Il fallait s'en douter, un gauchiste restera toujours un traitre et un pleutre.

Depuis la rixe de Cisco en Corse, la polémique sur le burkini ne cesse de faire couler de l’encre, grogner le peuple et trembler les politiques. Malgré l’enchaînement des arrêtés municipaux, la communauté musulmane poursuit ses provocations et Bernard Cazeneuve, complexé, se met à plat ventre devant le CFCM.

Il fallait s’en douter

A peine en vigueur, les arrêtés municipaux concernant l’interdiction du burkini sur certaines plages du littoral français ont été enfreints. Le CFCM dénombre au moins 16 verbalisations, chiffres certainement vus à la baisse pour ne pas alerter l’opinion publique. D’un regard très simpliste, on se demande bien pourquoi certaines femmes ont fait la démarche de s’installer au milieu des maillots de bains, en tenue salafiste ? Si la pudeur leur tient tant à coeur, pourquoi plonger dans une foule semi-dénudée ? A moins qu’il ne s’agisse encore une fois de pure provocation ?

Nul n’est censé ignorer la loi et personne n’a pu passer à côté des mesures récentes, à moins d’avoir été parachuté hier d’un autre monde. La présence de burkini sur les plages l’interdisant, ne peut être considéré autrement que comme une volonté de violer la loi, de forcer la main aux politiques, d’imposer une culture radicale et prosélyte, tout en crachant sur la France en se cachant derrière les basses excuses du « vivre ensemble ». Sauf que là, ce n’est plus le Vivre-Ensemble, mais la vie à la saoudienne.

Entre voile et burkini, il n’y a qu’un pas

Sorties de nulle part, des musulmanes témoignent en boucle sur toutes les chaînes d’information et affirment avoir été victimes de ces nouvelles mesures interdisant le burkini. Chacune d’elles affirment à visage couvert, avoir été verbalisées et insultées, alors qu’elle ne portaient que le voile, sous-entendu hijab, toléré par les lois républicaines. Elles poussent même le vice jusqu’à demander officiellement si les musulmanes sont interdites de plage (question posée au maire de Cannes notamment). Ainsi faisant, elles accusent ouvertement les élus, les forces de l’ordre et l’ensemble de la population de racisme ou d’islamophobie.

Mesdames et mesdemoiselles les voilées de plages, à notre tour de vous poser une question très simple : quelle différence y a-t-il entre votre tenue décrite et le burkini ? Vos cheveux sont cachés, j’imagine que vos bras et vos cuisses aussi, non ?
Si la matière du tissu est différente, les parties cachées et le principe restent les mêmes !
Croyez-vous que les policiers vont se promener avec un mètre de couture et un catalogue de burkinis pour différencier ces deux tenues ?

Aussi, lorsque vous chouinez sur les chaines de télévision, n’omettez pas de préciser qu’en plus de votre voile, vous cachez également chaque centimètre de votre peau, du cou aux chevilles ! Cessez donc de clamer innocemment ne porter qu’un voile !

Le CFCM siffle, Cazeneuve accourt

Regroupant sans peine les « cris de détresse » de quelques musulmanes offusquées de n’avoir pu porter publiquement leur accoutrement prosélyte, le CFCM a demandé (pour ne pas dire « exigé ») à être reçu urgemment par Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur et des cultes. Sitôt exigé, sitôt exaucé !
Cet après-midi même, Cazeneuve recevait Anouar Kbibech, représentant du CFCM (Conseil Français du Culte Musulman). Une audience auprès d’un ministre si occupé nécessite un peu de patience, mais pas pour le CFCM ! A peine sifflé, le ministre a fait fi de son emploi du temps pour se consacrer à ses chouchous d’électeurs.

A l’issue de leur entretien, Anouar Kbibech s’est exprimé au micro de tous les médias, criant son indignation, son émotion et son inquiétude. Trois mots répétés en boucle, appuyés et lourds de sens. Quel dommage qu’il n’ait pas connu ces trois mots après chaque attentat en France ! Quel dommage qu’aucune indignation, qu’aucune émotion, ni qu’aucune inquiétude ne l’ait fait réagir avec autant de passion lorsque le père Hamel a lâchement été égorgé par un membre de sa communauté, après le passage du camion fou de Nice ou après la tuerie du Bataclan !

En revanche, pour parler chiffon, il est fort le président du CFCM !

Quant à Bernard Cazeneuve, il est resté égal à lui-même, évasif, mou, aérien… Il a seriné les mots « fraternité » et « stigmatisation » comme une litanie, évitant soigneusement de dire si les verbalisations avaient ou non été abusives. Cependant, son appel à l’unité et à la laïcité permissive laissent clairement comprendre que le CFCM aura le dernier mot.

Pourquoi il faut l’interdire

Depuis des décennies les musulmanes se sont allongées sur nos plages sans qu’il n’y ait jamais eu de polémique. Même les pays du Maghreb n’ont jamais connu le burkini avant qu’il ne fasse également son apparition en Europe. Mais à l’heure où l’islamisation bat son plein, naît le burkini qui curieusement n’apparaît pas dans le coran. Ce mélange de Burqa et Bikini, donnant naissance à ce nouveau nom, ne peut qu’être une fraude à nos lois interdisant la burqa. Si l’on interdit la burqa, on se doit d’interdire le burkini, son dérivé, sa version estivale.

Les maires peu courageux qui n’ont pas encore dégainé d’arrêté et donc qui acceptent cette tenue, devraient répondre publiquement sur leur encouragement à laisser la burqa s’installer en France, malgré les nombreux textes qui nous en préservent déjà un peu. En effet, une fois le burkini officiellement adopté, sa version « toutes saisons », la burqa, le sera naturellement. Le burkini est une burqa de plage, l’accepter c’est encourager la radicalisation de l’islam en France.

On comprend mieux l’insistance des musulmans radicaux à vouloir nous imposer la présence de cette tenue dégradante pour la Femme et annonciatrice de charia.

Nombreux sont les internautes à exprimer leur agacement de cette polémique, estimant que les sujets économiques, par exemple, méritent davantage d’attention. Bien sûr que le chômage, les retraites, la dette, le logement etc… sont des sujets majeurs à traiter, mais l’islamisation de la France ne doit pas être reléguée, ni le sujet reporté à plus tard. Si l’on attend les prochaines présidentielles, voire plus longtemps, il sera déjà trop tard pour s’opposer aux dangereuses avancées de la radicalisation.

La saison estivale touche à sa fin et la polémique du burkini sera ensevelie sous le sable fin. La burqa pourra à son tour prendre la tête des revendications musulmanes, jusqu’à l’été prochain…

Sam

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Burkini : Cazeneuve s’agenouille devant le CFCM

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