•  Les chiffres du chômage de janvier 2013, 46000 chômeurs de plus ?????

    Radiations des listes A,B,C,(D,E) de Pôle Emploi par motifs, Janvier 2013 :
     
    - Défauts d'Actualisation : 196 500, 47 % des sorties des listes 
    - Radiations Administratives (les punis) : 19 000, 4,5 % des sorties

    - Autres Cas ( mystérieuse rubrique, les morts, suicidés, emprisonnés ?) : 49 500 11,9 % des sorties.
     
    soit 265 000 radiés des listes ( 63,4 % ) pour autres motifs que :
     
    - Stages parking : 30 800, 7,4 % des sorties.

    - Arrêts maladie, maternité etc : 34 300, 8,2 % des sorties.
     
    Reprises d'emploi déclarées : 87 600, ne représentent que 21 % des sorties des listes de pôle emploi, et encore, y compris contrats aidés, etc ..
     
    Demandeurs d'emploi par catégories :

    A : 3 169 300 + 1,4 % ( + 10,7 % sur 1 an )
    B : 624 900 + 1,5 % ( + 11,7% sur 1 an )
    C : 886 000 + 0,9 % ( + 5,4 % sur 1 an )
    D : 260 800 - 0,8 % ( + 9,6 % sur 1 an )
    E : 353 800 - 0,9 % ( - 4 % sur 1 an )

    TOTAL : 5 294 800 ( données corrigées ), hors DOM TOM, soit + 8,7 % sur 1 an, + 46 000 en 1 mois.
     
    TOTAL, dom-tom compris : 5 748 300 ( page 15 du rapport de la DARES, lien en bas de page )

    Quelques chiffres qui parlent :
     
    Chômage Longue durée ( entre 2 et 3 ans ) : + 9,3 % sur 1 an
    Chômage Très Longue Durée + de 3 ans : + 18,5 % sur 1 an

    Chômage des 50 ans et +, + 54% sur 1 an

     

    + d'1 chomeur inscrit à pôle emploi sur 2 ( 51,3 %)ne perçoit AUCUNE INDEMNITE, ni ARE (allocation retour à l'emploi), ni allocation de solidarité ( ASS, AER ...)

    Offres d'emploi dispo, dernier chiffre connu : 129 391

     Le + scandaleux,LES DEMANDEURS d'EMPLOI INVISIBLES, complètement en dehors des statistiques
     
    Ne sont pas comptés dans ces 5 748 300 demandeurs d'emploi et travailleurs pauvres occasionnels :
     
    1 282 800 foyers bénéficiaires du RSA, en effet sur 2 100 000 environ de foyers (chiffre sous estimé datant de l'an passé) , seuls 817 200 sont inscrits à Pôle Emploi, les autres bénéficient d'autres suivis ( associations, collectivités locales etc ) en sachant qu'un foyer bénéficiaire, comporte parfois + d'un demandeur d'emploi en son sein.
     
    + 1 000 000 au bas mot, de bénéficiaires de l'AAH ou d'une pension d'invalidité, ne sont pas inscrits à Pôle emploi
     
    + des centaines de milliers, voire peut être + d'1 million de SANS-DROITS, principalement :
     
    - des jeunes de moins de 25 ans, primo demandeur d'emploi, qui comme vous le savez n'ont même pas droit au RSA. ( quasi unique en Europe )
     
    - des sans droits, pour motif, dépassement des plafonds de ressources dans le foyer, exemple, votre conjoint(e) perçoit 650€ d'allocation chomage, ou 743€ d'allocation adulte handicapé, vous n'aurez même pas droit au RSA, car vous dépasserez le plafond couple qui est de 608€ par mois, si vous ètes NON SDF.
     
    - on peut parler également de retraités qui cherchent un emploi car leur retraite ne couvre pas les charges fixes pour survivre ( loyer, énergie, assurances, voiture, téléphone, eau, nourriture, santé (lunettes, dentiste ..) incalculable

    - des bénéficiaires de pensions de reversions ( veufs, veuves ) de 55 ans et +, qui dépassent les plafonds du RSA, et qui n'ont pas encore l'age pour la retraite ou le minimum vieillesse "ASPA" ( 67 ans) ASPA récupérable sur le patrimoine au décès.

    - des bénéficiaires de pensions alimentaires qui dépassent les plafonds du RSA

    - on peut également évoquer, des étudiants, boursiers ou non, qui cherchent des petits jobs alimentaires, qui sont donc bien demandeurs d'emploi, en concurrence avec les autres ( même si beaucoup sont aussi exploités en stages sous payés, voir gratuits)
     
    - on peut évoquer enfin, des auto-entrepreneurs, qui ne gagnent rien ou presque, et sont demandeurs d'emploi en parallèle.
     
    Faites le calcul vous même, on arrive au total, à + de 9 MILLIONS demandeurs d'emploi en France, et travailleurs pauvres occasionnels.
     
    Sources : Rapport complet de la DARES de 22 pages (et non pas le simple communiqué de presse envoyé aux médias ) : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/p...

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  • http://zebuzzeo.blogspot.fr/2013/02/l-etat-francais-bout-de-souffle-et-d.html

    lundi 25 février 2013

    L' Etat Français à bout de souffle et d 'idées : Les carottes sont cuites

     
     
    L'Etat français est sur le qui vive, à un point tel qu'il en est arrivé maintenant à jouer le bandit de grand chemin, jugez-en: après la volonté de taxer les prestations familiales (donc "une taxe sur une taxe" comme l'a résumé Jean-Michel Apathie, totalement écoeuré).
     
    Constat sidéré d'Apathie: quand un pays en arrive là, c'est que les carottes sont cuites. Du coup, les paysans français, désespérés, s'attaquent à leurs politiques de... gauche!!! Ca ne vous rappelle rien? Preuves: des paysans se sont attaqués au domicile d'une députée PS nous apprend Ouest France tandis qu'ailleurs d'autres s'en prennent au ministre de l'Agriculture,Mr Le Foll: "Peu avant 3 heures du matin, un cortège de 12 tracteurs et remorques s'est dirigé vers la maison de Stéphane Le Foll, à Berrien, dans le centre du Finistère", merci à notre lecteur, Gérard.
     
     
    Pour ma part, dans cette revue de presse et dans le courrier des lecteurs, je vois émerger un phénomène nouveau depuis quelques semaines, celui des agressions violentes de type attaque de diligence du Far West par les Sioux au plus petit niveau. Les chiffres s'affolent par leur nombre croissant et surtout dérisoire du butin. Des braquages violents pour 40 euros de fond de caisse... D'abord un train de marchandises, puis un TGV, puis des automobilistes et maintenant des bus RATP, des cafés, etc.
    C'est sûr, les pauvres gens ne peuvent pas se défendre. Les effets pervers et violents de la crise (qui est censée être derrière nous) sont maintenant visibles et palpables partout, et plus encore dans la France profonde dont le tissu de l'emploi est toujours détruit pme après pme (voir la carte de la région de Lille réalisée par la Voix du Nord).
    Après Malik Bouthi, même le magazine gauche-asperge Marianne (peu suspect d'être de droite) vient de lacher Hollande avec une "Une" qui constate la mort de la Classe Moyenne française à cause de tous les impôts nouveaux mis en place depuis 8 mois par le PS.. Ils sont lourds à la détente les gens de Marianne, ils n'ont juste que... 5 ans de retard!!! En revanche, je soupçonne que la vitesse avec laquelle ils viennent de retourner leur veste soit imputable à la baisse de leurs ventes au numéro et surtout aux lettres et mails de dégoût envoyés à la rédaction par les lecteurs, ecoeurés de la politique de l'Elysée. Marianne dit par exemple que la décision de taxer les heures supplémentaires a été une folie.
    En effet, je crois sincérement que si l'équipe de Hollande avait fait une réunion sur le thème "Comment déclencher une nouvelle Révolution en France?", ils n'auraient pas pu trouver de meilleures idées. Félicitations donc aux énarques. Ils sont en train de verser joyeusement de l'essence sur le feu social qui couve, mais qui nous a déjà donné au moins 2 personnes immolées dans un Pôle Emploi.
    Soyez sûrs que les télévisions seront encore plus muselées. Seul point: certains "printemps" arabes ont commencé avec des immolations. (Lire à ce sujet l'éditorial au fusil de chasse à canon scié du jeune Charles Consigny ici dans le Point) .
    PS: Hollande a annulé le jour de carence pour les fonctionnaires...c'est vous dire combien il n'est pas à l'aise en ce moment...
    PS2 : "Chaque mois, 10 contribuables ayant des patrimoines financiers conséquents quittent la France", lire le Figaro, merci au Capitaine.
    PS3: L'animateur Arthur se délocalise au Luxembourg... Courage fuyons. 
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  • http://lagauchematuer.fr/2013/02/25/les-mesures-de-francois-hollande-sont-insuffisantes-%c2%ab-pour-inverser-la-courbe-du-chomage-%c2%bb/

    Les mesures de François Hollande sont insuffisantes « pour inverser la courbe du chômage » !

    Aujourd’hui la principale préoccupation des français est le chômage. Notre pays connait un niveau de sans-emploi jamais atteint dans son histoire, ainsi depuis la prise de pouvoir de François Hollande chaque jour c’est 1000 personnes qui perdent leur travail. Le pourcentage de chômeurs est donc de 10,5% et sera d’après la Cour des comptes de l’ordre de 11% en fin d’année.

    Malgré l’ampleur de la tâche, François Hollande a mis en place quelques mesurettes qui ne permettront pas à notre pays « d’inverser la courbe du chômage » suivant les mots du Président de la République.

    Le contrat de génération a été définitivement adopté par le Parlement le 14 février. Le ministre du Travail, Michel Sapin, en attend 500.000 d’ici la fin du quinquennat pour un coût estimé à environ 1 milliard d’euros. Il s’agit pour les entreprises de moins de 300 salariés d’une aide (de 4.000 euros par an) en cas d’embauche en CDI d’un jeune de moins de 26 ans, assortie du maintien dans son emploi jusqu’à la retraite d’un senior de 57 ans. Ce contrat l’arme numéro de François Hollande contre le chômage est voué à l’échec. D’abord parce que ce contrat est un de ces énièmes plans senior qui n’ont pas connu un succès exceptionnels. Pour les PME qui ont des seniors dans leur effectif et qui envisageaient déjà de créer des emplois, cela peut représenter un effet d’aubaine. Mais ce n’est pas ce type d’aides qui va provoquer des embauches.

    La deuxième mesurette Hollande est le « Contrat d’avenir » qui doit permettre aux jeunes des cités de moins de 26 ans de trouver un travail généralement dans la fonction publique. Il s’agit de l’ancien « Emploi jeune » des années Jospin un peu dépoussiéré afin de le rendre plus présentable. L’Etat prendra en charge 75% de la rémunération durant trois ans. Michel Sapin espère 100.000 contrats de ce type cette année, puis 50.000 en 2014. Aujourd’hui 3 mois après sa mise en place seul 5000 jeunes ont signé un de ces contrats. Comme écrit plus haut, une mesure qui a connu l’échec sous Jospin ne peut tout à coup devenir la solution miracle de l’emploi des jeunes. Et puis entre nous, il faut arrêter de vouloir régler le chômage d’une catégorie de français par de l’emploi public.

    Le troisième outil est l’accord du 11 janvier réformant le marché du travail. Seulement cet accord ne sera retranscris en projet de loi seulement avant l’été soit dans 6 mois. Et puis celui-ci ne va pas assez loin et reprend les énièmes mêmes ficelles comme la sécurisation de l’emploi ou la taxation des Contrats à Durées Déterminés.

    Enfin, Hollande pense que le crédit d’impôt dénommé Crédit d’investissement compétitivité emploi (CICE) va être le succès annoncé. Mais entre nous le coût du travail en France est très largement supérieur à nos voisins européens et cet outil ne permettra aux entreprises de bénéficier seulement d’allègement de charge de 3% cette année et de 6% dès l’année prochaine. Ca en devient ridicule !

    Pour que le chômage baisse de façon significative le gouvernement doit faire 4 importantes réformes :

    -          Baisser fortement le coût du travail, en augmentant la TVA de 5 points ce qui permettrait de dégager 50 milliards d’€/an et de les consacrer à la baisse des charges patronales mais aussi salariales.

    -          Supprimer les 35 heures qui sont un frein à l’embauche et coûtent 22 milliards d’€/an à la collectivité.

    -          Réformer en profondeur le CDI afin de le rendre le moins rigide possible.

    -          Privatiser Pôle Emploi afin que cela devienne une structure efficace pour la recherche d’emploi.

    Car notre pays a besoin de réformes très fortes, comme il n’en a pas connu depuis 30 ans. Toute mesurette comme celle qui ont été annoncées ou votées ne serviront à rien. Mais François Hollande s’obstine par manque de courage, car il devra affronter les syndicats s’il va aussi loin, et bien entendu le courage n’est pas le point fort de François Hollande. Seulement en continuant à bidouiller comme il le fait actuellement le chômage ne sera pas de 11% mais se rapprochera plutôt des 20% à la fin du quinquennat. C’est d’ailleurs à se demande s’il ne s’agit pas du but recherché !

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  • http://satirique.canalblog.com/archives/2013/02/26/26515740.html

    Mineurs étrangers : Bientôt une «réforme» pour mieux les répartir sur le territoire français 

    boukaques oust 2

    Le gouvernement peaufine une réforme de l’accueil des mineurs étrangers sans famille qui vise à soulager les finances des départements vers lesquels ils affluent, a-t-on appris aujourd’hui de sources concordantes. Le ministère de la Justice a préparé une circulaire sur les mineurs étrangers isolés, a dit Pierre Henry, directeur général de l’association France Terre d’Asile (FTA), qui a eu accès à une version de travail du document.

    De 7 à 8000 mineurs étrangers vivent seuls en France. Ils ont droit à une protection au même titre que tous les mineurs en situation de fragilité.

    Selon ce texte, l’Etat prendra en charge le jeune pendant les cinq jours suivant son arrivée en France, le temps d’évaluer son âge. A l’issue de cette période, si la minorité est avérée, il sera affecté à un département en vue d’une répartition de ces mineurs sur tout le territoire. […]

    Compétents en matière de protection de l’enfance, les conseils généraux sont chargés de financer leur scolarisation et leur hébergement. Mais leur concentration géographique fait peser une charge lourde sur certains départements, comme la Seine-Saint-Denis, Paris ou le Pas-de-Calais.

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  • http://www.acteurspublics.com/2013/02/25/l-irlande-le-pays-des-bons-et-des-mauvais-fonctionnaires

    L’Irlande, le pays des bons et des mauvais fonctionnaires

    © Superstock/SIPA

    © Superstock/SIPA

    Le gouvernement irlandais instaure de nouveaux critères d’évaluation de ses fonctionnaires. Ce système rénové de gestion des carrières, approuvé par les syndicats, classe les agents publics selon leur niveau de performance.

    Instaurer dans l’ensemble de la fonction publique irlandaise une “culture de haute performance”. Tel est l’enjeu de l’accord signé voilà quelques mois entre les syndicats de fonctionnaires et le ministre des Dépenses publiques et de la Réforme, Brendan Howlin, accord dont les dispositions entrent en application en ce début d’année 2013. L’objectif : rendre le secteur public plus efficace et remotiver des personnels impactés par les suppressions de postes imposées par la crise qui frappe durement l’économie irlandaise depuis 2008. Ces cinq dernières années, le nombre de fonctionnaires a reculé de 320 000 à 290 000, désorganisant quelque peu les administrations et mettant en lumière des failles dans la gestion RH publique.

    Particulièrement visé, le “système de gestion de la performance et du développement”, couramment appelé “PMDS” pour performance management and development system. Base de l’évaluation, de la rémunération et du déroulement de carrière des fonctionnaires, le PMDS a été régulièrement décrié, ces derniers mois, pour son manque d’impartialité et de cohérence.

    Le système repose sur une évaluation puis un classement des agents en cinq niveaux. À l’origine, le PMDS prévoyait l’attribution des notes 1 et 2, respectivement synonymes d’un niveau “insatisfaisant” et d’un “besoin d’amélioration”, à environ 30 % des agents, les notes 3 et 4 étant décernées à près des deux tiers des fonctionnaires et la note 5 réservée aux quelque 10 % les plus méritants. Seuls les agents notés de 3 à 5 pouvaient, en théorie, prétendre à une augmentation ou à une promotion. Instauré au début des années 2000, le système avait pour ambition d’identifier les fonctionnaires les plus performants et de stimuler les moins performants.

    Une croissance de 7 % jusqu’en 2008

    Mais le PMDS a très vite déraillé. Alors que la croissance soutenue – 7 % en moyenne entre 1994 et 2007 – hissait le niveau de vie du pays au quatrième rang de l’OCDE, l’État irlandais a chaque année augmenté l’ensemble de ses agents publics, ou presque. Pour répondre aux critiques de “distribution forcée” du système de notation, notamment formulées par le CPSU, l’un des principaux syndicats, les administrations et leurs managers ont ainsi rechigné à attribuer les notes basses à leurs agents.

    Puis vint la crise de 2008, l’explosion de la bulle immobilière, la faillite du système bancaire irlandais, l’appel au secours de Dublin adressé au FMI et à l’Union européenne, les coupes drastiques dans les dépenses publiques, les suppressions de postes dans l’administration… Confronté à la nécessité de réduire la masse salariale de l’État, le gouvernement a alors demandé aux chefs de service, pas toujours bien formés à l’évaluation de leurs troupes, de revoir leurs méthodes et d’attribuer effectivement des notations de 1 à 5. Et cela a coincé…

    “D’accord pour réduire la masse salariale de l’État, pas d’accord pour des évaluations et des promotions non équitables.” C’est en substance le message qu’ont adressé les organisations syndicales au gouvernement. Après avoir effectué en 2010 un audit du système d’évaluation, le ministère de la Dépense publique et de la Réforme a reconnu “un manque d’équité » dans son application, les critères retenus par les managers n’étant pas les mêmes d’une administration à l’autre. “Le PMDS peut conduire des employés satisfaisants à être injustement identifiés comme peu performants, particulièrement dans les services composés d’employés d’un même niveau”, a observé le ministère.

    La haute administration en première ligne

    Le gouvernement, dirigé par le centriste Enda Kenny, et les syndicats ont travaillé à une remise à plat du système d’évaluation de la performance des fonctionnaires pour aboutir à un accord le 26 juillet 2012. Le texte place en première ligne les cadres supérieurs du secteur public. “La haute administration devra engager les managers opérationnels dans une culture de performance”, a déclaré à l’été dernier le ministre Brendan Howlin. “Les nouvelles directives instaurent une évaluation basée sur un nouveau cadre de compétences, traduit Impact, le principal syndicat du secteur public irlandais. Les textes mettent l’accent sur le rôle de l’examinateur et sur l’introduction d’examens indépendants.”

    Des changement concrets doivent intervenir tout au long de l’année 2013, parmi lesquels la définition de normes « de qualités et de comportements professionnels” communes aux agents dont les rémunérations sont similaires. Pour chaque fonctionnaire, plusieurs chefs de service se réunissent pour assurer une évaluation objective axée sur l’efficacité passée de l’agent et sur une comparaison avec la performance d’autres employés aux activités et aux emplois similaires. “Ce processus permet aux gestionnaires publics de constituer des critères communs d’évaluation de la performance”, se félicite le ministère de la Dépense publique.

    La majorité des syndicats applaudissent, eux aussi, la création de ce socle commun. “Tous les employés seront soumis à ce nouveau système”, se réjouit le syndicat Impact. Les critères de l’évaluation des carrières ne devraient donc plus être sujets à contestation. Dans ce pays libéral, personne ne pourra donc plus contester la désignation des bons fonctionnaires et des fonctionnaires “insatisfaisants”.

    Sylvain Henry

    En chiffres
    320 000 fonctionnaires en 2008
    290 000 fonctionnaires en 2013
    4,7 millions d’Irlandais
    Les fonctionnaires sont notés de 1 à 5

    En France, la notation aux oubliettes
    L’administration française a vécu une petite révolution en janvier 2012 lorsque la notation des agents de l’État a été remplacée par un entretien individuel annuel. La fin d’un modèle d’évaluation en place depuis l’après-guerre qui devrait se diffuser dans les fonctions publiques territoriale et hospitalière avant 2015. En déclinant ainsi au secteur public une méthode venue du privé, la direction générale de l’administration et de la fonction publique (DGAFP) entend instaurer un échange avec le responsable direct du fonctionnaire pour déterminer avec lui ses objectifs professionnels et ses besoins de formation. Ce rendez-vous est important, mais n’est pas décisif dans le déroulement de la carrière des fonctionnaires. Des critères tels que l’ancienneté restent en effet déterminants. Il faut dire que les syndicats ne sont sûrement pas prêts à accueillir des classements qui départageraient les bons fonctionnaires des moins bons.

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  • Alors qu'en France comme en Europe les représentants de l'islam ainsi que les larbins français, politiques et médias crient à corps perdu le respect de l'islam, le respect de cette religion d'amour de paix et de tolérance, qu'ils crient leur indignation face au tagage de leur cimetière aussi peu de fois que cela se passe, qu'en est il dans ces pays islamiques du respect des autres, de leur tolérance, des morts occidentaux et juifs, des cimetières ?????

    Qu'elle est la réaction si peu excessive des instances anti racistes de France et d'Europe, ainsi que les instances politiques et médiatiques, du CFCM ?????

    L'islam est une relegion qui ne pourrait même pas se colporter dans une porcherie tant elle est indigne!

    Patriote64

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  • http://www.polemia.com/voyage-au-centre-du-malaise-francais-lantiracisme-et-le-roman-national/

    «Voyage au centre du malaise français L’antiracisme et le roman national » de Paul Yonnet

     
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    Le sociologue Paul Yonnet est décédé en août 2011. Insuffisamment connu du grand public, il était un collaborateur régulier de la revue Le Débat. Paul Yonnet s’est intéressé à de nombreux sujets : des loisirs à la famille, en passant par l’idéologie antiraciste. C’est à ce dernier aspect qu’il a consacré son essai le plus pénétrant, que Polémia a décidé d’éclairer.


    Voyage au centre du malaise français/ L’antiracisme et le roman national a été rédigé en 1992, peu après la première guerre du Golfe et juste avant le référendum relatif au Traité de Maastricht : moment charnière pour la gauche, car au début des années 1990 celle-ci parachève officiellement le renoncement à ses illusions adolescentes et à ses velléités transformatrices. Un président socialiste engage notre pays dans une guerre impérialiste aux côtés des Etats-Unis de Bush père et entérine notre alignement économique sur l’Allemagne du chancelier Kohl qui a réussi à faire graver l’ordo-libéralisme dans le marbre des traités européens.

    La France du roman national

    Mais cette période n’est qu’une étape parmi d’autres du long processus par lequel les élites françaises déconstruisent et diabolisent le roman national. Le roman national, c’est cette construction politique et historiographique qui désigne le lent processus de construction de la Nation. C’est cette continuité, parfois mythifiée, souvent effective, qui permet d’établir une continuité, aussi surprenante soit-elle, entre les époques, les régimes et les dirigeants : « De Clovis au Comité de salut public, j’assume tout ! » disait Napoléon. Elle permet aussi de distinguer, par des faits d’armes, des œuvres d’art, des traditions et coutumes, le caractère de la France et des Français.

    L’identité nationale française est faite du refus du fatalisme, de l’inéluctable : à défaut d’incarner l’ordre dominant sur le continent, la France s’oppose à celui-ci, qu’il soit politique, religieux ou économique. La France n’a également eu de cesse de vouloir dépasser ses frontières naturelles : des Croisades à la colonisation, en passant par les multiples expéditions italiennes ou espagnoles, la France conçoit l’universalité comme une généralisation de son particularisme. Sa recherche de grandeur n’est pas exclusivement motivée par une logique d’intérêt national : la France, nation politique par excellence, adjoint du sens à la puissance.

    Les années 1980, ère du vide

    Au début des années 1980, la France semble avoir renoncé à tout : à la grandeur, au sens et à la remise en cause de l’ordre dominant. La droite, divisée, a bradé en à peine dix ans l’héritage gaullien, dépositaire du roman national, et a abandonné le pouvoir à un Parti socialiste qui va s’engager dans la voie de la collaboration avec tout ce qu’il prétendait combattre. Si François Mitterrand est parvenu à évincer Michel Rocard au Congrès de Metz en 1979, celui-ci a gagné la bataille des idées : et, en 1981, ce n’est pas le CERES de Jean-Pierre Chevènement qui va imposer sa ligne politique au gouvernement, mais bien la deuxième gauche, libérale, décentralisatrice et européenne, cette gauche issue de la Fondation Saint-Simon (ancêtre idéologique de Terra Nova), archi-minoritaire dans l’opinion mais dominante chez les élites administratives, culturelles et médiatiques. Le tournant de la rigueur de 1983 scelle la victoire politique de la deuxième gauche : finies la lutte des classes et la dictature du prolétariat, l’utopie panethnique se substitue à l’utopie marxiste. La gauche, qui nous invitait, dès son programme de 1981, à « vivre ensemble avec nos différences », fait le choix délibéré du sabordage de la Nation : sabordage politique via une fuite en avant européiste, sabordage identitaire en promouvant et en organisant immigration de masse et xénophilie d’Etat ; cette xénophilie que Paul Yonnet nomme « socio-centrisme négatif », défini par Pierre-André Taguieff comme étant « la haine de soi, l’idéalisation du non identique, de l’étranger, de l’autre ».

    L’antiracisme, idéologie de substitution

    Et c’est ainsi que l’antiracisme (« le communisme du XXIe siècle », selon Alain Finkielkraut) devient l’idéologie officielle du pouvoir socialiste : à la différence des grandes idéologies, il ne se définit que par ce à quoi il s’oppose. « Le racisme n’étant pas une opinion, l’antiracisme n’en est pas une non plus. C’est une contrainte sociale qui exerce une domination sans partage : que peut-on être sinon antiraciste ? Que peut-on être si l’on est pas antiraciste ? » (Paul Yonnet).

    En novembre 1984, alors que le pouvoir est à bout de souffle après les lourdes défaites enregistrées aux élections municipales et européennes, Julien Dray rencontre le secrétaire général de l’Elysée, Jean-Louis Bianco, et lui propose de créer une organisation de jeunesse destinée à la lutte contre le racisme. Celui-ci l’appuie politiquement et financièrement : SOS Racisme est né. L’organisation sera chargée d’assurer une circulation politique et idéologique entre trois niveaux de la structure sociale : l’appareil d’Etat, les médias, la jeune génération. Le caractère spontané et apolitique de la création de SOS Racisme est un des mythes fondateurs de l’association, dont le recours au mensonge systématique, à la désinformation cynique et à la malhonnêteté intellectuelle (et bien souvent personnelle de ses dirigeants successifs…) est l’une des caractéristiques premières.

    L’ennemi idéologique principal de SOS Racisme ? L’assimilation républicaine, autrefois ardemment défendue par la gauche. L’individualisme républicain, hérité des Lumières, est battu en brèche par une démarche de « trahison généreuse » (Finkielkraut) : la notion de peuple, de communauté est relégitimée dès lors qu’elle est infra ou supranationale. Des groupes considérés comme jusqu’alors inférieurs ou dangereux doivent être réévalués en tant que tels, et ce bien au-delà d’une approche purement relativiste. L’histoire de France est sciemment réécrite de manière à montrer que notre pays a toujours foulé aux pieds les valeurs humanistes dont il se revendique et que l’immigré, victime perpétuelle de nos persécutions, incarne aujourd’hui la figure imposée de notre prochaine rédemption. C’est paradoxalement en renonçant à l’ensemble de son héritage

    culturel et politique que la France se réalisera elle-même : la négation de son identité nationale héritée, comme condition préalable d’accès au statut de meilleur des mondes multiracial, où les valeurs et pratiques culturelles dominantes seront celles des anciens dominés.

    L’effondrement des référentiels intellectuels catholiques et marxistes

    La nouvelle idéologie dominante prospère sur un champ de ruines issu de la « décomposition de l’espérantisme prolétaro-marxiste et de la catholicité française » (Yonnet).

    Dans Le Camp des saints, Jean Raspail avait dès le début des années 1970 identifié l’inconséquence et l’aveuglement de l’épiscopat français face aux phénomènes migratoires. Celui-ci refuse de voir le monde tel qu’il est, mû essentiellement par le conflit et le rapport de forces.

    Raymond Aron écrivait, dans L’Opium des intellectuels, que « les haines de race survivront aux distinctions de classe », les premières, essentielles et identitaires, ayant toujours constitué dans l’histoire un ciment bien plus homogène et bien plus durable que les secondes, incertaines et mouvantes. En signant avec le MRAP, pseudopode bien connu du Parti communiste, un « appel commun à la fraternité » (*) qui dispose notamment que « des mœurs, des cultures, des croyances de diverses origines souhaitent s’affirmer et coexister dans le concert national, sans perdre de leur spécificité. Une partie du corps social national réagit par des réflexes de peur et d’intolérance se traduisant soit par un rejet, soit par une exigence d’assimilation totale. Ces attitudes sont génératrices d’incompréhension, de haine et trop souvent de violence meurtrière », l’Eglise catholique commet une erreur anthropologique et politique fondamentale en se rangeant ainsi du côté de ceux qui l’ont toujours combattue : la coexistence pacifique de différentes cultures au sein d’un même Etat ne pouvant qu’être, au mieux, temporaire et s’achevant systématiquement par un conflit.

    Paul Yonnet explique l’abandon de la classe ouvrière par la gauche au pouvoir par un ressac des événements de mai 1968. Les gauchistes des années 1960 étaient persuadés d’incarner les aspirations révolutionnaires de la classe ouvrière que l’oppression sociale et culturelle de la France gaulliste parvenaient à étouffer. En 1968, les liaisons étudiants-ouvriers furent ponctuelles et minoritaires : ces derniers ne remettaient pas en cause les fondements de l’ordre établi, ils aspiraient à davantage de justice sociale, des revendications égalitaires et non libertaires. Pour Cornelius Castoriadis, « le prolétariat industriel n’a pas été l’avant-garde révolutionnaire de la société, il en a été la lourde arrière-garde » : en votant massivement pour les gaullistes aux élections législatives de mai 1968, l’ouvrier ayant obtenu justice a, à nouveau, plébiscité l’ordre et la Nation, rejetant massivement les imprécations libertaires et post-nationales des gauchistes. Ceux-ci ne lui pardonneront jamais, et n’auront de cesse de vilipender et de mépriser l’ouvrier qu’ils avaient idéalisé sans véritablement le connaître. Dès lors, le prolétaire exploité devient ce beauf raciste et autoritaire que Cabu représentera comme l’antithèse du « grand Duduche », gauchiste idéaliste et généreux auquel le dessinateur s’identifie. Et les gauchistes, recyclés à la CFDT, au PSU d’abord, puis au PS, de prendre leur revanche au début des années 1980 en liquidant délibérément cette classe ouvrière qui les avait trahis en 1968.

    De la Nation à l’identité

    C’est à juste titre que Paul Yonnet conclut que la France est le seul pays où l’utopie antiraciste a envahi l’appareil d’Etat et obtenu une telle influence dans les réseaux de pouvoir. Selon lui, il n’y a plus aujourd’hui de roman national français : la France est réputée avoir manqué constamment au respect des grands principes des droits de l’homme, et elle est même aux yeux de Bernard-Henri Lévy « la patrie du national-socialisme » (sic !). Dès lors, « le roman national (…), stigmatisé par le nouvel ordre mondial, se reconstitue sur le terrain de l’identité culturelle ; moins il y aura de Nation, plus il y aura d’identité française : ethnographique, sacralisée en même temps que muséographiée. Plus les Etats-Nations délégueront de prérogatives à l’UE, plus ils abandonneront de leur souveraineté propre, et plus le concept d’identité prendra d’importance. Ce n’est plus l’existence de la Nation politique qui excite l’agressivité de groupe mais, au contraire, c’est la disqualification et l’impossibilité de la nation politique qui font le lit des identitarismes (nationaux, ethniques ou de communauté) ».

    On ne peut que louer l’analyse visionnaire de Paul Yonnet : en effet, alors que les droites souverainistes, qui défendent la Nation politique, déclinent depuis vingt ans, les thématiques identitaires sont en plein essor. La campagne de Marine Le Pen pour l’élection présidentielle de 2012 en offre une remarquable illustration : la critique en règle de l’euro a initialement constitué son axe principal. Pour pertinente qu’elle fut, cette thématique a enrayé la dynamique électorale de Marine Le Pen : celle-ci avait intellectuellement raison, mais électoralement tort. Pour être resté sur ce seul créneau, Nicolas Dupont-Aignan a réalisé un score médiocre. Mais dès lors que la candidate frontiste a abordé la question du Hallal, emblématique, aux yeux de l’opinion, d’une remise en cause du mode de vie traditionnel français, les intentions de vote en sa faveur sont reparties à la hausse. Tout se passe comme si les Français avaient fait le deuil de leur Nation politique et s’arc-boutent sur la seule défense de leurs us et coutumes.

    A nous de leur rappeler que les combats souverainistes et identitaires doivent être menés de concert pour pouvoir écrire les prochains chapitres de notre roman national.

    Etienne Lahyre
    12/02/2013

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  • http://www.wikistrike.com/article-la-liste-des-entreprises-qui-licencient-semaine-du-25-fevrier-115661888.html

    La liste des entreprises qui licencient (Semaine du 25 février)

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     - La Bête Média est en train de mourir, lisez: le groupe de presse Roularta va sabrer 70 salariés et les magazines "L'Express, L'Expansion, L'Entreprise, Mieux Vivre Votre argent et L'Étudiant) seraient les premiers visés et les journaux L'Entreprise et Studio Ciné Live pourraient disparaître". lire ici Le Figaro , merci à Marco

    - Pixmania ferme toutes ses 11 boutiques physiques en France. "L'e-commerçant a déjà fermé ses 7 unités en Espagne et ses 2 magasins portugais. Pixmania va déménager son siège parisien et ses 700 salariés centraux à Asnières-sur-Seine. Le pure player, contrôlé à 99% depuis août par le groupe de distribution britannique Dixons Retail, a vu son CA reculer de 10%, à 843 Millions d'euros à fin avril 2012.".lire ici LSA , merci à Denys

    - Phonehouse est au bord du gouffre et appelle Bercy à l'aide... lire Le Figaro merci à Damien

    - La Banque Nationale de Grèce va virer 2.000 employés lire ici Reuters , merci à Mr Lepage

    - La carte des mises au chômage (entre 2000 et 4000 dans la région de Lille pour les mois à venir) de la Voix du Nord est à voir lire ici , merci aux lecteurs 

    - "Le Portugal perd plus de 100 000 emplois chaque année et dans 5 ans, l'économie portugaise aura perdu plus d'emplois que la population de Lisbonne, évalue l'hebdomadaire Expresso ... A la fin de 2013, le Portugal s'attend à compter 626.000 postes de moins qu'en 2008, date du début de la crise. Selon des chiffres révélés par l'Institut national des statistiques le 13 février dernier, le taux de chômage atteint 16,9% au dernier trimestre 2010. "C'est une période sombre pour le marché du travail portugais", se désole Expresso, ajoutant que le problème principal reste ces 500.000 chômeurs qui ne reçoivent pas d'allocations. Beaucoup d'entre eux sombrent dans la pauvreté.", lire ici Presseurop, merci à mon lecteur.

    - Siemens Allemagne prépare son personnel à 7000 NOUVEAUX postes supprimés lire ici Romandie , merci à Mr Brunet

    - Caixabank prépare 4000 licenciements, lire ici Zone bourse , merci à Mr Lepage

    - Le méga casino d'Atlantic City qui a ouvert ses portes moins d'un an après son ouverture, ne pouvant rembourser ses mensualités de son prêt de 1,5 milliard de dollars lire ici le Wall Street Journal 

    - Volvo licencie 1000 ouvriers et cadres lire ici Romandie , merci aux lecteurs

    - United Technologies, énergie, vire tout de suite 3000 salariés lire ici Harford Courant news 

    - Commerzbank va supprimer 1800 banquiers de plus lire ici BFM, si, si , merci à Mr Marsal

    - Les emballages Amcor virent 300 personnes en... Australie !!! lire ici News.au 

    - Le papetier NewPage se sépare de 300 salariés, lire ici Dayton news 

    - Les pages jaunes et blanches d'Australie virent 700 salariés lire ici Australian.it 

    - Je vous l'avais annoncé ici, mais cette fois c'est sûr Danone vire 900 cadres dont 236 en France.lire ici , merci aux lecteurs 

    - Coop Alsace va supprimer 120 postes lire ici , merci à Mr Lepage 

    - Rona, le Jardiland canadien, va sabrer 200 postes lire ici La presse.ca , merci aux lecteurs

    - Le distributeur de matériel électrique toulousain Toutelec risque de perdre 100 postes lire ici Objectif news , merci à mon lecteur

    - Le promoteur immobilier espagnol Reyal Urbis a déposé le bilan lire ici Romandie , merci à Mr Lepage 

    - Miss Espagne dépose le bilan. Il n'y aura pas de Miss Espagne dans les mois prochains parce que le promoteur était son financierlire ici Fox News latino 

    - L'usine Farcor risque de fermer à Lumbin et 22 salariés sont dans le viseur lire ici France 3 , merci à David

    - La coopérative maritime à Douarnenez a été placée en liquidation lire ici Ouest France , merci à David

    - Le verrier Libbey sabre 200 salariés et délocalise une partie au Mexique lire ici NBC

    - Telecom New Zeland va licencier au moins 200 personnes lire ici NZ Herald 

    - Abbott (catheters et outils médicaux) vire 200 salariés en Irlande et 450 aux US, lire ici Temecula Patch lire ici Irish Times 

    - La chaîne de grands magasins JC Penney vire 300 personnes dans son QG lire ici NY Post 

    - Les aciers canadiens Timet virent 77 ouvriers lire ici The New Register 

    - Transports Bruaux en faillite, 29 personnes licenciées lire ici l'Union , merci à Mr Bernard 

    - Les 70 salariés de Daniel de Gryse, BTP, en colère. "Ce jeudi 21 février, une cinquantaine de ces salariés en colère ont manifesté à Vervins afin de réclamer le versement de leur salaire du mois de janvier.", lire ici le journal local La Thiérache où on apprend aussi que mr Ballade les a reçus à la préfecture... Merci à mme Lombard

    - Confirmation: les meubles Pierson licencient 27 salariés lire ici le Courrier du Meuble , merci à Mr Bernard 

    - Confirmation, MAIS BFM NE VOUS FERA PAS DE DIRECT, les papiers peints Greneco seront liquidés et 162 salariés licenciées lire ici France 3 , merci à Denys 

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