• http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/21/97001-20140521FILWWW00285-le-csa-met-en-garde-sur-le-temps-de-parole.php

    Le CSA met en garde sur le temps de parole

    Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a adressé aujourd'hui une sévère mise en garde à plusieurs médias audiovisuels français en raison du déséquilibre des temps de parole entre les partis politiques durant la campagne des élections européennes.

    "A deux jours de la fin de la campagne, le Conseil souligne l'extrême urgence pour les radios et télévisions de respecter le principe d'équité, en remédiant sans délai aux déséquilibres constatés", dit le communiqué du CSA. Le CSA souligne que certains partis ou groupements politiques n'ont "pas encore bénéficié d'un accès à certaines antennes". Il dit avoir "fermement" mis en garde "ferme" TF1, RMC Découverte et RTL, et avoir également alerté France Info et France Bleu.

    Selon les relevés du CSA sur la période du 14 avril au 16 mai, TF1 a accordé 49,80% du temps de parole au Parti socialiste, 32,81% à l'UMP. Cinq autres formations se partagent le reste, dont le Front national (6,78%) et 12 n'ont eu aucun temps de parole.
    Sur RMC Découverte, où seulement 24 minutes ont été consacrées aux élections, six partis ou groupements ont pu s'exprimer, principalement Debout la République (32,76%) et le Parti de Gauche (28,67%).

    La radio RTL, elle, a donné la part belle au centre-droit avec 38,80% du temps de parole pour le rassemblement UDI-Modem et 31,47% pour l'UMP, soit 30 minutes et 24 minutes respectivement sur un total d'1h17 d'antenne. Outre les mises en garde, le CSA a appelé d'autres médias à "la plus grande vigilance". C'est le cas pour Canal Plus, France Culture, Europe 1 et Radio Classique.

    La délibération du CSA relative au pluralisme politique prévoit que "les éditeurs veillent à ce que les partis et groupements politiques présentant des candidats et leurs soutiens bénéficient d'une présentation et d'un accès équitables à l'antenne".

     

     

     

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  • Triste et coûteuse démonstration, 15 milliards, de l'incompétence de nos technocrates qui sont le reflet même de nos politiques du système.

    Comme eux ils sont totalement déconnectés de la réalité, autistes à l'expérience des hommes de terrain et sourd, argent et dépenses faciles, surtout avec le notre, et les sanctions?......Il n'y en aura pas sauf pour nous les contribuables qui allons encore une fois payer la bêtise.

    50 millions d'euros qu'ils disent pour raboter les quais, et que fait on pour les tunnels, le croisement des trains dans les zones rapides, les ponts etc......sachant que les travaux sur le réseau ferroviaire s'acoquine aisément aux environs de centaines de millions d'euros, je vous laisse à votre imagination.

    Le bilan de cette bourde monumentale n'est qu'une démonstration de l'incompétence et du je-m’en-foutisme des élites qui nous gouvernent depuis trop longtemps.

    Patriote64

    http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/La-SNCF-a-commande-2000-rames-trop-larges-14561647

     

    La SNCF a commandé 2000 rames trop larges

    Des quais de gare devront être élargis pour permettre aux nouvelles rames commandées par la SNCF d'arriver à bon port. Cet achat fait grincer des dents.

    storybild

    Des quais devront être rabotés pour permettre l'arrivée de rames SNCF trop larges. (photo: AFP/Francois Guillot)

     

    La SNCF a commandé près de 2000 rames pour ses futurs trains express régionaux (TER), mais les quais les plus anciens sont trop étroits pour les accueillir, écrit le «Canard enchaîné», à paraître mercredi. Des centaines de quais devront être rabotés et l'addition risque d'être salée pour l'Etat français.

    Alain Rousset, le président de l'Association des régions de France (ARF), a exclu mardi toute participation des régions à ces travaux. «Nous refusons de verser un seul centime sur cette réparation. On ne va pas, quand même, être à la fois pigeons et financeurs», a-t-il dit avant un rendez-vous avec le président François Hollande.

    Alain Rousset a dit espérer que la future réforme ferroviaire permettra «d'homogénéiser les commandes, parce que c'est quand même un peu stupide de commander des trains dont la largeur n'est pas conforme à celle des quais».

    Frédéric Cuvillier, le secrétaire d'Etat aux Transports, a déploré lui aussi un «système ferroviaire ubuesque» et «la séparation entre les différentes fonctions». «Lorsqu'on sépare la gestion des rails (RFF) de l'utilisateur, c'est-à-dire la SNCF, ça ne fonctionne pas», a-t-il déclaré sur BFM-TV.

    Millions débloqués d'urgence

    La société nationale devait s'assurer que les futurs TER, plus larges que les rames actuelles, puissent rouler sur les voies. Elle a interrogé Réseau ferré de France (RFF), propriétaire et gestionnaire des rails, explique «Le Canard enchaîné».

    Mais RFF aurait transmis ses mesures réglementaires datant d'une trentaine d'années, alors que la plupart des 1200 quais de l'Hexagone ont été construits il y a plus de 50 ans.

    La société a débloqué d'urgence 80 millions d'euros et a déjà raboté 300 quais de gare, notamment dans la région Midi-Pyrénées. Mais il reste 900 voies à élargir, souligne l'hebdomadaire satirique.

    Alain Rousset a indiqué que les régions voulaient reprendre en main les commandes des rames. «On paie 100% des TER, c'est à nous d'en assurer la commande, la propriété. Il faut que les régions soient vraiment des autorités organisatrices», a-t-il dit.

     

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  • http://sammenerve.perso.sfr.fr/index.php?2014/05/19/08/21/12-la-croissance-economique-allemande-est-a-larret-et-personne-ne-remarque-quoi-que-ce-soit

    La croissance économique allemande est à l’arrêt, et personne ne remarque quoi que ce soit…

      

    Si le fait est avéré, alors la situation est grave, mais rien de bien nouveau de toute manière puisque nous ne sommes pas censés aller vers « un monde meilleur » mais vers « les conséquences des actes présents et passés ». Et l’Allemagne, généralement présentée comme un des pilier de l’Europe voire LE pilier qui soutiendrait toute l’économie européenne (comprendre par là le pays le plus obéissant aux USA…), ne permettrait pas d’être aussi optimiste qu’on veut bien nous le faire croire…

    « Une chose qui continue de me surprendre est la manière dont les marchés réagissent au ralentissement à venir de l’Allemagne », écrit Steen Jakobsen, économiste en chef de Saxo Bank, dans un email à notre rédaction. « Personne ne semble croire que l’économie allemande se ralentit, bien que le pays se soit heurté à 4 changements macro-économiques extrêmement négatifs au cours des 12 derniers mois. Le ralentissement est déjà un fait (voir le tableau de Bloomberg, ci-après) :

    Les réformes économiques en Chine vont rogner le volume des exportations allemandes.
    L’Allemagne a adopté la stratégie de l’énergie la plus chère d’Europe – le pays a échangé sa dépendance à l’énergie nucléaire contre une dépendance au gaz russe.
    La crise en Ukraine. Selon l’Association allemande des grossistes, du Commerce extérieur et des Services (BGA) quelque 6.200 entreprises allemandes font du commerce avec la Russie.
    La dévaluation à venir du yuan chinois va considérablement augmenter les importations en provenance de la Chine.

    Si le passé est une indication de l’avenir, alors au cours des prochains trimestres, l’économie allemande va flirter avec une croissance zéro ».

    Ce ralentissement défie déjà la logique, dit Jakobsen. «Le pays est trop dépendant de l’Asie pour accroître ses volumes d’exportation et trop dépendant de la Russie pour son énergie, deux facteurs qui pourraient entraîner une autre surprise très désagréable vers la fin 2014.

    Avec 6200 entreprises allemandes actives en Russie et 300.000 emplois allemands qui dépendent des exportations vers la Russie, l’Allemagne est le 11ème marché pour les exportations russes et le 7ème pour les importations. L’Allemagne importe 70% de son énergie et plus de 25% de ce qui vient de Russie, un élément qui a affaibli de façon dramatique la position de Merkel dans les affaires internationales.

    L’Europe et l’Allemagne sont en train de payer le prix pour le fait qu’elles sont déficientes sur le plan énergétique. Un sujet qui pourrait être mieux placé sur l’ordre du jour de la prochaine réunion de l’UE.

    Au lieu de cela, c’est la fête de la fin de la crise. Le roi est mort, vive le roi … »

    Source http://www.express.be/business/fr/economy/la-croissance-economique-allemande-est-a-larret-et-personne-ne-remarque-quoi-que-ce-soit/205079.htm

    NOTE : tous les articles récents proposés par nos grands médias français disent exactement le contraire : Le Monde, Le Figaro, Les Échos, et Le Parisien, dont je vous livre un extrait :

    «  »L’Allemagne a de bonnes perspectives économiques dans les années à venir », a assuré le ministre de l’Economie et vice-chancelier, Sigmar Gabriel.Dans son nouveau rapport économique annuel, le gouvernement allemand indique tabler désormais sur une progression du Produit intérieur brut (PIB) de 1,8% en 2014, contre 1,7% annoncé l’automne dernier, et a livré pour la première fois une prévision de croissance pour 2015, de 2%.

    Un tel niveau de croissance marquerait une nette accélération après deux années faiblardes, avec +0,4% en 2013 et +0,7% en 2012.Les attentes de Berlin se situent désormais légèrement au-dessus de celles du Fonds monétaire international et de la Banque centrale allemande, qui tablent respectivement sur une croissance de la première économie européenne de 1,6% et 1,7%.Du côté des milieux économiques allemands, certains n’ont pas hésité à pousser plus loin l’optimisme. La puissante fédération de l’industrie (BDI), par exemple, a assuré que la croissance du pays pouvait atteindre 2% dès 2014, en assortissant bien sûr cette projection de réclamations au gouvernement d’Angela Merkel, rassemblant sociaux-démocrates et conservateurs.La croissance sera « soutenue par le marché intérieur », a souligné M. Gabriel, ce qui confirme un récent changement du paradigme qui voyait la croissance économique du pays reposer essentiellement sur ses exportations. »

    Alors, qui informe ? qui baratine ? Lorsque l’on entend dans la bouche du pouvoir que « la crise est derrière nous… » on a peut-être déjà un début de réponse…. Il n’y a pas de raison que l’Allemagne fasse différemment…

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  • http://h16free.com/2014/05/19/31195-croissance-nulle-attitude-negative-enfumage-positif

    Croissance nulle, attitude négative, enfumage positif

    Ça y est, la synchronisation du gouvernement avec la croissance du pays est achevée : tout est nul. Rassurez-vous, ce n’est ni grave, ni une surprise. C’est même parfaitement en ligne avec ce qui était attendu. C’est Michel Sapin, le ministre en charge des finances, qui l’a clairement annoncé.

    Eh non ! N’allez pas croire qu’une telle annonce et de tels chiffres soient mauvais : en réalité, sans les précieux coups de boutoirs d’Arnaud Montebourg contre le capitalisme apatride sans foi ni loi, elle aurait probablement été négative. On peut donc dire que cette croissance nulle est, finalement, une excellente nouvelle qui n’a certainement pas coupé l’appétit à Michel Sapin.

    sapin reprend des frites

    Certes, on pourrait regarder un peu autour de la France et constater que d’autres pays, malgré une conjoncture mondiale pas toujours simple, s’en sortent pourtant. L’Allemagne, qui n’est pas exempte de problèmes, donne pourtant une indication de ce qu’il est possible de faire. Et la baisse d’impôts a tout de même eu quelques effets bénéfiques en Angleterre qui n’affiche pas le même taux de chômage que la France. Le fait est que le gouvernement de Cameron a lâché la bride aux entreprises qui créent maintenant 100.000 emplois chaque mois à tel point que le 5 mai, l’OCDE rehaussait ses prévisions de croissance pour 2014, à 2.7%, la plus forte d’Europe.

    De toute façon, on peut toujours mâtiner ces observations de la nécessaire prudence liée à des marchés boursiers et monétaires suspects, on peut largement admettre que les finances publiques des pays qui s’en sortent encore à peu près ne sont pas, loin s’en faut, en pleine forme. Mais les petites lignes au bilan, en bas de tableau, ne laissent guère de doute : après une France sous Sarkozy en plein marasme, la France de Hollande s’enfonce.

    Devant ce constat, on doit s’interroger pour comprendre pourquoi ces chiffres sont présenté comme – je cite Sapin – « pas grave ».

    Une raison se dégage d’abord : toute autre chose qu’un déni de réalité obligera de façon certaine l’exécutif à inscrire de nouvelles prévisions de PIB et, surtout, de recettes fiscales dans la future loi de finances rectificative de juin, ce qui, vis-à-vis de l’étranger (FMI et Commission Européenne notamment), serait catastrophique. Et en terme de politique intérieure, admettre que la croissance a pris ses valises pour aller s’installer durablement outre-Rhin et outre-Manche revient à expliquer que le Pacte de Croissance, péniblement signé il y a deux semaines avec force dissensions dans la majorité, était basé sur des prévisions de PIB fausses. Autrement dit, l’encre n’a pas eu le temps de sécher que le pacte serait déjà caduc. Voilà qui n’aiderait pas à conserver une majorité rassemblée…

    Tout ceci est ennuyeux, parce qu’à mesure qu’augmentera l’écart entre les prévisions et la réalité, tant les institutions étrangères que françaises seront obligées de demander un réalignement de la politique économique pour tenir compte des nouveaux chiffres. Bien sûr, on peut, comme le chef de l’État, s’entêter bizarrement sur la certitude d’un prochain retournement, dans six mois, un an, deux ans (allez savoir), mais c’est un pari risqué, surtout avec les données macro-économiques actuelles, et les problèmes structurels français.

    Bon, OK, les espoirs du candidat Hollande (0.5% en 2012, 1.7% en 2013, et 2 à 2.5% à la fin du mandat) paraissent particulièrement décalés deux ans après le début de son mandat, mais on peut accorder au candidat Hollande une ignorance de l’ampleur de la crise à laquelle le président, maintenant, ne peut plus et ne doit plus faire référence : non seulement, il a eu le temps de prendre la mesure des dégâts, autant liés à la conjoncture très défavorable qu’aux imbécilités politiques d’une droite économiquement à la rue, mais il a aussi largement eu le temps d’agir pour corriger le tir.

    montebourg régule googleOr, ni lui ni la fine équipe en place ne l’ont fait. Montebourg continue d’agonir les entreprises de son mépris (la dernière en date étant Google, au sujet de la recherche) et le dernier décret pondu dans l’urgence, même s’il restera probablement inapplicable, montre de façon assez symptomatique l’idéologie qui agite le ministre et, par extension, le gouvernement : le repli sur soi, le protectionnisme le plus agressif, et une attaque brouillonne et répétitive des valeurs entrepreneuriale… On voit mal dans cette attitude ce qui va relancer le moteur économique français.

    Quant à la dernière manœuvre de Valls, elle laisse songeur. À quelques jours des élections européennes, le premier ministre se rend compte, ingénu, que la pression fiscale serait un tantinet trop forte, notamment par l’arrivée récente et pas du tout voulue d’1,8 millions de nouveaux ménages (soit 3 millions de Français) dont, statistiquement, une partie avait le bon goût de voter pour les socialistes et qui risquent bien, avec le petit rappel citoyen et fiscal, de ne plus adouber le parti de leurs votes. On comprend bien qu’ici, il s’agit de calmer le jeu avec les européennes qui s’approchent, même si la proposition semble délicieusement parfumée de panique.

    Et pour rattraper le coup, Manuel propose donc d’ajouter une réduction calculée sur le revenu fiscal de référence. Si, bien sûr, cette réduction d’impôts est toujours bonne à prendre, l’aspect « simplification fiscale » est encore une fois oublié. Et comme d’habitude, l’option « On annule ce qui avait créé le problème en premier lieu » n’a pas été choisie.

    En outre, cela revient à constater une baisse d’un milliard d’euros dans les caisses de l’État, fort dépourvues. Si la mesure est effectivement appliquée, et atteint ses objectifs, il va donc falloir trouver un milliard supplémentaire ailleurs… Ou faire des coupes.

    Or, la solution proposée par Valls pour dégoter ce milliard n’est pas, justement, d’adapter le périmètre de l’État pour compenser cette perte de revenus. Pour lui, il suffira d’intensifier la lutte contre la fraude fiscale.

    La situation est donc la suivante : la croissance est nulle, les perspective économiques sont médiocres, mais le gouvernement, refusant de prendre en compte les exemples pourtant éclairant autour de la France, continue à déployer un enfumage positivement grandiose pour camoufler son absence de toute coupe budgétaire pourtant nécessaire, et d’afficher une attitude négative, voire hostile, aux entreprises.

    Forcément, ça va marcher.

    valls : c'est pas gagné

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  • http://www.prechi-precha.fr/media-complices-melenchon-explique-comment-il-a-copie-dray-pour-attirer-lattention-video/

    Média-complices : Melenchon explique comment il a copié Dray pour attirer l’attention (vidéo)

    Pour des raisons de stratégie politicienne Mélenchon a voulu se faire passer pour un paria du système. Alors il a adopté un comportement de grosse gueule. Mais Mélenchon est tout sauf un dissident. Il est même le parfait exemple de ce que peut produire le système.
    Plus jeune sénateur de la 5ème république ( fonction qu’il a occupé pendant presque 30 ans…), il a été ministre, et a mouillé dans toutes les combines du PS. Il a reçu une éducation d’extrème gauche dans les organisations les plus violentes, totalitaires et sectaire du trotskysme. Contrairement aux apparences, le petit père sans peuple fréquente l’ensemble de la classe médiatique. Ses coups de gueules font partis du scénario. Mais souvent jean-luc surjoue, ça se voit et son petit théâtre ne trompe plus personne.

    Dans cette vidéo il explique sa stratégie médiatique qui se résume en un mot : de l’esbroufe pour faire le buzz. On le voit notamment plaisanter avec patrick Cohen après s’être faussement énervé contre lui à l’antenne de France Inter. Ils rient en compagnie du journaliste socialo-bob Thomas Legrand et du chroniqueur économique Bernard Maris, Keynésio-gauchiste qui sévit dans les pages du journal Charlie Hebdo financé par BHL et dont l’ancien rédacteur en chef était Philippe valls, aujourd’hui responsable des programmes de… France Inter. Ça se passe comme ça dans les média : on fait semblant de s’engueuler, de faire croire qu’on ne se connait pas et en coulisse, une fois la pièce terminée, on enlève le masque, on partage de bonnes blagues en se tapant sur l’épaule comme à la fin d’une réunion du politburo.

    On vous l’a toujours dit : Mélenchon est un manipulateur, il tient le rôle du clown dans le grand cirque médiatique. Il n’y a pas une once de vérité dans ce qu’il dit. C’est un rabatteur de voix. La preuve : en 2012 il a été le premier a appelé à voter pour Hollande, et aux dernières municipales le Front de Gauche s’est parfois allié avec le PS.

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  • http://lesmoutonsenrages.fr/2014/05/16/lausterite-en-grece-tous-les-chiffres/

    L’austérité en Grèce : tous les chiffres

    L’Europe est censé être un symbole de la solidarité entre les peuples et les nations, la représentation de la paix, et surtout, la meilleure chance pour la prospérité des pays, c’est en gros ce qui nous a été vendu par nos politiques! Après la lecture de la phrase précédente, vous être autorisés à vomir, puis à reprendre la lecture. Car voici une réalité incontestable au sujet de la Grèce, la preuve par les nombres! Finalement, c’est quoi la Grèce maintenant? Les restes d’une expérience économique à appliquer à d’autres pays ou un squelette dans le placard de l’Union Européenne?

    AustéritéEnGrèce

    L’évolution négative de tous les indicateurs économiques et sociaux renvoient à un pays qui vient de sortir d’une guerre destructrice ou d’un grand krach économique.

    Cet article est en accès libre. En savoir plus sur les conditions d’utilisation.

    La sombre réalité des mémorandums et de l’austérité que vivent les Grecs dans tout le pays est décrite avec précision par les chiffres économiques et sociaux.

    Accrochez-vous :

    * Les chiffres proviennent d’Eurostat, ELSTAT, la Banque de Grèce, l’Institut du Travail de la Confédération générale des travailleurs de Grèce, et l’Institut de recherche universitaire de mentale (EPIPSY)

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  • Ceci est un simple exemple de la manipulation de ces propagandistes que sont les journalistes de France2 comme à canal+ . Dites vous bien que ces gens là ne reculent et reculeront devant rien pour vous manipuler, pour trafiquer l'information, ce ne sont pas des journalistes mais bien des propagandistes, ne vous y trompez pas.

    Patriote64.

    Suivez le lien si la vidéo ne fonctionne pas sur ce blog.

    http://youtu.be/FxXd90dAXEE

     

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  • http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20140516trib000830449/les-impayes-de-salaires-atteignent-un-nouveau-record.html

    Les impayés de salaires atteignent un nouveau record

      Entre le 1er avril 2013 et le 31 mars 2014, le nombre de salariés concernés a augmenté de 4,3%, atteignant près de 292.000 bénéficiaires. (Photo: Reuters) Entre le 1er avril 2013 et le 31 mars 2014, le nombre de salariés concernés a augmenté de 4,3%, atteignant près de 292.000 bénéficiaires. (Photo: Reuters)

    Les cessations de paiements se sont encore accrues en France de 3,4% au premier trimestre 2014. Les avances effectuées par le régime de garantie ont atteint 2,21 milliards d'euros.

    Les avances effectuées par le régime de garantie des salaires s'élévaient à 2,21 milliards d'euros à la fin du premier trimestre 2014: un nouveau record, s'alarme l'organisme gestionnaire dans son bulletin trimestriel. Pourtant, fin 2013, les impayés de salaires avaient déjà atteint un montant supérieur au pic de 2009: 2,19 milliards d'euros.

    L'Association pour la gestion du régime de Garantie des créances des Salariés (AGS) souligne:

    "Après une année 2013 très destructrice d'entreprises, le début 2014 marque une nouvelle hausse des défaillances".

    Presque 17.000 procédures de défaillances

    Selon le cabinet Altares, "le nombre de cessations des paiements s'est accru de 3,4% au premier trimestre 2014 pour se situer à un niveau analogue à celui relevé au 1er trimestre 2009 et menacer directement plus de 60.000 emplois", rappelle l'AGS.

    Au premier trimestre, 16.858 procédures de défaillances (sauvegarde, redressement judiciaire ou liquidation judiciaires) ont été prononcées, selon Altares.

    292.000 salariés concernés

    Sur douze mois, le montant couvert par l'AGS (organisme patronal financé par les entreprises, qui avance le paiement des salaires et indemnités pour celles en difficulté) a augmenté de 7,5%. Entre le 1er avril 2013 et le 31 mars 2014, le nombre de salariés concernés a augmenté de 4,3%, atteignant près de 292.000 bénéficiaires.

    De janvier à décembre 2013, le nombre de dossiers ouverts par l'AGS a augmenté de 3,3%  précise le bulletin. En décembre, le conseil d'administration de l'AGS a décidé de maintenir le taux de cotisation à 0,3% de la masse salariale: le même depuis avril 2011.

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