• http://lagauchematuer.fr/2013/03/22/sous-francois-hollande-c%e2%80%99est-la-france-qui-sombre/

    Sous François Hollande c’est la France qui sombre !

    Texte rédigé par Alexandre Goldfarb

    Ainsi Madame Justice alias Taubira vient de faire une vraie purge au sein de son ministère en vidant, pardon chez ces gens-là, les grands démocrates on dit « ils sont partis », quelques pontes dont son propre directeur de cabinet : Christian Vigouroux.

    L’ancien directeur de cabinet de Madame Guigou qui occupa ce poste aussi sous la gauche déjà.

    Quelques autres hauts fonctionnaires sont également partis voir ailleurs…

    C’est fou comment nos médias d’habitude si prompts à révéler les turpitudes des uns et des autres à droite restent ici silencieux.

    MERCI à VALLS qui envoie quelques hommes à Marseille au bout de HUIT MOIS ils ont du venir à pied en se perdant…

    C’est ridicule et indigne d’un Ministre qui ne fait que de la parlote et de l’esbroufe…

    Valls à deux temps est encensé curieusement par la droite comme un digne successeur de Sarkozy, Ministre de l’Intérieur.

    C’est inouï car Valls, à part accélérer la possibilité pour les immigrés d’obtenir plus rapidement leur visa ou sésame pour rester en France, n’a strictement rien fait contre la délinquance dont les chiffres ont explosé ces dix derniers mois. Cette statistique terrible est ignorée par tous depuis l’avènement des socialistes qui ont tous les pouvoirs donc aucune excuse !

    Monsieur Commission© alias « Moi Je » ou Fanfan La Tulipe a bien compris notre système et même mieux le développe à outrance.

    Ainsi il se sert de l’Allemagne et de Merkel comme d’un bouclier et comme d’une contrainte aussi.

    Double avantage quand tout va mal : un cela permet de dire « on ne peut pas » à cause de Merkel qui nous impose ceci ou cela et deux cela autorise l’immobilisme et le rien faire.

    Parce qu’en France la politique suivie depuis Giscard c’est ne jamais rien faire.

    Nous sommes donc en permanence figés entre les règlements de l’Europe et les diktats de Merkel.

    C’est pratique et depuis Giscard, tous les présidents français sont restés dans un profond immobilisme protégé par cette double excuse : c’est contraire à l’Europe et l’Allemagne ne veut pas.

    La sclérose de notre société immobile et défaitiste est ainsi excusée d’avance et se propage partout.

    « Moi Je » qui a donc tous les pouvoirs se permet en plus de légiférer par ordonnances ce qui me semble être un mépris total vis à vis des français et de la démocratie. Assemblée Nationales et Sénat sont ainsi relégués à des riens du tout.

    Comme toujours « Moi Je » a trouvé une argumentation bien marxiste et bien tournée pour les bobos et autres gogos sans oublier tous les moutons et je ne résiste pas à la citer « C’est pour simplifier un certain nombre de normes administratives qui pèsent sur la compétitivité des entreprises ou dans le domaine de l’urbanisme ». Rien que cela. J’ai vite été quérir un traducteur et cela donne alors « Je vais vous la mettre un peu plus dans le cul et c’est normal car je veux le mariage pour tous ».

    C’est une honte et un déni total de nos institutions que curieusement la droite apathique (je n’ai pas dit « apathie ») n’a même pas chercher à combattre. Lamentable cette opposition qui ne s’oppose pas…

    Surtout que « Moi Je » a cru bon d’ajouter « qu’il s’agit de dispositions techniques »… C’est-à-dire sans vaseline…

    La France est un pays du passé qui ne gère aucun avenir.

    Les associations et autres syndicats, tous politisés à l’extrême (gauche bien sûr) sont la plaie de notre société pour systématiquement la dénigrer et la casser.

    Alors que tous vivent de notre argent et contribuent à nos malheurs.

    Attention à ne pas être vilipendé par ces associations et syndicats et de ne pas ‘être accusé de fascisme… parce que si tel est le cas vous avez droit à votre prime : le lynchage médiatique.

    Le top est d’ajouter quelques réflexions contre les méfaits de l’islamisme et là, s’ils le pouvaient, ce serait la pendaison en place publique.

    Le social érigé en mode de pensée collective détruit tout sur son passage et au lieu de chercher des solutions qui existent, nous continuons dans la voie du malheur.

    Cette voie du malheur qui permet aux politiques et aux médias de garder leurs avantages et leurs prébendes.

    Là où de nombreux pays ont accompli leur révolution économique et un profond changement mental, la France reste étrangement passive.

    Le « on ne peut pas faire autrement » et le « si cela était possible, cela se saurait » sont nos liens pour ne jamais oser.

    Liens qui ruinent tout le pays.

    Comme en plus, nous avons laissé s’installer sur notre territoire l’islamisme qui a décidé de diriger notre société et que nous continuons à laisser se répandre ce vrai fléau, notre réveil sera cruel et très douloureux.

    Quand j’ai écris 2034 l’année où, article repris dans 85 pays, même traduit en plusieurs langues, sauf en France, c’est dire l’incapacité de notre nation à accepter la réalité, je pensais être dans le bon tempo. Aujourd’hui je suis certain que ce sera avant 2034…

    Le mal est fait et bien ancré.

    Je ne vois aucun leader politique, femme ou homme, capable de défaire 40 années de mauvaises décisions, de lois ingrates et d’habitudes mortelles.

    Les politiques comme les médias sont dans un déni de réalité constant : ils ne sont pas prêts d’en sortir hélas !

    Les veaux de France sont devenus des moutons juste bons à tondre dans une ambiance délétère qui rappelle les plus mauvais jours de l’Occident et le national-socialisme dont l’échec et la cruauté n’auront pas servi de leçon.

    Les faits sont têtus et l’histoire se reproduit depuis des siècles.

    Nous revivons l’époque du Veau d’Or comme nos ancêtres avec d’autres moyens et ainsi tout se reproduit.

    Ce sera la fin du monde : le nôtre, celui des blancs et de l’occident en tant que tels.

    Pendant quarante ans, les médias français nous ont distillé leur venin chaque jour. Nous avons été lentement mais sûrement intoxiqué par un discours simple et efficace.

    Les mots sont toujours les mêmes et ont leur impact sur une population avachie.

    J’en cite quelques-uns parmi les plus utilisés : justice sociale, équité, humanisme, égalité (ce mot est pratique car il englobe plein de choses à la fois), solidarité et paix sociale… Quelques nouveaux comme apaisement, droitisation ou mariage pour tous ont fait une apparition remarquée.

    A chaque fois c’est la même rengaine si vous n’adhérez pas à ces mots, c’est parce que vous êtes un réactionnaire, un pétainiste, un fasciste et l’insulte suprême : vous êtes un nazi. (rassurez-vous j’ai eu droit aux quatre…)

    Cela fonctionne toujours aussi bien.

    Mais passons à l’essentiel.

    Ce qui a permis cette guerre d’usure contre la pensée est facile.

    Cela repose sur deux points : la passivité totale des français et leur acharnement à ne pas comprendre.

    Cette méthode utilisée par les socialistes et leurs alliés est celle qu’utilisait sans cesse Staline (dont l’apogée fut le fameux procès des « blouses blanches » à Moscou en 1952).

    Le Peuple français est anesthésié par quarante ans de laxisme et de contre-vérités et visiblement ce peuple apathique et lâche ne compte pas se réveiller.

    Les journalistes à minimum 25.000 Euro par mois sont légion aujourd’hui, les Canal +, I télé, LCI, BFM, TF1 et France 2 ou France 3 et les autres peuvent dormir tranquillement sur leur compte en banque bien approvisionné par la médiocrité de leurs compatriotes.

    Les Pujadas, Field, et autres Ferrari, les pseudos experts ou observateurs peuvent se marrer entre eux et se foutre de votre gueule car c’est mérité ! D’ailleurs certains l’ont fait dans de grands restaurants parisiens à la stupéfaction de leurs voisins de table.

    Que faisons-nous pour nettoyer cela ?

    Rien !

    Comme toujours d’ailleurs…

    Personne n’a trouvé à redire quand les socialistes se sont alliés avec le Parti Communiste toujours stalinien en France…

    Comme personne ne s’est inquiété quand les mêmes socialistes se sont alliés avec Eva Joly ou Jean-Luc Mélenchon, insulteurs publics appelant à l’insurrection (Je croyais cela interdit publiquement par nos lois ?)…

    Personne non plus n’a été choqué de voir Hollande faire appel au vote du Front National dès le lendemain du premier tour. (§ Libération entre autres en fait sa couverture le 24 avril 2012)

    Non la plupart des français ne sont occupés qu’à défendre leurs petits avantages et leur pécule, le reste ne les concerne absolument pas et à préparer leurs nombreuses vacances (1/3 du temps quasiment est alloué aux vacances de février à Noël en passant par Pâques, les grandes vacances et celles de la Toussaint et encore je ne compte pas les « ponts »).

    La Gauche l’a bien compris, d’ailleurs c’est la base même du marxisme, et elle s’est engouffrée dans ce créneau hyper porteur en multipliant la création d’organisations dites ou supposées humanitaires. Sans oublier les commissions à la noix mais bien rémunératrices imposées par « Moi Je » comme une verre d’eau sur in incendie de forêt.

    On les retrouve un peu partout pour n’importe quelle cause. Cela va des pauvres, ah les pauvres quelle aubaine, aux indiens d’Amérique en passant par les inévitables « roms » et palestiniens.

    Que deviendrait la gauche caviar sans le malheur des autres et de préférence ailleurs que dans les clubs huppés que cette gauche aime fréquenter ?

    Ce n’est pas la Gauche qui a gagné mais la France qui a perdu.

    Nous allons sûrement en crever !

    C’est la France de la diversité et de l’intolérance.

    Mais ce n’est plus ma France.

    ET ne rien faire, c’est laisser faire…

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  • C'était au mois d'avril de 2012, juste avant l'élection présidentielle et aucun média de gauche n'a parlé de ça, étonnant? Non les médias sont au service de la gauche comme médiapart par exemple et la majeure partie de la police de la bienpensante.

    Déjà avant d'être président il a menti aux français, pour un normal 1° c'est à revoir....

    Patriote64

    http://24heuresactu.com/2012/04/02/le-fils-de-valerie-trierweiler-arrete-pour-usage-de-drogue/

    Le fils de Valérie Trierweiler arrêté pour usage de drogue

    Exclusif : le fils de Valérie Trierweiler a été arrêté par les forces de police pour avoir consommé de la drogue sur la voie publique. L’info, révélée par Staragora, n’a été reprise par aucun journaliste français. Deux poids deux mesures ? Cette affaire soulève aussi l’ambiguïté des liens entre la gauche française et la consommation de drogue.

    C’est à la sortie de son luxueux lycée (Claude Bernard, l’un des plus réputés de la capitale) du 16e arrondissement de Paris (François Hollande n’aime pas les riches, mais il se met en couple avec une sacrée bourgeoise !) que le fils de Valérie Trierweiler, s’est fait attraper par des policiers, en train de fumer de la drogue.

    Quand on voit les déclarations et propositions irresponsables de la gauche française quant à la consommation de drogues censées être « douces », on imagine que le beau papa du jeune homme, François Hollande, aura surement trouvé le comportement de l’ado cool et branché. Démagogie à tous les niveaux ?

    Si Hollande est encore flou sur ce sujet (comme sur tant d’autres…), le progressisme socialiste considère la dépénalisation des drogues dites douces comme une belle évolution. Les Verts en veulent Mélenchon aussi, le PS cédera.

    Valérie Trierweiler, une caricature de grosse bourgeoise post soixante-huitarde qui sacrifie l’éducation de son enfant à l’ascension de sa carrière ? Au point de se mettre en couple avec un présidentiable ? Du coup, le jeune, paumé, fume des pétards devant son lycée, comme un appel au secours. On voit bien que la question des valeurs se pose plus que jamais. Dans leur vie privée comme dans leurs propositions politiques, les socialistes prouvent quotidiennement (DSK…) leur nihilisme et leur rejet de toute « valeur », notion fasciste et liberticide.

    Interdisez d’interdire, jouissez sans entrave, mais ne vous étonnez pas de retrouver vos enfants drogués au poste de police.

    Au delà de la question des valeurs, c’est surtout celle du traitement médiatique qui interpelle ici. L’affaire aurait pu causer du tort à Hollande, aucun journaliste ne l’a même évoquée.

    Le fils de Nicolas Sarkozy envoie une tomate sur un policière et l’ensemble des médias français relayent l’information. Une question sur le sujet est même posée au président de la république dans l’émission de Michel Denisot, le Grand Journal.

    Le beau fils du candidat socialise passe des heures au commissariat pour détention et consommation de drogue devant un établissement scolaire et rien (même sur le web, personne n’aborde le sujet). Pas un article, une dépêche ou un minimum d’information ne sort. Des médias muselés ?

    Qu’on ne vienne pas dire que Valérie Trierweiler n’est pas en campagne et que sa vie ne concerne pas la presse : elle s’est bien rendue aux funérailles officielles des soldats français assassinés par Mohamed Merah comme compagne de Hollande. Elle devrait assumer les responsabilité de son nouveau statut. Et les journalistes devraient faire leur travail consciencieusement et pas en fonction de leur admiration pour François Hollande.

    Deux poids deux mesures à ce point là, ce n’est pas du journalisme mais de la propagande !!!

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  • http://voixdupeuple.wordpress.com/2013/03/19/la-norvege-tape-du-poing-sur-la-table-pas-de-mosquee/

    La Norvège tape du poing sur la table: pas de mosquée

    LA NORVEGE EXEMPLAIRE…

    Est-ce le prélude à une prise de conscience réaliste de l’Europe ?
    La France suivra-t-elle cet exemple ? Et non…

    Pas de mosquée saoudienne en Norvège, tant qu’il n’y a pas de liberté religieuse en Arabie Saoudite !
    Le gouvernement saoudien et de riches donateurs privés d’Arabie- Saoudite, voulaient financer des mosquées en Norvège à hauteur de dizaines de millions d’euros.
    Légalement, ils en ont le droit; conformément à la loi norvégienne il est permis aux pays étrangers de soutenir financièrement les communautés religieuses, mais vu l’importance de ces sommes, le gouvernement doit approuver le financement.
    Or, le ministère des Affaires étrangères vient non seulement de refuser d’ approuver ce financement, mais il a également répondu au Centre islamique Tawfiiq, qu’il serait « paradoxal et contre nature d’accepter le financement venant d’un pays qui n’accepte pas la liberté religieuse ».

    Le ministre norvégien des Affaires étrangères Jonas Gahr Støre a déclaré au journal VG:
    « Nous aurions pu simplement dire non, le ministère n’approuve pas, mais nous avons profité de l’occasion pour ajouter que l’approbation serait paradoxale, tant que vouloir établir une communauté chrétienne en Arabie saoudite sera considéré comme un crime ».

    Encore une nouvelle qui nous parvient par le net. Elle est pourtant transmise par toutes les agences de presse, mais probablement sur une fréquence que le service audiovisuel national français ne reçoit pas… français? Vous avez dit français?
    Alors diffusons !

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  • http://www.valeursactuelles.com/pourquoi-hongrie-d%C3%A9range20130319.html

    Pourquoi la Hongrie dérange

     

    Europe. Forts de leur majorité absolue au Parlement, les dirigeants hongrois réhabilitent la part d’identité et de souveraineté abandonnée depuis 1991. Ces “vieux Européens” acceptent mal les leçons de Bruxelles. On les comprend.

     

    Rarement pays démocratique européen aura été autant vilipendé par la gauche européiste et les médias bien-pensants, qui décrivent une situation loin de la réalité observée sur place. La Hongrie n’est pas ce monstre antidémocratique décrit par certains, sauf à considérer que le peuple hongrois n’a pas voté librement en 2010, en donnant la majorité absolue (52 %) au centre droit emmené par l’énergique premier ministre Viktor Orbán, 50 ans, ancien résistant anticommuniste, figure de proue du “souverainisme responsable” en Europe.

    Élu pour réinjecter des pans de souveraineté et d’identité hongroises dans les relations avec l’Union européenne, Orbán applique le programme pour lequel il a été élu. Il est pressé car il n’a que quatre ans pour réussir ses réformes. Il paraît brutal car il agit avec la même détermination qu’il mit dans son combat des années 1980 pour la démocratie. C’est aussi un trait de caractère des Hongrois, maîtres du sabre en Europe.

    La force d’Orbán et de ses amis du Fidesz, le parti national-conservateur au pouvoir, est de contrôler le Parlement avec une solide équipe de réformistes, plus soucieux des attentes de leur électorat que des oukazes de Bruxelles. « Les précédents gouvernements n’avaient pas tenu compte du peuple, explique Zoltán Balog, le ministre des Ressources humaines. Notre projet prévoit des réformes de structure importantes qui impliquent une refondation intellectuelle et morale. Nous voulons un pays basé sur des valeurs traditionnelles, mais moderne et compétitif. »

    Cette “refondation” teintée de populisme chrétien— la Hongrie rappelle ses racines chrétiennes dans sa Constitution — explique le pilonnage qui voudrait faire croire au retour de la “peste brune” sur les bords du Danube. Hormis les opposants, dopés par le soutien actif de la gauche européenne, et les nationalistes extrémistes du Jobbik, engagés dans une surenchère permanente, les Hongrois soutiennent le projet de Viktor Orbán.

    « Pour nous, l’Europe, c’est la diversité, les débats, dit avec enthousiasme János Martonyi, le ministre des Affaires étrangères. Nous n’avons pas de leçon à recevoir. Nous sommes de fidèles européens, malgré nos divergences de vues. Nous avons toujours rêvé de vivre dans une Europe démocratique. Il faut être idéaliste pour l’Europe et réaliste pour son pays, ne pas oublier les aspirations des gens ni l’identité nationale. » Pays emblématique de la vieille Europe, modèle européen de la transition démocratique dans les années 1990, la Hongrie a résolument inscrit son avenir dans le cadre de l’Union, où elle est entrée en 2004.

    M. Martonyi reconnaît que la nouvelle politique en vigueur à Budapest est plus souverainiste que naguère : « La Hongrie reste un des pays les plus ouverts du monde, où les services financiers sont presque entièrement dominés par les étrangers, les services publics aussi et c’est un problème. Nous avons heurté beaucoup d’intérêts économiques et financiers. On veut nous punir car d’autres pays pourraient suivre notre exemple. Une dizaine d’États… »

    Pasteur, militant anticommuniste, Zoltán Balog a la responsabilité de l’équivalent de quatre ministères en France (Éducation, Affaires sociales, Santé, Culture). Son portefeuille des Ressources humaines est sans équivalent en Europe : « Le problème de l’époque soviétique était l’absence de mobilité sociale. Je dois la réintroduire dans notre société et promouvoir l’intégration, jusqu’à la culture qui ne doit pas être réservée à l’élite. » Ce ministre sans cravate est devant un chantier ambitieux : « Mieux répartir les fonds, créer des structures communes, gagner en intégration, assurer une réforme radicale des services de l’État. Une partie de l’Europe ne le comprend pas et prend peur. Pour l’autre partie au contraire, notre droite moderne représente un espoir de changement face à la vieille gauche. »

    Le changement, c’est la mise sous tutelle du Conseil des médias (qui chapeaute la profession), du système judiciaire, et de la Banque nationale hongroise MNB, jusque-là indépendante, confiée à György Matolcsy, un proche d’Orbán. Un nouvel amendement à la Constitution, voté le 11 mars à une large majorité (265 voix pour, 11 contre, 35 abstentions), a mis le feu aux poudres. La Cour constitutionnelle a perdu une partie de ses prérogatives. Les pouvoirs législatif et exécutif sont placés au-dessus du pouvoir judiciaire, ce qui traduit la priorité donnée au politique dans la conduite de la nation.

    D’autres décisions font croire à un “recul de la primauté du droit” : la possibilité d’expulser les SDF des lieux publics ; la référence à Dieu et au christianisme, pouvant ostraciser les athées et les fidèles d’autres religions ; le droit de vote donné aux Hongrois vivant hors de Hongrie, au risque de tensions avec les pays à forte minorité hongroise (Roumanie, Slovaquie) ; enfin la “nouvelle” définition du mariage, limité à l’union d’un homme et une femme, avec des enfants, un rappel jugé “discriminatoire”.

    José Manuel Barroso, président de la Commission européenne, et Thorbjorn Jagland, secrétaire général du Conseil de l’Europe, estiment que cette modification de la Loi fondamentale « soulève des préoccupations en ce qui concerne le principe de la primauté du droit, le droit de l’Union européenne et les normes du Conseil de l’Europe ».

    À Budapest, on reconnaît le “malaise” entre le pays et l’Europe. Mais si on salue les “valeurs communautaires” de l’Europe, on insiste sur la prééminence du droit propre à la Hongrie. « Ce n’est pas qu’une crise économique ou financière, l’Europe a besoin d’un renouvellement moral », dit M.Martonyi, qui évoque le « danger technocratique » en Europe : « Il faut un contrôle démocratique de la technocratie. Nous attachons de l’importance aux valeurs traditionnelles. L’Europe a besoin d’une refondation morale. Elle sera chrétienne ou pas. C’est cela l’identité européenne. »

    Le transfert en 2000 de la couronne de saint Étienne sous la coupole du Parlement prouve cette affirmation hongroise de son identité. « Sans chrétienté, notre pays n’existerait pas comme entité politique », rappelle János Martonyi. Il admet que les valeurs chrétiennes sont minoritaires en Europe, mais il ne les croit pas isolées : « Regardez la Pologne, la Lituanie, l’Italie, l’Espagne. Dans notre démarche, seule compte la destinée historique singulière de la Hongrie. »

    Amoureux de la France, le ministre des Affaires étrangères en appelle à notre pays : « Nous souhaitons renforcer la présence française en Hongrie, où l’on compte déjà neuf universités avec des enseignants français et 11 milliards d’euros d’investissements français. » Martonyi est aidé dans cette tâche par son dynamique ambassadeur à Paris, Laszlo Trocsanyi, professeur de droit devenu l’infatigable défenseur des positions hongroises sous le feu des critiques journalistiques : « Nous avons chez nous les médias les plus critiques. Près de 90 % appartiennent à l’opposition… »

    De notre envoyé spécial à Budapest

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  • http://www.lecri.fr/2013/03/21/le-combat-des-contribuables-contre-les-subventions-aux-grevistes-daulnay/39394

    Le combat des contribuables contre les subventions aux grévistes d’Aulnay

     a-  A+ 
    subventions-cgt-93

    Les contribuables de plusieurs communes du 93 se rebiffent contre le versement d’argent municipal à des associations de soutien aux grévistes de PSA alors que la loi l’interdit.

    La fronde prend de l’ampleur dans le 93 : après Drancy, ce sont des contribuables du Blanc Mesnil, de Bobigny, d’Ivry-sur-Seine, du Blanc-Mesnil, de Gonesse, de Saint-Ouen, de Sevran, de Villepinte, d’Argenteuil, de Bagnolet ou encore de Livry-Gargan qui pourraient se mettre dans la roue de Claude Jaillet, ancien expert comptable.

    Son action contre le versement illégal de subventions municipales et départementales aux gros bras de la CGT devrait entraîner l’annulation de délibérations dans différentes communes du « 9-3 ».

    Une facture qui atteint déjà 60.0000 euros pour les contribuables locaux

    Plusieurs d’entre-elles ont utilisé de l’argent public pour soutenir une cause syndicale. Au total, elles auraient fourni 60.000 euros à des associations de soutien aux grévistes PSA-Aulnay, en dépit du principe de neutralité de l’action publique.

    En apprenant que Drancy allait débloquer des fonds, Claude Jaillet a sorti son sifflet. « Il est interdit à une collectivité d’apporter son soutien à l’une des parties en litige dans un conflit social, rappelle-t-il. Je me battrai pour que cela n’arrive pas dans ma commune et, si possible, ailleurs : c’est illégal ! ».

    Illégal ? Bobigny, le Blanc Mesnil, Gonesse, Saint-Denis, Bagnolet… plusieurs communes du « 93 » (code postal, autrefois dévolu au département de Constantine) ont passé outre. Un pic de 23.000 euros a été atteint à Aulnay, suivi par le Tremblay (20.000 euros), ou encore Saint-Denis (10.000 euros).

    Parmi les donataires, on trouve aussi Sevran dont le maire, Stéphane Gatignon, gère le déclin depuis 2001. Il est récemment parvenu à soutirer 5 millions d’euros à l’Etat à l’issue d’une grève de la faim menée sous une tente, devant le Parlement. En quasi-banqueroute, sa ville a fourni 3000 euros d’aide aux grévistes !

    Même le Conseil général de Seine-Saint-Denis y est allé d’un chèque 10.000 de euros. Mais là, il est vrai que l’on se trouve entre camarades : l’instance départementale est chapeautée par Stéphane Troussel. Fonctionnaire, ancien membre de SOS Racisme et de la Fédération nationale des maisons des potes, cet élu PS a remplacé Claude Bartolone à la présidence du département en 2012. Plus rouge que rose, il est acquis à la CGT, comme le marteau l’est à la faucille.

    Une obole, + une subvention, + un don : cela finit par faire beaucoup d’argent. En février dernier, la CGT a notamment versé 30.000 euros aux grévistes d’Aulnay à l’issue d’une campagne de « dons ». De quoi remplacer les rillettes par du foie gras !

    Un comportement clientéliste

    Les fonds alloués aux grévistes sont canalisés par 2 deux siphons : l’association entraide et solidarité salariés du 93 et famille ; le Fond de soutien aux salariés de l’automobile du 93.

    Si les cadeaux de cégétistes à d’autres cégétistes ne posent pas problème, il en va autrement des euros que les municipalités fournissent à la centrale de Montreuil par le truchement de faux-nez associatifs. Pour une mairie, cette pratique revient à obliger l’ensemble des contribuables locaux à financer une grève à leur insu.

    Si l’attitude de mairies comme celles d’Argenteuil, d’Aulnay ou du Tremblay est logique puisqu’elles sont dirigées par des compagnons de route du PC, d’autres cas sont plus surprenants.

    C’est le cas à Drancy (93700), une ville aux mains de Jean-Christophe Lagarde, ancien compagnon de route de François Bayrou aujourd’hui proche de Jean-Louis Borloo.

    Son conseil municipal a voté 5000 euros de subsides à la CGT malgré son étiquette UDI. C’est afin de bloquer ce versement que Claude Jaillet vient de s’adresser au Préfet de Bobigny. Contacté par Contribuables associés, celui-ci n’a pas répondu à questions, postées par mail, à sa demande.

    La décision officielle du préfet de Bobigny devrait être connue à la mi-avril.  Il gagnera à s’instruire du passé.

    Subventions aux syndicalistes déclarées illégales : un précédent

    En 2008, le tribunal administratif (1) a annulé une délibération du conseil municipal de Saint-Denis prévoyant de verser 10.000 euros à « entraide et solidarité salariés du 93 et famille ».

    Le tribunal a estimé que « l’aide apportée à une association par un Conseil municipal (…) ne peut présenter un objet d’utilité communale, et par suite être légale, que si elles est utilisée à des fins exclusivement sociales, n’a pas le caractère d’une intervention dans un conflit collectif du travail et est directement attribuée aux familles concernées ».

    Pour reprendre la formulation du commissaire du gouvernement dans l’affaire du Centre communal d’action sociale de Villeneuve-le-Roi (2), « l’aide aux grévistes n’est possible que si elle a une finalité sociale et revêt la forme d’une aide aux personnes accordée directement par la commune ou par ses établissements publics ou dans le cadre des services qu’elle gère (comme les cantines scolaires) ».

    Ce n’est pas le cas dans le 93, et donc, fermez le ban ! « Les subventions doivent être remboursées si elles ont été versées par les municipalités », affirme Claude Jaillet en prévenant qu’il se tournera vers le tribunal administratif si la décision négative de la Préfecture est négative.

    La CGT dort déjà sur un tas d’or !

    Le pire est que la CGT n’a pas besoin de détourner d’argent public pour améliorer l’ordinaire de ses troupes. Elle a les poches bien remplies.

    Voici quelques mois, le rapport du centriste Nicolas Perruchot a été mis sous le boisseau car il apportait un éclairage inédit sur le financement de syndicats qui empochent l’équivalent de 4 milliards d’euros tous les ans bien qu’ils fédèrent moins de 10% des salariés.

    C’est dans ce pactole que les cégétistes doivent piocher pour soutenir l’action de ses kamikazes, pas dans la poche des contribuables locaux.

    En ces temps difficiles d’autres sociétés connaissent des passes difficiles. Les collectivités concernées voteront-elles aussi voter des subventions pour soutenir les grévistes ?

    Le département de l’Oise viendrait juste d’entrer dans la danse.

    Il est temps que cette folie cesse ! Si vous habitez dans les communes subventionnant les grévistes, n’hésitez pas à vous signaler à la rédaction du Cri, pour vous faire aider à saisir également le Préfet.

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  • http://www.fdesouche.com/359026-les-actes-et-menaces-racistes-ont-fortement-progresse-en-france-en-2012#more-359026

     

    Les actes et menaces racistes ont fortement progressé en France en 2012 (MàJ)

    La méfiance à l’égard des immigrés augmente également: 69% des personnes interrogées par l’institut CSA déclarent qu’«il y a trop d’immigrés» en France, soit une hausse de 10 points par rapport à 2011. Un sentiment partagé par une part croissante des sympathisants de gauche (51% contre 40% en 2011), et, fait nouveau, par une majorité des personnes de nationalité étrangère vivant en France (51%).

    Le Figaro


    La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) a rendu public ce jeudi son rapport annuel. L’institution s’alarme notamment de la « forte augmentation » des dérives antisémites et antimusulmanes.

     

    Le racisme progresse en France. Selon le rapport annuel de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), les actes et menaces à caractère raciste, antisémite et antimusulman ont connu une « forte augmentation » (+23%) en 2012. La CNCDH, qui assure un rôle de conseil et de proposition auprès du gouvernement, estime d’ailleurs que l’intolérance s’installe de manière « préoccupante ».

    L’enquête souligne une « augmentation toujours plus marquée de la méfiance à l’égard des musulmans » et « un rejet croissant des étrangers, perçus de plus en plus comme des parasites, voire comme une menace ».

    55% des personnes interrogées estiment que les musulmans forment « un groupe à part dans la société » (+4 points par rapport 2011) et 69% des personnes déclarent qu’ »il y a trop d’immigrés aujourd’hui en France », soit +10 points par rapport à 2011.

    « On assiste à une dangereuse banalisation des propos racistes », insiste la commission. Et selon elle, « Internet contribue grandement à cette banalisation ». Mais, précise la Commission, « elle s’alimente également de l’instrumentalisation dans le discours politique de certaines thématiques (immigration, religion-laïcité), ainsi que de certains dérapages et des polémiques qui ont suivi ».[...]

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  • http://fr.news.yahoo.com/amiante-taubira-d%C3%A9charge-juge-marie-odile-bertella-geffroy-194940157.html

    Amiante: Taubira décharge la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy du dossier de l'amiante

    La juge Marie-Odile Bertella-Geffroy, en septembre 2001 au palais de justice de Paris

     

    Christiane Taubira a décidé lundi de décharger la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy de ses fonctions au pôle santé du tribunal de grande instance (TGI) de Paris, où elle était devenue la magistrate emblématique du dossier de l'amiante.

    Mme Bertella-Geffroy, interrogée par l'AFP, a annoncé dans la foulée son intention d'attaquer cette décision devant le Conseil d'Etat.

    Précisant dans un communiqué avoir pris "acte de l?avis du Conseil supérieur de la magistrature (CSM)", la ministre de la Justice a indiqué avoir transmis un projet de décret pour officialiser sa décision.

    Toutefois, ajoute le texte, Christiane Taubira "tient à ce que le changement de fonctions" de la juge "n?ait aucune incidence sur la conduite des dossiers de santé publique" dont elle était chargée.

    La ministre a donc pris "les dispositions nécessaires" pour que deux juges d?instruction et des "assistants spécialisés" soient affectés au TGI de Paris" pour prendre en charge ces dossiers.

    "Le fait que la juge soit déchargée de ses fonctions sans qu'on ait organisé sa transition est un dysfonctionnement de l'institution judiciaire, qui se traduira par un retard supplémentaire qu'on peut évaluer à un an", a réagi auprès de l'AFP Michel Parigot, vice-président de l'association nationale des victimes de l'amiante (Andeva).

    M. Parigot a toutefois estimé "très important" que la ministre de la Justice s'engage à "mettre des moyens supplémentaires" pour traiter de cette affaire qui "dure depuis plus de 15 ans".

    Dans son avis, le CSM préconisait implicitement la mutation de la juge.

    Selon lui, nommée vice-présidente chargée de l'instruction au TGI de Paris en 2003, elle entre dans les critères d'application de la loi prévoyant que les magistrats spécialisés soient "déchargés automatiquement de leurs fonctions" au bout de dix ans, règle qui s'applique aux nominations intervenues après le 1er janvier 2002.

    La magistrate, soulignant qu'elle était déjà juge spécialisée avant 2002, conteste être soumise à cette règle, d'où son recours devant la plus haute juridiction administrative.

    "Mais le plus important", a-t-elle assuré, "c'est ce que j'avais demandé par lettre au ministre de la Justice le 25 février par l'intermédiaire de mon syndicat FO-magistrats: que soit posée la question au CSM du fonctionnement de la justice dans le traitement des procédures au pénal des affaires de santé publique par toutes les instances judiciaires intéressées".

    "Au-delà de ma situation personnelle, la justice veut-elle vraiment de ces affaires de santé publique au pénal?", s'est-elle interrogée, en soulignant le "rôle important" de l'autorité judiciaire dans la "protection des citoyens et des consommateurs".

    Déterminée et intègre selon ses soutiens, obstinée et isolée selon ses détracteurs, Marie-Odile Bertella-Geffroy a aussi instruit une partie de l'affaire du sang contaminé à partir de 1994 et conduit l'enquête sur l'hormone de croissance.

    Sa possible mutation avait pris un tour politique avec la mise en examen en novembre par la juge de l'ancienne première secrétaire du PS Martine Aubry pour homicides et blessures involontaires.

    Mme Aubry est poursuivie en tant qu'ancien haut fonctionnaire du ministère du Travail entre 1984 et 1987, dans le cadre de l'enquête sur l'exposition à l'amiante de travailleurs de l'usine Ferodo-Valeo de Condé-sur-Noireau (Calvados). La magistrate lui reproche de ne pas avoir pris les mesures qui auraient permis d'éviter les conséquences dramatiques de cette exposition.

    Martine Aubry a contesté sa mise en examen fin février devant la cour d'appel de Paris, qui rendra sa décision le 17 mai.

    En 2005, un rapport sénatorial avait accablé l'Etat pour sa "gestion défaillante" de l'amiante, jugé responsable par les autorités sanitaires de 10 à 20% des cancers du poumon et qui pourrait provoquer 100.000 décès d'ici à 2025. Le caractère cancérigène de l'amiante est connu depuis les années 50, mais le premier décret réglementant son usage en France date de 1977 et son interdiction n'est intervenue qu'en 1997.

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  • http://www.francepresseinfos.com/2013/03/malversations-en-cascade-le-ps-des.html

    Malversations en cascade : le PS des Bouches-du-Rhône sous tutelle

     
     
    L
    e Parti socialiste français a décidé mardi de mettre sous tutelle la fédération des Bouches-du-Rhône, fragilisée par plusieurs affaires de corruption et paralysée par des querelles locales, en vue des élections municipales de 2014.
     
     
    Le Bureau national du PS a approuvé une proposition du Premier secrétaire Harlem Désir qui, en ce domaine, sait de quoi il parle puisqu’il a lui-même déjà été condamné pour non-paiement d’amendes et emploi fictif en 1992 et 1998 (voir Le Gaulois du 01/03/2013). Les rênes de la fédération sont confiées, jusqu'au 31 mars 2014, au secrétaire national aux fédérations Alain Fontanel et au secrétaire national aux élections Christophe Borgel qui prennent la tête d'une direction collégiale.
    Une Haute autorité pour les primaires sera composée de « personnalités reconnues pour leur indépendance », affirme le PS, afin d'organiser des "primaires irréprochables, en toute transparence et en toute équité." Croira qui voudra.¢ 
     

    DES MALVERSATIONS EN CASCADE…
     
    La Fédération socialiste des Bouches-du-Rhône est secouée depuis 2011 par une série d'affaires de corruption.
     
    E Pour mémoire, rappelons que le président PS du Conseil général des Bouches-du-Rhône, Jean-Noël Guérini (voir Le Gaulois du 05/03/2013), mis en cause pour licenciement présumé abusif d'un ancien membre de son cabinet, a été mis en examen début mars pour détournement de fonds publics.
    La justice soupçonne le sénateur d'avoir "arrangé" le licenciement de Jean-David Ciot, élu depuis lors député PS d'Aix-en-Provence et actuel responsable de la fédération socialiste des Bouches-du-Rhône.
    L'objectif aurait été de permettre à ce dernier de percevoir des indemnités de départ pour mieux préparer les élections législatives de 2012, lors desquelles il a affronté l'actuelle maire UMP d'Aix-en-Provence, Maryse Joissains.
    Jean-Noël Guérini est également mis en examen pour association de malfaiteurs dans une affaire de malversations présumées sur les marchés publics de la région marseillaise.
    Malgré ses ennuis judiciaires, l'élu socialiste a réaffirmé sa volonté de demeurer à son poste et a annoncé qu'il briguerait sa propre succession.
    Jean-Noël Guérini est également mis en examen pour association de malfaiteurs dans une affaire de malversations présumées sur les marchés publics de la région marseillaise.
    Malgré ses ennuis judiciaires, l'élu socialiste a réaffirmé sa volonté de demeurer à son poste et a annoncé qu'il briguerait sa propre succession.
     
    E David Ciot est pour sa part mis en examen pour recel de détournement de fonds publics.
     
    E La dernière affaire en date concerne la députée socialiste Sylvie Andrieux (voir Le Gaulois du 19/03/2013), jugée à Marseille pour des faits présumés de détournement de fonds publics. Deux ans de prison avec sursis, 50.000 euros d'amende et cinq ans d'éligibilité ont été requis lundi à son encontre.
    L'élue est soupçonnée d'avoir fait verser environ 740.000 euros à des associations de sa circonscription pour obtenir les voix d'électeurs entre 2005 et 2007, lorsqu'elle était vice-présidente du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca).
     
    En mars 2011, le député PS et actuel ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg avait recommandé dans un rapport la mise sous tutelle de la fédération par la direction du parti et la "destitution" de son président, Jean-Noël Guérini.
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