• http://www.ndf.fr/poing-de-vue/14-03-2014/eric-zemmour-valls-de-monsieur-je-me-mele-de-tout-a-monsieur-je-ne-sers-a-rien

    Éric Zemmour : Valls, de monsieur-je-me-mêle-de-tout à monsieur-je-ne-sers-à-rien

    La Chronique d’Éric Zemmour du 14 mars 2014 : on a été très frappé d’entendre Manuel Valls dire, sur RTL, qu’il ne savait pas que Nicolas Sarkozy était sur écoute, alors que Jean-Marc Ayrault a dit qu’il était au courant. Surprenant !

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • TOUS CES PSEUDOS MINISTRES AVEC GRAND TRAIN DE VIE...QUI NE SERVENT A RIEN ET NOUS COÛTENT LA PEAU DES FESSES EN 

    CES TEMPS DE DISETTE...EN VOILÀ DES SOURCES D'ÉCONOMIES AFIN DE RÉDUIRE NOS IMPÔTS 

     

    Faut comprendre que lorsque l’on utilise l’argent des autres on peut se permettre des fantaisies que nous les Français laborieux ne pouvons pas comprendre... 

    JOLIES PLANQUES DE COPAINS... 

    Un ministre (et son ministère) coûte 20 millions d’Euros par an à l'état (c’est à dire pour nos impôts). 

    Voici une petite liste de ministres français SDF : Sans Dossier Fixe, actuels, que vous ne connaissez sans doute pas et pour cause… Ils ne servent pour ainsi dire à rien! 

     

    -Hélène CONWAY-MOURET :

    Il faut arrêter de prendre les enfants du bon dieu pour des imbéciles.

      

    Ministre chargée des Français de l’étranger. La cinquantaine, cette gentille blonde a passé 25 ans de sa vie en Irlande. Elle est censée s’occuper de l’Assemblée des Français de l’étranger qui se réunit 2 fois par an. Incroyable ? Vous pouvez vérifier. 

    -Michèle DELAUNAY : 

    Il faut arrêter de prendre les enfants du bon dieu pour des imbéciles.


    C’est la Ministre chargée des personnes âgées et de l’autonomie. Comme il existe déjà un Ministère des Affaires Sociales, ça fait doublon. Donc elle ne fiche rien. En fait, c’est encore plus croustillant : elle s’occupe du handicap avant 60 ans alors qu’une autre ministre, Marie-Arlette CARLOTTI s’occupe du handicap après 60 ans… 

    -Guillaume GAROT : 

    Il faut arrêter de prendre les enfants du bon dieu pour des imbéciles.

     

    Ministre de l’agro-alimentaire. Vous ne savez pas ce que c’est ? Lui non plus ! 

    -Sylvia PINEL : 

    Il faut arrêter de prendre les enfants du bon dieu pour des imbéciles.

     

    Une quadra super jolie en plus ! Ministre du Tourisme. Elle teste les palaces, les restaurants, les yachts, tout ça… 

     

    -François LAMY :Il faut arrêter de prendre les enfants du bon dieu pour des imbéciles.

    Ministre de l’égalité des territoires. Je ne comprends même pas la définition ! 

     

     

     

     

     

     

     

    -Kader ARIF : 

    Il faut arrêter de prendre les enfants du bon dieu pour des imbéciles.


    Alors lui, peu féru d’histoire de France, il en fait de belles. Ainsi (alors que c’est juste ce qu’il a à faire), il a oublié de représenter le gouvernement aux obsèques de Roland de la Poype, qui était un pilote de chasse Français, as de la glorieuse escadrille " Normandie-Niémen ". Les Américains et surtout les Russes ont très moyennement apprécié. Il est ministre des anciens combattants sans avoir fait un quelconque service militaire. 

    Ça donne une idée de l'intérêt de ce gouvernement socialo-communo-écolo pour nos soldats ! 

     

    -George PAU-LANGEVIN :  

    Il faut arrêter de prendre les enfants du bon dieu pour des imbéciles.

     

    Ne vous trompez pas, c’est une femme au prénom Antillais. Sur sa carte de visite, Ministre de la Réussite Éducative. Il vaut mieux se munir d’un dictionnaire avisé style Littré pour savoir de quoi on parle. Quant à la réussite éducative, il vaut mieux parler d’autre chose, justement. 

    -Thierry REPENTIN : 

    Il faut arrêter de prendre les enfants du bon dieu pour des imbéciles.

     
    Alors lui, ce n’est pas une carte de visite qu’il lui faut, c’est un carnet à spirales. Jugez un peu : "Ministre de l’Emploi, de la Formation Professionnelle, du Dialogue Social, et de l’Apprentissage". J’ajouterais bien "Et autres lieux se découvrant à marée basse" mais je n’ose pas. De plus, il y a déjà un ministère du Travail, non ? Qu’est-ce qu’il fout là au milieu ?
     

    -Yamina BENGUIGUI :  

    Il faut arrêter de prendre les enfants du bon dieu pour des imbéciles.

     

    Ministre de la Francophonie, c’est-à-dire de toutes les soirées et cocktails entre Saint-Germain et le 7e, là où on a le plus de chances de croiser Nicolas. 

    -Pascal CANFIN :  

    Il faut arrêter de prendre les enfants du bon dieu pour des imbéciles.


    Ministre chargé du développement. Oui ? Du développement de quoi, siouplait ? On pourrait lui attribuer un joug pour l’associer au célèbre Ministre du Redressement Productif ?
     

    noter que pour le gouvernement D ’Angela Merkel : 
    SEPT ministres qui comme la Chancelière, prennent le MÉTRO !..
     

    Attention : 

    ministre aujourd’hui' hui = très grosse retraite à VIE..

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • http://www.delanopolis.fr/SCANDALE-BENGUIGUI-FERAUD-DOIT-RETIRER-SA-LISTE-_a2136.html

    SCANDALE BENGUIGUI : FERAUD DOIT RETIRER SA LISTE !

     

    La parachutée Yamina Benguigui, figurant en quatrième position sur la liste de Féraud dans le 10ème arrondissement, nous avait habitués à des dissimulations cocasses, telle celle de son âge lors de sa déclaration de patrimoine publiée comme pour tous les ministres.

    Mais cette pudeur n'était pas réservée à la seule coquetterie. Selon l'hebdomadaire Marianne de cette semaine, cette discrète créature a également dissimulé plus de 400 000 euros de placements à l'étranger !

    Tout ceci est passible de lourdes sanctions pénales et rend évidemment juridiquement, politiquement et moralement insupportable sa candidature aux élections municipales.

    Puisqu'il est désormais impossible pour ces socialistes nantis de modifier leur liste, il ne leur reste plus qu'à la retirer en présentant des excuses aux électeurs.

    Faute de quoi, ils ajouteraient la honte à la malhonnêteté et présenteraient au suffrage populaire le visage de la politique que les Français ne veulent plus voir.

    L'image de la probité
    L'image de la probité

    Citons Marianne :

    "Yamina Benguigui cacherait-elle des choses ? A Marianne, ce ne serait pas un drame. A la République, ce serait plus ennuyeux. Il y a moins d'un an, comme tous les membres du gouvernement, la ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, chargée de la Francophonie, a rempli une déclaration de patrimoine rendue publique pour la première fois dans l'histoire de nos institutions.

    Mises en ligne le 15 avril 2013, ces déclarations étaient censées donner corps à l'exemplarité revendiquée par l'équipe de Jean-Marc Ayrault en matière de «transparence financière de la vie politique», après l'affaire Cahuzac. Le préambule méthodologique est parfaitement explicite : «La déclaration prend en compte tous les éléments composant le patrimoine, quelles que soient leur nature, leur importance ou leur situation géographique. L'ensemble des biens doit être déclaré, y compris ceux détenus à l'étranger et ceux n'entrant pas dans l'assiette de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF).»

    Dans la case n° 10 de sa déclaration, celle qui concerne les «biens mobiliers, immobiliers et comptes détenus à l'étranger» et leur valeur, Yamina Benguigui a inscrit «Néant». Or, le 29 janvier 2014, la ministre-réalisatrice-écrivain, qui mène actuellement campagne pour les municipales dans le Xe arrondissement de Paris sur la liste du socialiste Rémi Féraud, a vendu les parts qu'elle détenait dans une société anonyme de droit belge, G2. En l'occurrence, 20 % du capital. Le rachat par ladite société «des 12 actions émises près de Mme Yamina Benguigui» d'une valeur nominale de 1 000 € a été décidé «au prix de 35 833,33 € par action», indique le document enregistré au greffe de Bruxelles le 13 février dernier. Soit, au final, un joli chèque de 430 000 €. On est loin du «néant».

    Voilà quelques mois, dans un grand dossier sur l'évasion fiscale (Marianne n° 841), nous avions décortiqué les liens entre G2, une coquille créée en 2000 par le producteur Philippe Dupuis-Mendel, et Yamina Benguigi, deux amis de longue date. Cette structure belge contrôle une autre société, française celle-ci, Bandits Production, qui a financé l'essentiel des œuvres de cette cinéaste engagée, dont Mémoires d'immigrés, le documentaire en trois parties qui l'a fait connaître. Dès octobre 2005, Yamina Benguigui, ex-adjointe de Bertrand Delanoë aux droits de l'homme et à la lutte contre les discriminations, a siégé sans discontinuer au conseil d'administration de G2. Elle n'a démissionné de ce mandat qu'en août 2012, deux mois après son entrée au gouvernement. «Je ne détiens aucune part dans cette société», nous avait-elle répondu par mail lors de notre enquête, en mai 2013. Une information alors impossible à vérifier, l'entreprise belge ne détaillant pas la structure de son actionnariat dans ses comptes annuels. Mais en rachetant récemment ses actions à Yamina Benguigui, G2 a dû se plier à l'obligation légale de publicité qui entoure ce type d'acte. Et dévoiler incidemment le pot aux roses ? Contactée par Marianne, la ministre n'avait pas retourné nos appels à l'heure où nous bouclions ces lignes.

    Le 27 février sur le plateau de Canal +, elle avait lancé en riant au sujet de l'affaire Copé : «Ça fait du bien à notre gouvernement !» Nul doute que les révélations de Marianne sur cette histoire belge la mettront tout autant en joie."

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • http://www.valeursactuelles.com/soci%C3%A9t%C3%A9/exclusif.-christiane-taubira-au-c%C5%93ur-d%E2%80%99-nouveau-scandale-politique-entre-france-monaco

    Exclusif. Christiane Taubira au cœur d’un nouveau scandale politique entre la France et Monaco

     

    Depuis quelques jours, nombreux sont ceux qui demandent la démission de Christiane Taubira.

    Scandale politique. Valeurs actuelles révèle comment Christiane Taubira, dont beaucoup demandent la démission après avoir menti aux Français sur les écoutes de Nicolas Sarkozy, s’est aussi rendue complice d’un procès politique à Monaco et comment son cabinet a tenté d’intervenir dans une procédure judiciaire, violant ainsi à nouveau le secret de l’instruction. Enquête.

    Un sondage à l’origine d’un procès politique

    En juin 2012, Jean-François Robillon l’ancien président du Conseil National de Monaco – le parlement monégasque- et candidat malheureux à sa propre succession commande un sondage à l’institut Opinion Way pour connaître les intentions de vote des citoyens du Rocher  pour les élections qui ont lieu huit mois plus tard.

    Quelques personnes sondées, mécontentes que l’institut de sondage ait pu collecter des informations privées, portent plainte pour « violation du secret des données personnelles ».  L’entourage de Jean-François Robillon, étonné de leur réaction, se demande alors si les plaignants ne sont pas téléguidés par l’opposition. Vérification faite, le sondage a été payé sur fonds propres et réalisé dans les règles de l’art.

    Le Procureur Général de Monaco (fonctionnaire français détaché) entame à son tour une action en justice contre Jean-François Robillon

    Le lendemain de son élection perdue, tout s’enchaine : Jean-François Robillon est entendu par le Procureur Général de Monaco, son chef de cabinet Jean-Sébastien Fiorucci  est quant à lui carrément placé en garde-à-vue.

    L’action en justice passe alors la vitesse supérieure : le Procureur général de Monaco, obtient, sur la base d’une convention franco monégasque d’entraide judiciaire de 2005, la mobilisation des  services de police et de la justice Française !

    Le Procureur viole le secret de l’instruction

    Alors que l’enquête suit son cours, le Procureur publie un communiqué de presse, commentant l’affaire, en violation totale du secret de l’instruction. Scandalisés par cette lourde faute professionnelle du Procureur, les soutiens de Robillon dénoncent alors une instrumentalisation de la justice à des fins politiques. Face à une telle situation, dans un système judiciaire normal, le Procureur, bien qu’exerçant à Monaco, aurait dû être relevé de ses fonctions ou au moins mis à pied par son ministre de tutelle, en l’occurrence Christiane Taubira. Mais rien ne se passe.

    Le Ministre d’Etat (fonctionnaire français en détachement, qui fait office de Premier ministre) et le Procureur de Monaco ont agi sur instruction du gouvernement français

    Le député  PS Arnaud Leroy très surpris par l’affaire, alerte alors Christiane Taubira et lui adresse deux courriers mettant ouvertement en cause la responsabilité du gouvernement français et de la garde des Sceaux elle-même : « le Ministre d’Etat et le Procureur général ont justifié de leur action (en justice, NDLR) […] en alléguant d’une demande  du gouvernement français et de la Garde des Sceaux visant à affaiblir la société de sondages Opinion Way, considérée comme hostile ! »

    La police et la justice française mises au service d’une cabale politique

    Arnaud Leroy poursuit et s’étonne que « les moyens de la justice française semblent avoir été  instrumentalisés à des fins politiques ». Il pointe alors du doigt les agissements du Procureur général de Monaco qui « a requis l’intervention des service de police et de la justice Française en dissimulant la réalité de ses investigations et en visant des infractions sans lien avec le sondage mis en cause ». Il rappelle également à Taubira l’article 3 de la convention franco monégasque de 2005, qui « prévoit expressément que l’entraide doit être refusée dans l’hypothèse où la demande se rapporte à des infractions politiques ». En dépit de la violation de L’article 3 de la convention, aucune mesure n’est envisagée contre le Procureur fautif.

    Le cabinet de Taubira demande à ses services des "informations" sur l'enquête en cours

    Attendant une condamnation ferme des méthodes du Procureur de Monaco, qui est un fonctionnaire français, ou au moins un rappel à l’ordre, Arnaud Leroy n’est pas au bout de ses surprises : Jean-François Beynel, directeur-adjoint du cabinet de Christiane Taubira, lui répond de manière extrêmement étonnante.

    Il explique à Leroy que la garde des Sceaux l’a chargé « de demander à ses services de lui transmettre tout élément d’information sur ce sujet ». Par ces mots, Beynel explique en fait au Député PS, qu’il va demander aux fonctionnaires du ministère de la Justice d’enquêter sur une affaire en cours d’instruction. Autrement dit, le cabinet de Taubira demande à la Justice française de violer le secret d’une enquête.  

    En dépit des deux courriers du député de la majorité Arnaud Leroy, le cabinet de Christiane Taubira n’a ordonné aucune sanction contre le Procureur, couvrant ainsi et se rendant complice d’une affaire politique qui n’est pas prêt de se terminer.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • http://pasidupes.blogspot.fr/2014/03/mur-des-cons-mise-en-examen-du-syndicat.html

    Mur des cons: mise en examen du Syndicat de la Magistrature (SM) pour injure publique

     

     

     

    Françoise Martres appelée à rendre des comptes à douze plaignants épinglés au Mur des cons 

     


    Des magistrats - dits "indépendants" -  mis en cause 

    Le 13 mars, on apprend une mise en examen datant du 11 février
    Le milieu judiciaire n'a pas cette fois fuité concernant la procédure mise en oeuvre à l'encontre de la présidente du Syndicat de la Magistrature par la doyenne des juges d'instruction, Sylvia Zimmermann,  dans l'affaire du "mur des cons." Françoise Martes est notamment poursuivie pour injure publique. 

    La magistrate pourrait également être poursuivie pour destruction de preuves...
     


    Des injures publiques par des syndicalistes de la magistrature


    Douze plaintes ont été déposées à la suite de la publication d'une liste noire des boucs émissaires du SM, syndicat professionnel très marqué à gauche. Révélé le 23 avril 2013 par le journaliste de France 3 Clément Weill Raynal,  ce patchwork explicitement appelé "Mur des cons" épinglait des dizaines de photos de personnalités détestées du SM visait des mondes politiques, médiatique et judiciaire. 
    Certaines, comme Yves Thréard, ont jugé inutile de porter plainte. Elles sont confortée dans leur absence d'illusions sur l'issue du procès par la révélation de cette mise en examen à la fois tardive et opportune pour tenter de faire croire que la justice serait équitable à l'heure d'un déferlement de soupçons judiciaires sur des personnalités de l'opposition, à dix jours du 1er tour des municipales.

    Aux côtés de plusieurs députés de l'UMP figurent également  Robert Ménard, journaliste et candidat divers droite soutenu par le Front National à Béziers. ainsi  que le général Philippe SchmittL'épinglé est pourtant le père d'Anne-Lorraine, assassinée de 34 coups de couteau dans le RER D, le 25 novembre 2007, par un récidiviste, Thierry Devé-Oglou, condamné depuis lors à la réclusion à perpétuité. Le père de la victime est insulté par le Syndicat de la Magistrature pour avoir critiqué "les libérations irresponsables de violeurs récidivistes et le laxisme de certains juges d’application des peines." Engagé au sein de l'Institut pour la Justice, organisme plaidant pour une plus grande sévérité, il est l'une des personnalités à abattre, aux yeux des magistrats radicaux du SM. On frémit à la mise au jour des preuves de l'humanisme et de tolérance de certains de nos juges intègres.

     


    Le Mur des cons révèle une politisation de la magistrature


     

    L'image du "mur des cons" révèle que certains magistrats se comportent comme des "commissaires politiques" et tordent le bras au droit pour atteindre des personnalités de la vie publique, explique le chroniqueur judiciaire et rédacteur en chef adjoint de France 3, Clément Weill-Raynal. Par exemple, dans l'affaire Bettencourt, on peut se demander pourquoi le juge Gentil a fait appel à un ami proche pour conduire une expertise psychologique déterminante. Bien que la Cour de cassation ait validé son enquête, le soupçon d'une instrumentalisation de la justice pèse...


    La question polémique actuelle de la légitimité et de la légalité des écoutes sur Nicolas Sarkozy, et donc sur son avocat, ses amis et sa famille, porte sur la dérive du système judiciaire et la thèse d'un règlement de comptes entre les juges et l'ancien président de la République qui était en bonne place sur le fameux mur. Or, la durée des écoutes interpelle. Puisqu'au bout d'un an elle n'ont révélé aucun élément de suspicion tangible, on peut légitimement se demander s'il n'y a pas eu un abus du principe d'écoute. La justice ne devrait pas devenir un feuilleton à suspens qui dure des années. D'autant qu'il existe des précédents de procédures qui se sont éternisées pour finalement accoucher d'une souris. Dans ces cas-là, le procès en lui-même compte moins que la campagne de diffamation qui l'accompagne et le soupçon qui lui est accolé pendant des années. Après avoir été taxé de racisme pendant des mois, Brice Hortefeux a finalement été relaxé en appel, mais tout le monde n'a retenu que les accusations, souligne le chroniqueur qui révèle avoir subi un lynchage médiatique par une certaine presse de gauche. Il cite  Libération, Télérama et Le Monde.


    Certaines des photos des cibles des "juges rouges" sont sous-titrées

    Ainsi lit-on que tel est "l'homme de Vichy" ou tel autre est "le fossoyeur". 

    Pour sa défense, le Syndicat de la magistrature plaide le fait que ces images n'avaient pas vocation à être diffusées auprès du grand public des justiciables potentiels et qu'elles ont été
    prises dans un local syndical et donc d'ordre privé. Sauf que le SM est hébergé par le ministère de la Justice.

    Lundi 10 mars, le film litigieux de Clément Weill-Raynal a été mis sous scellés (comme des comptes de parti politique...) par la brigade en charge des atteintes aux personnes et aux biens. 
    En août dernier, la garde des Sceaux, Christiane Taubira, avait décidé qu'il était impossible de "déterminer des responsabilités personnelles", et donc de demander des sanctions.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • http://www.observatoiredessubventions.com/2014/qui-paye-la-gratuite-des-transports-en-commun-pendant-le-pic-de-pollution/

    Qui paye la gratuité des transports en commun pendant le pic de pollution ?

    La région Ile-de-France et le Stif ont décidé d'instaurer la gratuité des transports en commun durant le pic de pollution. Combien coûtera cette mesure ?

    La région Ile-de-France et le Stif ( Syndicat des transports en Île de France) ont décidé d’instaurer la gratuité des transports en commun durant le pic de . Combien coûtera cette mesure ?

    Qui paye la gratuité des transports en commun pendant le pic de pollution ?Les transports en communs ( bus, métro, RER et Transilien) sont donc gratuits dans toute l’Ile-de-France jusqu’à dimanche soir afin de réduire l’utilisation de la voiture. Les villes de Lyon, Caen ou Reims ont également décider d’instaurer la gratuité des transports en commun durant le pic de pollution.

    Le Stif estime que le coût des transports en communs gratuits en Ile-de-France s’élève à près de 4 millions d’euros par jour. Au total, la gratuité des transports en commun en Ile-de-France devrait coûter près de 12 millions d’euros pendant toute la durée du pic de pollution ( soit jusqu’à dimanche soir)

    Qui va payer ?

    La gratuité des transports en commun sera financée conjointement par l’ Etat et le Stif… Ce sont donc les contribuables qui vont payer pour ne pas payer les transports en commun !

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/03/a-montreuil-un-square-portera-le-nom-du-fondateur-dune-revue-homosexualiste-et-p%C3%A9dophile.html

    A Montreuil, un square portera le nom du fondateur d'une revue homosexualiste et pédophile

    ... et des enfants y joueront. Dominique Voynet va inaugurer samedi à Montreuil, en présence de tout le gratin homosexualiste, un square Jean Le Bitoux, du nom du fondateur homosexuel de la revue Gai Pied. Média Presse Info fait à cette occasion un intéressant rappel historique :

    "Cette publication [dont le premier numéro a été imprimé par la LCR] s’inscrit dans une perspective révolutionnaire. La révolution sexuelle est perçue comme un moyen de subvertir entièrement la société. Il y est question d’homosexualité mais aussi de pédophilie. Selon les termes de l’historienne Anne-Claude Ambroise-Rendu, le discours selon lequel « les enfants ont aussi droit à la sexualité » trouve à l’époque une niche « à l’ombre des mouvement alternatifs, de l’antipsychiatrie et du militantisme homosexuel. Du Front homosexuel d’action révolutionnaire (FHAR) créé en mars 1971, au magazine Le Gai Pied lancé en février 1979, tous réclament, avec Michel Foucault, la reconnaissance des « sexualités périphériques ». » En 1975, Daniel Cohn-Bendit publie Le Grand bazar dans lequel un chapitre, « Little big men », est consacré à la« sexualité des enfants ». En 1976, René Schérer et Guy Hocquenghem dirigent un numéro de la revue Recherches sur l’enfance et l’éducation, « soutenu notamment par Michel Foucault et François Châtelet [et qui] marque sans doute l’apogée de ce type de discours » intellectuel sur la pédophilie et l’hébéphilie. En avril 1978, invité avec Guy Hocquenghem de l’émission Dialogues sur France Culture, Michel Foucault dénonce le cadre juridique qui « vise à protéger les enfants en les confiant au savoir psychanalytique », à nier l’existence de leur désir sexuel et à postuler la sexualité avec les adultes comme dangereuse pour eux.

    Gai Pied publiera des annonces explicites qui relèvent de la pédophilie.

    En 1987, Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur de l’époque, décide d’interdire Gai Pied Hebdo. Mais le lobby homosexuel mobilise ses relais politiques et François Léotard, qui est à l’époque ministre de la Culture, intervient pour sauver cette publication qui disparaîtra finalement en 1992.

    C’est dans les locaux de Gai Pied que se trouve le siège d’Act Up Paris."

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/vive-la-democratie-socialiste/

    Vive la démocratie socialiste !

    Où s’arrêtera l’arrogance des socialistes au pouvoir ? Jusqu’où abimeront-ils la démocratie ?

    Voici 3 faits récents qui montrent leur mépris de la démocratie et leur volonté farouche de tout faire pour rester au pouvoir :

    1 – Manuel Valls et le chantage à la naturalisation d’une jeune Russe

    manuel-valls-best-of

    Regardez cette vidéo dans laquelle une jeune Russe témoigne d’avoir été victime d’un chantage odieux de la part des policiers de Manuel Valls. Elle fut sommée d’espionner la Manif pour Tous et notamment les veilleurs en échange de l’obtention de sa naturalisation :

     

    Lire en complément cet article du FigaroVox.

    2 – Christiane Taubira et ses mensonges aux Français les yeux dans les yeux

    taubira-mensonge

    Christiane Taubira jure ses grands dieux – en se référant à l’éthique du gouvernement en matière de respect de l’indépendance de la justice – qu’elle a appris les écoutes subies par Nicolas Sarkozy dans la presse pour être contredite le lendemain par le premier ministre et confondue par des documents qu’elle brandit devant des caméras (voir ce précédent article).

    3 – Michel Sapin insultant l’ancien président de la République

     

    Extrait :

    « Nicolas Sarkozy adorait avoir sur son bureau toutes les écoutes du monde. Il faudrait que tous les autres ministres de l’intérieur soient aussi pervers que lui ! Mais non !!! On peut être ministre de l’intérieur sans être pervers. On est pas tous obligé d’être à l’image de quelqu’un qui s’appelle Nicolas Sarkozy »

    Michel Sapin a beau être le plus « lourdeau » des ministres du gouvernement on reste saisi en l’entendant proférer de telles insultes envers un ancien président de la République.

    Les écoutes téléphoniques, c’est bien une des rares choses que les socialistes  n’aient pas réussi à coller sur le dos de Nicolas Sarkozy ! Ce monsieur Sapin a dû oublier le maître en la matière qu’était François Mitterrand, un socialiste parait-il !

    Où sont les preuves des allégations de monsieur Sapin ? Est-il acceptable, qu’en une période où l’acharnement des socialistes contre l’ancien président, éclate au grand jour, un ministre de la République ose le traiter de pervers ?

    Une plainte en diffamation n’est-elle pas recevable en l’occurrence ?

    4 – Et pendant de temps-là, à l’Elysée …

    hollande-ne-sait-rien

    Car à l’Elysée, on ne sait rien. Comme Valls et Taubira, on doit lire le Monde pour apprendre que Sarkozy a été écouté par des juges depuis près d’un an ! A l’Elysée, on intervient jamais dans les affaires de justice tant on respecte son indépendance ! Mis à part Harlem désir et Bruno Le Roux, y a t-il un Français pour croire qu’à la tête de l’Etat, on ne suive pas, jour après jour, l’avancement de la formidable machine judiciaire socialiste vers l’objectif de l’obtention de l’inéligibilité de Nicolas Sarkozy ?

    Foutage de gueule massif !

    Oui, pendant ce temps-là, à l’Elysée on se contente de compter les points pour 2017 …

    Tout cela sent de plus en plus mauvais pour la démocratie …

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire