• Echec de la politique socialo-montebourgienne.

    Si les français quittent la France socialiste pour ne pas être spoliés de leur maigre richesse ou pour trouver un état de droit, les étrangers qui ont "DE L'ARGENT" bien sur ceux qui investissent, car les autres entrent sans être invités, eux, la France ne les intéressent pas!

    On se demande bien pourquoi?

    Patriote64.

    http://fr.irefeurope.org/France-la-degringolade-des-investissements-etrangers,a3038

    France : la dégringolade des investissements étrangers

    Malgré tous les efforts de communication mis en œuvre par Arnaud Montebourg, le ministre est à la peine pour attirer les capitaux étrangers nécessaires à la réindustrialisation. D’autant que le patriotisme économique ne suffit pas à combler ces manques. La France a besoin d’investissements pour développer son économie, mais le dernier rapport de la CNUCED (Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement) est plutôt alarmant.

     

    En un an, les Investissements directs étrangers (IDE) en France auraient chuté de 80 %, alors que ces flux ont augmenté de 11 % au niveau mondial sur la période. Ce chiffre semble contredire celui de l’AFII (Agence française des investissements internationaux), qui, depuis des années, affirme que le nombre d’installations d’entreprises étrangères en France est resté stable.

     

    Ces contradictions ne sont en réalité qu’apparentes. En effet, les méthodes de calcul et de retraitement statistique sont différentes d’une organisation à l’autre. Par exemple, l’AFII a choisi de ne communiquer que sur ce qui va bien, afin de mieux promouvoir la destination France, dont c’est l’objectif. L’agence se concentre sur le nombre de projets et les emplois induits ou conservés pour toutes les nouvelles installations. La CNUCED, elle, se concentre uniquement sur les flux et les stocks des IDE. Il est donc impossible de comparer les chiffres de ces deux organisations.

     

    Cependant, les résultats de la CNUCED ont l’avantage de permettre des comparaisons entre pays, ce qui n’est pas le cas de ceux de l’Afii. En termes de flux entrants d’IDE, la France a pendant longtemps devancé son voisin allemand, mais ça n’est plus le cas depuis plusieurs années. Si le Royaume-Uni et l’Allemagne ont su attirer, à nouveau, les investisseurs étrangers après la crise financière de 2008, la France a continué sa chute (cf. graphique ci-dessous). Et cela ne se traduit pas uniquement en termes de flux d’IDE, mais également en nombre d’implantations annuelles, qui ont décliné. Aussi, notre pays dégringole au classement, notamment parmi les pays de l’OCDE, et se retrouve quasiment dernier.

     

    Flux entrants d’IDE, 1995 - 2013

    GIF - 15 ko

    en millions d’$

    Source : CNUCED

     

    Par ailleurs, le rapport de la CNUCED sur les investissements étrangers nous révèle que les entreprises internationales implantées en France ont tendance à limiter leurs prêts intra-groupe. Ces prêts sont mêmes négatifs depuis l’année dernière, le plus souvent pour des raisons fiscales. Cela signifie, que les grands groupes ont rapatrié des fonds de leurs filiales françaises, limitant ainsi leur degré d’investissement.

     

    Le Trésor français a récemment adopté une méthode de calcul différente des IDE, préconisée par le FMI et l’OCDE. Bien que cette méthode réduise le volume des prêts intra-groupe, ces derniers restent négatifs et élevés (-6,5 Md€ selon le Trésor contre -14 Md€ selon la CNUCED). Et depuis 2011, toujours selon le Trésor, les bénéfices des entreprises étrangères en France n’y sont plus réinvestis. Sans aucun doute, l’augmentation de la fiscalité et la rigidité du marché du travail y sont pour quelque chose.

     

    Le problème, c’est que nous avons besoin de ces capitaux, pour principalement trois raisons. D’abord, d’un point de vue purement comptable, un déficit de la balance des transactions courantes (biens et services) doit automatiquement être compensé par un afflux de capitaux étrangers au moins équivalent. Cela signifie aussi que l’épargne française – qui sert surtout à financer la dette de l’État – n’est pas suffisante pour assurer le financement de l’ensemble des investissements sur le territoire.

     

    Ensuite, la mondialisation a permis l’internationalisation de la Recherche & Développement (R&D), et de plus en plus d’entreprises choisissent d’établir des centres de recherche en dehors de leurs pays d’origine[1]. Cela permet aux entreprises de mieux s’adapter à la demande locale et a donc un impact sur l’emploi qualifié. Si, selon l’AFII, la France fait mieux en 2013 qu’en 2012 et 2011[2] en termes de projets R&D, c’est notamment grâce au Crédit d’impôt recherche, incitant les entreprises à investir en France. Cela indique qu’une baisse du poids de la fiscalité est le plus souvent bénéfique pour l’activité.

     

    Enfin, les IDE sont un véhicule important de transfert de technologie[3]. Les entreprises américaines détiennent de nombreux brevets et sont à l’origine de nombreuses innovations. Si elles sont encore les premières à investir en France, leur nombre décroit (122 projets en 2013 contre 156 en 2012 selon l’AFII). Si la France veut encore profiter de ces transferts de technologie, elle doit soigner sont image vis-à-vis des investisseurs étrangers, en particuliers les Américains. Or, c’est tout le contraire que l’on observe.

    « Le PS n'a que ce moyen pour avoir encore des élus................Les troublantes preuves du crash du vol MH17....... »
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