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  • http://www.bvoltaire.fr/paulbernard/la-victoire-dun-peuple,264476

    La victoire d’un peuple

     

    Lorsqu’un peuple reconquiert sa souveraineté, sa capacité de décider son destin, c’est toujours un moment d’émotion démocratique.

    Lorsqu’un peuple reconquiert sa souveraineté, sa capacité de choisir et de décider son destin, c’est toujours un moment d’émotion démocratique.

    Effectivement, le choix a été très clair. L’intérêt national l’a emporté à près de 52 %, contre une Union européenne apatride et bureaucratique, contre les partis politiques divisés en eux-mêmes et incapables de dépasser leurs divisions, contre les malhonnêtes pressions politiques et médiatiques, contre l’illusion persistante du fédéralisme.

    Le dossier de la campagne a été fortement et lucidement argumenté. Au-delà des aspects économiques, c’est le rejet d’une immigration massive, laxiste, encouragée par une Union européenne incapable de gérer le phénomène migratoire qui a constitué l’enjeu majeur du référendum et l’option de la sauvegarde de l’identité nationale.

    La dignité et le courage du Premier ministre David Cameron, qui quitte son poste sans état d’âme, une fois sa mission accomplie, sont à l’image de la noblesse du peuple britannique. Une telle attitude doit être soulignée car elle contraste grossièrement avec la lâcheté plaintive de nos gouvernements, incapables de faire des choix et d’abandonner leur place en cas d’échec.

    Et, maintenant, une nouvelle voie s’ouvre aux peuples européens, puisque le référendum britannique a démontré la priorité de l’État-nation au service du peuple. La responsabilité des gouvernements demeure très lourde.

    Il est regrettable que la France, enfermée dans ses multiples impasses et contradictions, soit pour le moment dans l’impossibilité de peser sur les orientations stratégiques à prendre. Le seul avantage provisoire pour le gouvernement serait peut-être de faire oublier quelque temps l’imbroglio lamentable de la réforme de la loi Travail. Certes, les Français ne peuvent pas compter sur Pierre Moscovici, commissaire européen donneur de leçons, ni sur leur ministre de l’Europe, Harlem Désir, qui a joué jusqu’à présent le rôle du muet du sérail, car il fallait bien lui trouver une place tranquille à la sortie du Parti socialiste.

    La France va devoir attendre de reprendre ses forces, sa volonté, et sa fidélité au peuple, perdue de vue depuis la trahison du référendum de 2005. Il appartiendra à un gouvernement renouvelé de retrouver la voie et la voix des pionniers fondateurs européens des années 1950.

    Les pistes de travail apparaissent clairement à tous les citoyens épris de loyauté : l’État-nation au service et à l’écoute de son peuple ; la maîtrise de l’identité nationale, des moyens d’exprimer la volonté et les choix dans les domaines fondamentaux (finances publiques, réforme, emploi, immigration) ; proposer une nouvelle Union européenne appliquant le principe réaliste de subsidiarité et s’appuyant sur les États et les Parlements nationaux pour engager des politiques concrètes de coopération.

    Désormais les yeux paraissent s’ouvrir subitement et les langues se dénouer, tandis que les médias découvrent enfin qu’ils ont contribué, depuis 2000, aux gouvernements qui ont trahi l’intérêt national au profit d’un pouvoir irresponsable à Bruxelles. Ils ont laissé, ainsi, se développer le divorce entre les institutions et les peuples, au profit d’une bureaucratie anonyme, sans légitimité démocratique.

    Il est temps de ne plus parler de populisme mais plus simplement de patriotisme. La presse doit désormais cultiver la modestie pour laisser la parole aux citoyens.

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  • http://www.causeur.fr/donald-trump-hillary-clinton-andrew-jackson-etats-unis-38844.html

    Trump, le pari jacksonien

    Avant Donald Trump, il y eut au XIXe siècle Andrew Jackson

    (Photos : SIPA.AP21907982_000025/AP21907845_000001/00228081_000011)

    Alors qu’Hillary Clinton vient d’être investie candidate du parti démocrate, force est de constater que nos chers médias mainstream se sont encore une fois fourvoyés dans leurs pronostics : Donald Trump sera bel et bien son adversaire dans la course à la Maison Blanche.

    Véritable objet politique non identifié qui n’a pas fini de nous surprendre, il s’inscrit néanmoins dans une vieille tradition populiste qui remonte à Andrew Jackson. Candidat aussi anticonformiste qu’anti-establishment, Jackson fut élu président en 1829 en surfant sur le rejet de l’élite WASP du Nord-Est des Etats Unis, celle des pères fondateurs qui rédigèrent la déclaration d’indépendance. Une aristocratie nantie aux yeux des citadins et des petits fermiers de l’Ouest désireux de changement, bientôt rejoints par les nouveaux arrivants européens en quête de l’eldorado économique.

    On retrouve la même dénonciation du système en 2016 chez les sympathisants trumpistes. Le pouvoir d’achat en berne depuis trente ans et les effets dévastateurs de la crise financière de 2008 pour les ménages les plus modestes ayant achevé de les jeter dans les bras du « Make America great again » de Trump qui aime à se présenter comme un chef d’entreprise compétent, pragmatique, pourfendeur de la nomenklatura bien-pensante responsable du déclin américain. Celle qui n’a de cesse de dénoncer ses sorties éhontées sur le péril migratoire.

    Un discours nationaliste qui entre en résonance avec les positions tranchées d’Andrew Jackson qui, s’il fut le candidat du peuple (surnommé « friend of the common people »), a aussi été le représentant d’un patriotisme US fleurant bon la xénophobie. Colonel héroïque lors de la bataille de la Nouvelle-Orléans en 1815, il tint tête à l’assaillant britannique et conserva la Louisiane sous pavillon américain. Une gloire militaire ternie ensuite lors de ses deux mandats par le tristement célèbre Sentier des larmes, du nom de la déportation de 16 000 Indiens cherokee vers l’Oklahoma, où périrent plus de 4 000 âmes.

    Du sang et des larmes que Trump promet à sa manière aux Mexicains et aux musulmans quand il propose de les priver d’accès au territoire américain s’il était élu. Une stratégie du bouc émissaire qui se conjugue, comme chez Andrew Jackson, avec un isolationnisme de raison : « America’s first ! » Priorité donnée aux affaires intérieures comme à l’époque de la conquête de l’Ouest qui importait plus que les affaires internationales. Aujourd’hui, il s’agit pour Trump de mettre fin aux errements interventionnistes des présidences Bush et Obama en zone irako-afghane, de sortir de l’OTAN jugée trop coûteuse à l’instar de la présence américaine en mer de Chine et de rebattre les cartes du Traité transpacifique afin de lutter contre ses effets de désindustrialisation dans certains Etats, naturellement acquis à la cause de Donald Trump.

    Ce dernier représente une forme de bonapartisme qui puise sa force dans le retour du refoulé yankee, le retour des peurs et fantasmes d’une Amérique silencieuse qui a trouvé un porte-voix. En l’élisant, l’Amérique profonde ferait un pari pascalien auxquels les mythes fondateurs du pays, qu’en son temps la révolution  dite « jacksonienne » su revivifier, ne seraient pas étrangers. Récits séculaires dont la dimension sacrée forge l’inconscient collectif américain et son rapport au pouvoir politique. De plus en plus désenchantés, les Américains veulent donc de nouveau rêver, matérialiser l’« american dream », pierre angulaire du grand dessein US. Comme Jackson en son temps, Donald Trump l’a bien compris. Au contraire d’Hillary Clinton dont le manque d’authenticité et d’entrain n’ont d’égal que l’absence de surmoi de son outsider.

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  • http://www.contrepoints.org/2016/06/25/258019-20-entrepreneurs-gagnent-1-000-euros-mois

    20% des entrepreneurs gagnent 1.000 euros par mois

    Il est temps de dégonfler les fantasmes sur les rémunérations des entrepreneurs, cette catégorie sociale mal-aimée et déclinante en France.

    20% des entrepreneurs gagnent 1.000 euros par mois

    20% des entrepreneurs gagnent 1.000 euros par mois Euro By: slgckgcCC BY 2.0

    L’INSEE a publié hier une intéressante (quoique fragmentaire) étude sur la rémunération des entrepreneurs en 2012 et 2013. Celle-ci permet de remettre à plat le niveau réel de rémunération de cette catégorie mal aimée de la population active qui ne représente plus, rappelons-le, que 2 millions de personnes (hors auto-entrepreneurs) contre 4,5 millions en 1970. Ce « sociocide » des entrepreneurs a quelques explications quand on examine le revenu des impétrants.

    20% des entrepreneurs gagnent 1.000 euros par mois

    Je produis d’abord cet intéressant tableau qui fait le point sur le sujet :

    20% des entrepreneurs gagnent 1.000 euros par mois

    Source Insee

    Première remarque sur ces statistiques : elles incluent les professions de santé, qui font évoluer les moyennes et les médianes vers le haut. Vérification faite, conformément à son insupportable habitude, l’INSEE restreint l’accès à ses données brutes, et il n’est donc pas possible de recalculer au plus juste la rémunération des entrepreneurs hors personnels de santé dont on conviendra qu’ils exercent une activité d’une autre nature qu’un commerçant ou un maçon.

    Remarquons toutefois que, sur 2 millions de personnes, ces indépendants de la santé représente environ 400.000 personnes, soit 20% des effectifs totaux. Une cotte mal taillée permet donc d’inférer que, hors médecins de tous types, la rémunération des entrepreneurs est plus proche, pour les 20% les moins riches, de 800 euros par mois que de 1.060 euros comme indiqué ci-dessus.

    Quant à la rémunération médiane des entrepreneurs, elle se situe à 2.190 euros mensuels. Là encore, en appliquant notre cotte mal taillée, nous tombons sur un chiffre emblématique : 50% des entrepreneurs gagnent moins de 2.000 euros par mois.

    Les auto-entrepreneurs durement touchés

    Autre point emblématique : les auto-entrepreneurs gagnent en moyenne 440 euros par mois. Cette rémunération a baissé de près de 5% entre 2012 et 2013. Ces quelques chiffres expriment bien la précarité forte de la position des chefs d’entreprise et des auto-entrepreneurs au cours du temps. Il est en tout cas acquis que le changement de majorité en 2012 ne leur a guère été profitable.

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  • http://bichau.canalblog.com/archives/2016/06/20/33991192.html

    L’ENA, l’école du camouflage comptable ?

    Stupéfaction : il semblerait que l’ENA, l’École Nationale d’Administration, la prestigieuse fabrique française de politiciens, ne soit pas exactement aussi bien gérée qu’il faudrait. Vraiment, la surprise est totale.

    Aujourd’hui chargée d’assurer la sélection et la formation initiale et continue des hauts fonctionnaires de l’administration française par petits paquets de 80 à 100 élèves, l’ENA est donc cette école qui aura fourni pléthore de préfets, de ministres et quelques présidents à la République naïvement reconnaissante. On pouvait donc raisonnablement s’attendre à ce que l’administration d’une telle institution, sa gestion notamment, soit irréprochable tant l’exemple doit être montré dès le début de la carrière des élites qu’elle forme.

    ena = ane

    Malheureusement, comme en témoigne un article paru récemment dans Acteurs Publics, il n’en est rien : grâce à la fuite (pratique ?) d’une note interne et confidentielle révélée par ce journal, on découvre que l’ENA est confronté depuis quatre ans à un important déficit d’un montant de 1,83 millions d’euros pour l’année 2015.

    Comme explication, il semble que ce sont les charges de fonctionnement liées à l’augmentation mécanique de la masse salariale qui provoquent cette difficulté, d’autant que l’État – le petit coquin – verse une subvention qui ne représente plus que 75% des charges au lieu de 83% comme jusqu’en 2006. La note estime même que le montant alloué annuellement, de 31 millions d’euros, « a été grignoté depuis 2012 alors que dans le même temps les charges grimpaient en flèche »…

    Voilà qui est particulièrement savoureux, à plusieurs titres.

    D’une part, parce que cette information illustre de manière lumineuse la façon dont fonctionnent nos administrations. L’ENA, de ce point de vue, n’est pas différente des autres et son excellence affichée pour la galerie laisse place, quand on y regarde de plus près, à l’habituelle médiocrité de gestion qu’on retrouve partout, dans toutes les administrations, sans la moindre originalité.

    D’autre part, parce que les solutions envisagées pour résoudre le problème ne sont pas différentes de ce qu’on trouve partout ailleurs : avec la même propension à prendre son temps pour noter le problème et en envisager une résolution, on retrouvera les mêmes petites pleurnicheries réclamant « plus de moyens », alpha et oméga des solutions envisagées dans les institutions publiques. L’équilibre d’un budget passe systématiquement par l’adaptation des recettes aux dépenses et non l’inverse. Et même s’il est envisagé de réduire la voilure en diminuant le nombre d’élèves (et donc, le service rendu pour l’argent dépensé), il n’est pas envisagé de débaucher du personnel surnuméraire.

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    Reconnaissons-le : déloger ou ré-allouer des fonctionnaires est toujours tâche délicate. On peut tout de même reprocher à cette institution le même défaut que toutes les autres, à savoir d’avoir embauché sans précaution lorsque c’était facile et politiquement rentable, et ne plus savoir revenir en arrière lorsque les années de vaches maigres arrivent. La prudence et la bonne gestion, c’est pour les autres, les bons pères de famille, les chefs d’entreprises du privé, et les sales capitalistes dont on se moque d’ailleurs in peto avant d’aller les voir pour renflouer les trous…

    Enfin, ces déficits de l’énarchie illustrent aussi très bien les manœuvres régulières pour camoufler la situation exacte (ici de l’institution, et plus largement, du pays) : il a fallu quatre ans pour qu’on apprenne le vilain petit secret (notez bien que les difficultés ont commencé à poindre en 2012, à l’arrivée de Hollande au pouvoir – coïncidence probablement, mais qui reste amusante). Pendant ces quatre années, on s’étonne que trop peu fut fait pour redresser la barre, et on s’étonne aussi que personne, semble-t-il, n’en ait rien su. 

    Cette dernière remarque n’est pas anodine. Elle est en fait la marque de fabrique de toute une génération de décideurs politiques dont on se demande si, finalement, ils n’ont pas spécifiquement été entraînés pour ça, l’ENA ayant après tout pour but, bien avant de former des élites pointues, de produire des administrateurs sur un moule spécifique dans lequel la bonne gestion du pays devient parfaitement accessoire, « Ne Pas Faire De Vagues » devenant un leitmotiv gravé dans le marbre et expliquant très bien toutes les dérives de laxisme observées à tous les étages de la République…

    Et dans ce cadre, le camouflage de la dérive budgétaire de l’ENA trouve un écho particulièrement croustillant dans le dernier tour de passe-passe hollandesque pour diminuer artificiellement la dette française.

    C’est le Canard Enchaîné qui dévoilait l’affaire il y a quelques jours : pour amoindrir les trous du budget régulièrement en déficit, Bercy émet chaque année des OAT (obligations à termes du Trésor). Mais dans un marché où les taux négatifs font rage et la rentabilité est à peu près impossible à trouver, le Ministère a choisi de déclencher la ruée des investisseurs en proposant un taux à 5 ou 6%, ce qui amène ces derniers à acheter ces obligations au-dessus de la valeur officielle d’émission, jusqu’au double : quand l’État vend pour un milliard d’OAT en valeur officielle, il peut en encaisser deux.

    Fort bien, d’autant que la manipulation permet d’une part de réduire le déficit immédiat, et d’autre part de contenir le ratio entre la dette et le PIB qui grâce à cette opération ne dépasse pas les 100% (98% en 2015).

    Sauf que ce joli habillage de la réalité a un coût : pour chaque milliard ainsi emprunté, cette différence de taux ajoute 60 millions d’intérêts à rembourser tous les ans, au lieu des 5 millions d’une OAT à taux normal.

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    Très concrètement, les générations futures, toujours choyées lorsqu’il s’agit de taxer les voitures à essence et favoriser les énergies « vertes », se prennent un magnifique high-kick dans les gencives à chaque nouvelle émission de ces OAT dopées. 

    Ici, on a largement dépassé le point où on maquille un peu les chiffres statistiques pour camoufler une vérité douloureuse à présenter devant les Français alors que les élections approchent : à présent, on est dans le maquillage des comptes de la Nation eux-mêmes, dans le plus parfait cynisme.

    Les déboires de l’ENA montrent de façon limpide que nos dirigeants ont été à « bonne école », que la bonne gestion et la bonne administration sont une véritable Terra Incognita dès qu’il s’agit d’argent public, et que s’il est possible de camoufler quatre années de trous pour cette école, il n’y aura aucun problème ni financier, ni moral, à utiliser toutes les astuces financières les plus risquées et les plus coûteuses pour camoufler la situation économique désastreuse du pays.

    Pire encore : si on découvre que depuis plusieurs années, le cynisme des uns et le jmenfoutisme des autres a permis ces bidouilles à 60 millions d’euros pièce, quelles surprises encore plus coûteuses se cachent dans les comptes de la Nation ?

    Non, décidément, ce pays est foutu.

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    SURREALISTE: L'ENA SERA EN FAILLITE EN 2018 !
    Génial:  l'école qui a formé tous les énarques qui pilotent les rouages de l'ensemble de la France depuis 40 ans est techniquement en faillite. "Le site Acteurs publics met en lumière les déboires financiers de la célèbre ENA ... l’école est en déficit chronique depuis 4 ans. Rien qu’en 2015, la perte s’est élevée à 1,83 million d'euros. Et à ce rythme l’institution risque d’assécher sa trésorerie à horizon 2018, prévient la note interne. Selon les gestionnaires, la faute reviendrait avant tout à l’Etat qui, depuis 2012, a réduit sa subvention alors même que les charges de l’école ne cessent d’augmenter".

    Wouaa  comme le pays -géré par les énarques- est en faillite, il en résulte que l'ENA va vers la faillite. C'est le serpent qui commence à se mordre la queue comme on dit. Ce serait une bonne idée de la fermer cette école, vu l'état dans lequel ces "diplômés" ont mis le pays. En 1972, la dette de la France était quasi nulle, aujourd'hui on est quasiment à 100% (rappelez-vous, Giscard d'Estaing était un énarque). Et depuis, ils se sont répandus comme des cafards. On a même un énarque qui s'est mis en tête de démonter la Tour Eiffel. C'est vous dire à quel point cette école rend dingue. Et le pire est qu'ils se prennent tous pour "l'élite de la Nation". Vu le délabrement absolu de la France et le taux de chômage, ça devrait surtout s'appeler Ecole Nationale de Destruction. Là au moins ils auraient tout bon ces gens.  Ne ratez pas la une de Acteurs Publics ici, et lire ici Challenges.

    jovanovic

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  • http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/bravo-aux-anglais-182237

    Bravo aux Anglais !

    Les Anglais ont choisi le Brexit !

    Ce sera donc l'apocalypse !

    On nous le dit et redit depuis des semaines, depuis des mois !

    L'Europe va sans doute construire un mur autour du Royaume-Uni !
    Les Anglais devront avoir un visa pour visiter la France, la Belgique, l'Allemagne, etc.
    Ce sera terrrrible !

    Et la livre... Ce sera pire que le rouble !
    Le chômage sera énorme.
    Les pêcheurs n'auront plus le droit de naviguer sur les eaux européennes et fini le champagne pour les Anglais.

    Ouf !

    Aujourd'hui ce sera la montée de lait de la bourse ! On va nous brailler partout à la Une que c'est terrible.
    Ce sera la "chute" boursière ! Ça va chialer en chœur !
    Mais dans quelques mois, nous aurons un nouveau record à la hausse et tout ira bien.

    La bourse… on la connaît.

    Tout comme le prix à la pompe.

    Ce qu'on ne connaît pas, c'est le profit de certains et le profit honteux des pétrolières qui nous volent littéralement, tout comme les banques.
     

     

    Mais revenons-en aux Anglais.

    Bravo aux Anglais !

    Ils ont gagné sur deux niveaux.

    1- Ils ont choisi de devenir maîtres chez eux.
    C'est une victoire de la « nation » anglaise.

    2- Et ils ont vaincu ces larbins démagogues au service des exploiteurs économiques qui opèrent sur nos grands médias.

    Ces larbins qui n'ont cessé pendant des mois de leur décrire l'apocalypse s'ils osaient choisir la liberté d'être les maîtres chez eux.
    Mais les gens se sont choisis plutôt que de continuer d'être au service des exploiteurs mondiaux.
    C'est une nette victoire contre les exploiteurs mondiaux et leurs larbins médiatiques.
    Bravo les Anglais !

    Mais la lutte n'est pas finie.

    Les exploiteurs n'abandonnent jamais.

    Et leurs larbins médiatiques vont continuer à nous présenter la réalité selon leur vision.

    Voyez simplement la démagogie des termes employés : On parle du « parti europhobe » Ukip !!!

    Europhobe, rien de moins !
    Le summum du ridicule !

    Jamais les Britanniques n'ont eu peur de l'Europe.
    Et pour preuve, le résultat du vote en faveur du Brexit.

    Malgré toutes les menaces de l'Europe, les Britanniques se sont choisis plutôt que de craindre les "représailles" européennes.
    Il n'y a pas d'europhobie, mais il y a à travers les exploiteurs mondiaux un énorme sentiment de démocratophobie.
    Une démocratophobie qui a développé une nationaliphobie.

    La lutte actuelle n'est plus le capitalisme contre le communisme ou encore la gauche contre la droite, mais bien le nationalisme contre le mondialisme.

    En d'autres termes, c'est la lutte des peuples contre les gigantesques exploiteurs économiques mondiaux qui veulent opérer à leur guise, sans contraintes frontalières et sans contraintes politiques.
    Ces exploiteurs n'aiment pas les frontières et encore moins les gouvernements souverains des Pays souverains.
     

    L'arme médiatique en perte d'efficacité…

    Par ce résultat on constate que l'aiguillage médiatique de l'opinion publique ne fonctionne plus très efficacement. Les gens réfléchissent de plus en plus par eux-mêmes, et ce, malgré qu'on tente de leur infliger un lavage de cerveau quotidien.

    Il devient de plus en plus probable que les Américains réagissent de la même façon que les Britanniques.
    Il est de plus en plus probable que les Américains se foutent de l'intense aiguillage d'opinion auquel on les soumet et élisent celui qu'on leur décrit comme le président de l'apocalypse.

    Les gens voient les choses de plus en plus en utilisant leur sens de l'observation et leur sens d'analyse et de réflexion. Ils se laissent de moins en moins influencer par ces larbins médiatiques qui leur servent du moralisme démagogique.

     

    Bravo aux Anglais et Bravo à tous les peuples qui se tiennent fièrement debout.

    Serge Charbonneau
    Québec

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  • http://www.atlantico.fr/decryptage/conversion-islam-pour-pouvoir-se-marier-maghreb-maroc-france-malika-sorel-251444.html

    Ces Français contraints de se convertir à l'islam pour se marier

    Certains Français font face à une situation ubuesque : devoir se convertir à l'islam pour épouser un conjoint maghrébin sur demande de l'administration française. Afin que le mariage soit reconnu en France comme dans l'autre pays, il faut en effet fournir à l'administration un certificat de coutumes. Problème : ces certificats ne peuvent être obtenus dans les pays du Maghreb qu'à la condition que le conjoint français se convertisse à l'islam...

     

    Atlantico : Dans un article publié par l’hebdomadaire VSD, des Français se plaignent de l’exigence émise par leurs mairies pour célébrer leurs mariages avec des étrangères d'origine maghrébine. Ces dernières doivent fournir un certificat de coutume, remis par leur ambassade à condition que leur conjoint se convertisse à l’islam. Est-il acceptable que l'administration française impose indirectement à des citoyens français de devenir musulmans afin de pouvoir se marier ?

    Malika Sorel : En réclamant un certificat de coutume, les mairies et l’Etat français cherchent à connaître la situation d’une personne étrangère. Les officiers français d’état civil sont obligés d’avoir un papier attestant du célibat de la personne pour pouvoir la marier.

     Il faut que cette dernière ne soit pas liée par un autre mariage.

    La loi française n’impose à personne de se convertir. Ce sont les Etats en question, via leurs consulats, qui vont exiger dans certains cas la conversion du conjoint. En l’occurrence, si un homme veut épouser une musulmane. Si la France acceptait des mariages sans réclamer ces documents, tout le monde s’insurgerait en découvrant l’existence de mariages polygames célébrés par notre Etat.

    C’est comme dans une famille. Les enfants se tournent vers le plus gentil des deux parents, la France en l’occurrence, pour obtenir gain de cause. On demande à la France d’outrepasser ce qui relève de son ressort.

     

    La France ne peut-elle pas agir malgré tout ? Faire pression sur ces pays pour faciliter les procédures ?

    La France ne peut pas régler les problèmes des gens à leur place. Un étranger est obligé de se soumettre aux lois de son pays. C’est aussi ce qui se passe pour quelqu’un qui a la double nationalité : en France, la loi française s’applique, lorsqu’il est en vacances dans son autre pays, c’est la loi du pays concerné qui s’applique.

    Lorsque des Français sont à l’étranger, ils doivent eux aussi se tourner vers leurs consulats s’ils ont besoin d’obtenir des papiers. Il n’est pas question que la France se retrouve en situation d’ingérence en émettant des papiers d’état civil pour les autres. Beaucoup de pays exigent des choses contraires à notre humanisme.

     

    Sachant les conditions sous lesquelles ils sont remis, que se passerait-il si nous ne demandions aucun document ? Au vu des flux migratoires, ce serait la porte ouverte aux mariages gris.

    Pour que ces gens soient libres un jour et puissent choisir leur destin, il ne faut pas se mentir à soi-même et se retourner contre l’Etat français. Il ne faut pas se tromper de débat. Ces pays effectuent une hiérarchie au sein de laquelle l’amour est loin en dessous de la religion. C’est aussi un problème culturel : les femmes sont souvent soumises à l’autorité de leurs familles et de leurs parents, sans toujours oser s’émanciper.

     

    Comment faire pour faire avancer les choses ?

    Il faut dénoncer les exigences des ambassades de ces pays. L’Etat français ne peut pas répondre des coutumes des pays étrangers. Il y a des accords internationaux. Chaque pays a sa propre manière de gérer son état civil. Chacun est responsable de ses ouailles.

    Dans l’exemple évoqué par VSD, le journaliste se retourne vers la France au lieu de se tourner vers l’Etat concerné. Sa compagne a la même approche que l’Etat marocain. Elle explique dans l’article que « pour expier ses péchés, je préférerais que Philippe soit musulman, car faire l’amour avec un mécréant signifie que je le suis aussi et ce qui m’attend, c’est l’enfer ». Cette dame effectue elle-même la hiérarchie entre l’amour et la religion qui met son mariage en difficulté.

    Propos recueillis par Romain Mielcarek

    Le grand remplacement, juste une douce litanie ou une réalité?

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/01/07/97001-20120107FILWWW00272-pour-se-marier-il-devait-se-convertir.php

     

     

    Pour se marier, il devait se convertir

    Pour épouser sa compagne marocaine et rendre le mariage valide au Maroc, un Français habitant Aubervilliers en Seine-Saint-Denis s'est vu demander par la mairie un document qui nécessitait sa conversion à l'islam, indiquent l'intéressé et la mairie.

    Frédéric Gilbert, journaliste, qui désirait se marier avec sa compagne marocaine, Hind, avec qui il a une petite fille, devait fournir à la mairie "un certificat de coutume" délivré par le consulat du Maroc, qui exige une conversion à l'islam. "La mairie m'a demandé un certificat de coutume. Or ce certificat n'est délivré par le consulat que lorsqu'on accepte la conversion à l'islam, ce que j'ai refusé car c'est contraire à l'esprit de la République française", a dénoncé le journaliste, qui se dit "laïc intégriste" et "fils de curé défroqué".

    Le maire d'Aubervilliers est "tombé de sa chaise"

    Le consulat général du Maroc à Paris rappelle que parmi les documents à fournir pour obtenir le certificat de coutume figure l'"Acte de conversion à l'islam du futur conjoint pour la Marocaine désirant se marier avec un non musulman". "Ce que je conteste, c'est que les maires puissent exiger un document qui demande la conversion à l'islam", a expliqué le journaliste, dénonçant un "excès de zèle" des services d'état civil. "J'ai téléphoné à quelques amis qui se sont mariés avec des Marocaines ou des femmes d'autres nationalités et qui se sont dits 'Tant pis, on se convertit'", a-t-il regretté.

    "La loi dit que pour réaliser un dossier de mariage, dès lors que l'un des conjoints est étranger, il faut un certificat de coutume", a expliqué le maire PS d'Aubervilliers, Jacques Salvator, à l'Agence France-Presse. L'élu a avoué cependant "être tombé de (sa) chaise" en apprenant les conditions soumises à son administré. "Il n'est pas normal de se soumettre à des exigences confessionnelles pour se marier avec un homme ou une femme étrangère", a-t-il dit.

    Les amoureux ont décidé de passer outre ce document, puisque le mariage va être célébré le 14 janvier et le maire y assistera pour "témoigner de (son) soutien au couple". Sans certificat de coutume toutefois, "le mariage n'aura pas de valeur légale au Maroc", a regretté le futur marié.




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  • Le Nazisme à commencé comme cela et grâce aux propagandistes(médias) et associations humano-gauchistes de merde ce n'est que le début, et bientôt dites vous bien que si ce n'est pas vous ce seront vos enfants qui en pâtiront.

    Le vote est un acte responsable qui faudra assumer en temps et en heure. A vous de vous assumer.

    Patriote64

     

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