• http://ripostelaique.com/grenoble-haine-anti-flic-se-peint-murs-laide-de-mairie.html

    Haine anti-flics : Cazeneuve n’a pas déposé plainte contre le maire de Grenoble

    Eric Piolle, le maire de Grenoble (EELV), a subventionné un festival de « street art » à hauteur de 25.000 euros, dont une fresque représentant deux policiers matraquant Mariane à terre, porteuse du drapeau tricolore lacéré.

    Fresque anti-flics sur un mur du quartier de la gare à Grenoble

    Fresque anti-flics sur un mur du quartier de la gare à Grenoble

    Suite à la légitime réaction en chaine qui s’en est suivie, Eric Piolle assume entièrement, en se posant comme le garant de la liberté d’expression, affirmant ne « pas comprendre la polémique ».

    Il est à noter que parmi les indignés officiels figurent des élus de tous bords, mais aussi le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de l’Isère, et Bernard Cazeneuve, qui a « fermement réagi » à sa manière : avec un tweet de soutien aux policiers ! Nous l’avons connu bien plus prompt à ester en justice !

    Tweet de soutien de Bernard Cazeneuve

    Tweet de soutien de Bernard Cazeneuve

    Pour désamorcer, Eric Piolle a fait savoir que le mur supportant la fresque doit être prochainement détruit (ce serait une question de jours ou de semaines), et se permet de rappeler la grande manifestation de soutien qui a suivi l’attentat de Charlie Hebdo. L’organisateur du festival, quant à lui, a précisé que « l’artiste anonyme » a nommé depuis sa fresque « L’Etat matraquant la Liberté »… La belle affaire.

    Eric Piolle, maire EELV de Grenoble

    Eric Piolle, maire EELV de Grenoble

    Ces pirouettes visant à justifier l’injustifiable sont purement et simplement inacceptables, en ce qu’elles constituent un bras d’honneur adressé à celles et ceux qui protestent, considérés comme des ignares n’ayant rien compris à la démarche de l’artiste de rue ayant perçu de l’argent public, et comme des pourfendeurs de nos libertés fondamentales.

    Il convient de recadrer vertement le maire de Grenoble. Nous savons le prix de la liberté. Notre liberté d’expression, nous la payons chaque jour au prix fort, au point que tout le monde s’accorde sur le fait qu’elle est depuis longtemps à géométrie variable dans notre pays. Là n’est pas le problème.

    Le problème, c’est lorsqu’un maire tel qu’Eric Piolle, dont il convient de préciser qu’il est vivement critiqué pour sa gestion, notamment en matière de sécurité (il a réussi en un temps record à braquer contre lui sa police municipale, qu’il a notamment refusé d’armer alors que tout avait été prévu par la municipalité sortante), se prend pour le garant de nos libertés fondamentales, ce qui en dit long sur la mégalomanie du personnage.

    Le problème, c’est lorsqu’un maire tel qu’Eric Piolle, dont il convient de rappeller que la commune est particulièrement criminogène, se prend une volée de protestations officielles et qu’il refuse d’en tenir compte, faisant mine de ne pas comprendre l’immense outrage dont il s’est rendu responsable avec l’argent de ses administrés.

    Le problème, c’est lorsqu’un maire tel qu’Eric Piolle, sous couvert de protester contre une « polémique » dont il est lui-même responsable, se fait de la publicité sur le sang versé par les centaines de policiers blessés depuis le début des manifestations sur la Loi Travail (des dizaines par semaine actuellement), et dans un contexte – faut-il le rappeler – où deux d’entre eux ont récemment payé de leur vie d’être ce qu’ils étaient : des serviteurs de l’Etat au service de la population.

    Le problème, c’est lorsqu’un maire tel qu’Eric Piolle refuse de retirer la fresque qui incite clairement à la haine anti-flics, et bien entendu d’exprimer ses excuses face à la vague de protestations la concernant, en arguant de poncifs fallacieux. Il aurait répondu « je vous emmerde » que les choses eut été moins blessantes.

    Le problème enfin, c’est que des gens puissent voter pour des tocards tels qu’Eric Piolle (je fais usage de ma « liberté d’expression »), sans comprendre qu’en confiant la gestion de leur ville à ce genre de personnage ils vont droit dans le mur, qu’il soit ou non couverts d’une fresque honteuse.

    A Grenoble,  ce n’est pas tant le « mur de la honte » qui doit être démoli que la politique du « maire de la honte »…

    Sébastien JALLAMION

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  • http://www.prechi-precha.fr/mitterrand-limmigration-a-ete-utilisee-par-les-entreprises-pour-peser-a-la-baisse-sur-les-salaires-des-francais/

    Mitterrand: « L’immigration a été utilisée par les entreprises pour peser à la baisse sur les salaires des français »

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  • Naja haje

    http://www.polemia.com/najat-vallaud-belcacem-agente-de-larabisation-et-de-la-defrancisation/

    Najat Vallaud–Belcacem : agente de l’arabisation et de la défrancisation

    ♦ La ministre de l’Éducation nationale travaille cyniquement – et logiquement– à la démolition de l’identité ethno-culturelle française. Elle programme l’enseignement de l’arabe dès le début de l’école primaire ! Sans vergogne, on va toujours plus loin.

    En même temps, toute sa politique vise à saper, à dégrader l’enseignement des fondamentaux de l’identité française, linguistiques et historiques, sur ordre de ses maîtres étrangers et avec l’accord de ses patrons français collaborateurs ou idiots utiles.


    NVB prise la main dans le sac

     Ce n’est pas innocent. C’est une subversion qui ne relève pas seulement de l’idéologie de gauche (Mme Belkacem n’est ni de gauche ni féministe sincère mais d’abord militante arabo–musulmane dissimulée) mais qui, utilisant les idiots utiles de l’islamo-gauchisme (1) et de la gauche bobo angélique, entreprend le volet « école et éducation » de la stratégie de destruction de l’européanité de la France et de colonisation ethnique. Valls laisse faire, à moitié complice ; quant à Hollande, il s’en moque parfaitement, complètement absorbé par ses petites cuisines politiciennes pour se faire réélire. Le destin de la France n’est pas son sujet.

    Annie Genevard, députée du Doubs et déléguée à l’Education des Républicains est montée au créneau contre ce projet (2). Elle écrit : « Cette question intéresse et concerne les Français quoi qu’en dise la ministre, qui a accueilli avec une rage blême, dont la violence interroge, la question que j’ai adressée il y a quelques jours au gouvernement. Elle qui reçoit habituellement toutes nos questions avec un sourire permanent a perdu son sang-froid et tombé le masque, ce qui démontre tout à la fois à quel point l’hémicycle peut être révélateur et le caractère très sensible du sujet pour la ministre. » Si NVB a perdu son sang-froid, c’est parce qu’elle été prise la main dans le sac de sa principale mission : arabiser et islamiser la France.

    Avec un culot bétonné, NVB a qualifié de « profondément xénophobes » et de « réaction identitaire » l’opposition de la députée LR Annie Genevard, qui commente (rapporté par Valeurs actuelles) : « pour la ministre, promouvoir la langue de son pays, c’est faire preuve d’étroitesse nationaliste. C’est très grave de la part du ministre de l’Éducation nationale ». Oui, sauf que NVB n’est pas là pour servir la France mais pour la desservir.

    NVB, actrice du djihad, volet « guerre culturelle »

    NVD, la destructrice

    NVD, la destructrice

    Mme Belkacem a pris acte d’un fait démographique provoqué par l’immigration massive et incontrôlée (naissances intérieures avec taux de natalité supérieur et flux invasifs venus de l’extérieur) : le français n’est plus la seule langue de la France. Elle veut donc encourager ce mouvement, accélérer ce processus d’invasion, de remplacement de population et de culture. Tout se tient. L’arabisation linguistique de la France est liée à son islamisation. Mme Belkacem est parfaitement dans son rôle de cheval de Troie. À la tête de l’Éducation nationale, infiltrée, elle remplit correctement sa mission de noyautage.

    Se plaindre, comme Annie Genevard de ce que cette mesure va encore renforcer le communautarisme, affaiblir l’intégration et l’assimilation, défranciser un peu plus les enfants et élèves d’origine arabe, comme si Mme Vallaud-Belkacem commettait une bourde stupide par idéologie, c’est mal comprendre ce qui se passe. Mme Belkacem sait parfaitement que cette mesure, comme toutes les autres qu’elle prend, va communautariser et défranciser l’école dès le primaire ! C’est calculé, c’est voulu, c’est la feuille de route. Et c’est fait avec la complicité bienveillante d’intellectuels, de syndicats de l’Éducation nationale proches de l’islamo–gauchisme.

    À qui obéit Mme Belkacem ? Évidemment pas au premier ministre, ce matamore capitulard et impuissant, qui la laisse faire ce qu’elle veut… Recevrait-elle ses instructions d’autorités arabo-musulmanes, y compris de pays étrangers ? Elle a bien dit : « Nous ferons appel à des professeurs étrangers » pour enseigner l’arabe aux enfants. Ils viendront en force du Maghreb et de Turquie. Et avec l’arabe (et le turc), ils enseigneront évidemment autre chose. Pour beaucoup d’entre eux, ils islamiseront et diffuseront une idéologie de refus de notre civilisation. La « réussite scolaire » n’est pas l’objectif de Mme Belkacem ; disons les choses clairement : elle est une actrice du djihad, dans son volet de guerre culturelle contre l’identité française et européenne. Contrairement à ce croit Mme Genevard, elle est parfaitement cohérente.

    Arabiser, islamiser, défranciser et baisser le niveau

    Ces dispositions sur la langue arabe sont parfaitement corrélées à la politique suivie par M. Peillon (islamo–collabo) puis accentuée par Mme Belkacem pour supprimer les classes d’excellence bilangues (en particulier en allemand, cette langue que Mme Belkacem a avoué ne pas aimer), réduire et dégrader l’apprentissage du français, démolir l’enseignement du latin et du grec, désarticuler celui de l’histoire de France – cette dernière étant moralement dévalorisée alors que l’histoire arabo-musulmane – comme africaine – est enjolivée à outrance. Tout se tient : arabiser et islamiser l’enseignement primaire et secondaire va de pair avec et suppose aussi d’éradiquer ses racines françaises et européennes.

    Dans le catéchisme idéologique de Terra Nova, le think tank qui inspire le PS, on prône la fin de l’intégration et de l’assimilation ; place à l’ « insertion »– ce ne sont plus aux immigrés de s’adapter au pays d’accueil mais à ce dernier de s’adapter aux nouveaux venus et à transformer ses mœurs en conséquence. De sorte que même les petits Français de souche seront encouragés (voire obligés dans certaines écoles à forte proportion immigrée) à apprendre l’arabe et à s’islamiser en douceur. Et bien sûr, ce qui est lié, ils sont incités à mépriser, à abandonner leurs racines françaises et européennes. Cette logique de l’ethnocide se met en place. Mme Belkacem, inscrit son action dans ce mouvement de destruction de la transmission culturelle française –volontaire– par l’Éducation nationale. Le nihilisme gauchiste suicidaire rejoint l’islamisme conquérant dissimulé. Mme Belkacem est au centre du jeu.

    Le double discours, la ruse (taqiya) de NVB

    Ruse : Sous prétexte de lutter contre la « radicalisation » de certaines écoles musulmanes de l’enseignement libre, Mme Belkacem veut limiter les autorisations des établissements privés non contractuels. En réalité, sont dans le collimateur les écoles et collèges chrétiens, juifs ou non confessionnels de qualité (existants ou en projet d’ouverture) qui concurrencent un enseignement public en plein effondrement selon tous les classements internationaux.

    Autre ruse, sous forme d’une lourde contradiction :  Mme Belkacem qui promeut l’arabisation– et donc, par répercussion, l’islamisation– a introduit à l’école l’enseignement de la théorie du genre (confusion des sexes), qui se veut anti–sexiste, féministe, pro–homosexuels, amie des lobbies LGBT. Or l’islam et les coreligionnaires arabo-musulmans de la ministre détestent cette idéologie, puisqu’ils sont sexistes, homophobes et gynophobes. Les militants musulmans (attentat d’Orlando) vont jusqu’à massacrer les homos, ce qui est conforme au Coran.

    La contradiction est résolue si l’on admet que Mme Belkacem tient un double discours de dissimulation : la théorie du genre est une torpille, destinée aux petits Français de souche, de manière à les déstabiliser et à affaiblir leurs repères. Mme Belkacem ne croit pas un mot des vulgates homosexuelles et féministes ou des âneries de la gender theory. En revanche, elle veut que les enfants et élèves issus de l’immigration arabo-musulmane échappent à cette propagande émasculante : les cours d’arabe (ou de turc) et d’idéologie islamisatrice qui iront avec, dispensés par des étrangers non contrôlés, sont là pour ça.

    Le sultan turc Erdogan raisonne d’ailleurs de la même manière. Non seulement, a-t-il péroré avec impudence, les Turcs ont le droit de s’installer en Allemagne, mais il scandaleux que les Allemands cherchent à les intégrer, les assimiler, les germaniser. C’est ce droit à l’invasion, à la non–assimilation que défend aussi – plus subtilement – Mme Belkacem. Mais elle va encore plus loin puisqu’elle s’en prend à la formation des enfants autochtones, en dégradant la transmission culturelle française.

    Au moins, les choses deviennent claires

    Le dogmatisme idéologique –gauchiste– de NVB n’est qu’un faux nez. Afin de masquer sa véritable double mission : islamiser/arabiser et défranciser l’école, dès le primaire, à l’âge où les individus se construisent. Le désastre du système scolaire public français, fabrique d’illettrés, relevé par tous les classements internationaux, n’est pas le problème de la ministre.

    Dans un premier temps, l’enseignement de l’arabe aux jeunes enfants concernerait 60.000 individus, en grande majorité d’origine immigrée, mais pas forcément. Alors que beaucoup d’entre eux maîtrisent déjà très mal le français, cette mesure est cyniquement destinée par NVB à « communautariser » encore plus les jeunes d’origine arabo-musulmane et à commencer d’imposer l’arabe au détriment du français dans les zones à forte proportion maghrébine et africaine.

    Mais, ce que ne comprend pas, comme tant d’autres, Mme Genevard qui veut lutter contre le « communautarisme » et franciser les immigrés, c’est que c’est trop tard. Ils sont trop nombreux et de plus en plus nombreux. Et non seulement ils ne veulent pas s’intégrer ni s’assimiler, mais ils s’imprègnent d’un discours anti-français à la fois victimaire (« nous sommes stigmatisés ») et conquérant (3). Le prochain article de ce blog développera ce thème.

    Cela dit, il y a un côté positif dans tout cela, dans la politique dissimulée d’arabisation et d’islamisation de Mme Belkacem, selon une dialectique qu’Hegel ou Marx n’auraient pas reniée. En effet, la communautarisation croissante des populations issues de l’immigration extra-européenne, leur refus de s’intégrer, de s’assimiler, de se franciser, leur islamisation agressive en pleine progression surtout chez les jeunes, la métamorphose de vastes zones urbaines, le racisme et les violences anti-Blancs, voilà qui clarifie les choses. Parce que cela contribue à la désignation de l’ennemi, qui s’identifie lui-même. C’est paradoxalement bénéfique car cela peut ouvrir les yeux des Français et des Européens et leur faire comprendre qu’une guerre ethnique, dont le terrorisme islamique n’est qu’un aspect parmi d’autres, est en gestation ou plutôt a déjà commencée et qu’ils sont les agressés.

    Guillaume Faye
    20/06/2016

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  • http://www.ndf.fr/poing-de-vue/28-06-2016/alain-juppe-on-peut-craindre-un-frexit-donc-je-suis-hostile-a-un-referendum/

    Alain Juppé : “On peut craindre un Frexit” donc “je suis hostile à un référendum”

    Il ne souhaite pas que le peuple donne son avis et celui-ci pourrait bien l’élire malgré tout. Alain Juppé, le candidat à la primaire de la droite, était l’invité de Ruth Elkrief lundi sur BFMTV. Le maire Les Républicains de Bordeaux a réagi au Brexit voté par les Britanniques. “On peut craindre un Frexit, c’est la raison pour laquelle je suis hostile à un référendum dans les six mois qui viennent. Un référendum est fait pour proposer une solution”, a-t-il ajouté :

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  • http://www.boursorama.com/actualites/electricite-la-facture-retroactive-plus-salee-qu-annonce-0a98e68e7c562066773713be512b565f

    Electricité: la facture rétroactive plus salée qu'annoncé

    La facture rétroactive qui sera envoyée par EDF aux 28 millions de ménages soumis à ses taris réglementés de l'électricité devrait être près de deux fois supérieure à celle annoncée par la ministre de l'Energie Ségolène Royal, a estimé mardi une source industrielle.

    Ce rattrapage tarifaire découle d'une décision du Conseil d'Etat d'annuler à la mi-juin des arrêtés gouvernementaux qui avaient prévu une hausse jugée insuffisante de ces tarifs pour la période allant du 1er août 2014 au 31 juillet 2015, au motif de préserver le pouvoir d'achat.

    Ségolène Royal avait alors assuré que la facture s'élèverait à environ "un euro et demi par mois sur 18 mois", soit 750 millions d'euros en tout pour les clients particuliers toujours assujettis aux tarifs "bleus" d'EDF.

    Mais selon une source industrielle, qui s'exprimait sous couvert d'anonymat dans le cadre du salon du nucléaire (WNE) au Bourget, près de Paris, cette estimation est minorée. "On est plus proche de 3 euros. Ca ne sera pas 1,5 euro pendant 18 mois", a-t-elle estimé.

    La Commission de régulation de l'énergie (CRE), gendarme français du secteur, a pour sa part estimé que le rattrapage tarifaire devrait dépasser le milliard d'euros au total.

    C'est désormais la CRE qui fixe l'évolution une fois par an des tarifs réglementés de l'électricité, en prenant en compte notamment l'évolution des prix du courant sur le marché de gros: ceux-ci ayant diminué depuis plusieurs mois, elle a proposé une baisse de 0,5%, qui fera l'objet d'une délibération en son sein le 13 juillet. Il s'agirait du premier repli des tarifs depuis 2003, a souligné le régulateur.

    La fourniture d'électricité aux particuliers n'est plus un monopole d'EDF depuis juillet 2007. Début juin, 3,85 millions de clients, soit 12%, avaient opté pour une offre de marché, proposée à la fois par EDF et des fournisseurs concurrents.

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  • http://lesbrindherbes.org/2016/06/27/lettre-ouverte-president-hollande-dun-volontaire-francais-donbass/

    Lettre ouverte au Président Hollande d’un volontaire français au Donbass

    Voici bien un texte que les chiens de garde du pouvoir devraient apprendre par cœur ! Je vous conseille vivement de le lire car il déconstruit point par point toute la propagande OTANO – EUROPÉENNE que l’on nous a servie  et martelée jusqu’à plus soif.

    Nous ne parlons plus guère de ce qui se passe au Donbass, et pourtant, il suffit de se rendre sur les sites comme Novorossia, ou celui de cet article pour se rendre compte que l’enfer y est plus que jamais présent pour les civils bombardés sans pitié par Kiev. Bien sûr, aucun relai dans nos mé(r)dias

    L’accueil de Porochenko en chef d’état est pour eux une pilule amère, mais le discours de François Hollande et son chapelet de contre-vérités les a plus profondément blessés encore.

    Voici ce qu’écrit à François Hollande un Français volontaire en Novorussia . Partagez. Merci pour eux.

    Au moment ou nous descendons dans la rue pour lutter contre une loi anti-citoyenne nous devons nous montrer solidaires aussi de ce combat là.

    Galadriel

    Monsieur le Président

    Je tiens à préciser en préambule, Monsieur Hollande que je ne vous apprécie pas, cependant je respecte la fonction présidentielle que les français vous ont confié par défaut en 2012 et que vous prétendez exercer. Aussi c’est au Chef de l’État français que j’adresse ici mon indignation suite à votre déclaration conjointe avec le Président ukrainien Porochenko prononcée le 21 juin 2016 à Paris. En effet, lors de cette brève intervention, Monsieur Hollande vous avez fait montre, au sujet de la crise ukrainienne, d’une partialité haineuse et mensongère vis à vis de la Fédération de Russie et qui dépasse de beaucoup le style obséquieux que vous avez adopté envers votre invité ukrainien.

    Abusant de votre fonction présidentielle vous avez menti et tenté de manipuler honteusement l’opinion publique, et je ne relèverai ici que 2 exemples parmi d’autres qui immédiatement, illustrent votre comportement.

    En effet, dès les premières minutes de votre intervention vous affirmez, je vous cite :

    A PROPOS DES OTAGES Vous prétendez « … la libération d’un certain nombre de personnes qui étaient RETENUES EN OTAGE » (1’14 ») Oserai-je Monsieur le Président de la République française vous rappelez ici la définition du mot otage ? :« Personne dont on s’empare et qu’on utilise comme moyen de pression contre quelqu’un, un État, pour l’amener à céder à des exigences » Or les personnes détenues par les Républiques séparatistes de Donetsk et Lugansk ne sont pas des otages mais des soldats des forces armées ukrainiennes fait prisonniers lors des assauts menés contre le Donbass depuis le printemps 2014. Ils sont libérés dans le cadre d’échange de prisonniers avec Kiev, en application des articles 109 à 117 de la Convention de Genève de 1949, progrès effectivement imputable au « Format Normandie » auquel vous participez et point n° 6 des accords de Minsk.
    Echange de prisonniers le 8 septembre 2015 sur le front du Donbass, à proximité de Donetsk
    Mais, je ne suis pas naïf Monsieur Hollande car l’emploi du mot « otage » venant de votre part n’est pas une erreur sémantique mais bien un usage intentionnel destiné à influencer l’opinion publique qui associe légitimement ce vocabulaire connoté au banditisme et au terrorisme. A ce propos il faut rappeler que, si le 13 mai 2014, le Parquet général d’Ukraine a effectivement déclaré « organisations terroristes » les Républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk, en revanche, ni l’ONU ni même l’OTAN, par la voix de son secrétaire général Jens Stoltenberg le 30 janvier 2015, ont accepté cette qualification pour les séparatistes. A PROPOS DE L’INVASION RUSSE EN CRIMÉE

    Un peu plus loin dans votre déclaration officielle, vous affirmez à propos des représailles économiques contre la Russie :

    « Ces sanctions elles ont été prononcées après que la Crimée ait été envahie et qu’il y ait eu ce manquement au droit international… »  (2’37 »)

    Là encore Monsieur le Président de la République concernant ce référendum de Crimée du 16 mars 2014  je me permettrai de vous rappeler la réalité que la propagande négationniste de Kiev que vous répétez imprudemment, omet volontairement de considérer :

    Tout d’abord, il n’y a pas eu « invasion russe » pour la simple et bonne raison que les 24 000 soldats et marins russes présents au moment des événements étaient déjà en garnison dans cette péninsule, qui est historiquement russe comme le prouve la flotte de la Mer Noire à laquelle ils appartiennent, et qui est depuis sa création en 1783 basée dans le port de Sébastopol.
    Concernant ce point particulier il ne peut donc y avoir comme vous le prétendez de « manquement au droit international », car le maintien de cette présence militaire russe en Crimée a été autorisée par un accord international entre Kiev et Moscou signé le 28 mai 1997 (en échange entre autre de tarifs gaziers préférentiels)

    Quant à la prétendue « invasion russe » dans le Donbass, non seulement aucune preuve n’a été encore présentée par les états majors militaires de l’OTAN, mais leurs représentants reconnaissent même que c’est un fantasme, y compris votre propre Directeur du renseignement militaire, le général Christophe Gomart, au cours de la Commission de la Défense à l’Assemblée Nationale, le mercredi 25 mars 2015.

    Manifestation populaire célébrant le rattachement de la Crimée à la Russie accepté par la Douma

    Abordons maintenant ce référendum d’autodétermination qui n’est pas reconnu par la « communauté internationale » autoproclamée, surtout parce que son résultat ne lui est pas favorable.

    En liminaire de ce sujet, il est bon de relever 2 points importants :

    – Primo, la Crimée qui n’a été rattachée à l’Ukraine qu’en 1954 sur décision du Président Kroutchev, a toujours exprimé sa volonté de se détacher des décisions prises à Kiev. Ainsi le 20 janvier 1991, lors d’un premier référendum, 94,30 % de votants se prononçaient pour le rétablissement d’une « République socialiste autonome de Crimée ». Plus tard le 27 mars 1994, lors d’un second référendum, ce sont 78.40 % qui réclament un élargissement de l’autonomie de la péninsule.

    – Secundo, ce référendum du 16 mars 2014 sur le statut de la Crimée a été observé par 70 observateurs étrangers issus de 23 pays différents, et qui l’ont jugé conforme au droit international et à la Charte des Nations unies. Donc, les 96,77% de votants (sur 86% de participation) se prononçant pour un retour en Russie de leur région n’ont fait que confirmer la volonté exprimée par ce peuple russe depuis plus de 20 ans.

    Mais les occidentaux ont aussitôt dénoncé la légalité de ce référendum, arguant notamment du fait qu’il n’avait pas été organisé sur l’ensemble du territoire ukrainien tel que le précise l’article 73 de la Constitution ukrainienne qui interdit les référendums locaux.  Cette condamnation arbitraire a provoqué la mise en oeuvre de représailles économiques contre la Fédération de Russie, que vous appelé.

    Certes, mais peut-on raisonnablement piétiner et brûler une constitution un jour sur le Maïdan et le lendemain faire référence à elle pour contester un référendum populaire ? Car de fait le coup d’état du Maidan a provoqué une rupture constitutionnelle à Kiev alors que la Crimée autonome a toujours sa constitution régionale du 12 janvier 1999 .

    J’ose vous rappeler que l’article 1 (point 2) et 55 de la charte des Nations Unis du 26 juin 1945 reconnait et protège « Le droit des peuples à disposer d’eux mêmes » 

    Or l’expression de ce droit par référendum populaire local, Monsieur le Président ne semblait pas déranger la France par exemple 17 février 2008 au Kosovo, pourtant province méridionale d’un état souverain de l’ONU, la Serbie et qui n’a pas non plus été consulté dans son ensemble. Dans une démarche inversée, mais avec le même esprit, lors de la consultation organisée dans les Grandes Comorres françaises le 22 décembre 1974, alors que la majorité de la population réclame l’indépendance, Paris décide de valider la volonté contraire des habitants de Mayotte et de maintenir cette île au sein de la République…

    Donc, Monsieur le Président de la République, votre condamnation du référendum de Crimée, fallacieux prétexte aux « sanctions anti-russes, n’est de fait que la pratique d’un « 2 poids, 2 mesures » qui révèle la partialité malhonnête de la politique occidentale actuelle et qui surtout, insulte les peuples et les valeurs démocratiques que vous prétendez pourtant défendre.

    Au printemps 2014, après avoir organisé le massacre d’Odessa, Kiev lance son armée dans une « opération spéciale antiterroriste » hallucinante et disproportionnée contre les populations des régions russophones qui réclament une fédéralisation de l’Ukraine.  Les bombardements et les assauts contre la population civile provoquent un mouvement séparatiste légitime à Donetsk et Lugansk et une rébellion armée. Cette guerre que mène Piotr Porochenko a depuis plus de 2 ans fait plus de 10 000 morts, des dizaines de milliers de blessés, plus d’1 million de réfugiés et des destructions catastrophiques..

    Pour en finir Monsieur Hollande, que vous accueilliez par obligation diplomatique, parce qu’il est Président de l’Ukraine, le criminel de guerre Porochenko dont l’armée bombarde chaque jour la population civile du Donbass, est un fait, qui même difficile à accepter, ne peux vous être reprocher.

    Mais que vous vous soumettiez ainsi, et de manière caricaturale, à la doxa d’une propagande de guerre haineuse et mensongère visant à stigmatiser la Russie et l’accuser des crimes commis par Kiev contre la population du Donbass, est tout simplement inadmissible et indigne de la fonction que vous exercez.

    De plus Monsieur Hollande, par vos propos partiaux, irresponsables et bellicistes, vous trahissez gravement la mission de médiateur qui vous a été confiée dans les négociations des accords de Minsk et de « ce format Normandie qui a été le cadre qui a permis la reprise des dialogues » comme vous avez encore l’outrecuidance de prétendre (00’40 ») Comment en effet prétendre œuvrer pour la résolution pacifique d’un conflit quand en se faisant le porte parole propagandiste d’un des belligérants, vous jetez de l’huile sur le feu ?

    J’avais espéré de votre part qu’à la fin de votre mandat présidentiel pitoyable, à défaut d’un sursaut politique miraculeux, vous fassiez preuve au moins d’un acte de courage international qui aurait rendu à vos fonction et personne un peu de cet humanisme qui est tant sacrifié au nom d’intérêts financiers et amoraux…

    Au lieu de cela Monsieur Hollande, vous pérorez aux côtés d’un criminel que vous flattez d’un discours honteux de collabo dont le seul avantage, sachez-le, est qu’il vous assure (peut-être !) une voie de garage ukrainienne dès 2017, à l’image du mafieux Saakachvilli, l’ex-président géorgien.

    Pendant que vous vous exerciez Monsieur Hollande, à votre lamentable diatribe russophobe, des femmes et des enfants du Donbass pleuraient sous des bombardements ordonnés par votre cynique voisin de tribune…

    Voilà pourquoi Monsieur le Président de la République française, je vous prie d’accepter en conclusion, l’expression des sentiments les plus bas que votre comportement m’inspire…

    Erwan Castel, volontaire français en Novorossiya

     

     

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  • Discours de Sébastien Jallamion à la manifestation en hommage aux policiers tués à Magnanville

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  • http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/06/brexit-larnaque-continue.html

    Brexit : l'arnaque continue

     

    Vous n'êtes pas citoyen britannique et vous voulez prendre part "euro-démocratiquement" à la vie du Royaume-Uni en signant une pétition qui engage leur souveraineté nationale? UE, tout est possible : 

     

    Comme je viens de le faire, la fameuse pétition pour un 2ème vote peut être signée par tous. Aucune valeur.

     

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