• http://pasidupes.blogspot.fr/2014/05/lepouse-daquilino-morelle-quitte-ses.html

    L'épouse d'Aquilino Morelle quitte ses fonctions au ministère de la Culture

     
    La république des copains se dépeuple

    Charrette de pique-assiettes ou non-cumul familial
    Laurence Engel,
    épouse A. Morelle
    Laurence Engel, directrice de cabinet d'Aurélie Filippetti, quitte-t-elle ses fonctions, de son plein gré?  Victime du limogeage de l'ancien conseiller politique de Hollande, l'épouse doit rejoindre son corps d'origine, la Cour des comptes. 

    Qu'en pense Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des Femmes?
    Ce départ, dévoilé mercredi 7 mai par le journal Les Echos à la veille d'un jour férié où sommeille la presse, est confirmé Rue de Valois : "Laurence Angel a besoin de prendre du champ pour des raisons personnelles et devrait partir la semaine prochaine", commente la patronne.  Elle pourrait être remplacée par Jean-François Collin, actuel secrétaire général du ministère de la Culture.

    Un mensonge de plus
    Enarque, ancienne directrice des affaires culturelles de la ville de Paris sous Delanoë et nommée par A. Filippetti au ministère de la Culture en mai 2012, Laurence Engel,  est l'épouse d'Aquilino Morelle, collaborateur de François Hollande contraint à la démission le 18 avril après les révélations sur d'éventuels conflits d'intérêts par le site d'informations Mediapart. "La disgrâce de son mari l'a beaucoup secouée, elle est fatiguée de ce tourbillon et elle a besoin de se recentrer sur sa famille et ses trois enfants", raconte un anonyme du ministère.

    Filippetti, maquillée
    comme une porte de WC
    Laurence Engel n'aurait pas été choisie mais plutôt imposée à la nouvelle ministre de la Culture, dit-on aujourd'hui. Aurélie Filippetti aurait préféré recruter Agnès Saal, numéro deux du centre Pompidou, récemment nommée présidente de l'Institut national de l'audiovisuel (INA), en remplacement de Mathieu Gallet nommé à la tête de Radio France.
    Par une lettre datée du 10 janvier 2011, Jérôme Royer, maire PS de Jarnac (lieu de naissance de François Mitterrand) et membre de l’association Anticor, a saisi le Service central de prévention de la corruption (SCPC) afin qu’il émette un avis sur la nomination de Mathieu Gallet à l’INA, au motif que celle-ci n’avait pas été soumise à l'approbation de la Commission de déontologie de la fonction publique et constituait une "prise illégale d’intérêts". Or, cette saisine était obligatoire. En effet, un membre de cabinet ne peut exercer pendant trois années une responsabilité dans une entreprise dont il a eu la tutelle. L'enquête est cependant classée sans suite en 2012, bien que l'association Anticor déclarera, en février 2014, se réserver le droit de se porter partie civile, comme elle l'a d'ailleurs fait en revanche dans une autre situation similaire, mais c'est l'affaire Perol...

    Une mise au placard

    Laurence Engel avait le soutien de David Kessler, conseiller à la culture et à la communication à l'Elysée et ancien membre, comme elle, de l'équipe de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris, mais la femme d'Aquilino Morelle avait été placée sous tutelle. "La ministre et Laurence s'entendent très bien. Sans l'affaire Aquilino Morelle, elle serait restée", affirme-t-on au sein du Cabinet d'Aurélie Filippetti.

    Une vilaine histoire a en effet refait surface 
    Les goûts bling-bling du couple vertueux n'était un mystère pour personne. Quand Aquilino Morelle se fit épingler pour sa collection de chaussures de luxe qu'il faisait cirer aux frais de la princesse dans un salon spécialement réquisitionné de l'hôtel de Marigny attaché à l'Elysée, les mémoires ont repris du service pour évoquer le pot de départ de la dame. Organisé par la mairie de Paris dans le Musée Carnavalet, ce cocktail avait mobilisé plusieurs agents municipaux et avait suscité l'ire de la CGT qui dénonçait, en juillet 2012, "un grand moment de privilèges et de connivence".

    Aucune compétence spécifique de la fonction

    Le limogeage de Laurence Engel intervient en pleine polémique sur le retard de la réouverture et la direction contestée du musée Picasso. Son nom avait récemment été cité parmi les possibles candidats à la succession d'Anne Baldassari, la présidente contestée du musée. "C'est une absurdité dans la mesure où les statuts de ce musée obligent à nommer pour des compétences scientifiques, or, Mme Engel n'est ni conservatrice ni historienne de l'art, explique un anonyme proche du dossier. Même si le ministère ne s'y est pas très bien pris dans cette affaire, le départ de Laurence Engel n'a rien à voir avec le musée Picasso," assure pourtant le commentateur inconnu.

    Par ailleurs, la directrice de cabinet avait fait venir Rue de Valois des proches de la mairie de Paris, notamment sa meilleure amie, Romane Sarfati, ci-contre à gauche, au poste de conseillère chargée des arts plastiques. 

     

    La copine n'est autre que l'épouse de Frédéric Olivennes, 46 ans (ci-contre), directeur de la communication extérieure de France TélévisionsS'étonnera-t-on que Le Monde taise qu'il est le frère de Denis Olivennes, PDG d'Europe 1 et ancien directeur général de Radio Classique, de 2004 à 2008, que Frédéric Olivennes avait été nommé directeur de la station Nostalgie en avril 2010, mais débarqué de la station quelques mois plus tard, début 2011.


    Romane Sarfati-Olivennes s'est récemment portée candidate à la direction de la Manufacture de Sèvres.
    Laurence Engel partie, cette candidature pourrait être remise en cause. Ce qui nous éloigne encore un peu plus du cas Engel-Morelle, mais n'est-ce pas l'objectif de la presse qui soutient la république des copains et des coquins?

    A noter le nombre d'épouses qui ne portent pas le nom de leur mari dans la haute fonction publique et alentours...
     
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  • http://lesmoutonsenrages.fr/2014/05/08/elections-europeennes-le-bourrage-de-crane-a-commence/#more-62743

    Elections européennes : le bourrage de crâne a commencé

     

    C’est le président de la république en personne Normal 1er qui s’y colle dans une tribune publiée aujourd’hui même dans Le monde, c’est dire si l’heure est grave (c’est à dire que tous les copains ne pourront certainement pas être recasés et que Vincent Peillon commence à flipper grave). La faute bien évidemment, et comme je vous l’avais annoncé, aux vilains abstentionnistes (et si on ré-ouvrait un Goulag pour tous ceux qui refusent de voter comme il faut ?) mais aussi aux vilains électeurs « tentationnalistes », c’est à dire tentés par « les extrêmes » et les islamo-pédo-nazis de l’UPR et du FN. Et donc, face à des premiers sondages désastreux pour les copains du PS (mais aussi les faux « ennemis » et néanmoins « collègues » de l’UMP sans compter les rabatteurs d’EELV et du FdG), l’oligarchie au pouvoir a décidé de sortir directement l’artillerie « lourde » (et en fait plutôt molle…) en la personne du Président himself, et avec un P majuscule (comme Pute, par exemple…) qui publie donc une longue tribune (c’est qu’il en a des choses à dire, François…) dans Le journal officiel de la république de référence de toute la presstitute, Le Monde (avec un M majuscule comme M….) dont je vais vous commenter en direct différé les points cardinaux.

     

    L'Europe qu'on ne veut pas !

     

    François Hollande : « L’Europe que je veux »

     

    Le moins que l’on puisse dire c’est que François  commence très mal… Car dés le titre, il nous annonce qu’il ne Peut rien mais qu’il Veut, et qu’il a donc autant d’influence sur la construction européenne et les orientations de l’UE qu’il en a eu sur l’inversion de la courbe du chômage ou le « retournement économique« . Car comme tout citoyen lambda le sait (et pas besoin d’avoir fait l’ENA pour comprendre ça), le vouloir c’est une chose, le pouvoir c’en est une autre…

     

    Et là cher lecteur je vais devoir sauter les 3/4 de la tribune du père François (ouf !) pour trouver, tout à la fin, à quoi ressemble donc l’Europe que « veux » notre Président. Accrochez-vous, c’est du Hollande, et donc repatatras, le paragraphe s’intitule :

     

    L’EUROPE DE LA VOLONTÉ

     

    C’est donc la reconfirmation (pour les crétins congénitaux et les bouchés de la Hollandie) que François ne veut rien et n’a aucune idée de ce que devrait ou pourrait être l’Europe (hum, un peu comme sur tous les autres sujet en fait…)

     

    Donc comme il n’a rien à dire (à part « allez voter ») ni aucune idée sur ce que devrait être l’Europe, sa vision de la chose c’est que la chose devrait partager sa vision. En gros. Et donc il faut une « Europe de la volonté », qui ressemble à François… D’où peut être les négociations sur le Grand Marché Transatlantique, qui donnera tous les pouvoirs politiques aux firmes transnationales au détriment des états (ou plutôt de ce qu’il en reste). Comme quoi il y a une cohérence, même dans l’impuissance…

     

    Entrons quand même dans les détails, car certains sont croustillants. A quoi ressemble concrètement « l’Europe de la volonté » (à part à vouloir, bien sûr…) ?

     

    L'Europe qu'on ne veut pas !

     

     

    A cette Europe de la dilution, j’oppose l’Europe de la volonté. Celle qui agit là où on l’attend, qui clarifie ses modes de décision, allège ses procédures, avance plus vite avec les pays qui le veulent, se concentre sur les défis à venir.

     

    Bon l’Europe de François c’est un peu comme la lessive de la ménagère donc, elle est hyper concentrée au lieu d’être diluée, et elle « agit là où l’attend », c’est à dire directement sur les  tâches. Elle « clarifie » bien sûr, car toutes les bonnes lessives sont transparentes, et surtout elle « allège ses procédures » et « avance plus vite », mais vers où, ça on ne le saura jamais. Mais attention, uniquement « avec les pays qui le veulent », c’est pas le Goulag, merde, quand même. Mais là où « l’Europe de la Volonté » est vraiment très forte et surpasse la lessive de Mme Duchemin c’est qu’elle  » se concentre sur les défis à venir« , c’est à dire qu’elle va repérer les tâches avant qu’elles n’apparaissent et aller directement se concentrer dessus. A moins bien sûr que François ne soit en train de nous parler de la surveillance de masse et de l’espionnage systématique des citoyens qui visent précisément à prévenir toute velléité de rébellion…

     

    Cette Europe est celle qui, à partir de la zone euro, redonne de la force à l’économie, met fin à l’austérité aveugle, encadre la finance avec la supervision des banques, fait de son grand marché un atout dans la mondialisation et défend sa monnaie contre les mouvements irrationnels. C’est une Europe qui investit sur de grands projets grâce à de nouveaux instruments financiers. C’est une Europe qui en termine avec la concurrence sociale et fiscale.

     

    Là ça envoie du lourd. L’Europe de la Volonté « redonne de la force à l’économie, met fin à l’austérité aveugle » et les grecs, les espagnols ou les portugais qui connaissent des taux de chômage supérieurs à 30%  seront heureux d’apprendre que la troïka a mis fin à l’austérité « aveugle » ! (et en fait tout est dans l’adjectif… C’est peut-être de l’austérité « éclairée » chez les Grecs, de l’austérité « lumineuse » en Espagne, allez savoir…) D’ailleurs c’est bien simple, l’économie est tellement forte qu’on ne sait pas quoi faire de toute cette croissance. Mais bon, heureusement qu’il y a « la supervision des banques » et l’encadrement de la Finance à se mettre sous la dent. Supervision et « encadrement » très relatifs et auxquels le gouvernement français était le plus farouche opposant !! Sacré François… Sinon comme d’habitude, évidemment, on ne peut parler d’UE sans parler de « grand supermarché marché » qui est, c’est une évidence que seuls les pédo-nazis peuvent contester, un « atout dans la mondialisation ».  Ce sont bien évidemment les mêmes pseudo arguments avec lesquels on nous bassine depuis 30 ans. Il semble en tout cas qu’on y voit plus clair aujourd’hui à ce sujet puisque le seul pays qui profite clairement du « grand marché » européen, à part la Chine cela va de soi, c’est l’Allemagne, avec un excédent commercial de presque 200 milliards en 2013, et qui réalise 90% de l’excédent commercial de la zone euro. Pour nous par contre, c’est plutôt l’inverse puisque nous avions plus de 60 milliards d’euro de déficit commercial en 2013. Quel sacré atout dans la mondialisation !

     

    Bon mais François n’a pas dit son dernier mot sur « l’Europe de la Volonté » qui, attention roulement de tambour, nous défend « défend sa monnaie contre les mouvements irrationnels » (et là éventuellement, tu peux te sentir visé. En tant qu’électeur dubitatif tu es un être irrationnel puisque précisément tu reste dubitatif à l’encontre des politiques de l’UE et que tu t’apprête à voter pour le Grand Satan, ou pire à t’abstenir, et d’ailleurs cette idée de Goulag finalement…). Et là on touche le fond du problème (voir le fond tout court, les deux étant intimement liés). Car précisément, l’UE ne NOUS défend pas (et « nous » renvoie ici aux « citoyens » dont les élus font la publicité à tort et à travers) mais défend SA MONNAIE, le Deustch Mark l’Euro. Et si pour sauver l’euro, il faut faire crever les grecs ou les portugais, les idéologues de la BCE ordonneront le massacre des Grecs et des Portugais, d’ailleurs c’est ce qu’ils ont fait !

     

    Mais poursuivons (après ce paragraphe j’arrête, promis, d’ailleurs j’ai du carrelage à poser…) :

     

    C’est une Europe qui investit sur de grands projets grâce à de nouveaux instruments financiers.

     

    Là c’est une phrase rigolote (bon à première vue ce n’est pas forcément évident mais tu vas voir camarade lecteur… On se tutoie ?). Quelqu’un peut-il me citer un grand projet européen ? Pas évident hein ? En faisant une petite recherche Google on arrive quand même à dénicher un article de La Tribune qui en parle et qui nous apprend ceci :  « le gouvernement et le Parlement européens se sont mis d’accord pour débloquer 230 millions d’euros afin d’inciter des investisseurs privés à miser sur ces grands travaux susceptibles de générer de l’emploi. »

     

    C’est donc encore une fois du lourd : 230 millions d’euros (wahou !) afin « d’inciter des investisseurs privés à miser sur ces grands travaux susceptibles de générer de l’emploi ». Et donc si on décode, le pognon servira d’appât pour attirer les requins qui « pourraient » avancer quelques billes afin de financer « ces grands travaux » (lesquels ?) qui seraient eux-même « susceptibles » (donc on en sait rien…) de générer de l’emploi. Ce qui revient donc à donner des  millions au patronat sans aucune garantie ni contrepartie sur l’emploi. Et là tout de suite on comprends mieux la convergence, ou plutôt, osons le mot, la synergie (la fusion ?), entre Normal 1er et « l’Europe de la Volonté » tant il est difficile de distinguer effectivement une quelconque différence entre les deux…

     

    Mais en bon clown professionnel, Normal 1er  a gardé le meilleur gag pour la fin, il s’agit bien évidemment des « nouveaux instruments financiers » qui vont tous nous sauver de la croissance délirante causée par la force retrouvée de l’économie. De quels instruments s’agit-il ? Et bien tout simplement de relancer la titrisation et les produits dérivés à l’origine de la crise financière ! Avouez qu’il fallait y penser…

     

    C’est une Europe qui en termine avec la concurrence sociale et fiscale.

     

    Là tout le monde a compris je pense qu’il s’agit d’une incantation typique du Hollandisme, comme des millions de Français qui pensent qu’ils vont gagner au loto, Normal 1er croit en effet qu’il suffit d’espérer qu’une chose se produise pour qu’elle advienne réellement… C’est enfantin, mais à partir d’un certain âge et d’un certain niveau de responsabilité, c’est pathétique et en plus c’est mensonger.

     

    Voilà, je ne commenterais pas le reste, qui est encore bien pire, j’ai déjà le moral dans les chaussettes, je vais plutôt aller couper quelques carreaux…

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  • Même si je n'ai jamais apprécié Dieudonné, je me bat pour la liberté et pour la démocratie, la vraie.

    Patriote64.

    http://zebuzzeo.blogspot.fr/2014/05/il-defend-dieudonne-la-justice-veut-lui.html

    Il Défend Dieudonné : La Justice Veut Lui Interdire D'exercer Sa Profession D'avocat

     

     

     

    C’est très grave, ce qui se passe en France en 2014. Y a t-il encore un corps constitué qui tienne la route? A qui se fier ? Cette république, que l’on nous vend dès la maternelle, n’est qu’un système de domination du peuple aux mains de mafieux qui prétendent nous faire la morale...en nous faisant les poches. Elle est belle, l’idéologie des Lumières!
    Dieudonné n’a pas choisi M Danglehant par hasard : un parcours d’étude atypique et volontaire, des défenses aux limites (2 procédures disciplinaires à son actif),...
    Ce monsieur est un phénomène à l’identique de son client : un combattant par le verbe et la procédure.


    F. Danglehant (un des avocats de Dieudonné) On... par olivier-frisky

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  • http://www.fdesouche.com/454509-le-fils-de-valerie-trierweiler-en-garde-a-vue

    Le fils de Valérie Trierweiler en garde à vue pour possession de drogue (màj)

    Addendum

    [...] Un de ses trois fils a été arrêté mercredi 1er mai, devant une boîte de nuit, avec de l’amphétamine sur lui. Une drogue largement consommée dans le monde de la nuit.

     

    Il a été placé en garde à vue. Le lendemain après-midi, le procureur de la République l’a condamné à suivre une thérapie. Apparemment, cela ne serait pas la première fois que Valérie Trierweiler se retrouve confrontée à des problèmes de drogue avec l’un de ses enfants. [...]

     

    La Tribune de Genève

     

    Merci à Chantecler

     

    ___________________________________

     

    Selon les informations du magazine Closer, l’un des enfants de Valérie Trierweiler aurait été placé en garde à vue. Le jeune homme aurait été arrêté par la police à quelques heures du départ de l’ex-première dame en Haïti pour un voyage humanitaire. Closer ne précise pas sur son site les raisons de son arrestation, qui devrait être détaillée dans le nouveau numéro du magazine, à paraître demain.  

     

    Hebergeur d'Images Gratuit

     

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  • http://www.bvoltaire.fr/charlottedornellas/agression-homophobe-encore-rate,59148

    « Agression homophobe » : encore raté !

    agression
     
    Stupeur : les dangereux catholiques intégristes et homophobes de la Manif pour tous qui, bien entendu, avaient fait le coup, s’appellent Abdelmalik et Taieb.
     
     

    L’affaire avait fait grand bruit, elle est « résolue ». Les agresseurs de Wilfred et Olivier, homosexuels attaqués il y a un an à Paris, ont été condamnés mardi à 18 et 24 mois de prison ferme.

    Stupeur : les dangereux catholiques intégristes et homophobes de la Manif pour tous qui, bien entendu, avaient fait le coup, s’appellent Abdelmalik et Taieb.

    Encore raté.

    Un an et demi de mobilisation, aucun incident majeur… Rageant, pour cette gauche morale qui guettait le faux pas à instrumentaliser pour rallier à la cause LGBT la ménagère outrée de cette violence derrière son écran de télévision.

    Et pourtant, elle a essayé. Deux faits divers rendus spectaculaires auront été attribués au « climat instauré par l’extrême droite et la Manif pour tous » : l’agression dans les locaux de Libération, puis celle de ce couple homosexuel.

    Résultat ? Abdelhakim Dekhar d’abord, puis Abdelmalik et Taieb. Aucune trace d’extrême droite catholique intégriste, à moins qu’elle n’ait vraiment changé… C’est incroyable, comme la réalité peut s’acharner contre la gauche.

    Ils ont fait peser l’accusation de cette agression sur la LMPT pendant un an, mais personne n’aurait l’idée de s’excuser… On laisse planer le doute, au cas où. On a eu droit à la présence des deux homos à chaque happening LGBT, meeting d’Anne Hidalgo, soirée de Jean-Luc Romero pour dénoncer l’homophobie… Ils tiennent un bon fait divers, enfin, ils ne vont pas le lâcher ; y a encore PMA et GPA qui attendent…

    Mais pas un mot sur les deux agresseurs. La même histoire que pour Libération : la République en danger avait soudainement retrouvé ses esprits quand elle avait appris que l’abominable nervi d’extrême droite s’appelait Abdelhakim, et que son cœur penchait plutôt à l’extrême gauche.

    L’avocat de ces deux voyous déclarait à la sortie du tribunal : « Je crois que le clivage du mariage pour tous leur a complètement échappé, ils sont dans une mauvaise soirée, éméchés, dans une violence gratuite ; ces deux jeunes homos sont tombés au mauvais moment, je ne sais pas qui ils auraient agressé ce soir-là, mais je pense qu’il y aurait eu agression. »

    La voilà, la vraie information ! On veut bien croire Wilfred de Bruijn quand il parle de « l’horreur qu’il a vécue » : c’est celle que subissent — soutien médiatique, politique et judiciaire en moins — des centaines de Français chaque jour. Il a été agressé, rien d’exceptionnel malheureusement.

    Intéressant, d’ailleurs, de noter que, soudainement, « l’enfance difficile » du pauvre petit Malik, 19 ans, multirécidiviste, qui a grandi « entre un père algérien éboueur à Paris et des grands-parents qui le récupèrent à la mort de sa mère », semble nettement moins émouvoir toute la caste bien-pensante qui en aurait pleuré en d’autres temps.

    Pas un mot, non plus, sur son compagnon d’agression, Taieb, 20 ans, condamné à sept reprises pour vol et violences… Subitement, vous remarquerez, la prison devient la solution.

    Beaucoup de bruit sans l’essentiel : une agression ordinaire.

    Mais même la réalité dans la figure – et c’est peu de le dire –, Wilfred continue à faire semblant de ne pas la voir et dénonce des opposants aux revendications LGBT légitimes et irréprochables.

    S’il était honnête, il reconnaîtrait que, dans son malheur, il a quand même eu de la « chance »… Il y a quelques jours, une jeune fille était sauvagement violée par quatre garçons turcs et marocains, simplement parce qu’elle était française. Pour elle, comme pour les milliers de victimes quotidiennes de ces « bandes de jeunes », pas un mot…

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  • http://www.les4verites.com/politique/la-gouvernance-francaise-a-lheure-espagnole

    La gouvernance française à l’heure espagnole

    Curieusement, alors qu’il reste encore quelque 55 millions de Français authentiques en France sur 65 millions d’habitants, l’actuelle gouvernance de notre pays est d’origine espagnole.

    Le Premier ministre, assez récemment naturalisé, et aux convictions socialistes, semble-t-il, assez récentes, est d’origine espagnole. Le conseiller politique du Président, jusqu’à ces derniers temps, était d’origine espagnole. Le conseiller diplomatique du Président est d’origine espagnole, et Madame le Maire de Paris est, elle aussi, d’origine espagnole, plus précisément de Cadix, où réside une partie de sa famille. Sans doute, certains diront : « Pourquoi pas ? C’est l’Europe et nous n’en sommes plus au temps de Louis XIV et de Napoléon. » Le problème est qu’il y a un « mais » ; il y en a même deux.

    Peut-on citer un pays étranger gouverné par des politiques d’origine française ? Non.

    L’autre « mais », le plus important, est que ces Français d’origine espagnole sont tous des descendants ou sympathisants des républicains communistes et anarchistes qui se sont réfugiés en France en 1939, après avoir échoué à instaurer en Espagne une dictature communiste, faite de tueries, de pillages et de destructions. Si j’en crois la presse, et non pas la presse de droite, mais plus simplement le « Monde », journal de gauche, on apprend (à la lecture de son magazine du 5 avril) que Madame le Maire de Paris qui, elle, s’est fixée en France il n’y a pas très longtemps, est très solidaire du président du groupe communiste au conseil de Paris, qui la représente à la commémoration de la « Retirada », c’est-à-dire de l’exode des réfugiés communistes en France, en 1939, après la victoire de Franco.

    Cet épisode nous conduit tout naturellement à rappeler ce que furent en Espagne les activités préférées de ces « républicains ». Pour l’historien français Guy Hermet, le massacre des prêtres espagnols représente la plus grande hécatombe anti-cléricale avec celle commise en France en 1789-1793. L’historien britannique Antony Beavor cite le chiffre de 13 évêques, 4 184 prêtres, 2 365 membres d’ordres divers et 283 religieuses, arrêtés, torturés, exécutés. Des prêtres sont, dit-il, brûlés vifs dans leurs églises et l’on signale des cas de castration et éviscération. De nombreuses sépultures religieuses ont été profanées. Les incendies de bâtiments religieux se sont multipliés dans la région de Barcelone notamment. Dans plusieurs grandes villes les socialo-communistes ont créé des commissions d’enquête sous le nom de « checas », en référence à la Tchéka soviétique de Trotski. Les suspects de droite sont traînés devant les « checas » et généralement abattus sommairement. « Mieux vaut condamner cent innocents qu’absoudre un seul coupable », déclare Dolorès Ibarurri, la présidente du Parti communiste, dite la Pasionaria.

    Entre le 6 et le 8 novembre 1936, alors que Madrid est encerclée par l’armée du général Franco, et que le communiste Santiago Carrillo détient le poste de conseiller à l’ordre public de la junte de défense madrilène, 2 750 détenus politiques sont fusillés au cours du massacre dit « de Paracuelos ». À Figueras, en Catalogne, le comité anarchiste fait incendier le couvent des religieuses françaises. 250 des 800 prisonniers politiques transférés par voie ferrée, dont le doyen de la cathédrale, sont assassinés durant le trajet par des miliciens. Dans les 3 provinces du pays de Valence, le nombre des assassinats par les communistes approche les 5 000.

    Selon l’historien britannique Hugh Thomas, le bilan de la persécution religieuse dans l’Espagne communiste-anarchiste s’élèverait à 55 000 morts. Il se trouve que Mme Hidalgo, maire de Paris, est toujours selon le magazine du « Monde » du 5 avril (p. 63), une « athée farouche » (sic). Ces souvenirs-là ne doivent donc pas l’empêcher de dormir.

    Une précision encore, pour terminer ce chapitre : le gouvernement français de l’époque, que dirigeait le socialiste Léon Blum, a été le grand pourvoyeur d’armement au profit des communistes espagnols, des « camarades », dont l’armée de l’air fut un temps dirigée par André Malraux lui-même. Sans doute, ces éminentes personnalités françaises n’ont-elles pas été informées ou ont-elles pris le « détail » pour quantité négligeable, lorsqu’une jeune religieuse, Isabelle Calduch Xaviera, arrêtée le 13 avril 1937, parce que religieuse catholique, fut exécutée le lendemain, très précisément à Cuevas de Vinroma, dans la région de Valence – parmi bien d’autres.

    Mais, de tout cela, on ne doit pas parler. Dans la France d’aujourd’hui, il y a, en effet, deux sortes de génocides. Ceux que l’on attribue aux « fascistes » qu’il convient de dénoncer tous les jours. C’est le « devoir de mémoire ». Et ceux commis par les régimes communistes (URSS, Espagne, Chine, Corée du Nord, quelque 100 millions de morts de faim, dans les camps de concentration ou tout simplement exécutés), qu’il convient de passer sous silence. Après tout, ces génocides-là, c’était pour le bien du peuple !

    Formulons le vœu que Madame le Maire de Paris ne se serve pas des impôts locaux parisiens, des milliards d’euros, pour élever un monument sur la place des droits de l’homme au Trocadéro, où l’on pourrait lire : « Aux tueurs et tortionnaires communistes espagnols, la mairie de Paris reconnaissante ».

    Puisque nous en sommes aux Espagnols au plus haut niveau de la République, j’ajouterai un mot sur l’ex conseiller politique du président de la République, le nommé Aquilino Morelle, obligé de démissionner, ces jours derniers, après avoir été dénoncé par une officine de presse pour un délit commis il y a 17 ans. Je n’ai aucune sympathie particulière pour cet Aquilino, mais j’en ai moins encore pour ces graphologues qui se situent à la gauche de l’extrême gauche et dont les enquêtes ont pour but de nuire, d’autant plus facilement qu’en ce genre de dénonciation, la prescription, paraît-il, ne peut être invoquée. En somme, en France, on est constamment sous une triple menace : la menace sécuritaire, la menace fiscale, et la menace de la calomnie. Charmante ambiance ! 

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  • http://www.valeursactuelles.com/politique/maire-%C3%A9cologiste-grenoble-veut-annuler-meeting-jean-marie-pen

    Le maire écologiste de Grenoble veut annuler un meeting de Jean-Marie Le Pen

      

    Eric Piolle s'inquiète de la tenue du meeting de Jean-Marie Le Pen. Photo © SIPA

    Persona Non grata. Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble, ne souhaite pas que le président d’honneur du Front National tienne un meeting dans sa ville.

    Un «rassemblement anti-fasciste »

    Un rassemblement anti-Front National est prévu aujourd’hui mercredi, après l'annonce de la venue de Jean-Marie Le Pen pour un meeting. Le Dauphiné rapporte qu’un «rassemblement anti-fasciste» est prévu dans la ville à 17h30. Le rassemblement doit rejoindre l’endroit où Jean-Marie Le Pen, tête de liste Front National dans le Sud-Est, doit tenir un meeting.

    On compte, parmi les organisateurs de ce «rassemblement anti-fasciste», la CGT, mais aussi le Parti de Gauche, le NPA, l’UNEF, l’UNL (deux syndicats d’étudiants) et des mouvements comme Iran Solidarité ou Osez le Féminisme. 

    Eric Piolle et ses inquiétudes

    Dans un courrier adressé au préfet, Eric Piolle, le maire Europe-Ecologie Les Verts exprime «ses vives inquiétudes» : il a demandé «que toutes les mesures de précaution soient prises en matière de prévention de troubles à l'ordre public, y compris via l'annulation de ce meeting».

    Dans un communiqué, Jean-Marie Le Pen dénonce l’attitude d’Eric Piolle : «je tiens à rappeler au maire que ce n'est pas mon meeting qui menace l'ordre public. Celui-ci constitue un exercice démocratique légal et traditionnel, au contraire des agissements des organisations d'extrême gauche qui entendent en troubler le bon déroulement (…) j’invite le maire à contrôler ses amis afin qu'ils ne portent pas atteinte au bon déroulement de notre manifestation.»

    Le meeting est pour l’heure maintenu.

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