• http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20140905trib4a7f96075/sondage-presidentielle-marine-le-pen-bat-tout-le-monde.html

    Sondage présidentielle: Marine Le Pen bat tout le monde !

       Selon le sondage Ifop, au second tour de la présidentielle 2017, Marine Le Pen battrait François Hollande avec 54% des voix contre 46%

    Selon un sondage Ifop pour "Le Figaro", Marine Le Pen arriverait en tête au premier tour de de la présidentielle en 2017. Elle battrait même François Hollande au second tour alors qu'elle s'inclinerait devant le candidat UMP quel qu'il soit.

    Voilà un sondage qui ne va  pas remonter le moral du président de la République déjà confronté à une avalanche de problèmes... dans tous les domaines. Selon un sondage Ifop réalisé pour le "'Figaro" les 3 et 4 septembre auprès d'un échantillon de 994 personnes, Marine Le Pen arriverait en tête au premier tour de la présidentielle non seulement face à François Hollande mais aussi face et n'importe lequel des principaux prétendants UMP, qu'il s'agisse de Nicolas Sarkozy, François Fillon ou Alain Juppé. Pire pour l'actuel locataire de l'Elysée:  s'il parvenait en 2017 au second tour, il serait écrasé par la présidente du Front National qui obtiendrait 54% des voix, alors que François Hollande n'en récolterait que 46%.

    Marine Le Pen en tête au premier tour dans tous les cas de figure

    Dans le détail, A la question: "Si dimanche prochain avait lieu le premier tour de l'élection présidentielle de 2017 pour lequel des candidats suivants y aurait-il plus de chances que vous votiez?", 30% des sondés choisissent Marine Le Pen devant Alain Juppé (24%) et François Hollande (16%), qui serait donc éliminé dès le premier tour.

    Dans l'hypothèse où  c'est Nicolas Sarkozy qui défend les couleurs de l'UMP,  Marine Le Pen arrive encore en tête, mais avec 28% des suffrages contre 25% à l'ancien président, et, là encore, 16% pour François Hollande. De quoi calmer les ardeurs de Nicolas Sarkozy qui prépare son retour en politique avec l'argument d'être le "sauveur" de l'UMP.

    Troisième hypothèse, si c'est François Fillon qui est le candidat de l'UMP, il recueillerait 17%, tout comme François Hollande, mais très loin loin derrière Marine Le Pen (32%).

    Marine Le Pen battrait François Hollande au second tour !

    Pour le second tour, le sondage Ifop montre que dans tous les cas de figure, le candidat UMP battrait François Hollande:  François Fillon (62% contre 38%), Alain Juppé (66% contre 34%), Nicolas Sarkozy (61% contre 39%).

    En revanche, coup de tonnerre, si François Hollande se retrouvait au second tour face à Marine Le Pen, il serait battu  (54% contre 46%). Le "réflexe républicain" qui avait prévalu au second tour de la présidentielle de 2002 opposant Jacques Chirac à Jean-Marie Le Pen semble avoir vécu...

    En revanche,  Marine Le Pen échouerait au second tour face à n'importe lequel des candidats UMP: 43% contre 57% pour François Fillon, 36% contre 64% pour Alain Juppé, 40% contre 60% pour Nicolas Sarkozy.

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  • http://www.tvlibertes.com/

    Journal du jeudi 4 septembre 2014

     1) International / Les relations franco-russes chavirent

    2) International / OTAN : la chienlit au sommet

    3) Société / Les Thénardier à l’Elysée

    4) L’actualité en bref

    5) L’invité du jour / David Miège

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  • http://www.polemia.com/immigration-et-crise-economique-la-verite-interdite/

    Immigration et crise économique : la vérité interdite

    Moins de démagogie, moins de cataplasme sur les conséquences et plus de travail sur les causes.

    « Je considère que l’immigration économique dans un contexte de croissance ralentie doit être limitée. Il y aura un débat au Parlement chaque année pour savoir quel est le volume de l’immigration. Aujourd’hui, quelques secteurs seulement sont en demande » (François Hollande en mars 2012.) (*)

    Une des causes –pas la seule – de la récession économique française est le coût énorme de l’immigration, avec toutes ses conséquences financières et autres. Malheureusement, à cause de l’interdiction dans notre régime «démocratique», de publier des statistiques chiffrées sur ce sujet, et du fait aussi de l’idéologie politiquement correcte qui paralyse les médias, la vérité est dissimulée.


    Tout d’abord, la France est à la fois le pays européen qui accueille proportionnellement la plus grande population extra-européenne et celui qui est décrit comme « l’homme malade de l’Europe », à cause du niveau de la dette, des déficits budgétaires, des records de chômage en hausse, etc. Étrange coïncidence.

    Ensuite, des économistes libéraux nous expliquent que le marasme économique français est dû à la social-démocratie, à l ‘État providence, au gouvernement de Hollande, au fiscalisme qui paralyse les entreprises et plombe leur compétitivité, au poids d’une fonction publique éléphantesque et privilégiée, de dépenses publiques improductives, etc. La liste est longue. Tout cela est absolument vrai. (1) Mais il y aussi un facteur essentiel dont personne n’ose parler : l’immigration débridée depuis 40 ans. Passons en revue les causes pour lesquelles elle a contribué à plomber l’économie française. Ces causes ne sont pas seulement économiques et financières, mais, indirectement, sociologiques.

    Il faut d’abord préciser qu’avant le catastrophique «regroupement familial» Giscard-Chirac de 1974, c’est le patronat qui avait organisé l’immigration de travailleurs, non pas par manque de main d’œuvre mais pour faire baisser le coût du travail. A l’époque d’ailleurs, le PC s’opposait lucidement à l’immigration. Les deux premiers inconvénients de cette politique d’appel à la main d’œuvre étrangère non qualifiée furent d’une part qu’elle inaugura la montée du chômage des autochtones et, d’autre part, qu’elle fut un frein à l’innovation. Aujourd’hui, l’immigration n’a plus rien à voir avec ce schéma ; il ne s’agit plus d’arrivées de travailleurs, mais de clandestins, de faux demandeurs d’asiles, de réfugiés, de bénéficiaires des regroupements familiaux. Bref, d’une population plus assistée que productive qui ne fait pas augmenter mais décroître la richesse par tête (PIB/habitant) et qui, quand elle travaille (minoritairement) apporte peu de valeur ajoutée.

    Voici en quoi l’immigration de peuplement est un boulet économique et pèse sur tous les comptes publics et donc alourdit la fiscalité des particuliers et des entreprises. Analysons successivement et brièvement 1) les coûts directs ; 2) les coûts indirects ; 3) les coûts globaux.

    Les coûts directs

    1/ Le coût des prestations et aides multiples aux immigrés anciens ou récents, y compris clandestins : allocations familiales, allocations chômage, AME (aide médicale d’État, réservée au clandestins de manière privilégiée et anticonstitutionnelle), coût d’entretien et d’hébergement des (faux) demandeurs d’asile, dépenses médicales et hospitalières. La majorité ne travaille pas. Assistanat généralisé. Ceux qui travaillent ne le font qu’à un bas niveau, pas rentable pour les rentrées fiscales et les cotisations. Les immigrés dans les créneaux de l’encadrement et des hautes qualifications ne sont qu’une infime minorité. Cela n’a rien à voir avec l’exclusion et la discrimination, puisqu’il existe au contraire des lois de discrimination positive en faveur de la «diversité» ! Ce coût des aides et prestations offertes à une population, globalement inefficace et assistée, supporté par l’État, la Sécurité sociale et toutes les collectivités locales, se fait aux frais des classes moyennes et des PME et à leur détriment. Ce qui plombe à la fois le pouvoir d’achat et d’investissement des forces vives.

    Globalement, le niveau, devenu insupportable, des prélèvements et des dépenses publiques (57% du PIB, record mondial et plus haut niveau dans toute l’histoire de France) est dû pour une large part à l’immigration. La profitabilité générale de cette dernière est une illusion économique, entretenue par la propagande immigrationniste.

    2) La «politique de la ville» euphémisme comique, est extrêmement coûteuse pour les municipalités et les départements, mais totalement inefficace. Les plus endettés sont, comme par hasard, ceux où la population immigrée est la plus forte. C’est pourquoi d’ailleurs, il est mensonger de parler de populations ou de zones «défavorisées», puisqu’elles reçoivent (en pure perte) le plus d’investissements. Elles sont au contraire surprotégées et privilégiées, mais toujours victimisées – souvent pour éviter, en vain, les émeutes. Alors qu’au contraire, les départements et les zones semi-rurales périphériques où vivent ou bien se réfugient les autochtones déclassés, les «invisibles» sont délaissés par les aides et transferts publics.

    Le «budget social de la Nation» est plombé par les prestations de toute nature versées à ces populations, primo arrivants ou nés sur le sol français. Aux flux d’entrées incontrôlés s’ajoute la forte natalité des immigrés, qui aggrave l’équation. Le ratio investissement social/ revenu marchand national est largement négatif.

    Les coûts indirects

    La notion de déséconomies externes concernant l’immigration n’a jamais été prise en compte. Il s’agit de coûts indirects, encore plus lourds que les charges comptables immédiates, mais qui se font sentir à plus long terme.

    1) Les énormes coûts de la criminalité et de la délinquance (dont l’origine est connue). L’économie de la «sécurité» demande de très importants investissements, publics et privés, qui sont autant d’argent en moins consacrés à des secteurs productifs et innovants. Les budgets de la justice, de la police et de la gendarmerie, sans parler de l’administration pénitentiaire, sont très alourdis par la délinquance d’origine immigrée. De plus, l’atmosphère d’insécurité et de dégradation du cadre de vie provoque des nuisances indirectes qui bloquent le dynamisme économique dans des domaines tels que le tourisme, la vie nocturne, le petit commerce, etc.

    2) La baisse du niveau scolaire dans l’école publique (primaire et secondaire) est davantage due à la présence d’immigrés de multiples origines à l’école – situation ingérable – qu’à la catastrophique doctrine pédagogiste et antisélective issue de Mai 68. Les deux se cumulent. À terme, on fabrique des générations en situation de décompétence.

    3) La discrimination positive, illégale, contraire au principe d’égalité, mais largement pratiquée au nom du dogme de la «diversité», oblige les grandes entreprises et les administrations à recruter prioritairement, selon des quotas, des personnels issus d‘une certaine origine. Cette pratique nuit à la compétence comme à la rentabilité et augmente le chômage des autochtones. Les effets, presque indolores, ne se feront sentir que progressivement.

    4) Les effets de l’économie souterraine et criminelle ne sont pas négligeables. Les coûts induits, dans tous les secteurs, du trafic de stupéfiants, en hausse constante, en fait très mollement puni et dissuadé, trafic qui est à 100% entre les mains d’acteurs d’origine immigrée, n’ont jamais été sérieusement évalués mais sont très élevés. Le trafic des stupéfiants augmente le volume de l’économie souterraine, dont les acteurs continuent de percevoir les aides publiques sans payer aucune contribution sociale. S’ajoute à cela le travail au noir, dans maints secteurs, qui a les mêmes effets récessifs.

    Les coûts globaux

    Tous les inconvénients de l’immigration massive sont comme de multiples petits ruisseaux qui finissent par former, dans tous les domaines, un grand fleuve. L’addition des petites dépenses fait les grands déficits. De plus, une atmosphère générale d’insécurité, de dégradation du cadre de vie, de désarroi culturel et identitaire, de communautarisme et de dépossession territoriale, nuit à l’optimisme et à la confiance, indispensables à l’investissement et à l’innovation. La psychologie est la base des comportements économiques. Le pessimisme collectif a toujours été synonyme de récession.

    L’immigration fonctionne donc comme un fardeau global qui plombe le dynamisme économique et augmente le chômage. À égalité avec la politique économique collectiviste et étatiste, qui en est d’ailleurs une des conséquences partielles. Cercle vicieux : tous ces phénomènes provoquent une hausse des dépenses publiques qui pèsent sur les entreprises, augmentent encore le chômage et donc les dépenses publiques. Briser le cercle vicieux ne pourrait procéder que d’un programme révolutionnaire.

    nouveauDe plus, on assiste à une nouvelle lutte de classes, qui ne dit pas son nom, entre d’une part les assistés parasitaires, les salariés privilégiés des secteurs protégés, les élites du système et, d’autre part, les classes moyennes autochtones exploitées sur lesquelles reposent le financement des autres. Jusqu’à quand ? (2)

    Le pourcentage de créateurs d’entreprises innovantes créatrices d’emplois, en pointe technologiquement, est faible chez les immigrés d’origine extra-européenne. Si l’on faisait, grâce à un calcul arithmétique basique, le rapport hors coûts entre le nombre de jeunes immigrés créateurs de richesses et le nombre d’autochtones créateurs de richesses, le ratio serait sidérant : le «jeune issu de l’immigration» crée peu, ne rapporte presque rien et coûte beaucoup. Inutile de s’étendre sur les raisons de cette évidence : elles ne sont liées à aucune discrimination mais à une cause endogène. L’économie, comme le reste, repose sur les hommes plus que sur les chiffres, sur les qualités des populations, de leur comportement et de leur travail, bien plus que sur des mécanismes comptables et abstraits.

    L’argument, défendu par toute l’idéologie dominante, selon lequel l’immigration en provenance du tiers monde serait indispensable pour compenser notre déficit démographique et notre vieillissement, outre qu’il néglige les facteurs ethniques et historiques, ne tient pas la route sur le plan strictement économique, bien qu’il soit fondé sur le réductionnisme économique. Les bénéfices objectifs de l’immigration en termes économiques sont marginaux. Ce sont des cas particuliers, que les médias mettent en valeur en les généralisant. Globalement, en terme de coûts comparatifs, les inconvénients surpassent de loin les avantages.

    Tous les pays développés qui créent des richesses sont victimes d’une immigration de populations du Sud, incapables de se développer par elles-mêmes selon le modèle occidental, qui les fascine et qui, malheureusement, s’est étendu au monde entier. Même Israël, pourtant État ethniciste et protégé, est victime d’une immigration africaine mal maîtrisée. Le Japon et les pays émergents, comme la Chine, l’Inde, etc. refusent l’immigration de masse. L’Europe et l’Amérique du Nord absorbent les surplus des autres, qui se débarrassent de leurs improductifs sur notre dos, tout en favorisant notre colonisation de peuplement. Ce qui nous affaiblit et nous handicape, et ce que nos élites refusent de comprendre.

    Une France qui aurait été pratiquement préservée de l’immigration extra-européenne depuis 40 ans, même avec une faiblesse démographique et une population nettement inférieure à celle d’aujourd’hui, aurait un dynamisme économique, un niveau de vie et de création de richesses, un ratio d’emploi, une qualité d’existence très enviables par rapport à ce que nous vivons. Si rien ne change, la situation va devenir ingérable. Que faire de ces millions de jeunes individus inassimilables  qui poseront des problèmes toujours plus insolubles ? Le choix entre l’effondrement (lent ou brutal) ou la révolution, est posé.

     Guillaume Faye
    29/08/2014

    Notes :

    (1) Il est absolument vrai qu’en Grande Bretagne, par exemple, du fait de la déconstruction de l’État Providence, on trouve des bassins de pauvreté et des zones miséreuses plus nombreuses qu’en France, de même qu’un système de soins à deux vitesses s’est installé. Oui mais…1) l’excès d’État Providence français va bientôt aboutir au même résultat par effet de faillite général du financement ; 2) l’assainissement de l’économie par la rigueur financière et les coupes dans les dépenses sociales produit à terme un retour de la richesse générale et du plein emploi.
    (2) Voir ma brochure La nouvelle lutte de classes, Éd du Lore.

    (*) Note de la rédaction :

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  • http://www.prechi-precha.fr/maire-fn-du-pontet-annonce-severes-economies/

    Le maire FN du Pontet annonce de sévères économies

    Le maire FN du Pontet, Joris Hébrard, a annoncé une série de restrictions économiques pour sa ville, comme le non remplacement du personnel à la retraite, la vente de biens communaux, ou l’augmentation de certains services aux usagers.

    Réduire de moitié la dette

    Pour étayer ses propos, Joris Hébrard a invoqué un audit mené par deux cabinets indépendants recrutés après un appel d’offre national. Il s’est engagé à réduire de moitié la dette de la commune de 17 000 habitants, située à la périphérie d’Avignon. Elle s’élève à 50 millions d’euros soit 3.000 euros par habitant, a-t-il précisé.

    « Chaque euro sera contrôlé et dépensé utilement », a insisté l’édile, annonçant l’affectation d’un agent à la chasse au gaspillage. Les départs à la retraite du personnel municipal ne seront pas remplacés, sauf exception, a expliqué Joris Hébrard, qui a dénoncé la titularisation de 90 agents au cours des six dernières années.

     

    « Ni licenciements, ni suppression de primes » 

    « Il n’y aura ni licenciements, ni suppression de primes, a toutefois assuré le directeur général des services, Tai Nguyen Duc, citant un « rééquilibrage entre les services ».

    La ville du Pontet va cependant poursuivre le recrutement de policiers municipaux et passer de 11 à 17 agents afin de garantir « une sécurité optimale » avec des patrouilles de nuit à partir de fin octobre, a précisé le maire. La municipalité frontiste espère récupérer 2 millions d’euros par la vente de biens communaux, notamment un appartement F3, un local commercial dans la zone industrielle et une crèche inoccupée.

    Les contrats avec les prestataires privés seront également réétudiés, voire supprimés, et certains services aux usagers, comme la location de salle, augmenteront.

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  • http://www.wikistrike.com/2014/09/un-comble-thomas-thevenoud-avait-ete-elu-vice-president-de-la-commission-d-enquete-sur-l-affaire-cahuzac.html

     

    Un comble, Thomas Thévenoud avait été élu vice-président de la commission d'enquête sur l'affaire Cahuzac

     

    Thomas Thévenoud qui ne payait pas ses impôts avait également été élu vice-président de la commission d'enquête sur l'affaire Cahuzac

     

    Un passage au  et puis s'en va. Un peu plus d'une semaine après sa nomination dans le gouvernement Valls II, le secrétaire d'Etat au Commerce extérieur Thomas Thévenoud a démissionné brutalement de ses fonctions et est remplacé par Matthias Fekl.Il devrait également renoncer à son mandat parlementaire de député de Saône-et-Loire.


    Sur proposition du Premier ministre, le  a mis fin jeudi aux fonctions du secrétaire d'État «à sa demande» et «pour des raisons personnelles», et annoncé son remplacement par le député PS Matthias Fekl. C'est le sixième changement à ce poste en deux ans.

    Cette démission surprise serait motivée par une découverte gênante faite après sa nomination. «Dans le cadre des nouvelles normes mises en place par le gouvernement dans le cadre de la transparence de la vie politique, il s'est avéré qu'il y avait un problème de déclaration d'impôt», selon une source gouvernementale, en précisant qu'il ne s'agissait «en aucun cas d'une démission pour un motif de désaccord politique».

    Thomas Thévenoud est en effet considéré comme un proche de l'ancien ministre de l'Economie Arnaud Montebourg, qui vient de quitter le gouvernement. 

    Thévenoud admet des retards de déclaration et paiement au fisc

    De son côté, Matignon a précisé que cette démission surprise était due à «une situation découverte après sa nomination», il y a neuf jours. Les services du Premier ministre ont refusé d'en dire davantage, indiquant que Thomas Thévenoud aurait «l'occasion de préciser les motifs de sa démission». Selon Médiapart, Thomas Thévenoud ne déclarait pas ses impôts depuis plusieurs années. L'administration fiscale aurait lancé une procédure « d'imposition d'office », théoriquement à la suite de relances et mises en demeure, pour prélever à la source une part des revenus de l'élu. De son côté, le principal intéressé  admet «des retards de déclaration et de paiement» au fisc désormais «intégralement régularisés,avec l'ensemble des pénalités qui s'y référent».

    «Je n'ai jamais fait l'objet d'aucune poursuite judiciaire ou fiscale, précise Thomas Thévenoud. Mon patrimoine ainsi que l'ensemble de mes comptes sont connus par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique qui n'a d'ailleurs soulevé aucune remarque particulière à cet égard». L'éphémère ministre souhaite «pleine réussite» au gouvernement et transmet «tous (ses) voeux de succès» à son successeur Matthias Fekl.

    Première à réagir sur BFM-TV, la députée UMP Valérie Pécresse a jugé que cela «montre que ce gouvernement a sans doute été un peu improvisé».

    VIDEO. Olivier Faure, vice-président du groupe PS à l'Assemblée, justifie une sanction


    Le député du Lot-et-Garonne Matthias Fekl, 36 ans, «est nommé secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et du Développement international, chargé du Commerce extérieur, de la promotion du Tourisme et des Français de l'étranger», exactement les mêmes attributions que Thomas Thévenoud, 40 ans.

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  • http://sammenerve.perso.sfr.fr/index.php?2014/09/05/08/17/31-sacres-socialistes

    Sacrés socialistes!!!

    9 jours après être entré au gouvernement, il est démis de ses fonctions suite à un problème avec sa déclaration d’impôts…

    Ha ben voilà!!! Bien sur, officiellement ce n’est pas un « Cahuzac bis », mais si le gouvernement n’a pas souhaité dans un premier temps expliquer les raisons de cette « poussée vers la sortie » de ce secrétaire d’état au commerce extérieur, il s’agirait d’un « souci de conformité avec les impôts », et avec sa déclaration de revenus. Mais une place (dorée) ne restant jamais libre bien longtemps, son remplaçant a déjà été nominé et il risque de bien s’entendre avec Macron soit dit en passant… C’est un « young leader » depuis 2013 de la French-American Foundation:

    La French-American Foundation – France est la principale organisation en France qui se consacre à « renforcer les liens entre la France et les États-Unis ».

    Depuis sa création en 1976, elle se consacre à encourager un dialogue actif entre les deux nations. L’objectif de cette fondation est d’œuvrer à une meilleure compréhension mutuelle entre les deux pays et à la recherche de solutions partagées. Elle organise des séminaires pour des jeunes dirigeants (Young Leaders) français et américains issus de la politique, de la finance, de la presse « à fort potentiel de leadership et appelés à jouer un rôle important dans leur pays et dans les relations franco-américaines ».

    Y aurait-il comme une petite odeur de « nouvel ordre mondial » dans tout cela… ;)

    La démission de Thomas Thévenoud est liée à «des problèmes de conformité avec les impôts», a annoncé l’Élysée. Il est remplacé à son poste par Matthias Fekl, 36 ans, député du Lot-et-Garonne.

    Le président François Hollande a mis fin aujourd’hui aux fonctions du secrétaire d’État au Commerce extérieur, Thomas Thévenoud, « à sa demande » et « pour des raisons personnelles », selon un communiqué de l’Elysée.

    Cette démission est liée à « des problèmes de conformité avec les impôts », a déclaré une source gouvernementale à l’AFP. « Dans le cadre des nouvelles normes mise en place par le gouvernement dans le cadre de la transparence de la vie politique, il s’est avéré qu’il y avait un problème de déclaration d’impôt », a-t-on ajouté, en précisant qu’il ne s’agissait « en aucun cas d’une démission pour un motif de désaccord politique ».

    Comme le précise le communiqué de l’Elysée, « Matthias Fekl est nommé secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et du Développement international, chargé du Commerce extérieur, de la promotion du Tourisme et des Français de l’étranger ».

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  • http://zebuzzeo.blogspot.fr/2014/08/france2-fait-refaire-le-20h-de-pujadas.html

    France2 fait refaire le 20h de Pujadas par des décorateurs portugais à 560 € par mois

     

     

    200 000 euros pour le décor de Pujadas qui fait bosser les portugais au SMIC européens!

    Le SMIC à 560€ , la retraite à 400€ et le RSA à 250€ on va être compétitifs ! Bravo la gauche...

     

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  • http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/pour-le-ps-etre-de-nationalite-marocaine-et-de-religion-musulmane-est-infamant_115622.html

    Christophe Cambadélis ressemble à un naufragé de première classe du Titanic qui s’accrocherait à sa vieille valise. Sa valise qui flotte encore, sa valise qui ne le quittait pas du temps de sa superbe avec, à l’intérieur, tous ses outils bien rangés, toutes ses imprécations, ses indignations, ses discours horrifiés bien huilés qui lui ont rendu tant de loyaux services. Alors que le gouvernement sombre, entraînant par le fond tout le socialisme français, et que se profile, pour le Président déjà à la baille, l’ombre d’un scénario catastrophe, Les Sans-dents de la mer, Cambadélis ne semble pas voir que sa valise prend l’eau, il fourrage à l’intérieur, il en sort « le racisme », l’agite en tous sens avec l’énergie du désespoir. Il ne lui reste plus que ça. 

    najat

    Dans un communiqué officiel, il demande que Minute soit condamné pour son titre : « Une Marocaine musulmane à l’Éducation nationale ». On peut penser ce que l’on veut du journal Minute, le juger sulfureux, provocateur, refuser habituellement de le lire, ou ne le lire que pour lever les yeux au ciel, mais la moindre des honnêtetés journalistiques commande, en l’espèce, de rester factuel : Minute serait condamnable si son titre était faux ou insultant. Cambadélis ne peut pas dire qu’il est faux, ni insultant. Sauf s’il considère qu’être de nationalité marocaine et de religion musulmane est infamant ; et dans ce cas, bien sûr, le raciste, ce serait lui.

    Ce serait donc la mise en exergue de ces deux caractéristiques du nouveau ministre de l’Éducation qui serait honteuse ? Parce que cette dernière serait la première à faire l’objet d’un tel traitement ? Parce qu’on n’a pas écrit des bouquins entiers sur les origines irlandaises et catholiques de Kennedy ? Parce qu’on n’a pas évoqué longuement dans la presse, tant en France qu’au Maroc, la charge symbolique d’une Rachida Dati, marocaine et musulmane elle aussi, accédant à la fonction de garde des Sceaux ? Et est-ce cela qui a été le plus insultant pour le ci-devant ministre de la Justice, ou le voyeurisme virulent d’une certaine presse de gauche à l’endroit de sa vie privée ?

    La gauche Titanic se noie et, se sentant couler, se débat comme un diable. Elle veut museler tout ce qui bouge. Les maires, la presse.

    Ce serait donc l’angle choisi qui serait « immonde » ? Parce qu’alors que le halal et le port du voile sont au cœur de polémiques récurrentes à l’école, il serait interdit de se demander si la religion et les origines du ministre pourraient avoir une incidence sur la gestion de ces questions ? Depuis quand sont-ce les politiques qui décident des angles d’analyse des journaux?

    Oui, le procès qui est fait à ce titre (car il n’est question, ici, que du titre) ne devrait laisser aucun journaliste indifférent. Au moment où j’écris ces lignes, j’apprends que la une de cette semaine de Valeurs actuelles sur la même Najat Vallaud-Belkacem fait déjà l’objet peu ou prou des mêmes accusations que celle de Minute. Et ensuite, à qui le tour ?

    On ne pourra bientôt plus rien écrire sur le ministre de l’Éducation. Pas même qu’elle est « une femme merveilleuse », car mettre en avant son sexe et avoir l’air de vanter ses appas sera taxé de misogynie nauséabonde.

    La vérité est que l’on ne pourra bientôt plus rien écrire du tout. La gauche Titanic se noie et, se sentant couler, se débat comme un diable. Elle veut museler tout ce qui bouge. Les maires, la presse. Peu de chances que tout cela l’empêche de boire le bouillon, mais en attendant, c’est la démocratie qui ramasse.

    Gabrielle Cluzel dans Boulevard Voltaire

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