• Il est juste de rappeler qu'à la CGT ce soit disant syndicat qui a pour but de défendre les intérêts intelligemment de tous les ouvriers, bien que intelligence ne rime pas avec CGT, les dirigeants de ce syndicat on le droit d'être membre du parti communiste, ou du NPA, ou du front de gauche, enfin bref de toutes les organisations politiques d'extrême gauche,  mais lorsque les idées politiques sont patriotiques et que l'on est au Front National on est directement mis à la porte.

    J'invite tous les vrais ouvriers comme moi d'adhérer au FN et de le faire savoir à ces fachos.

    Patriote64 

    http://www.lecri.fr/2013/03/18/cgt-avec-thierry-lepaon-les-cocos-sont-toujours-aux-manettes/39343

    CGT : avec Thierry Lepaon, les cocos sont toujours aux manettes

    thierry lepaon

    Après Thibault, Lepaon. C’est à ce cégétiste natif du Calvados que le comité confédéral national, le « Parlement » du syndicat a décidé de confier les rênes de la Centrale après le départ de Bernard Thibault.

    Lepaon va succéder à Thibault, lors du 50e congrès de la CGT, qui s’ouvre aujourd’hui à Toulouse.

    C’est une roue de secours puisqu’il n’est un secret pour personne que le premier choix de Thibault s’était porté sur Nadine Prigent, une ancienne infirmière finalement écartée pour son manque de charisme.

    Verra-t-on la différence entre les deux hommes ? Normand et ex-salarié de Moulinex, Thierry Lepaon. « (…) fait partie de ceux qui ont cette capacité de réunir l’organisation même lorsqu’elle est traversée de débats », assure Thibault en parlant de lui.

    L’ancien chaudronnier a dirigé le groupe CGT au Conseil économique, social et environnemental (Cese).

    Comme Thibault, il s’agit de quelqu’un d’assez discret. Son nom n’est pas apparu publiquement alors que les escarmouches entourant le nomination du futur secrétaire général de la CGT se succèdent depuis le début 2012. Ses proches le décrivent comme quelqu’un d’humeur égale, assez énigmatique et courtois.

    Homme de l’ombre malgré son visage empourpré, Lepaon a la réputation d’être un bon homme de réseaux. Il fait notamment partie d’un cercle de réflexion, le Quadrilatère, où se rencontrent des chefs d’entreprise, des responsables du personnel et des syndicalistes.

    Raymond Soubie, ex-conseiller social de Nicolas Sarkozy le décrivait comme quelqu’un de fiable.

    Officiellement, Lepaon prétend poursuivre le grand œuvre de Thibault. Il ne faudra pas attendre longtemps pour savoir ce qu’il dissimule derrière son masque policé. Le nouveau numéro un de la CGT sera vite confronté à deux gros dossiers : l’emploi et le financement de la protection sociale.

    Lors des discussions sur la formation professionnelle, se rappellent les observateurs, il a joué un rôle clé. Les discussions avaient débouché sur un accord.

    Politiquement, le leader du Calvados est, comme il se doit, membre du PC, une tradition éprouvée depuis la fondation du syndicat à Limoges, en 1895. Comme Thibault, Lepaon a appelé à voter pour François Hollande.

    Il sera intéressant de voir comment cette proximité native va évoluer au fil des conflits sociaux.

    DL

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  • http://www.fdesouche.com/357989-najat-vallaud-belkacem-le-mariage-force-peut-concerner-des-societes-catholiques

     

    Najat Vallaud-Belkacem : «Le mariage forcé peut concerner des sociétés catholiques»

    Dimanche+ du 17 mars 2013

    «Le mariage forcé ne concerne pas que les sociétés musulmanes, il peut concerner des sociétés catholiques. Il faut arrêter la stigmatisation.»

    lire la suite de l’article du catéchisme de l’Église catholique sur le consentement matrimonial

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  • http://fr.novopress.info/134101/proces-pour-diffamation-contre-le-bloc-identitaire-lavocat-du-mouvement-confiant-dans-la-condamnation-de-bhl/

    Procès pour diffamation contre le Bloc Identitaire : l’avocat du mouvement confiant dans la condamnation de BHL

    Procès pour diffamation contre le Bloc Identitaire : l’avocat du mouvement confiant dans la condamnation de BHL
    Avant-hier, lors de l’audience à la XVIIème chambre du Tribunal de grande instance de Paris, BHL et Le Point étaient poursuivis pour diffamation contre le Bloc identitaire (BI). Et ce suite à une chronique de BHL sur les Assises contre l’islamisation où il affirmait que le BI était un groupuscule néo-nazi qui plus est  à l’origine de la tentative d’assassinat contre Jacques Chirac en 2002.

     

    Lors de sa plaidoirie – technique comme l’exige les faits de presse –, l’avocat du BI, Me David Dassa-Le Deist, a démontré le caractère diffamatoire des deux mouvements de la phrase rédigée par BHL. Revenant tout d’abord sur le terme néo-nazi, il a plaidé que c’était diffamatoire, et non seulement une insulte, mais surtout il a établi, documents à l’appui (plaquettes du BI, articles de presse – y compris la presse communautaire juive –, travaux de chercheurs), que rien ne pouvait étayer une telle accusation. Bien au contraire, tout dans la démarche du BI depuis 10 ans prouve sa totale divergence et opposition avec le national-socialisme. Me Dassa se servant même d’une pièce fournie par la défense, un article du JDD où Nicolas Lebourg – spécialiste de l’extrême droite – indique que le BI et Fabrice Robert sont tout sauf nazis. Sans oublier, toujours selon Me Dassa lors de sa plaidoirie, certains groupes d’extrême droite reprochant au BI de ne pas être antisémite…

    Quant à la deuxième partie de la phrase qui vaut poursuite de BHL, Me Dassa prouve tout d’abord que la tentative d’assassinat a eu lieu avant… la création du BI, qui date d’avril 2003. Et quant à la bonne foi de BHL plaidée par la défense sur le au fait que Fabrice Robert a fait partie d’Unité radicale, il faut rappeler que le président du BI avait à l’époque cosigné une tribune où il indiquait, avec d’autres, rompre  avec un certain folklore et le ghetto d’extrême droite. Enfin, Me Dassa a mis en avant l’acte isolé, ajoutant qu’il était grave d’imputer à un parti politique la volonté d’assassiner le chef de l’Etat.

    Au sein de la défense, le plus vindicatif a été l’avocat du Point et non celui de BHL. BHL qui peut compter sur le soutien du Parquet. En effet, son représentant,  Diane N’Gomsik, demande la relaxe en indiquant qu’il n’y a pas diffamation et que BHL a été « de bonne foi ».

    Il faut également préciser que, contrairement aux allégations de la défense, le BI n’a pas souhaité ester en justice contre BHL pour se  faire une meilleure réputation. Me Dassa a même précisé que « le Bloc est en pleine progression, sa convention a eu un gros succès avec la présence de personnalités comme Renaud Camus et Christian Vanneste et qu’il pas besoin de cela.  Pour le BI, il s’agit seulement de défendre son honneur. »

    Le jugement est mis en délibéré et sera rendu le 23 avril. Me Dassa reste confiant quant à la condamnation de BHL, estimant que sa plaidoierie a apporté les éléments nécessaires pour établir le caractère diffamatoire des propos du “philosophe”.

    Arnaud Naudin

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  • http://zebuzzeo.blogspot.fr/2013/03/pepere-sen-va-t-en-guerre-aider-en.html

    "Pépère" s'en va t en Guerre Aider En Syrie Ce Qu'il Combat Au Mali

     

    Après le Mali : la Syrie. « Pépère » mange du biscuit de soldat pour faire diversion




    "Pépère" veut muscler fermement son image à l’international. Après avoir jouer les "va-t -en-guerre" au Mali, remontant un temps dans l’opinion, il veut étoffer sa carrure en se portant au secours de la rébellion syrienne. Sortir aussi de son isolement grâce à un appui de l’Angleterre prête à livrer conjointement des armes aux opposants de Bachar al Assad, avec ou sans le feu vert de Bruxelles. Ca plait toujours…

    Sur le papier, ça en jette. Dans la pratique, le coup est assez incertain. Nos barbouzes sur le terrain ne sont pas très loin de partager l’opinion du chef de la diplomatie belge, Didier Reynders, très dubitatif quant à la logique de la manœuvre.

    « Le but n’est pas de combattre des djihadistes au Mali pour fournir des armes aux djihadistes en Syrie », avançait ce dernier. Le fait est que, en Syrie comme dans la totalité des pays du Moyen Orient qui connaissent un long « printemps arabe » depuis 2011, les objectifs des multiples factions armées ne sont pas exempts d’arrières pensées extrémistes.

    François Hollande, qui chiffre à « 100.000 » le nombre de morts en Syrie depuis deux ans, va demander à l’Europe de lever au plus vite, c’est-à-dire avant la date du 1er juin voulue par l’Europe, l’embargo sur les armes dont souffrent les opposants à Bachar al Assad. Depuis mai 2011 cet embargo interdit toute vente, transfert ou livraison d’armes aux syriens quel que soit leur camp.

    DOUTE CONTAGIEUX

    Le doute qui prévaut non seulement auprès de nombre d’analystes du renseignement extérieur français sur le total bien fondé de l’initiative syrienne de Pépère, s’est propagé également par contagion au sein de l’Etat major et aussi de membres de l’équipe Ayrault.

    Tout d’abord parce que nos partenaires européens ne sont pas très chauds au sujet d’une prolifération d’armement dans la zone sans contrôle fiable. Et ce dernier est virtuellement impossible. « Des livraisons d’armes risquent toujours de nourrir une course à l’armement et de provoquer une glissade vers une guerre par procuration, qui pourrait embraser la région », avance le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle.

    Au sud, le Liban est sur le fil du rasoir, au nord la Turquie est prête à en découdre avec le régime de Damas, et à l’est des combattants djihadistes se servent de l’Irak comme d’une base arrière. De son côté, L’Iran, proche et allié de Bachar al Assad ne perd jamais une occasion d’agiter le chiffon rouge notamment lorsque qu’Israël fait des incursions dans l’espace aérien de la Syrie histoire de montrer sa détermination à interdire tout transfert d’armes, notamment chimiques, au profit du Hezbollah libanais.

    La Russie, qui possède en Syrie, à Tartous, sa seule base navale méditerranéenne, procure, elle de l’armement à Damas. Avec la Chine, la Russie s’oppose à toutes sanctions Onusienne contre Bachar al-Assad. Et Fabius de souligner que la France « souveraine (…) ne peut pas accepter qu’il y ait ce déséquilibre actuel avec, d’un côté, l’Iran et la Russie qui livrent des armes à Bachar (al-Assad) et, de l’autre, des résistants qui ne peuvent pas se défendre ».

    Ensuite parce que l’ASL (Armée syrienne libre) redoute peu ou prou des conditions de livraisons d’armes et des financements qui provoquerait un « déficit de contrôle du commandement central sur toutes les forces sur le terrain », déclare à la version web du magazine français Le Point le porte-parole du commandement de l’ASL.

    RAFALE

    Des fortunes du Golfe alimentent en effet les rebelles les plus radicaux. D’où le flou actuel pointé par les membres du renseignement français qui craignent déjà l’après al-Assad.



    Selon le porte-parole de l’ASL, la livraison d’armes lourdes et de qualité par la France permettrait d’unifier les rangs des combattants luttant contre le régime de Damas sous « un même étendard ». Vite dit. Mais Pépère pourrait trouver là une belle occasion de proposer des Rafale à l’essai, histoire d’en refourguer par la suite et de réussir là où Sarko, pourtant sûr de son fait au Brésil, n’a jamais été foutu d’en vendre un. Un joli coup de com’.
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  • http://fr.novopress.info/134160/faire-des-economies-chiche-et-si-on-inversait-limmigration/

    Faire des économies ? Chiche ! Et si on inversait l’immigration ?

    Faire des économies ? Chiche ! Et si on inversait l’immigration ?
     
     

    A la suite de notre dossier consacré la semaine dernière au scandale des subventions publiques, voici de nouvelles pistes pour aider le gouvernement à réaliser des économies conséquentes sans pénaliser les Français : inverser une immigration qui, chaque année, coûte au bas mot 17 milliards d’euros aux contribuables. Soit trois fois la somme que veut recueillir le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac.

     

    Le 2 mars dernier, Jean-Paul Huchon, président (PS) de la région Ile-de-France était l’invité du Bondy blog café, rendez- vous phare du site d’extrême gauche animé par des représentants de l’immigration. Dans l’ambiance cordiale, le robinet d’eau tiède coule à flots: oui, la « diversité » des banlieues mérite toujours plus de soutien de la part des pouvoirs publics; certes, les racailles sont avant tout des victimes marginalisées par une société frileuse; bref, il faut aider, aider, aider… Au détour d’une tirade lénifiante, Huchon se laisse cependant aller à un constat lucide: « Concernant les quartiers sensibles, on n’a jamais le sentiment d’en faire assez pour la banlieue… [Et ce] malgré les sommes considérables [ndlr: 90 milliards d’euros entre 1989 et 2012!] qui ont été déversées sur les différentes villes de banlieue avec ce que l’on appelle “la politique de la ville”. »

    De fait, cette gigantesque mise sous perfusion des populations résidant dans ce qu’il est désormais convenu d’appeler les « banlieues de l’immigration », n’a servi à rien. Sinon à faire augmenter les impôts des contribuables, qui, outre l’insécurité, doivent encore subir le racket fiscal. Ce constat de Jean-Paul Huchon, de manière plus générale, et au moment où le gouvernement cherche à réaliser 6 milliards d’euros d’économies, pose la question du poids de l’immigration sur l’économie nationale.

    Faire des économies ? Chiche ! Et si on inversait l’immigration ?

    L’Express

    Le sujet préoccupe beaucoup les Français. La preuve avec le dossier qu’a osé « L’Express », le 14 novembre 2012, sur « le vrai coût de l’immigration ». Un sujet vendeur, assorti, en « une », de la photographie d’une musulmane voilée de pied en cap, accompagnée d’une enfant et se dirigeant vers… un guichet d’aide sociale! A l’intérieur, en revanche, changement de programme. Car si « L’Express » donne dans la couverture putassière, c’est bien sûr pour mieux rééduquer son lecteur, avec deux articles sur « ces bras qui rapportent » et une étude tentant de démontrer les bénéfices de l’immigration sur… la protection sociale!

    Quatre milliards de trop…

    L’ennui, c’est que « L’Express » a négligé toutes les enquêtes évaluant le coût de l’immigration de manière non apologétique. A la trappe donc, les travaux du pionnier Pierre Milloz, qui eut le malheur de travailler pour le Front national. A la trappe Polémia, malgré des travaux de qualité méritant au moins la discussion. Le démographe Jean-Paul Gourévitch, qui, depuis vingt ans, étudie l’impact de l’immigration en France et produit régulièrement des monographies faisant autorité sur le coût de l’immigration à l’attention de l’association Contribuables associés, voit son compte réglé en une phrase: « Ses travaux sont régulièrement cités par Marine Le Pen ». A la trappe en fin, les résultats du colloque organisé par l’Institut de géopolitique des populations, dirigé par Yves-Marie Laulan, homme de droite certes, mais néanmoins démographe et économiste ayant enseigné à l’ENA et à Polytechnique, après avoir travaillé au FMI et à la Banque mondiale, puis présidé le Comité économique de l’OTAN…

    De fait, la seule source de l’hebdomadaire était l’enquête réalisée par une équipe de l’université de Lille, sous la direction du sociologue de gauche Xavier Chojnicki. Au demeurant, il s’agit de l’unique étude estimant que l’immigration aurait un effet bénéfique sur l’économie, grâce à un prétendu apport de 12,4 milliards d’euros pour les finances publiques. A aucun moment, cependant, les journalistes ne soulignent que ce chiffre a considérablement été revu à la baisse par ses propres auteurs. Critiqué par Gourévitch, le professeur Chojnicki a en effet reconnu une erreur de calcul dans le quotidien « Le Monde » (12 avril 2011) et corrigé son diagnostic en le réduisant à 4 milliards…

    Quatre milliards de trop, d’ailleurs, car Gourévitch pointe impitoyablement les limites de cette étude: « La grande différence entre ses estimations et les miennes vient de ce qu’il se fonde sur des chiffres de 2005 et moi sur ceux de 2010 à 2012. Il fait également l’impasse sur les coûts de l’immigration irrégulière, les coûts de structure, les coûts sécuritaires, les coûts sociétaux et même la plus-value apportée au PIB par le travail des immigrés. »

    Gourévitch, lui, relève le coût de l’immigration clandestine, la prise en compte des enfants, l’impact de la criminalité, le cas des territoires d’outre-mer… Il dresse ainsi le bilan des dépenses engendrées par les immigrés. Puis il calcule l’ensemble des recettes fiscales et sociales auxquelles contribuent ces immigrés et leurs descendants directs de plus de 18 ans.

    On peut avoir des papiers et être un délinquant !
    Faire des économies ? Chiche ! Et si on inversait l’immigration ?

    Contribuables associés – Monographie de Jean-Paul Gourévitch

    Pour poser les bases, Gourévitch – comme Jean-Yves Le Gallou ou Yves-Marie Laulan – a remis en question les chiffres officiels de l’INSEE, clairement sous-évalués. Selon lui, la France abrite 9,975 millions d’immigrés, soit 15 % de sa population. Chiffre auquel il faut additionner les enfants des immigrés, ce qui, en 2009, donnait une population d’origine étrangère de pratiquement 12 millions de personnes sur seulement deux générations. Soit, au minimum, 19 % de la population. En tout, ces immigrés réguliers rapporteraient à notre pays 83,4 milliards d’euros.

    L’ennui, c’est que cette même immigration légale occasionnerait 88,9 milliards de dépenses, soit un déficit de 5,5 milliards d’euros!

    Citons, par exemple, les 5,24 milliards d’euros de coûts de structure de l’ex-ministère de l’Immigration et de l’aide médicale d’Etat; 1,8 milliard d’euros pour l’accueil de 270000 étudiants étrangers; 6,1 milliards pour l’emploi et la réinsertion des immigrés (un chiffre à méditer au moment où explosent les pics du chômage des Français); 13,6 milliards d’euros de « coûts sociétaux et fiscaux » pour lutter contre le travail illégal, la fraude, la contrefaçon, la prostitution – car être un immigré en situation légale n’empêche en rien d’être un délinquant de droit commun; 29,9 milliards d’euros consacrés à la couverture santé d’immigrés spécialement venus sur notre sol pour se faire soigner gratuitement; et le pompon est décroché par les 31,2 milliards d’euros consacrés au minimum vieillesse, aux aides sociales en tout genre et aux allocations familiales… Les trois quarts des dépenses liées à l’immigration portant, de fait, sur la protection sociale qui fait désormais défaut à nos compatriotes en détresse.

    Faire des économies ? Chiche ! Et si on inversait l’immigration ?

    Au total, les immigrés légaux ne rapportent à l’Etat que 61 % des aides sociales qu’ils reçoivent. Le reste étant à la charge du contribuable français, décidément très généreux.

    L’aide humanitaire ne sert à rien

    A ces sommes rondelettes, s’ajoute un déficit de 3,2 milliards pour l’immigration illégale. Là encore, il faut compter les frais de santé spécifiques aux illégaux non admissibles à l’aide médicale d’Etat (84,25 millions d’euros) ; ou la scolarisation gratuite des enfants d’immigrés irréguliers (56 millions d’euros). S’y ajoutent 125 millions d’euros consacrés à la lutte contre l’immigration illégale, comprenant les accords de réadmission dans les pays d’accueil (28 millions d’euros), la participation de la France au dispositif européen Frontex (14,8 millions d’euros) et l’ensemble des opérations de lutte ou de contrôle menées par le ministère de l’Intérieur (85 millions). Cerise sur le gâteau, voilà encore 206 mil lions d’euros supplémentaires pour les reconduites à la frontière.

    C’est fini? Pas du tout! « L’Etat et les collectivités locales consacrent 8,6 milliards d’euros à l’aide humanitaire et à l’intégration, explique Gourévitch. La rentabilité de ces dépenses est nulle – on ne note pas de réduction de la pression migratoire du fait de l’aide au développement des pays d’origine – ou difficilement mesurable, concernant la politique d’intégration ».

    In fine, l’immigration représente donc un coût net de 17,4 milliards d’euros pour la France. Soit le triple de ce que le gouvernement doit trou ver pour faire face à la crise! Et encore s’agit-il peut-être d’une hypothèse basse, puisque les estimations de Gourévitch ont donné lieu à une polémique avec Jean-Yves Le Gallou : selon ce dernier, il faudrait pratiquement doubler les chiffres de l’auteur de La France africaine!

    Une chose est sûre, l’immigration ne profite en aucun cas à notre pays. Dans Immigration, qualification et marché du travail (juin 2009, p. 37), une étude réalisée par le Conseil d’analyse économique – instance chargée de conseiller le premier ministre, donc peu suspecte de racisme ou de parti pris! – on peut lire que 1 % d’immigration supplémentaire représente 1,2 % de baisse des salaires français ! Crise ou pas, voilà qui devrait largement inciter des dirigeants de bon sens à inverser les flux migratoires.

    Patrick Cousteau

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 13 mars 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Crédit dessin en Une : dessin de Konk, (cc).

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  • http://lagauchematuer.fr/2013/03/15/valerie-trierweiler-la-favorite-de-francois-hollande-accusee-de-detournement-de-fonds-publics/

    Valérie Trierweiler la favorite de François Hollande accusée de détournement de fonds publics !

    Nous « La Gauche M’a Tuer » apportons notre soutien à Xavier Kemlin qui a décidé de porter plainte contre Valérie Trierweiler pour « détournement de fonds publics » au tribunal de Saint-Etienne.

    Madame Trierweiler qui n’est je le rappelle pas divorcée de son ex-mari et n’est pas marié avec l’infâme François Hollande ne peut se prétendre comme la 1ère dame de France Il est donc scandaleux que celle-ci bénéficie au frais du contribuable d’un traitement particulier. Et cela alors que l’on demande des efforts énormes aux français.

    Il est inadmissible que cette femme qui ne représente rien juridiquement à la République bénéficie d’un cabinet digne d’un ministre, d’une page officielle sur le site de l’Elysée, ou de déplacements gratuits avec les moyens de l’Etat etc.

    Nous demandons donc que cette plainte aille jusqu’au bout et que des magistrats aux ordres du pouvoir ne classe pas cette affaire d’Etat sans suite !

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  • http://www.20minutes.fr/economie/1119287-20130315-crise-40-francais-travaillant-a-letranger-veulent-plus-revenir-vivre-france

    Crise: 40% des Français travaillant à l’étranger ne veulent plus revenir vivre en France

    Paysage de Rio de Janeiro, au Brésil. 

    SOCIAL - Ils attendent avant tout un changement de mentalité dans l’Hexagone...

    Est-ce un effet de la crise qui secoue une France qui doit faire face à des réformes cruciales dans les mois à venir? En tout cas, les Français qui se sont installés à l’étranger ont de moins en moins envie de rentrer au pays, selon la dixième étude «Expatriés, votre vie nous intéresse…»réalisée par Mondissimo et que 20 Minutes s’est procurée. Elle sera présentée mardi à Paris lors de la 25ème convention dédiée à la mobilité internationale.

    Plus de deux millions d’expatriés

    Et le résultat est détonnant: quatre personnes interrogées sur dix envisagent de ne jamais revenir dans la mère patrie! Un sur cinq attendra l’âge de la retraite et trois sur dix dans quelques années. Des chiffres qui ne surprennent pas Christophe Bouruet de chez BVA qui a lancé avec Berlitz en 2011 un observatoire sur l’expatriation sur alors 404 personnes: «L’expérience de travail à l’étranger nourrit le souhait d’y poursuivre sa carrière». En effet, 92% percevaient l’expatriation comme une occasion de progresser professionnellement.

    D’après Mondissimo, ils sont de plus en plus heureux de leur sort. En tout, 54% se disent très satisfaits contre 41% il y a sept ans et 40% plutôt satisfaits. D’ailleurs selon Mondissimo, depuis 2003, les missions des salariés se sont rallongées. Pour deux sur trois d’entre eux, elles durent désormais au minimum cinq ans. Une tendance qui se renforce chaque année depuis 2007. Et depuis 2010 pour les «non-salariés»: sept sur dix restent pour un séjour minimum de dix ans…

    82% souhaitent un changement de mentalité

    Et pour 82%, seul un changement de mentalité dans l’Hexagone pourrait inciter les Français de l’étranger à revenir. «Quand on voit la France aujourd’hui, on n’a pas envie de rentrer. De plus en plus d’expatriés ont honte de leur pays. En France, on n’a pas le droit de réussir, mais on n’a pas le droit à l’erreur non plus», avance Sandrine Chauvet, la directrice générale adjointe de la Convention Mondisssimo. Le changement de modèle fiscal et social et le changement de politique est aussi cité par 81% des répondants. A noter que 27% ont déclaré gagner moins de 30.000 euros par an, 17% de 30.000 à 44.900 euros, 15% de 45.000 à 59.900 euros, 10% de 60.000 à 75.900 euros, 27% plus de 76.000 euros et 5% ne sont pas rémunérés.

    Moins de retour en France chaque année

    Autre phénomène, depuis 2006, les Français de l’étranger rentrent de moins en moins souvent en France. Désormais près de la moitié ne rentrent dans leur pays d’origine qu’une seule fois par an… «Un effet de la crise assurément!», estime l’étude. En effet, certains ne sont pas immunisés contre le ralentissement économique mondial. Fini le temps où les entreprises envoyaient leurs salariés aux quatre coins du monde tous frais payés. Ils ne sont plus que 19%, contre 36%, il y a dix ans. Enfin, 50% contre 47% en 2003 sont embauchés par une entreprise locale, 18% sont commerçants ou créateurs d’entreprise (10% en 2003) et 3% étudiants.

    Selon les deniers chiffres disponibles, en tout, 1,6 million de Français sont inscrits dans les registres des consulats étrangers, mais dans les faits, ils seraient plutôt 2,2 millions

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  • http://lagauchematuer.fr/2013/03/12/francois-hollande-a-raye-les-jeunes-diplomes-de-sa-politique-au-profit-des-voyous-des-banlieues/

    François Hollande a rayé les jeunes diplômés de sa politique au profit des voyous des banlieues!

    Pendant les présidentielles les jeunes étaient la catégorie qu’il fallait avoir dans la poche. Normal puisque ceux-ci représentent environ 9 millions de personnes, soit assez pour faire basculer un scrutin dans un sens comme dans l’autre. En bon démagogue François Hollande a promis à cette catégorie de français monts et merveilles. Ainsi, s’il était élu président les jeunes ne connaîtraient ni chômage, ni pauvreté mais la richesse et l’opulence.

    Seulement il y a la campagne présidentielle, les promesses et l’euphorie de la victoire et il y a la réalité de la vie et cela François Hollande ne l’avait pas prévu. Et les jeunes qu’il avait eu tant de mal à conquérir commencent à lui échapper. Car érigés en priorité, les moins de 25 ans sont les plus déçus de son action.

    En tant que champion de la démagogie politique, François Hollande  a décidé de réserver à la jeunesse le début de sa visite hier à Dijon. François Hollande a dit comprendre les « angoisses » et les « doutes » exprimés des jeunes français, mais que tout serait fait pour aider les uns et les autres à « grimper ».

    Seulement ces bons mots ne suffisent pas, ce sont des actions que les jeunes français attendent. Et celles-ci n’arrivent pas. A moins que pour le Président de la République les « jeunes » ce sont les voyous des banlieues auquel cas oui, le Président a réalisé tous ceux que ceux-ci désirent.  Il leur a mis un Ministre de l’Intérieur et une Garde des Sceaux qui leurs permet de continuer à dealer tranquille, ainsi que des emplois à mi-temps dans la fonction publique payés à temps plein.

    Malheureusement, les jeunes français, les vrais,  ceux qui étudient et ont un projet de vie, sont obligés de s’exiler hors de France pour pouvoir réussir leur vie professionnelle. Nombre d’entre eux par exemple fuient vers l’Australie, nouvel eldorado des jeunes français. Ces derniers ne sont pas dupes et ont compris que dans la France de François Hollande l’avenir sera très loin d’être rose.

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