• http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/anna-cabana-versus-philippe-martel-ca-sent-vengeance-personnelle,73788

    Anna Cabana versus Philippe Martel : ça sent la vengeance personnelle…

      

    presse-desinformation
     
    Affirmations non vérifiées, vengeances personnelles, telles sont les deux mamelles du traitement médiatique contemporain.
     
     

    Dans Le Point du 29 mai 2014, la journaliste Anna Cabana a lancé des accusations graves contre la stratégie médiatique du Front national. Avec un acharnement terrible, elle prétend que le chef de cabinet de Marine Le Pen, Philippe Martel, transfuge du RPR, aurait déclaré : « Il faut vous écraser – Vous ? – Tous ces connards de journalistes institutionnels ». La litanie continue tout au long de l’article, la critique se fait ad hominem, Philippe Martel est quasiment comparé à un agent de la Stasi, fichant les journalistes français pour les menacer. On sent presque pointer une forme d’hystérie vengeresse. N’oublions d’ailleurs pas que le partial et très engagé Aziz Zemouri sévit lui aussi au journal Le Point.

    Mais les choses ne se sont pas arrêtées là, non, tout le système médiatique s’est emballé. Dans l’après-midi suivant la parution de l’article, Reporters sans frontières s’est aussi fendu d’un communiqué sans même prendre la peine de contacter l’homme à qui l’on reprochait ces propos. Christophe Deloire, secrétaire général de l’association, a formulé de lourds griefs à l’encontre du susnommé Philippe Martel : « Ce qui transparaît dans les propos du chef de cabinet de Marine Le Pen, c’est rien de moins qu’une stratégie de démantèlement du pluralisme en France. » Le tout sans vérifier la véracité des propos auprès du principal intéressé. À la bonne heure !

    Connaissant un peu Philippe Martel, j’ai pris la peine de le contacter, car j’étais surpris par ces allégations, l’homme étant courtois et cordial. Il m’a, bien entendu, affirmé ne jamais avoir pensé à supprimer le pluralisme de la presse ; comment pourrait-il d’ailleurs en être autrement ? Et puis quel intérêt, en 2014, de ficher les journalistes quand aujourd’hui tout est disponible en un simple clic. Une simple recherche Wikipédia m’a, par exemple, permis d’apprendre que madame Cabana était l’épouse d’un inspecteur des finances, ancien proche collaborateur d’Alain Juppé, tout comme monsieur Martel. En outre, elle a été suspectée par deux fois d’avoir brisé les secrets du « off » pour des livres traitant d’Alain Juppé et de Cécilia Sarkozy. Tout cela sent la vengeance personnelle d’une journaliste régulièrement moquée sur les réseaux sociaux et souvent perçue comme ridicule en interview sur BFMTV.

    La vraie question posée par l’article d’Anna Cabana et les réactions qu’il a suscitées n’est donc pas à chercher du côté d’un fantasmagorique plan du FN à l’encontre de la pluralité des médias, mais bien du côté de la déontologie des journalistes français ! Affirmations non vérifiées, vengeances personnelles, telles sont les deux mamelles du traitement médiatique contemporain. Ce serait bien inquiétant pour le « pluralisme » de la presse. Cela démontre aussi la nervosité d’une caste défavorable à des idées désormais largement partagées par une grande partie des Français. Mais le peuple n’est plus dupe, et lui s’en tient aux faits, raison expliquant sa défiance actuelle à l’égard des journalistes.

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  • http://www.frontnational.com/videos/marine-le-pen-lance-un-appel-solennel-aux-francais-contre-le-traite-transatlantique/

    Marine Le Pen lance un appel solennel aux Français contre le Traité transatlantique

    Mes chers compatriotes,

    Je vous lance un appel solennel car la vérité sur les dangers du Traité transatlantique en cours de négociation doit éclater.

    Beaucoup d’entre vous l’ignorent, mais les Etats-Unis et l’Union européenne sont activement engagés depuis juillet dernier dans une négociation visant à créer un gigantesque bloc commercial transatlantique.

    Ces négociations se font dans le plus grand silence, sans votre information ni votre consentement.

    Ce processus a été cautionné par le gouvernement PS de François Hollande mais aussi par la soi-disant « opposition » UMP.

    La classe UMPS a confié un mandat au nom de la France (c’est-à-dire en votre nom) aux bureaucrates de Bruxelles qui ont tout pouvoir pour faire aboutir ce projet.

    Cette méthode silencieuse, furtive, sans consultation est la négation de la démocratie !

    L’UMPS et ses satellites (Modem, UDI…) sont donc coupables d’un manquement grave à la démocratie puisqu’ils ont sciemment dissimulé l’existence de cette négociation.

    Si cette négociation, menée en catimini, aboutit, ce serait une catastrophe pour notre économie, pour notre démocratie et la liberté de nous nourrir comme nous le souhaitons.

    En effet, ce Traité, qualifié par les Américains de véritable « OTAN économique » mettrait en place une zone de libre-échange total entre les Etats-Unis et les 28 Etats de l’Union européenne avec des conséquences extrêmement graves :

    -Toutes les normes environnementales, agricoles et alimentaires seraient modifiées au profit de grandes firmes multinationales. Cela signifie que demain, vous et vos familles pourriez manger du bœuf aux hormones, du poulet à la Javel, du porc à la ractopamine, les OGM fabriqués en masse aux Etats-Unis, etc.

    Les légitimes protections face à ces produits pourraient disparaître, ce qui menace la santé des consommateurs mais aussi la viabilité de notre agriculture, déjà si affaiblie par l’ultra-libéralisme de Bruxelles. Cela pourrait signifier à terme la fin de notre tradition agricole, constitutive de notre identité nationale.

    Même chose pour notre industrie qui serait en proie à une concurrence encore plus insoutenable, alors même que l’Union européenne et l’euro lui font déjà tant de mal.

    -Plus généralement, l’objectif de ce Traité est d’harmoniser toutes les normes entre l’Union Européenne et les Etats-Unis : nos normes, nos règles sont l’expression de nos préférences collectives et ne sont pas négociables.

    Quelle serait le sens de la démocratie si après l’adoption d’un tel Traité, nous ne pouvions plus voter des lois, des normes pour protéger les citoyens de ce pays, l’environnement, décider dans quel monde nous souhaitons vivre ?

    -Ce Traité transatlantique prévoit aussi la dérégulation totale des investissements. Plus rien ne viendrait freiner la rapacité des spéculateurs et des banques alors que les peuples réclament massivement un contrôle de la finance ; ce sont les peuples, comme toujours, qui paieront les pots cassés.

    -Ce projet ahurissant permettrait aux grandes firmes mondiales d’attaquer juridiquement toute collectivité ou tout Etat qui ne se soumettrait pas au libre-échange intégral voulu par ce Traité.
    Ces procès se dérouleraient devant une justice privée (appelée par les spécialistes « tribunal d’arbitrage » : vous en avez déjà vu un à l’œuvre au moment du scandale Tapie-Crédit lyonnais…).

    Cette possibilité d’un Etat attaqué par une firme étrangère devant une justice privée serait une victoire historique du monde de l’argent sur la démocratie et la liberté. Imagine-t-on demain Monsanto attaquer la France parce qu’elle refuserait sur son sol tel ou tel OGM ?…Je ne veux pas de ce cauchemar.

    -Ce ne sont que quelques-uns des dangers immenses portés par ce Traité dont les négociations devraient être conclues en 2015 ou 2016.
    Mais face à ce danger réel, il n’est pas trop tard pour réagir!

    L’UMP et le PS espèrent ardemment que les Français ne s’intéresseront pas à ce traité parce qu’ils le soutiennent tous les deux, comme ils espèrent que vous vous abstiendrez aux élections européennes du 25 mai : ne leur faites pas ce cadeau!

    Mobilisez-vous en masse, dès aujourd’hui pour diffuser cette vidéo ; mobilisez-vous le 25 mai pour faire obstacle à ce projet anti-démocratique, anti-économique et anti-social.
    Un autre chemin est possible, c’est à vous de choisir !

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  • http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20140528.OBS8694/les-impots-rapportent-14-6-milliards-de-moins-que-prevu-en-2013.html

    Les impôts ont rapporté 14,6 milliards de moins que prévu en 2013

    Selon Stéphane Le Foll, cela ne remet "pas en cause" les baisses d'impôts prévues en 2014. La Cour des comptes s'interroge, elle, sur "la sincérité" du budget initial pour 2013.

    Déclaration de revenus 2012. (A. GELEBART / 20 MINUTES/SIPA)  

    La Cour des comptes épingle dans un rapport publié mercredi 28 mai la mauvaise estimation l'an dernier des recettes fiscales de l'Etat, "mal expliquée par l'administration", et s'interroge sur la "sincérité" du budget initial.

    "L'écart entre prévision et exécution sur l'évolution spontanée des recettes fiscales souligne le manque de prudence de la loi de finances initiale et peut soulever une interrogation au regard de la sincérité de cette dernière", écrit la Cour dans ce rapport portant sur l'exécution du budget de l'Etat en 2013.

    Le principe de sincérité budgétaire a été inscrit dans une loi organique en 2001.

    Le moindre rendement des recettes fiscales demeure mal expliqué par l'administration", regrette par ailleurs la Cour.

    L'institution souligne que les recettes fiscales nettes l'an dernier ont été très inférieures aux prévisions de départ.

    Une croissance plus faible que prévu

    Les impôts, fortement alourdis l'an dernier, auraient dû rapporter à l'Etat 30,2 milliards d'euros de plus qu'en 2012. Mais au final, les recettes fiscales ont augmenté deux fois moins que prévu, de 15,6 milliards, souligne la Cour. Un manque à gagner de 14,6 milliards... mais, qui selon Stéphane Le Foll ne remet "pas en cause" les baisses d'impôts prévues en 2014, puis qu'il avait déjà été "anticipé" dans la loi de finance rectificative.

    La Cour explique ces dérapages à la fois par une croissance plus faible que prévu l'an dernier et par un aspect de technique budgétaire, celui de "l'élasticité" des recettes fiscales.

    Dans ses projets de budget, Bercy établit un rapport entre la croissance du Produit intérieur brut et celle des recettes fiscales, la fameuse "élasticité", évaluant ainsi le rythme auquel "rentre" l'impôt.

    Cette élasticité peut fortement varier selon les années, suscitant de fortes moins-values quand la conjoncture est mauvaise mais aussi des cagnottes quand la croissance surprend à la hausse.

    Pour 2013, le gouvernement avait annoncé une élasticité de 1, c'est-à-dire qu'il estimait que les recettes fiscales, à législation constante, croîtraient exactement au même rythme que l'économie française. Or en réalité, l'élasticité l'an dernier s'est avérée négative à -1,3, "une valeur historiquement basse", selon la Cour.

    Bercy dément toute "manipulation"

    Pour le budget 2014, l'Etat n'a pas vraiment changé de mode de calcul, puisque la loi de finances initiale juge qu'à législation constante, les prélèvements obligatoires évolueront au même rythme que le PIB. Ce que le Haut conseil des Finances publiques, organe indépendant adossé à la Cour des comptes, a d'ores et déjà jugé "optimiste".

    A Bercy, on se défend de toute manipulation statistique : "Nous ne faisons pas de prévision d'élasticité ex ante. La mesure de l'élasticité découle d'une constatation après des prévisions fines impôt par impôt", assure-t-on au ministère des Finances.

    En d'autres termes, la fameuse "élasticité" n'est pas décrétée par les fonctionnaires de Bercy dans le but de tenir tant bien que mal le budget. "Les économistes estiment cette élasticité à 1 en moyenne, mais à court terme il peut y avoir de fortes fluctuations", reconnaît l'administration.

    Pour éviter à l'avenir les écarts trop importants entre recettes réelles et prévisions, la Cour recommande d' "établir et rendre public un document de référence précisant les méthodes et le processus de prévision des recettes pour les principaux impôts", mais aussi de mieux analyser les écarts passés.

    Dans l'ensemble, bien qu'inférieures aux prévisions, les recettes fiscales nettes de l'Etat ont affiché l'an dernier leur quatrième année consécutive de hausse, progressant de 15,6 milliards d'euros par rapport à 2012, et ont retrouvé leur niveau d'avant la crise de 2008.

    Dérapage du "déficit structurel"

    Parallèlement à ce rapport de la Cour des comptes, le Haut conseil des finances publiques, un organe qui lui est adossé, a demandé au gouvernement de corriger le dérapage du "déficit structurel". Il s'agit du déficit public de la France, mais recalculé pour éliminer les "effets liés au cycle économique et (les) mesures ponctuelles et temporaires".

    En 2013, le déficit public effectif de la France a atteint 4,3% du Produit intérieur brut (PIB), et son déficit structurel 3,1%, rappelle le HCFP. Or le gouvernement s'était engagé à atteindre un déficit structurel de 1,6% dans la loi de programmation des finances publiques datant du 31 décembre 2012.

    Cet écart entre les prévisions et le déficit structurel final "est supérieur à la limite de 0,5 point de PIB fixée par la loi organique du 17 décembre 2012" et peut donc être qualifié "d'important" selon le HCFP, qui va en conséquence déclencher un "mécanisme de correction", conformément à des décisions prises au niveau européen.

    A Bercy, on assure qu'"en tout état de cause les mesures d'économie annoncées permettront bien de se rapprocher de la trajectoire initialement prévue". Le gouvernement a élaboré pour cette année des mesures supplémentaires d'économies, de 4 milliards d'euros, qui feront l'objet d'un collectif budgétaire.

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  • http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/vrais-chiffres-chomage-avril-2014-152546

    Vrais chiffres chômage Avril 2014, 41100 chômeurs de plus, malgré 304600 radiations

    Toujours 1 inscrit sur 2 qui ne perçoit aucune indemnité de Pôle emploi.

    Seuls 2 chômeurs sur 10, sortent des listes pour "reprise d'emploi déclarée".

    Environ 1 emploi, trop souvent précaire, pour 100 demandeurs.

    33 % environ de la population active sans emploi ou sans emploi stable.

    L'actualité étant portée davantage sur les millions d'euros de magouilles de l'UMP, voici quand même, comme chaque mois, les chiffres glaciales, concernant les millions, cette fois-ci, de privés d'emploi, et trop souvent de revenu :

    Radiations des listes A,B,C,(D,E) de Pôle Emploi par motifs, Avril 2014 :
     
    - Défauts d'Actualisation : 201 700, 41,3 % des sorties des listes (+7,6 % en 1 an).

    - Radiations Administratives (les punis) : 49 500, 10,2 % des sorties (+4,7 % en 1 an).

    - Autres Cas ( les morts, suicidés, emprisonnés .. ) : 53 400 et 11 % des sorties.
     
    soit 304 600 radiés des listes (62,5 %) pour autres motifs que :
     
    - Stages parking : 47 200, 9,7 % des sorties (+18,3% en 1 an).

    - Arrêts maladie, maternité etc : 37 600, 7,7 % des sorties.(+12,6% en 1 an)
     
    - Reprises d'emploi déclarées : 97 900, ne représentent que 20,1 % des sorties des listes de pôle emploi.
     
    Demandeurs d'emploi par catégories :

    A : 3 364 100 +0,4 % ( + 3,5 % sur 1 an ).
    B : 656 400 -0,1 % ( + 3,5 % sur 1 an ) travailleurs pauvres moins de 78 heures.
    C : 965 400 +2,3% ( + 7,3 % sur 1 an ) travailleurs pauvres de + de 78 heures.
    D : 282 200 +0,9 % ( + 6,9 % sur 1 an ) stages parking, occupationnels etc.
    E : 394 700 +0,6% ( + 12,9 % sur 1 an ) contrats aidés etc.

    TOTAL : 5 662 800 ( données corrigées ), hors DOM TOM, soit + 4,9 % sur 1 an, 41100 chômeurs de +, par rapport à Mars.
     
    TOTAL, dom-tom compris : 5 991 200 ( page 15 du rapport de la DARES, lien en bas de page )

    Quelques chiffres qui parlent :

    Chômage Longue durée (entre 2 et 3 ans) : + 14,9 % sur 1 an.
    Chômage Très Longue Durée + de 3 ans : + 17,6 % sur 1 an.

    Chômage des 50 ans et +, + 11,1 % sur 1 an.

    + d'1 chomeur inscrit à pôle emploi sur 2 (51,5 %) ne perçoit AUCUNE INDEMNITE, ni ARE (allocation retour à l'emploi), ni allocation de solidarité (ASS, AER ...)

    Offres d'emploi dispo, dernier chiffre connu : 200 702.

    Le + scandaleux, LES INVISIBLES, complètement en dehors des statistiques :
     
    Ne sont pas comptés dans ces 5 991 200 demandeurs d'emploi et travailleurs pauvres occasionnels :
     
    1 378 900 foyers bénéficiaires du RSA, en effet sur 2 300 000 environ de foyers (dernier chiffre connu) , seuls 921 100 sont inscrits à Pôle Emploi, les autres bénéficient d'autres suivis (associations, collectivités locales, etc.) en sachant qu'un foyer bénéficiaire, comporte parfois + d'un demandeur d'emploi en son sein, donc si on parle en nombre d'individus c'est pire.
     
    + 1 000 000 au bas mot, sur les environs 2 millions de bénéficiaires de l'AAH ou d'une pension d'invalidité, ne sont pas inscrits à Pôle emploi, malgré une aptitude et un désir d' accès à emploi adapté.
     
    + d'1 million de SANS-DROITS, principalement :
     
    - des jeunes de moins de 25 ans, primo demandeurs d'emploi, qui comme vous le savez n'ont même pas droit au RSA. (quasi unique en Europe)
     
    - des sans droits, pour motif, dépassement des plafonds de ressources dans le foyer, exemple, votre conjoint(e) perçoit 650€ d'allocation chomage, ou 790€ d'allocation adulte handicapé, vous n'aurez même pas droit au RSA, car vous dépasserez le plafond couple qui est de 629€ par mois, si vous êtes NON SDF.

    - des bénéficiaires de pensions de reversions (veufs, veuves) de 55 ans et +, qui dépassent les plafonds du RSA, et qui n'ont pas encore l'age pour prendre la retraite ou encore percevoir le minimum vieillesse "ASPA" ( 67 ans) ASPA récupérable sur le patrimoine, au décès.

    - des bénéficiaires de pensions alimentaires qui dépassent les plafonds du RSA (plafonds 2 fois inférieurs aux seuils de pauvreté, une véritable honte)

    - on peut également évoquer, des étudiants, boursiers ou non, qui cherchent des petits jobs alimentaires, qui sont donc bien demandeurs d'emploi, en concurrence avec les autres (même si beaucoup sont aussi exploités en stages sous payés, voire gratuits)
     
    - on peut évoquer enfin, des auto-entrepreneurs, qui ne gagnent rien ou presque, et sont demandeurs d'emploi en parallèle.

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     - on peut parler également de retraités qui cherchent un emploi car leur retraite ne couvre pas les charges fixes pour survivre ( loyer, énergie, assurances, voiture, téléphone, eau, nourriture, santé (lunettes, dentiste ..) incalculable


    Faites le calcul vous même, on arrive au total, à + de 9,5 MILLIONS demandeurs d'emploi en France, et travailleurs pauvres occasionnels.
     
    Sources : Rapport complet de la DARES de 20 pages (et non pas le simple communiqué de presse envoyé aux médias) : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/p...

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  • http://www.les4verites.com/politique/larmee-francaise-en-danger-de-mort

    L’armée française en danger de mort

     

    Sacrifier l'armée, pour sauver le soldat Bercy !

    En cette période de menaces multiples et d’incertitude croissante, qui s’intéresse aux choix stratégiques en cours, concrétisés par la loi de programmation militaire qui conditionne l’avenir de nos armées pour la décennie à venir ?

    Ce ne sont pas les narco-terroristes islamistes, nos ennemis d’aujourd’hui au Mali, qui menacent le plus notre armée, c’est bien davantage l’absence de vision stratégique, la mise en œuvre de mesures à caractère essentiellement financier de court terme. Ce comportement conduit à une baisse régulière de notre effort de défense et à une réduction de près de 25 % de nos effectifs en une dizaine d’années.

    Nous savons tous que notre dette et nos difficultés financières d’aujourd’hui sont d’abord la conséquence directe de près de 4 décennies de budget de l’État voté en déficit ; que les intérêts annuels de la dette représentent à ce jour une fois et demie le budget de la Défense et que la loi de programmation (2014-2019) poursuit la réduction de l’effort de défense (de 1,5 % du PIB à 1,3 % au mieux) pour tenter de sauver le soldat « Bercy » !

    Mais nous savons également que le dernier engagement au Mali, avec des moyens pourtant réduits, a confirmé une nouvelle fois la remarquable valeur de nos soldats, mais aussi, hélas, la vétusté de nombre d’équipements et l’insuffisance de moyens logistiques pourtant indispensables.

    Nous assistons à une mort lente et quasi programmée d’une armée qui assure pourtant deux fonctions essentielles au service de la Nation.

    Elle est d’abord une « institution destinée à faire la guerre ». Mais peut-elle le rester quand le taux actuel de disponibilité des matériels majeurs (VAB, hélicoptères, frégates…) est en moyenne de 50 %, que le taux d’activité de nos forces sera de 15 à 20 % inférieur par rapport aux normes d’entraînement, que nos 14 avions ravitailleurs ont près de 50 ans d’âge et que, vu le rythme de renouvellement de nos hélicoptères de manœuvre, nous serons obligés de conserver nos hélicoptères Puma au-delà de 2025 : ils auront alors près d’un demi-siècle !

    Il faut lire les auditions des chefs d’état-major pour réaliser quel est l’état de paupérisation de nos forces armées ! Comment, dans ces conditions, l’armée pourrait-elle remplir les multiples missions qui lui sont confiées ?

    Mais l’armée est tout autant, peut-être même davantage encore, une institution consubstantielle à la Nation. Sans armée, point d’État. Elle demeure l’ultime recours en cas de crise. Elle contribue largement à la résilience de notre pays.

    Elle développe des valeurs de courage et de discipline, qui sont autant de repères pour les Français. Sa neutralité politique en fait un noyau indiscutable de l’unité nationale ; l’acceptation du sacrifice exprime mieux que tout la volonté de la France à rester un pays libre.

    Ces jeunes soldats de 20 ans, qui acceptent de servir leur pays au prix du sang, ne laissent pas leurs compatriotes indifférents ; les sondages le montrent.

    C’est pourquoi, malgré les soucis du quotidien, les Français doivent comprendre que leur armée, ponctionnée et étranglée lentement depuis plus de 30 ans, est en situation de mort annoncée à échéance de 5 à 10 ans. Ils doivent en prendre conscience, manifester leur soutien en toute occasion, dénoncer cette situation dangereuse et exprimer leur refus de ce choix suicidaire auprès de leurs élus.

    L’armée est l’émanation et l’expression de la Nation ; elle doit donc demeurer dans le cœur de la Nation.

    Il importe que la Nation veille à ce qu’elle demeure suffisamment puissante pour garantir une liberté si chèrement acquise par nos aïeux.

    Paul-Albert Gala

     

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  • http://zebuzzeo.blogspot.fr/2014/05/lavocat-de-pygmalion-ex-avocat-de.html

    L'Avocat De Pygmalion Ex Avocat De Guerini Et Emmanuelli Et Membre Du PS

     

     

     

     

     

     

    Dans les années 90, maître Maisonneuve avait défendu Henri Emmanuelli dans l'énorme scandale de l'affaire Urba qui avait détruit le PS à l'époque.

     

    Hollande gouverne "de facto" avec les chiraquiens qui n'ont qu'un but détruire les sarkozystes, dailleurs Jacques Chirac a apellé à voter Hollande en 2016!

     

     

     

    Malgré l'effondrement du PS, l'exploit de l'UMP 


    Alors que l'effondrement du PS laisse peu de cartes dans la main de François Hollande, qui a déjà utilisé celle du remplacement de Premier ministre, l'UMP commet l'exploit de focaliser l'attention médiatique sur son financement.

    L'ex-directeur de campagne adjoint de Nicolas Sarkozy a reconnu de fausses facturations au nom de l'UMP pour «absorber» les frais de campagne de l'ex-président. Jean-François Copé va répondre aux critiques lors d'un bureau UMP à l'Assemblée réunissant les ténors du parti.


    Jérôme Lavrilleux a ainsi reconnu que des meetings de Nicolas Sarkozy ont été indûment facturés à l'UMP par la société Bygmalion, au cours d'une interview sur BFMTV, lundi 26 mai, au cours de laquelle on a pu le voir en larmes. 


    "Les dépenses de la campagne (...) ont explosé et (...) ont été beaucoup plus importantes. Tout ceci a coûté de l'argent que ne permettait pas d'absorber des comptes de campagne. Une partie a été mise sur les comptes de campagne (...) L'autre partie a été absorbée par l'UMP. (...) Il y a eu un dérapage sur le nombre, non pas sur la valeur, mais sur le nombre d'événements qui ont été organisés dans cette campagne. J'ai pas eu le courage de dire stop, on en fait trop, on va dans le mur. J'ai commis cette erreur. J'ai fait part de mon sentiment. Je n'en ai fait part ni à Nicolas Sarkozy, ni à Jean-François Copé. Jean-François Copé n'a pas été mis au courant de cette dérive en volume de dépense."


    "La facturation sur ces événements, c'était une manière de ventiler les dépenses qui auraient dû l'être sur les comptes de campagne. On a une législation sur les comptes de campagne qui est totalement à côté de la plaque (...) Tous les partis politiques, notamment les deux qui vont au second tour, sont obligés d'user d'expédients.  Il n'y a pas besoin d'avoir fait sciences-po pour s'en rendre compte. (...) Je note qu'on s'interroge souvent sur nous, et très peu sur l'autre."


    Maître Patrick Maisonneuve, l'avocat de la société Bygmalion qui a lancé les accusations de factures bidons contre Nicolas Sarkozy, Jean-François Copé et l'UMP, est un membre du Parti Socialiste dont il a déjà auparavant défendu plusieurs de ses ténors dont Henri Emmanuelli et Jean-Noël Guérini. Moins de 5 minutes après que ce même Patrick Maisonneuve eut lancé ses accusations contre l'UMP, la police était déjà sur place pour perquisitionner le siège de l'UMP. Le PS sait se défendre.

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  • http://voixdupeuple.wordpress.com/2014/05/27/comparaison-franceallemagne/

    Comparaison France/Allemagne…

     

     

    Puisque les politiciens FRANCAIS, prennent toujours l’Allemagne en exemple et que nos hommes politiques nous parlent sans cesse du modèle allemand,
    Voici QUELQUES PRÉCISIONS…

      France Allemagne
    Gouvernement

    1 Président de la République

     

     

    + 1 Premier Ministre

    + 25 Ministres

    + 9 Secrétaires d’état


    TOTAL : 36

    1 Chancelier(e) + 8 ministres

     

     

     

     

     

     

    TOTAL : 9

    Coût d’un ministre 17 millions d’Euros par an  3 millions d’Euros par an
    le soir après le" boulot"

     

     

     

     

     

    A Paris, le 1er Ministre se détend dans son logis de fonction (310m²) à Matignon tandis que ses collègues regagnent en limousines les hôtels particuliers que la République met généreusement à leur disposition

     

     

     

    Angela MERCKEL rentre dans son appartement, dont elle paie le loyer, les factures d’eau et d’électricité. Comme chacun de ses 8 ministres

    Personnel

     

     

    906 personnes travaillent à la Présidence de la République

    A peu près 300 personnes en Allemagne
    Parc auto

     

    Élysée :

    121 véhicules

    Chancellerie :

    37 véhicules

    Déplacements

     

     

     

     

     

     

    1«Airbus A330-200

    2 « Falcon 7X

    2 « Falcon 900

    2 « Falcon 50

    et

    3 Hélicoptères Super Puma

    Systématiquement en train ou sur des lignes aériennes régulières
    Indemnité

     

     

    Président de la République

    21 026 € NET

    Angela MERKEL 15 830 € Brut (Attn: Salaire soumis à l’impôt)
    Budget

     

    l’Élysée culmine à

    113 000 000 €

    Chancellerie

    36 400 000 €

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  • http://www.prechi-precha.fr/jerome-lavrilleux-directeur-de-campagne-de-sarkozy-se-fait-harakiri-en-direct-video/

    Jérôme Lavrilleux, directeur de campagne de Sarkozy, se fait Harakiri en direct.(vidéo)

    C’est bien connu, dans la mafia ce n’est jamais le parrain qui tombe le premier. Ce sont d’abord les hommes de mains… Lavrilleux était celui de Copé et Sarkozy…. devant les caméra de télévision et face à la pression qui pèse sur ses épaules il craque en direct… les parrains eux, regardent la télé, et vont une fois encore sauver leur tête…..

    Aux prochaines élections, il faudra la leur couper.

    ——–

    La gorge serrée, souvent au bord des larmes, Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet de Jean-François Copé à l’UMP, a lutté durant les vingt-sept minutes qu’a duré son interview sur BFMTV pour donner sa version dans l’affaire Bygmalion, une bombe qui a explosé lundi soir au visage de l’UMP.

    « Ce n’est pas une affaire de financement de la campagne de Nicolas Sarkozy. Il s’agit de dépenses qui ont explosées », a-t-il expliqué sur BFMTV lundi alors que l’avocat de Bygmalion a dénoncé l’implication de l’UMP dans la société dans une affaire de « fausses factures ».

    « Pendant la campagne, on me demande d’organiser des meetings et nous terminons la campagne avec plus de quarante meetings. Tout ceci a coûté de l’argent que ne permettaient pas d’absorber les comptes de campagne. Mais toutes les prestations facturées ont été réelles. [...] Une partie a été mise sur les comptes de campagne. L’autre partie a été absorbée par l’UMP », a-t-il poursuivi, livide, reconnaissant ainsi le système de fausses factures qui plonge aujourd’hui l’UMP et Jean-François Copé, son président, dans la tempête. « Il y a eu des factures présentées à l’UMP qui correspondaient à des dépenses faites pour la campagne », a-t-il poursuivi, reconnaissant « un dérapage ».

     

    Lavrilleux défend Copé

    « Il y a eu un dérapage sur le nombre d’événements organisés dans cette campagne [...] J’ai commis l’erreur de ne pas dire stop. Je n’ai pas fait part de mes doutes à Nicolas Sarkozy ou à Jean-François Copé sur ces volumes de dépenses. Je n’étais pas le directeur de campagne mais je ne me défausse sur personne, moi, insiste le directeur de cabinet de Jean-François Copé à l’UMP, élu eurodéputé ce week-end. Je ne suis là pour charger personne ».

    Les larmes aux yeux, il a ensuite précisé qu’il y avait eu « environ 11 millions d’euros de dépenses liées à la campagne ventilées sur d’autres opérations ». Mais « il n’y a eu aucune malversation, aucun paiement en liquide, a-t-il assuré. Il n’y pas eu d’enrichissement personnel ».

    Puis Jérôme Lavrilleux a assuré que ni Jean-François Copé, ni Bastien Millot (fondateur de Bygmalion) n’étaient au courant de ces agissements.

     

    Quand Jérôme Lavrilleux niait la vérité.

     

     

     

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