisants de gauche (58% contre 85% à droite).

    Yves-Marie Cann, Institut CSA.

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  • http://www.20minutes.fr/monde/algerie/1086593-corps-yann-desjeux-otage-francais-tue-algerie-arrive-france

    Le corps de Yann Desjeux, l'otage français tué en Algérie, est arrivé en France

    Des proches de Yann Desjeux accueillent son cercueil à l'aéroport de Roissy où la dépouille de l'otage tué lors de l'assaut par l'armée algérienne contre un site gazier du Sahara est arrivée le 24 janvier 2013

    Des proches de Yann Desjeux accueillent son cercueil à l'aéroport de Roissy où la dépouille de l'otage tué lors de l'assaut par l'armée algérienne contre un site gazier du Sahara est arrivée le 24 janvier 2013 Bertrand Langlois afp.com

    IN AMENAS - Le corps sera autopsié à Paris avant l'enterrement, la semaine prochaine...

    Le corps de Yann Desjeux, l'otage français tué lors de l'assaut par l'armée algérienne pour libérer les personnes retenues sur un site gazier du Sahara, est arrivé jeudi matin à l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle. La dépouille a été accueillie par la famille du défunt, âgé de 52 ans, lors d'une cérémonie intime à laquelle a assisté la ministre déléguée des Français de l'étranger, Hélène Conway-Mouret, animée par l'aumônier catholique de l'aéroport. Le corps a ensuite été escorté par les proches du défunt jusqu'à un corbillard, sur les pistes.

    «Après l'espérance et la colère vient enfin le temps de l'apaisement: Yann est rentré», a dit son frère, Bruno Desjeux, dans une brève déclaration à la presse. «Ses enfants, sa famille et ses amis vont enfin pouvoir se réunir pour se recueillir et lui rendre un dernier hommage. La générosité, la simplicité, le courage et le sens du devoir ont toujours guidé sa vie personnelle et professionnelle», a souligné Bruno Desjeux. Au nom de deux fils du défunt, il a remercié le président de la République François Hollande «pour son soutien personnel, ainsi que les équipes du quai d' Orsay», dont le centre de gestion de crise a géré l'arrivée, «des gens exceptionnels», selon Bruno Desjeux.

    Autopsie effectuée en France

    Yann Desjeux, un ancien adjudant-chef du Régiment de parachutistes de l'infanterie de marine de Mont-de-Marsan (Landes), s'occupait de la logistique sur la base de vie du site gazier où a eu lieu la prise d'otages. Il avait ouvert depuis un an et demi un restaurant à Anglet (Pyrénées-Atlantiques). «La semaine prochaine Yann retrouvera son cher Pays Basque où ses fidèles amis et compagnons d'armes lui rendront les honneurs, il reposera à Bayonne», a encore dit son frère. L'enterrement n'aura lieu que la semaine prochaine, après l'autopsie du corps dans le cadre de l'enquête ouverte par le parquet de Paris pour «enlèvement suivi de mort en relation avec une entreprise terroriste».

    Il a enfin partagé la joie de la famille de Florence Cassez libérée mercredi par la Cour suprême du Mexique, qui doit atterrir à Roissy jeudi après-midi, dans le même pavillon de réception où la dépouille de Yann Desjeux a été accueillie par sa famille. «Florence Cassez rentre cet après-midi a Paris, ce sera notre rayon de soleil», a-t-il dit.

     

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  • Alors que les retraites sont remises sur le tapis pour des taxations et des réductions supplémentaires par la gauche au pouvoir très social libérale, à tel point qu'il devient de plus en plus difficile de les dissocier de l'UMP, je remet en lecture un article de Juin 2012 lu sur Agoravox.

    Face à la décripitude des comptes des caisses de retraites complémentaires, la gauche emet trois axes de travail pour renflouer les caisses. Evidement connaissant leur limite visuelle et intellectuelles pour analyser une situation afin d'en découvrir les causes, leurs solutions s'avèrent simples, réduction des retraites, taxation de celles ci etc.....

    Aucune étude ou remise en question sur les régimes spéciaux, ni même d'ailleurs sur les retraites versés aux étrangers qui n'ont jamais cotisé en France, plus de 750 euros par mois.

    Non décidément ces socialistes sont de vrais incapable,jamais ils n'affronteront les probèmes en face, afin de les régler avec le courage des hommes!

    Patriote64

     http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/des-retraites-plus-egaux-que-d-118109

    Des retraités plus égaux que d’autres ?

    Dans « la Ferme des animaux », de Georges Orwell, un cochon de gôche révolutionnaire, idéaliste et généraux, trace au début du récit sur la porte de la grange du fermier, leur ancien maître, que « tous les animaux sont égaux ».

    A la fin, un autre cochon de gôche lui aussi, révolutionnaire mais plus malin, et plus cynique, rajoutera « mais il y en a qui sont plus égaux que d'autres ».

    Curieusement, c'est au nom de l'égalité qu'a été promulgué par décret ce retour partiel, très partiel, du gouvernement Ayrault à la retraite à soixante ans, dans des conditions très particulières, et très spécifiques qui concerneront en France un peu plus de 110 000 personnes.

    Certains mauvais sujets, ou mauvaises langues, verraient là une mesure strictement électoraliste prise en hâte juste avant les législatives afin de s'assurer du vote de quelques dizaines de milliers de citoyens. C'est malgré tout une coïncidence bien étrange.

    Enfin, tant qu'à pousser le raisonnement sur la justice nécessaire dans la réforme des retraites jusqu'au bout, ce serait beaucoup plus équitable de supprimer tous les régimes spéciaux en vigueur actuellement en France, mais évidemment, ce serait prendre le risque du courage politique et donc de l'impopularité quasiment assurée en France quand on s'attaque aux z-acquis de quelques uns.

    Ce sont d'ailleurs les bénéficiaires de ces régimes qui sont les premiers à descendre dans la rue lors de la moindre ébauche, même embryonnaire, de la moindre réforme de ces régimes particuliers, et non les plus précaires sur ce sujet.

    On s'amuserait presque quand on lit que certaines primes largement méritées il y a soixante ans, comme la « prime charbon » des cheminots est toujours perçue par eux en 2012, alors que je pense qu'il n'y a plus tellement de motrices à vapeur.

    Est-il juste que certains salariés aient leur retraite calculée sur la base de leurs six derniers mois de carrière et les autres sur la base des vingt-cinq dernières années ?

     

    Ce qui oblige de ces personnes à travailler parfois jusqu'à soixante-cinq ans passés et ce par obligation afin de bénéficier d'une retraite à plein taux.

    Que ce soit à la radio ou à la télévision, d'ailleurs, ce retour extrêmement partiel à la retraite à soixante ans est présenté comme un retour global pour tout le monde, au son du clairon presque, au sein du concert « hollandolâtre » qui prévaut depuis quelques temps, notre saint président normal qui fait tout comme le monde, le bon peuple s'y laissant prendre, alors que c'est juste une comédie un rien sinistre.

    image prise ici sur le site de RTL

    En parlant de président « normal », et son gouvernement anodin donc, si j'ai bien compris, certains éditorialistes européens, mauvais esprits, mauvais sujets, ont cru bon d'ironiser sur le fait qu'il faudra bien de temps utiliser les avions affrétés spécialement pour les ministres quand ceux-ci devront être rapidement transportés d'un point à un autre, et ce de manière plus urgente que le train ou les lignes régulières aériennes.

    Cette mesure est financée par une augmentation des cotisations de tous les salariés, y compris ceux qui ne sont pas concernés, et de celles des patrons. La plupart du temps, ce sont des « baby-boomers » qui lancent ces idées, cette génération parfaitement irresponsable qui a profité à plein régime de la société cossue des « Trente Glorieuses » et qui maintenant qui compte bien que la génération suivante qui paye les conséquences de cette irresponsabilité finance leurs retraites pour conserver le même niveau de vie qu'auparavant.

    Rappelons aussi que les « baby-boomers  » ont jugé bon de ne pas faire beaucoup d'enfants, et de ne pas éduquer il est vrai ceux qu'ils ont conçu, se justifiant de leur laxisme en restant là aussi au niveau des belles intentions.

    Alors à ce niveau de la réflexion, il en est pour invoquer pour le financement des retraites une taxe spéciale sur les produits financiers, et d'autres pistes d'ailleurs hélas ignorées :

    Comment serait-elle perçue ? Par qui ? Quand ? Pour qui ?

    A toutes ces questions, ceux qui prônent cette solution n'ont pas vraiment de réponse bien claire, seulement des déclarations d'intention bien nébuleuses, très floues. Curieusement, parmi les promoteurs de ces méthodes, on trouve surtout des bénéficiaires des régimes spéciaux qui n'ont pas à se poser la question du financement de leurs retraites.

    Alors bien sûr, ces personnes bénéficiant des régimes spéciaux ne sont pas des millionnaires, et font partie pour la plupart des classes moyennes, mais ce sont malgré tout des privilèges objectifs. Ce qui fait désordre quand on les invoque au nom de la justice et de l'équité.

     
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  • http://www.lecri.fr/2013/01/24/un-exemple-deffet-pervers-du-droit-du-travail-francais/38419

    Un exemple d’effet pervers du droit du travail français

    En France, certains salariés sont plus égaux que d’autres. Ainsi en est-il des salariés « protégés », comme les délégués du personnel ou les membres des comités d’entreprises. Comme au bon vieux temps, leur licenciement doit être soumis à l’autorisation de l’inspection du travail. Et quand l’inspecteur est tatillon sur le droit du travail, cela peut se retourner contre eux.

    C’est le cas d’une poignée d’entre eux, à Fontenay-le-Comte en Vendée. Leur entreprise a été liquidée, l’ensemble des salariés non protégés licenciés (vu que l’entreprise n’existe plus) mais pas les salariés protégés, car il y aurait eu vice de forme.

    Toujours salariés d’une entreprise qui n’existe plus, ces victimes de la bureaucratie de l’inspection du travail ne touchent ni salaire, ni indemnité chômage (ils sont salariés) et ne peuvent démissionner (ils seraient privés d’indemnités).

    Et cela fait 3 mois que ça dure… Encore un exemple de l’inadéquation de plus en plus frappante du droit du travail français avec la réalité, qui à force de vouloir protéger, installe les salariés dans la précarité.

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