• Jean Philippe Harlem Bling Bling Désir nommé PDG de PS A Caviar

    http://www.dreuz.info/2012/09/jean-philippe-harlem-bling-bling-desir-nomme-pdg-de-ps-a-caviar/

    Jean Philippe Harlem Bling Bling Désir nommé PDG de PS A Caviar

    Michel Garroté – Je lis avec amusement dans ‘Le Figaro’ (extraits adaptés ; lien en bas de page) : « Condamné pour emploi fictif, le futur patron du Parti socialiste fait face aux critiques de l’opposition (Note de Michel Garroté – L’opposition qui est bien placée pour donner des leçons). Celle-ci rappelle la promesse de Hollande de ne pas s’entourer de personnes ayant eu des démêlés avec la justice. Le Parti socialiste s’est-il tiré une balle dans le pied en plaçant Harlem Désir à sa tête ? Alors que François Hollande avait assuré pendant sa campagne qu’il ne s’entourerait pas de personnes condamnées par la justice, le choix fait par l’actuelle patronne du PS, Martine Aubry et par le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, peut paraître surprenant. Le parcours de l’eurodéputé comporte en effet un volet judiciaire. Soupçonné d’avoir bénéficié d’un emploi fictif, alors qu’il dirigeait SOS Racisme, il a été condamné à dix-huit mois de prison avec sursis et 30.000 francs d’amende (4.573 euros). Il était accusé d’avoir perçu illégalement au cours de cette période 202.560 francs (30.880 euros) de salaires, de l’Association régionale pour la formation et l’éducation des migrants (Arfem), basée à Lille (ci-dessous, liens vers Le Figaro et vers mon article du 10 septembre sur le même sujet).

    Michel Garroté

    Rédacteur en chef

     

    http://www.lefigaro.fr/politique/2012/09/12/01002-20120912ARTFIG00447-la-condamnation-de-desir-une-epine-dans-le-pied-du-ps.php

    La condamnation de Désir, une épine dans le pied du PS

     

    Harlem Désir à La Rochelle lors des universités d'été du PS le 24 août dernier.
    Harlem Désir à La Rochelle lors des universités d'été du PS le 24 août dernier.

      

    •  Condamné en 1998 pour emploi fictif, le futur patron du Parti socialiste fait face aux critiques de l'opposition. Celle-ci rappelle la promesse de Hollande de ne pas s'entourer de personnes ayant eu des démêlés avec la justice.

      Le Parti socialiste s'est-il tiré une balle dans le pied en plaçant Harlem Désir à sa tête? Alors que François Hollande avait assuré pendant sa campagne qu'il ne s'entourerait pas de personnes condamnées par la justice, le choix fait par l'actuelle patronne du PS, Martine Aubry, et par le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, peut paraître surprenant. Le parcours de l'eurodéputé comporte en effet un volet judiciaire, dont l'opposition a déjà fait son angle d'attaque.

      Soupçonné d'avoir bénéficié d'un emploi fictif de 1986 à 1987, alors qu'il dirigeait SOS Racisme, il a été condamné dix ans plus tard, en décembre 1998, à dix-huit mois de prison avec sursis et 30.000 francs d'amende (4.573 euros). Il était accusé d'avoir perçu illégalement au cours de cette période 202.560 francs (30.880 euros) de salaires, de l'Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants (Arfem), basée à Lille.

      Acculé par les critiques de la droite, Harlem Désir s'est expliqué mardi sur ses démêlés avec la justice. «On ne découvre rien me concernant. Ces condamnations concernent des faits, il y a 25 ans, quand j'étais jeune militant. La justice a tranché et je n'ai pas de commentaire à faire», a-t-il déclaré, tout en reconnaissant «une erreur». «Mais jamais ma probité n'a été mise en cause. Il n'y a pas eu d'enrichissement personnel», a ajouté l'actuel numéro deux du PS, concédant toutefois que cet épisode judiciaire l'avait amené à s'interroger sur sa candidature.

      Le PS, «parti de la morale»

      Une mise au point qui n'a pas calmé l'opposition. «Comment le PS, parti démocratique, peut-il porter à sa tête un homme condamné pour de tels faits? François Hollande avait pris l'engagement de ne pas s'entourer de personnes jugées et condamnées. Qu'il demande à sa famille politique de revenir à la raison», a réagi mercredi le député UMP de la Haute-Loire Laurent Wauquiez. Son collègue des Alpes-Maritimes, Lionnel Luca, connu pour ses nombreux dérapages, s'est quant à lui fendu d'un tweet acerbe: «18 mois de prison avec sursis et 30.000 francs d'amende pour “recel d'abus de confiance”, c'est le CV du nouveau patron du PS, le parti de la morale.»

    •   Lionnel Luca 2012

       

      Encore à l'UMP, l'élu du Nord Gérald Darmanin a estimé qu'«après le congrès de Reims, où de graves soupçons de fraudes sont venus ternir sa légitimité de première secrétaire, Martine Aubry vient, dans la pure tradition des républiques socialistes, de désigner Harlem Désir, condamné par la justice en 1998, comme son successeur».

      Du côté du Front national, la réprobation aussi est unanime. «Ses condamnations pour emplois fictifs rappellent la haute morale républicaine de SOS Racisme, association vivant de subventions publiques et pourtant souvent mise en cause pour sa gestion», a tancé la députée du Vaucluse, Marion Maréchal-Le Pen. Le vice-président du parti Louis Aliot a pour sa part fait d'une pierre deux coups en critiquant Harlem Désir, mais aussi son rival malheureux, le député de Paris Jean-Christophe Cambadélis. «Les deux candidats potentiels étaient tous des ex-repris de justice et ex-membres fondateurs de SOS racisme», a-t-il souligné.

    « Deux religions une idéologie socialiste.......Si un Chrétien tabassait un musulman, on parlerait de "crime raciste"! »
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