• Derrière chaque plis du drapeau se cache une sale histoire de gauche...

    http://www.les4verites.com/politique/la-gouvernance-francaise-a-lheure-espagnole

    La gouvernance française à l’heure espagnole

    Curieusement, alors qu’il reste encore quelque 55 millions de Français authentiques en France sur 65 millions d’habitants, l’actuelle gouvernance de notre pays est d’origine espagnole.

    Le Premier ministre, assez récemment naturalisé, et aux convictions socialistes, semble-t-il, assez récentes, est d’origine espagnole. Le conseiller politique du Président, jusqu’à ces derniers temps, était d’origine espagnole. Le conseiller diplomatique du Président est d’origine espagnole, et Madame le Maire de Paris est, elle aussi, d’origine espagnole, plus précisément de Cadix, où réside une partie de sa famille. Sans doute, certains diront : « Pourquoi pas ? C’est l’Europe et nous n’en sommes plus au temps de Louis XIV et de Napoléon. » Le problème est qu’il y a un « mais » ; il y en a même deux.

    Peut-on citer un pays étranger gouverné par des politiques d’origine française ? Non.

    L’autre « mais », le plus important, est que ces Français d’origine espagnole sont tous des descendants ou sympathisants des républicains communistes et anarchistes qui se sont réfugiés en France en 1939, après avoir échoué à instaurer en Espagne une dictature communiste, faite de tueries, de pillages et de destructions. Si j’en crois la presse, et non pas la presse de droite, mais plus simplement le « Monde », journal de gauche, on apprend (à la lecture de son magazine du 5 avril) que Madame le Maire de Paris qui, elle, s’est fixée en France il n’y a pas très longtemps, est très solidaire du président du groupe communiste au conseil de Paris, qui la représente à la commémoration de la « Retirada », c’est-à-dire de l’exode des réfugiés communistes en France, en 1939, après la victoire de Franco.

    Cet épisode nous conduit tout naturellement à rappeler ce que furent en Espagne les activités préférées de ces « républicains ». Pour l’historien français Guy Hermet, le massacre des prêtres espagnols représente la plus grande hécatombe anti-cléricale avec celle commise en France en 1789-1793. L’historien britannique Antony Beavor cite le chiffre de 13 évêques, 4 184 prêtres, 2 365 membres d’ordres divers et 283 religieuses, arrêtés, torturés, exécutés. Des prêtres sont, dit-il, brûlés vifs dans leurs églises et l’on signale des cas de castration et éviscération. De nombreuses sépultures religieuses ont été profanées. Les incendies de bâtiments religieux se sont multipliés dans la région de Barcelone notamment. Dans plusieurs grandes villes les socialo-communistes ont créé des commissions d’enquête sous le nom de « checas », en référence à la Tchéka soviétique de Trotski. Les suspects de droite sont traînés devant les « checas » et généralement abattus sommairement. « Mieux vaut condamner cent innocents qu’absoudre un seul coupable », déclare Dolorès Ibarurri, la présidente du Parti communiste, dite la Pasionaria.

    Entre le 6 et le 8 novembre 1936, alors que Madrid est encerclée par l’armée du général Franco, et que le communiste Santiago Carrillo détient le poste de conseiller à l’ordre public de la junte de défense madrilène, 2 750 détenus politiques sont fusillés au cours du massacre dit « de Paracuelos ». À Figueras, en Catalogne, le comité anarchiste fait incendier le couvent des religieuses françaises. 250 des 800 prisonniers politiques transférés par voie ferrée, dont le doyen de la cathédrale, sont assassinés durant le trajet par des miliciens. Dans les 3 provinces du pays de Valence, le nombre des assassinats par les communistes approche les 5 000.

    Selon l’historien britannique Hugh Thomas, le bilan de la persécution religieuse dans l’Espagne communiste-anarchiste s’élèverait à 55 000 morts. Il se trouve que Mme Hidalgo, maire de Paris, est toujours selon le magazine du « Monde » du 5 avril (p. 63), une « athée farouche » (sic). Ces souvenirs-là ne doivent donc pas l’empêcher de dormir.

    Une précision encore, pour terminer ce chapitre : le gouvernement français de l’époque, que dirigeait le socialiste Léon Blum, a été le grand pourvoyeur d’armement au profit des communistes espagnols, des « camarades », dont l’armée de l’air fut un temps dirigée par André Malraux lui-même. Sans doute, ces éminentes personnalités françaises n’ont-elles pas été informées ou ont-elles pris le « détail » pour quantité négligeable, lorsqu’une jeune religieuse, Isabelle Calduch Xaviera, arrêtée le 13 avril 1937, parce que religieuse catholique, fut exécutée le lendemain, très précisément à Cuevas de Vinroma, dans la région de Valence – parmi bien d’autres.

    Mais, de tout cela, on ne doit pas parler. Dans la France d’aujourd’hui, il y a, en effet, deux sortes de génocides. Ceux que l’on attribue aux « fascistes » qu’il convient de dénoncer tous les jours. C’est le « devoir de mémoire ». Et ceux commis par les régimes communistes (URSS, Espagne, Chine, Corée du Nord, quelque 100 millions de morts de faim, dans les camps de concentration ou tout simplement exécutés), qu’il convient de passer sous silence. Après tout, ces génocides-là, c’était pour le bien du peuple !

    Formulons le vœu que Madame le Maire de Paris ne se serve pas des impôts locaux parisiens, des milliards d’euros, pour élever un monument sur la place des droits de l’homme au Trocadéro, où l’on pourrait lire : « Aux tueurs et tortionnaires communistes espagnols, la mairie de Paris reconnaissante ».

    Puisque nous en sommes aux Espagnols au plus haut niveau de la République, j’ajouterai un mot sur l’ex conseiller politique du président de la République, le nommé Aquilino Morelle, obligé de démissionner, ces jours derniers, après avoir été dénoncé par une officine de presse pour un délit commis il y a 17 ans. Je n’ai aucune sympathie particulière pour cet Aquilino, mais j’en ai moins encore pour ces graphologues qui se situent à la gauche de l’extrême gauche et dont les enquêtes ont pour but de nuire, d’autant plus facilement qu’en ce genre de dénonciation, la prescription, paraît-il, ne peut être invoquée. En somme, en France, on est constamment sous une triple menace : la menace sécuritaire, la menace fiscale, et la menace de la calomnie. Charmante ambiance ! 

    « La démocratie selon Eric Piolle maire écolo-gauchiste de Grenoble !Une manipulation gauchiste de plus qui tombe à l'eau.!!! »
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  • Commentaires

    1
    Aquilino HIDALGO
    Samedi 24 Mai 2014 à 20:24

    Essayez de ne pas oublier la composition de la division blindée du Gl LECLERC, tachez de ne pas oublier comment était composée la légion étrangère ,n' oubliez pas les Espagnols internés dans les camps de détention en Algérie qui ont servis a tracer routes et chemins de fer, sous la bonne garde des sénégalais.

    Je reconnais que la 2° République Espagnole n'a pas été sans reproche, ce qui la perdue, mais il faut accepter que les curés avaient la main mise sur la population et cela a continué après la défaite, voir les photos de l'époque du dictateur Francisco Franco. Je réfute totalement a ce vous mettiez "communiste" a ces Républicains venus en France ou en Algérie, le classement communiste a été une facilité Administrative d'internement (Algérie).

    Mon père, Aquilino HIDALGO HIDALGO, commandant major de l'armée Républicaine a servi son Pays jusqu'au 2 Avril 1939 pour enfin s'exiler en Algerie (Voir internet Aquilino HIDALGO HIDALGO de ARIJA ainsi que Gregoria HIDALGO sa mère) ou après libération de son internement a servi la France.avec respect.

    Quant a moi !!! ayant quitté l'Espagne en 1946 avec ma mère pour rejoindre mon père en Algérie ,avec de faux papiers établis par notre curé du village ALCIRA;ils n'ont pas tous été tués, naturalisé Français (1 seule Nationalité Français) ayant servi dans l'armée Française, gradé et décorés, ayant été élevé dans le respect du pays qui nous a accepté . 

    Pour terminer, très bientôt vous aurez a faire les mêmes commentaires, sur d'autres émigrès, j'aimerai a ce moment vous lire!!!

    Codialement

    A. HIDALGO 

    2
    Lundi 26 Mai 2014 à 19:44

    Bonjour,

    Tout d’abord je vous remercie de vous être intéressé à mon blog, qui comme vous aurez pu le constater est dédié à regrouper tous les articles qui sortent du système, du carcan de la manipulation médiatique, du politiquement correct, afin que les lecteurs se fassent leur propre opinion. Ce blog est ouvertement contre la gauche gouvernementale et même en général, bobo, la gauche caviar, la gauche manipulatrice et je ne m’en cache pas, mais aussi et surtout contre le système actuel UMPS.

    Cet article donc n’est pas de moi, je n’ai pas la prétention d’être un écrivain et je n’ai surement pas l’outrecuidance de me prendre pour un journaliste. Il m’arrive d’écrire certes, mais c’est reconnaissable car mes écrits sont en italiques et je les signe de mon pseudo, tous les autres sont précédés de leur lien.

    Dans cet article que j’ai choisi par son sérieux historique et par sa valeur, que j’ai pris soin de relire, il n’y a aucune attaque directe sur votre père, seulement une allusion sur l’attitude moralisatrice à deux vitesses qu’utilisent à leur guise les gauchistes (Il se trouve que Mme Hidalgo, maire de Paris, est toujours selon le magazine du « Monde » du 5 avril (p. 63), une « athée farouche » (sic). Ces souvenirs-là ne doivent donc pas l’empêcher de dormir.).

    On peut être républicain et être de gauche, c’est ce que les socialistes n’ont de cesse de répéter, surtout quand cela les arrange et avoir un esprit démocratique surtout si c’est eux qui l’imposent, mais ce n’est pas là le sujet.

    Ils ont tendance à prendre les citoyens pour des pigeons, eux seraient toujours blancs et les autres toujours noirs. Comme vous l’avez vous-même avoué, ce n’était pas tout blanc, mais gris et comme dans toutes les strates de notre société tout n’est pas seulement réduit au blanc ou au noir.

    L’immigration espagnole, comme italienne et autres ne m’ont jamais posé de problème, ni même aux français en général, il y a eu une bonne intégration, ils ont été assimilés par le peuple français car ils ne se sont jamais présentés comme des conquérants et ont toujours respecté dans la généralité leurs hôtes. J’ai souvenir de bons moments de travail et de rigolade passés dans ma tendre jeunesse avec eux, lorsque je travaillais la vigne dans le sud est.

    J’espère et je souhaite que lorsque, et je pense que cela a déjà été fait, je parlerai de l’autre immigration vous me lirez.

    Rappelez-vous que chaque société politique, chaque nation porte sa croix et que personne ne peut prétendre en parlant au nom de tous que les autres sont toujours les méchants et eux les gentils, chacun doit apprendre à balayer devant sa porte.

    Cordialement à vous.

     Patriote64

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