• http://www.prechi-precha.fr/depuis-62-ans-la-famille-valls-vit-dans-le-luxe-aux-frais-de-la-mairie-de-paris/

    Depuis 62 ans, la famille Valls vit dans le luxe aux frais de la mairie de Paris

    Jusqu’ici aucun média n’a voulu relayer les révélations faites par E. Ratier sur Manuel Valls dans son livre le vrai visage de manuel Valls. Comme c’est étrange ?!

    ——————

    Emmanuel Ratier vous invite à le suivre dans Paris à la recherche du lieu où a grandi Manuel #Valls. Le Premier ministre et sa famille ont toujours prétendu qu’ils avaient vécu dans un endroit modeste voire lugubre.

    En réalité, le jeune Valls a habité sur les quais de Seine, avec vue sur l’île Saint-Louis et Notre-Dame, dans l’un des quartiers les plus chers de la capitale. La famille Valls y vit depuis 62 ans. L’ appartement que lui attribue la Ville de Paris vaut 17 000 euros le m2 ! Regardez les images et jugez par vous-mêmes!

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  • http://h16free.com/2014/06/19/32012-cgt-greve-devant-detournement-de-fonds-derriere

    CGT : grève devant, détournement de fonds derrière

    L’affaire Bygmalion n’en finit plus d’occuper les colonnes des journaux. Ce qui, au départ, était une histoire de collusions et de petits contrats entre amis s’est rapidement mué en gros détournement entre mafieux de la politique. Et il y a d’autant plus d’articles que cette affaire mouille directement des éléphants de l’UMP, jusqu’à l’ex-président Sarkozy. C’est un feu d’artifice. Maintenant, ne cache-t-il pas une autre affaire, au moins aussi gênante dans ce qu’elle implique ?

    Sarkozy grimaceOn me dira que c’est assez improbable compte tenu de l’ampleur des allégations soulevées par différents organes de presse, à commencer par l’inénarrable Mediapart qu’on voit pointer son nez à chaque fois qu’il est question de s’en prendre à Nicolas Sarkozy. Si, de mon côté, je trouve tout cela particulièrement amusant (n’ayant jamais eu le moindre doute sur la capacité naturelle de tous les politiciens, parvenus à un certain niveau, à empiler malhonnêteté sur malversations, magouilles et tromperies), je ne peux m’empêcher de noter la constance étonnante de cet organe à s’en prendre spécifiquement à l’ancien chef d’État au point que, de loin, on pourrait y voir une vendetta personnelle.

    Compte tenu des faits rapportés, qu’une enquête — judiciaire cette fois-ci — permettra de confirmer, il apparaît évident que cet acharnement n’est en rien déplacé. Tant qu’à faire, si on peut s’éviter un nouveau quinquennat d’effervescence inutile, c’est toujours bon à prendre. On regrette cependant que, symétriquement, les mêmes énergies ne soient pas dépensées pour faire jaillir toute la lumière (à commencer par la lumière médiatique, parfois nécessaire à la révélation de l’ampleur des corruptions) sur une autre affaire, qui le mérite amplement.

    bygmillionParce que pendant que la presse s’empare largement du sujet Bygmalion et qu’elle détaille, force graphiques à l’appui, les petits et gros arrangements avec la légalité de l’UMP, on ne voit malheureusement guère d’articles aussi fouillés, aussi documentés et aussi généreusement illustrés par la fine fleur du journalisme d’investigation lorsqu’il s’agit de relater le procès qui a actuellement lieu, pour les malversations du Comité d’Entreprise d’EDF/GDF, qui implique (excusez du peu) la CGT et l’Humanité (oui, le débris journalistique qui ne survit que grâce au capitalisme).

    Vous n’en avez pas entendu parler ? C’est normal. Par un hasard extrêmement curieux pour une presse française qui déclenche la jalousie partout dans le monde pour sa pertinence, rares sont les articles détaillant ce qui se passe exactement, alors qu’en réalité le procès n’est que l’aboutissement de dix longues années d’enquêtes, de procédures et de révélations. Et au final, seize personnes, la CGT, le PCF ainsi que la société du journal L’Humanité sont jugés depuis le 5 juin dernier pour abus de confiance, recel ou complicité, pour avoir détourné des fonds provenant du Comité d’entreprise d’EDF-GDF, la Caisse centrale des activités sociales (CCAS). Ces détournements auraient servi à financer des prestations à la Fête de l’Humanité, des emplois fictifs au bénéfice de la CGT et de la Fédération des mines et de l’énergie (FNME-CGT) ou encore des périodiques proches du PCF et de la CGT.

    Oh, bien sûr, on trouvera bien quelques dépêches ici ou là, un article du Figaro ou du Parisien, ainsi que quelques articles de la presse étrangère francophone, mais pour les Unes de Libération, le Monde, Médiapart ou même des précités, il faudra repasser.

    Il faudra donc lire chaque petite phrase pour tenter de comprendre les enjeux, et découvrir que, selon l’accusation, une association de formation financée par le CCAS aurait, par exemple, filmé des spectacles lors de la fête de l’Humanité pendant plusieurs années pour un coût totalisant les 1,2 millions d’euros, ou qu’une employée rémunérée par la même CCAS aurait en réalité travaillé pour la fédération communiste des Hauts-de-Seine.

    la cgtIci, le fait que tous ces accusés soient franchement orientés à gauche, que la presse soit reconnue comme majoritairement à gauche, que des artistes (subventionnés ou salariés) soient impliqués, que des syndicats qu’on retrouve actuellement dans les grèves les plus amusantes du moment, toutes ces similitudes avec des comportements mafieux et des associations habituelles de malfaiteurs existants ou ayant existé ne sont que des coïncidences fortuites et aucun animal n’a été blessé dans la réalisation de ces magouilles fermez le ban et n’en parlons pas.

    On pourra aussi s’attarder quelque peu sur les déclarations hallucinantes de l’ancien président d’EDF, François Roussely, du juriste Antoine Lyon-Caen et celles de l’historien du syndicalisme et des mouvements sociaux, Michel Dreyfus, qui, convoqués à la barre, ont cru nécessaire de rappeler l’historique de la Caisse pour expliquer ces errements dont on commence à peine à mesurer l’ampleur.

    « La CCAS n’est pas un comité d’entreprise, même si le législateur a essayé ces dernières années d’insérer cette institution originale dans le cadre général des entreprises privées. »

    Eh non. En fait, c’est un gros tuyau. D’un côté, on met l’argent récupéré des Français lorsqu’ils paient leurs factures de gaz ou d’électricité, et de l’autre, on récupère des journaux communistes, des syndicalistes communistes, des emplois dans des fédérations communistes qui, tous, participent à la bonne introduction du communisme, du collectivisme et de la doxa socialiste dans l’esprit des Français, pour leur plus grand bien. Ce serait, effectivement, dommage d’appeler ça un Comité d’Entreprise alors que c’est beaucoup plus !

    « La CCAS c’est une institution de notre République qui lui a fourni des ressources exceptionnelles (son budget est alimenté par 1% du produit des ventes de gaz et d’électricité) à une époque où le facteur travail était aussi considéré que le facteur capital .»

    ticket caisse bygmalionEh oui, la CCAS, ce n’est pas une association permettant d’acheter du loisir pour les salariés d’EDF et de GDF. C’est aussi une institution de la République, qui, même si elle n’est ni démocratique, ni de service public, rend un fier service au syndicalisme et à tout ce qui gravite autour en lui fournissant … des moyens, tiens pardi ! C’est beau comme une facture Bygmalion.

    Bref : il semblerait que les montants, pourtant copieux (on dépasse le million rien que pour la partie « Fête de l’Humanité ») ne justifient pas pour les médias de s’intéresser à l’affaire. Du reste, on se souvient que tout ce qui avait entouré, en son temps, la sortie du Rapport Perruchot avait été soigneusement évité par la presse (largement tenue coite par le Syndicat du Livre CGT – coïncidence toujours). De la même façon, les malversations répétées rapportées tant par le Canard enchaîné que par la Cour des Comptes au sujet des syndicats font généralement peu de vagues ; au-delà du petit article dans l’un ou l’autre quotidien, chaque scandale, même de nature très scabreuse, ne déclenche tout au plus qu’une petite bordée de titres timides avant que l’actualité (politique, sociale) reprenne le dessus bien sagement.

    Le fait que cette affaire-ci mouille, encore une fois, des gros syndicats, des groupuscules gauchistes bien introduits et des grosses sociétés anciennement nationalisées et encore bien acoquinée avec l’Etat de nos jours semble agir comme un repoussoir magique à toute médiatisation. Ainsi, comme le remarque Contribuables Associés, le Comité d’entreprise de la SNCF nage dans une certaine opulence qui lui permet de venir en aide à la CGT dans des proportions qu’on pourrait qualifier de louches. Là encore, verra-t-on Mediapart sortir du bois et agiter ses enregistrements exclusifs sur les internets pour enfin démasquer les fraudeurs de ce syndicats ? Le Monde ou Libé vont-ils mener l’enquête ?

    N’y comptez pas.

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  • http://pasidupes.blogspot.fr/2014/06/paris-hidalgo-va-faire-payer-les-400.html

    Paris: Hidalgo va faire payer les 400 millions d'euros de la facture laissée par Delanoë

     
    Hidalgo ne peut plus nier qu'elle a berné les électeurs parisiens 

    La situation financière de la capitale 
    laissée en héritage par Bertrand Delanoë est absolument désastreuse
    Quelques semaines après son élection, la nouvelle maire de Paris a été contrainte de reconnaître publiquement ce qu’elle niait farouchement depuis des mois.
    Le gros mensonge d’Anne Hidalgo n’aura pas résisté longtemps à l’épreuve de la vérité. Selon ses propres aveux, il manquera 400 millions d’euros l’an prochain pour boucler le budget de la ville, un trou colossal, comme jamais Paris n’en avait enregistré dans son histoire. Pour donner le change, Julien Bargeton, l’adjoint aux finances a fait mine de découvrir avec stupéfaction cette mauvaise nouvelle, que Capital avait pourtant dévoilée dès mars dernier.  

    Malgré les quolibets de la candidate de la gauche, l’héritière de Bertrand Delanoë va devoir faire valser les impôts des Parisiens en urgence
    au mépris de ses promesses, réaffirme Philippe Eliakim, rédacteur en chef du magazine Capital. De combien au juste ? Une simple règle de trois permet de se faire une idée du coup de massue qui attend les contribuables de la capitale : 400 millions d’euros, cela représente en moyenne 285 euros par foyer fiscal, ou si l’on préfère l’équivalent des deux tiers du produit annuel de la taxe d’habitation versé à la ville. Elle n’a cependant pas encore osé dévoiler ce traitement de choc à ses administrés.

    L'édile socialiste compte sur l'assistance de l'Etat 
    Hidalgo veut faire payer les Corses ou les Alsaciens en louant à l’Etat les locaux et les 130 hectares de terrains, par exemple le zoo de Vincennes, que la municipalité met aujourd’hui gracieusement à sa disposition. Or, même en positivant, ces recettes de poches n’atteindront tout au plus que quelques millions d’euros par an, autant dire une goutte d’eau. 

    Comme première adjointe, Anne Hidalgo ne pouvait rien ignorer
    Pour boucher le trou laissé par son prédécesseur -comme par elle-même- Anne Hidalgo envisage donc de vendre une partie du patrimoine foncier de la capitale, comme le terrain Guébriant dans le 20e arrondissement, qui sert aujourd’hui de parking aux fonctionnaires de la DGSE. Problème, ces rentrées d’argent ne pourront servir qu’une seule fois, alors que les déficits, eux, continueront de courir tous les ans. 
    Mais la municipalité socialiste de Paris peut tout se permettre…
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  • http://www.express.be/joker/fr/platdujour/leiil-constitue-aussi-une-menace-pour-loccident/205834.htm

    L'EIIL constitue aussi une menace pour l'Occident

      

     
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  • http://www.voltairenet.org/article184270.html

    Washington relance son projet de partition de l’Irak

    Le brusque écroulement de l’État irakien est présenté par la presse internationale comme la conséquence de l’attaque du groupe terroriste ÉIIL. Mais qui peut croire qu’un État puissant, armé et organisé par Washington, pourrait s’écrouler en moins d’une semaine devant un groupe jihadiste officiellement indépendant de tout État ? En outre, qui peut croire que ceux qui soutiennent l’ÉIIL en Syrie condamnent sincèrement son action en Irak ? Thierry Meyssan révèle le dessous des cartes.

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    Depuis 2001, l’état-major des États-Unis tente de fracturer le « Proche-Orient élargi » en une multitude de petits États ethniquement homogènes. La carte de la région remodelée a été publiée en juillet 2006 [1]. Elle prévoit de diviser l’Irak en trois, un État sunnite, un chiite et un kurde.

    L’échec d’Israël face au Hezbollah, à l’été 2006 [2], et celui de la France et du Royaume-Uni face à la Syrie, en 2011-14, laissaient penser que ce plan avait été abandonné. Il n’en est rien : l’état-major US tente de le reprendre par l’intermédiaire de ces condottières modernes que sont les jihadistes.

    Les événements survenus en Irak la semaine dernière doivent être vus sous cet angle. La presse internationale insiste sur l’offensive de l’Émirat islamique en Irak et au Levant (ÉIIL ou « Daesh » en arabe), mais celle-ci n’est qu’une partie de la vaste action en cours.

    L’offensive coordonnée de l’ÉIIL et des Kurdes

    En une semaine, l’ÉIIL a conquis ce qui devrait devenir un Émirat sunnite tandis que les peshmergas ont conquis ce qui devrait être l’État kurde indépendant.

    L’armée irakienne, formée par Washington, a donné Ninive aux premiers et Kirkouk aux seconds. Sa structure même de commandement a facilité sa désagrégation : les officiers supérieurs devant en référer au cabinet du Premier ministre avant de déplacer leurs troupes étaient à la fois privés d’initiative d’ensemble et installés comme des roitelets sur leurs zones d’action. Dès lors, il était facile au Pentagone de corrompre certains officiers pour qu’ils incitent leurs soldats à faire défection.

    Les parlementaires, convoqués par le Premier ministre Nouri-al-Maliki, ont également fait défection et n’ont pas voté l’état d’urgence faute de quorum, laissant le gouvernement sans possibilité de riposte.

    Sans autre choix pour sauver l’unité de son pays, M. al-Maliki a fait appel à tous les alliés imaginables. Il a d’abord sollicité son propre peuple en général et la milice chiite de son rival Moqtada el-Sadr en particulier (l’Armée du Mahdi), puis les Gardiens de la Révolution iraniens (le général Qassem Suleimani, commandant la Force Jérusalem est actuellement à Bagdad), enfin les États-Unis auxquels il a demandé de revenir et de bombarder les assaillants.

    La presse occidentale souligne, non sans raison, que la manière de gouverner du Premier ministre a souvent heurté à la fois la minorité sunnite arabe et les laïques du Baas, tant elle est apparue principalement favorable aux chiites. Cependant, ce constat est relatif : les Irakiens ont reconduit, lors des élections législatives du 30 avril, la coalition de Nouri al-Maliki. Celle-ci a obtenu un quart des voix, soit trois fois plus que le mouvement de Moqtada el-Sadr, le reste des voix étant éparpillé entre une multitude de petits partis.

    La préparation de l’offensive contre l’autorité de Bagdad

    L’offensive de l’EIIL d’un côté et des Pehmergas de l’autre a été préparée de longue date.

    Le Kurdistan irakien a commencé à voir le jour, sous la protection des États-Unis et du Royaume-Uni, avec la zone d’exclusion aérienne décrétée entre les deux invasions occidentales (1991-2003). Depuis le renversement du président Saddam Hussein, il a acquis une très forte autonomie et est entré dans la zone d’influence israélienne. De ce point de vue, il est impensable que Tel-Aviv ait été absent de la prise de Kirkouk. Toujours est-il que l’actuel gouvernement régional d’Erbil a étendu sa juridiction sur l’ensemble de la zone irakienne prévue par l’état-major états-unien pour former le Kurdistan indépendant.

    L’ÉIIL est une milice tribale sunnite ayant intégré les combattants d’Al-Qaïda en Irak, après le départ de Paul Bremer III et la remise du pouvoir politique aux Irakiens. Le 16 mai 2010, un responsable d’Al-Qaïda en Irak qui avait été libéré dans des circonstances inconnues, Abou Bakr el-Baghdadi, a été nommé émir et s’est efforcé, par la suite, de placer l’organisation sous l’autorité d’Al-Qaïda.

    Au début 2012, des combattants de l’ÉIIL créent en Syrie le Jabhat al-Nosra (c’est à dire le Front de soutien au peuple du Levant), comme branche syrienne d’Al-Qaïda. Ce groupe se développe avec la relance de l’attaque franco-britannique contre la Syrie en juillet 2012. Il est finalement classé « organisation terroriste » par Washington à la fin de l’année, malgré les protestations du ministre français des Affaires étrangères qui salue en eux « des gens qui font du bon boulot sur le terrain » (sic) [3].

    Les succès des jihadistes en Syrie, jusqu’au premier semestre 2013, ont modifié l’attractivité de leurs groupes. Le projet officiel d’Al-Qaïda d’une révolution islamiste globale est apparu utopique, tandis que la création d’un État islamique sur un territoire donné semblait à portée de main. D’où l’idée de lui confier le remodelage de l’Irak que les armées US n’étaient pas parvenues à réaliser.

    Le relifting de l’ÉIIL a été réalisé au printemps 2014 avec la libération de prisonniers occidentaux qu’il détenait, Allemands, Britanniques, Danois, États-uniens, Français et Italiens. Leurs premières déclarations confirmaient en tous points les informations des services de renseignement syriens : ÉIIL est encadré par des officiers états-uniens, français et saoudiens. Cependant, rapidement les prisonniers libérés faisaient machine arrière et infirmaient leurs propos sur l’identité de leurs geôliers.

    C’est dans ce contexte que l’ÉIIL a rompu avec à Al-Qaïda en mai 2014, se posant en rival, tandis qu’Al-Nosra restait la branche officielle d’Al-Qaïda en Syrie. Bien sûr tout cela n’est qu’affichage puisqu’en réalité ces groupes sont, depuis leur création, soutenus par la CIA contre des intérêts russes (Afghanistan, Bosnie-Herzégovine, Tchétchénie, Irak, Syrie).

    Redevenu en mai une organisation régionale (et non plus l’antenne régionale d’une organisation mondiale), l’ÉIIL se préparait à remplir le rôle que ses commanditaires lui avaient assigné il y a plusieurs mois.

    L’organisation est certes commandée sur le terrain par Abou Bakr al-Baghdadi, mais elle est placée sous l’autorité du prince Abdul Rahman al-Faiçal, frère du prince Saoud al-Faiçal (ministre saoudien des Affaires étrangères depuis 39 ans) et du prince Turki al-Faisal (ancien directeur des services secrets et actuel ambassadeur à Washington et Londres).

    En mai, les al-Faiçal ont acheté une usine d’armement en Ukraine. Des stocks d’armes lourdes ont été transportés par avion vers un aéroport militaire turc, d’où le MIT (services secrets turcs) les a acheminés par trains spéciaux à l’ÉIIL. Il paraît peu probable que cette chaîne logistique ait pu être mise en place sans l’Otan.

    L’offensive de l’ÉIIL

    La panique qui a saisi la population irakienne est à l’image des crimes commis par l’ÉIIL en Syrie : égorgements en public des « musulmans renégats » et crucifixion des chrétiens. Selon William Lacy Swing (ancien ambassadeur US en Afrique du Sud, puis aux Nations unies, et actuel directeur de l’Office des migrations internationales), au moins 550 000 Irakiens auraient fui devant les jihadistes.

    Ces chiffres montrent l’ineptie des estimations occidentales de l’ÉIIL selon lesquelles il ne dispose que de 20 000 combattants au total en Syrie et en Irak. La vérité est probablement 3 fois supérieure, de l’ordre de 60 000 combattants ; la différence étant composée exclusivement d’étrangers, recrutés dans l’ensemble du monde musulman et souvent pas arabes. Cette organisation est devenue la principale armée privée dans le monde, jouant le rôle moderne des condottières de la Renaissance européenne.

    Elle devrait encore se développer compte tenu de ses prises de guerre. Ainsi, à Mossoul, elle a saisi le Trésor du district de Ninive, soit 429 millions de dollars en liquide (de quoi payer leurs combattants durant une année complète). En outre, elle s’est emparée de nombreux Humvees et de 2 hélicoptères de combat qu’elle a immédiatement intégrés à son dispositif. Les jihadistes n’ayant pas les moyens de former des pilotes, la presse internationale laisse entendre que ce sont d’anciens officiers baasistes du président Saddam Hussein. C’est hautement improbable, d’une part compte tenu de la guerre opposant les baasistes laïques aux jihadistes qui constitue la toile de fond de la guerre en Syrie, et surtout parce que des pilotes ayant interrompu leur entraînement durant plusieurs années ne sont plus aptes au combat..

    Réactions internationales

    L’offensive des Peshmergas et de l’ÉIIL était attendue par les partisans de l’Arabie saoudite dans la région. Ainsi, le président libanais Michel Suleiman (qui avait conclu une allocution en janvier par un retentissant « Vive l’Arabie saoudite ! » à la place d’un « Vive le Liban ! ») a tenté par tous les moyens d’obtenir une prolongation de son mandat (expirant le 25 mai) pour les six mois à venir, de manière à être aux manettes durant la crise actuelle.

    Quoi qu’il en soit, les réactions internationales à la crise irakienne sont incohérentes : tous les États, sans exception condamnent l’ÉIIL en Irak et dénoncent le terrorisme, alors que certains d’entre eux —les États-Unis et leurs alliés— considèrent au même moment l’ÉIIL comme un allié objectif contre l’État syrien, et que quelques uns commanditent cette offensive —les États-Unis, l’Arabie saoudite, la France, Israël et la Turquie—.

    Aux États-Unis, le débat politique public oppose les Républicains, qui demandent un redéploiement militaire en Irak, aux Démocrates, qui dénoncent l’instabilité suscitée par l’intervention de George W. Bush contre Saddam Hussein. Ce petit jeu oratoire permet de masquer que les événements en cours servent les intérêts stratégiques de l’état-major et qu’il y est directement impliqué.

    Il se pourrait cependant que Washington ait piégé Ankara. L’ÉIIL aurait tenté au même moment de prendre le contrôle du tombeau de Süleyman Şah, en Syrie dans le district de Raqqa. Ce tombeau est propriété de la Turquie qui dispose sur place d’une petite garnison en vertu de la clause d’exterritorialité du Traité d’Ankara (imposé par le colonisateur français en 1921). Mais cette action peut très bien avoir été commanditée par la Turquie elle-même qui avait envisagé de trouver ainsi un prétexte d’intervention ouverte en Syrie [4].

    Plus grave, lors de la prise de Mossoul, l’ÉIIL a fait prisonniers 15 diplomates turcs et leurs familles ainsi que de 20 membres des forces spéciales turques à leur consulat, provoquant la colère d’Ankara. L’ÉIIL avait également arrêté des chauffeurs de poids lourds qui ont été relâchés ultérieurement. La Turquie, qui a assuré la logistique de l’attaque de l’ÉIIL, se sent trahie sans que l’on sache pour le moment si elle l’a été par Washington, Riyad, Paris ou Tel-Aviv. Cette affaire n’est pas sans rappeler l’arrestation, le 4 juillet 2003, de 11 membres des forces spéciales turques par l’armée états-unienne à Souleimanieh (Irak) popularisée par le film La vallée des loups Irak [5]. Cet épisode avait provoqué la plus importante crise des soixante dernières années entre les deux pays.

    L’hypothèse la plus probable est qu’Ankara ne prévoyait pas de participer à une offensive aussi large et a découvert en cours de route que Washington programmait de réaliser la création du Kurdistan qu’il avait échouée en 2003. Or, toujours selon la carte publiée en 2006, celui-ci doit inclure une partie de la Turquie, les États-Unis ayant prévu de disséquer non seulement leurs ennemis, mais aussi leurs alliés. L’arrestation des diplomates et forces spéciales turcs serait un moyen d’empêcher Ankara de saboter l’opération.

    Arrivant jeudi à Ankara en provenance d’Amman, la représentante spéciale des États-Unis au Conseil de sécurité, l’ambassadrice Samantha Power, a hypocritement condamné les actions de l’ÉIIL. La présence au Proche-Orient de la thuriféraire de l’interventionnisme moral de Washington laisse à penser qu’une réaction états-unienne a été prévue dans le scénario.

    De son côté, l’Iran s’est dit prêt à aider à sauver le gouvernement du chiite al-Maliki en envoyant des armes et des conseillers militaires, mais pas de combattants. L’actuel renversement de l’État irakien profite à l’Arabie saoudite, grand rival régional de Téhéran, alors que le ministre des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Faiçal (le frère du patron de l’ÉIIL), l’a invité à négocier.

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  • http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/taubira-qui-se-ressemble-sassemble/

    Taubira : qui se ressemble s’assemble !

    Son sectarisme et sa pugnacité restera comme l’emblème de cette gauche arrivée au pouvoir par défaut, à contre-courant de l’évolution sociologique du pays, et qui a cru qu’elle pouvait tout se permettre.

    Elle s’est tout permis, mais aujourd’hui,
    les Français ne lui permettent plus rien !

    On savait Christiane Taubira entourée d’une horde de magistrats émargeant tous au syndicat de la magistrature, mais on connaissait peu ses collaborateurs proches. Et voilà que coup sur coup, deux de ses proches sont dans la tourmente et même, que l’un d’eux a été poussé à la démission.

    Un conseiller très spécial

    C’est d’abord Jean-François Boutet, qui cumulait les fonctions de conseiller spécial de la garde des sceaux et celles d’avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation qui a fini par céder à la pression de la presse people et d’un député UMP pugnace, Yannick Moreau.

    «Nous sommes très loin de cette République exemplaire prônée
    par le président de la République durant la campagne»

    C’est Yannick Moreau, député de Vendée, et vigoureux adversaire de la loi Taubira sur la dénaturation du mariage qui a ainsi interpellé la ministre de la justice à propos du conflit d’intérêt dont se rendait coupable son compagnon et néanmoins « conseiller spécial » en cumulant ces fonctions incompatibles.

    jean-francois-boutetLa magazine Closer avait enquêté sur le conseiller, réputé très proche de sa ministre, profitant des avantages ministériels – comme les voitures de fonction – tout en continuant à plaider ses dossiers devant les juridictions françaises les plus importantes de l’Hexagone. Le magazine a montré que Jean-François Boutet se servait aussi de son véhicule professionnel pour accompagner son fils à l’aéroport d’Orly en plein après-midi ou encore pour aider sa fille à choisir sa robe d’avocat chez le fournisseur historique du barreau. Des tâches évidemment sans rapport avec l’objet pour lequel le ministère de la Justice lui octroie une voiture de fonction.

    Dans un premier temps, Christiane Taubira avait seulement demandé au député « s’il n’avait rien d’autre à faire que de s’attaquer aux personnes plutôt que de s’intéresser aux questions de fond« .

    Cette non-réponse n’a pas convaincu la Haute autorité pour la transparence de la vie publique qui, le 23 mai dernier, a demandé à Jean-François Boutet de mettre fin « d’une manière ou d’une autre à ce conflit d’intérêts potentiel ». Et donc de choisir entre ses deux fonctions.

    Le conseiller quittera ses fonctions le 9 juillet prochain – on se demande pourquoi un tel délai, s’il y a conflit d’intérêt – à la veille du procès en diffamation qui l’oppose à l’Express.

    Une proche bien mal élevée

    Voici maintenant le tweet envoyé par Sihem Souid, chargée de mission au service de l’accès au droit et de l’aide aux victimes auprès de Christiane Taubira :

    tweet-sihem-souid

    Ce tweet abject nous ramène au personnage précédent puisque c’est une remarque de Philippe Bilger concernant le conflit d’intérêt cité plus haut qui a déclenché les foudres de cette instable pasionaria.

    Jean-François Boutet, Christiane Taubira et Sihem Souid

    Jean-François Boutet, Christiane Taubira et Sihem Souid

    Car cette jeune femme n’en est pas à son coup d’essai dans le domaine des déclarations iconoclastes. Jugez-en plutôt :

    • Quand Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avait regretté la décision de justice, donnant raison à une employée voilée face à la crèche Baby Loup, Sihem Souid avait été jusqu’à parler de « Valls et sa cohorte d’islamophobes« , le qualifiant même de « premier flic de France au menton prognathe ».
    • A propos de l’affaire Aquilino Morelle, elle avait déclaré que le sieur Morelle, son grand ami, « avait bien le droit, s’il lui en plaisait, de se faire cirer les godasses quand il lui seyait« .

    Attaquée sur son détestable tweet contre Philippe Bilger, Sihem Souid, loin de faire profil bas, en a rajouté des tonnes :

    tweet-sihem-souid-2

    Même sur le site du Nouvel Obs, on est révolté par l’attitude de cette personne. Dom Bochel Guégan, chroniqueuse société, a publié un article au vitriol contre l’excitée du ministère de la justice.

    Vous pouvez trouver sur le blog de Philippe Bilger sa réponse au tweet de Sihem Souid.

    On imagine bien, l’ambiance au ministère de la justice, avec un tel concentré de personnes sectaires, arrogantes et avec si peu de jugeote pour se lancer dans ce genre de polémique …

     

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  • http://www.les-crises.fr/les-sous-hommes-et-l-otan/

    [Tout va bien] Le premier ministre ukrainien emploie le terme de “sous-hommes”, et dit vouloir nettoyer la terre ukrainienne du Mal… (+OTAN)

     

    Sous-homme (en allemand Untermensch) est un terme introduit par l’idéologie raciste nazie par opposition au concept introduit par Friedrich Nietzsche d’Übermensch (en français surhomme). (Wikipédia)

    Suite au crash de l’avion de transport de 40 militaires ukrainien, le Premier Ministre Iatseniouk s’est lâché :

    « Nous nous inclinons devant les héros qui ont perdu leur vie pour le bien de leur pays, pour empêcher la guerre de venir dans la maison de chacun de nous », a déclaré le Premier-Ministre Arseni Iatseniouk.

    « Ils ont perdu leur vie parce qu’ils ont défendu les hommes et les femmes, les enfants et les personnes âgées qui se trouvent font face à la menace d’être tués par les envahisseurs, parrainés par des sous-hommes ». « En premier lieu, nous allons commémorer les héros en exterminant ceux qui les ont tués, puis en nettoyant notre terre du Mal. » (Source : CNN)

    Toute perte humaine est évidemment à déplorer, mais enfin, il y a une guerre civile, et des héros des deux côtés me semble-t-il…

    Quant à l’utilisation du vocable classique des nationalistes ukrainiens et collaborateurs de la guerre, chacun jugera.

    Je rappelle d’ailleurs que les ennemis réels des fascistes ukrainiens ne sont pas les Juifs (il n’y en a presque plus, leurs grands parents ont déjà “nettoyé” cette catégorie :( …), mais bien les Russes…

    Enfin, essaiera – car de nouveau, silence sur les médias français sur ces joyeux propos de nos amis les ukrainiens modérés.

    Alors j’imagine qu’il y aura peu d’enquête sur la personnalité des “héros”.

    Une photo court sur les réseaux sociaux, mais il s’agit probablement d’un mensonge de pro-autonomistes.

    Elle est présentée comme une photo de certaines des victimes, posant devant l’avion abattu. C’est peu probable – si quelqu’un a plus d’informations…

    En revanche, la photo est réelle et a été prise la mi-mai, et elle représente des engagés volontaires (sans insigne) devant un avion de transport de troupe de l’armée ukrainienne :

    (on reconnait bien l’avion : )

    vous apprécierez j’imagine l’élégant salut du héros à gauche sur la photo…

    ==================

    Bon, cela rejoint les propos du ministre ukrainien des affaires étrangères Andrii Dechtchitsa qui a insulté Poutine ce week end. La presse française a traduit par connard, mais un ukrainophone pourrait il traduire précisément (voire crument) l’insulte svp ? (à 1’11)

    ==================

    Pendant ce temps, toujours dans l’indifférence médiatique, l’OTAN délire…

    Déjà, le 1er mai, on parlait de la Russie comme d’une ennemie :

    Et là, la deuxième couche :

    “Actuellement, nous préparons un paquet de mesures que nous soumettrons au ministère des Affaires étrangères d’ici fin du mois. Sans rentrer dans le détail, ce paquet comprendra des mesures visant à aider l’Ukraine à réformer le secteur de la Défense ainsi qu’à moderniser ses forces armées”, a indiqué M.Rasmussen.

    Selon lui, la coopération avec Kiev portera “un caractère exclusivement pratique et permettra à l’Ukraine d’avoir notamment accès aux exercices militaires de l’OTAN”.

    Quelle finesse, quelle œuvre pour la Paix !

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  • http://www.islamisation.fr/archive/2014/06/15/la-base-geante-des-freres-musulmans-a-bordeaux-confiee-a-un-5391766.html

    La base géante des Frères Musulmans à Bordeaux dévoilée par son architecte.

    mosBord.jpg

     

    L’information a été révélée par le quotidien portugais Público. C’est un cabinet d’architecte portugais qui a été choisi par les musulmans de Bordeaux, afin de construire le vaste centre islamique voulu par Alain Juppé dans le quartier de la Bastide. Alain Juppé a mis à disposition un vaste terrain municipal cédé pour une Grande Mosquée (Sud Ouest du 5 avril 2013).

    D’après Público, cette mosquée avoisinerait un coût de plus de 24 millions d’euros, pour une surface de 12 000 mètres carrés ! L’espace dédié au culte pourra accueillir plus de 4000 fidèles, soit le plus vaste local religieux de toute la région.

    Ce projet démesuré, dans les tuyaux depuis une dizaine d’années, est soutenu par le maire de Bordeaux, mais également par les socialistes, dont l’ancien candidat aux municipales et député de Gironde Vincent Feltesse (PS), avait versé 50 000 euros sur sa réserve parlementaire (Sud Ouest). 

    Nous avons depuis 6 ans consacré de nombreux articles et le premier chapitre de notre enquête Ces Maires qui courtisent l'islamisme (éditions Tatamis, 2010) à l'imâm de Bordeaux, Tareq Oubrou, de nationalité marocaine, étrangement naturalisé français. Oubrou est membre de l'Union des Organisations Islamiques de France (UOIF), fédération de mosquées des Frères, chez qui nous avons obtenu les preuves qu'ils diffusent  les ouvrages les plus radicaux de l'islamisme violent. Nous n'allons pas revenir sur tous les détails du profil ouvertement en phase avec la doctrine de Hassan al-Banna, fondateur des Frères Musulmans, auquel Oubrou consacrait des conférences élogieuses d'une heure dans sa mosquée de Bordeaux. On ne sera donc pas étonné d'apprendre dans Sud Ouest qu'il sollicite le Qatar, base arrière idéologique et financière  des Frères Musulmans, pour financer la mosquée...

     Ce qu'aucun journaliste n'a relevé, après le triste passage des Frères Musulmans au pouvoir en Egypte, est que Tareq Oubrou, fort de son estampillage républicain et de son opération séduction réussie dans les médias, s'affirme encore Frère Musulman dans un livre en 2013 !

    Dans "Le Prêtre et l'imâm", paru aux éditions Bayard en 2013, Tareq Oubrou affirme page 134 :

    "Le mouvement des Frères Musulmans prétend moderniser la religion, sans rien toucher à l'essentiel. Ce discours, peu audible, est en perte de vitesse. Je continue d'être membre de ce mouvement"

    Autres citations:

    "Les Arabes n'avaient d'autres choix que d'attaquer pour survivre" Tareq Oubrou, imâm de Bordeaux, dans Un imâm en colère, éditions Bayard, 2012.

    "Si le Coran a appelé à la guerre, c'est pour imposer la paix" imâm Tareq Oubrou, France Culture, 20/11/2012

    "L'Imâm Al Banna veut qu'on soit comme des salafistes" Tareq Oubrou, conférence en ligne à la gloire du fondateur des Frères Musulmans.

     "La politique des musulmans ce n'est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge" même conférence sur Hassan Al Banna (plus de citations)

    6 avril 2014 : Alain Juppé remet la Légion d'honneur au Frère Musulman assumé Tareq Oubrou. 2713656851.jpg

     En août 2013, Le Monde soulignait que le nouveau Guide suprême des Frères Musulmans, Mahmoud Ezzat est un fervent dévot de la pensée de Sayyed Qutb (1906-1966), ce doctrinaire des Frères ayant théorisé la prise du pouvoir par la violence armée offensive. "Le Jihâd est indispensable à la prédication" écrivait Sayyed Qutb. Un jihâd spirituel a dû faire croire Tareq Oubrou à son idiot utile Alain Juppé, qui considère les Frères Musulmans égyptiens comme des démocrates (lire ici et ici). 

    Lire notre analyse des écrits de Sayyed Qutb, figure mythique des Frères Musulmans, qui seront donc enseignés plus que probablement dans la Grande Mosquée de Bordeaux, à cause d'Alain Juppé.

    Lire sur Infos Bordeaux : Un cabinet d'architecte portugais sélectionné pour construire la Grande Mosquée de Bordeaux

    Compte tenu de l'énorme diffusion de cet article sur Internet, nous enjoignons les lecteurs révulsés par la collaboration de la mairie de Bordeaux avec les islamistes de signaler leur mécontentement en écrivant et/ou téléphonant :

    Mairie de BordeauxPlace Pey Berland33000 BordeauxAdresse postale : Place Pey-Berland
    33077 Bordeaux Cedex
    messages courriels ici

    Secrétariat  général

    05 56 10 21 41
    Affaires culturelles
    05 56 10 20 51
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