• Les journalistes sont des manipulateurs, Noooon ???

    http://stephanemontabert.blog.24heures.ch/archive/2016/10/12/menteurs-a-louer-un-journaliste-americain-se-livre.html

    Menteurs à louer: un journaliste américain se livre

    Existe-t-il encore des gens pour penser que le traitement de l'actualité par les médias mainstream soit motivé par le simple désir d'informer le grand public? Heureux les imbéciles! La plupart des gens comprennent qu'il y a anguille sous roche et supportent mal un traitement partisan de l'information - la récente campagne pour les présidentielles américaines étant un modèle du genre.

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    Couverture médiatique comparée entre des propos sexistes de Trump enregistrés à son insu
    il y a onze ans d'une part, et des milliers d'emails révélés par Wikileaks exposant la corruption
    d'Hillary Clinton à travers sa fondation, ses relations avec le gouvernement,la justice et
    les médias d'autre part.

    Certains tolèrent mieux la propagande, simplement parce qu'elle va dans le sens de leurs convictions, mais le malaise subsiste. Quelle cause juste pourrait avoir besoin de mensonge pour se défendre? Et si cette cause n'en a nul besoin, comme le rétorqueront immanquablement ceux à qui on pose la question, alors, pourquoi mentir?

    En réalité, l'information biaisée est la marque d'un mépris total pour le destinataire final - c'est-à-dire, vous. Mais "l'information" est-elle réellement produite pour lui? La réalité est bien plus crue que tout ce que vous pouvez imaginer, au moins aux Etats-Unis, comme le révèle un ex-journaliste dans un article sans détours, "Confessions d'un ex-journaliste sur le milieu corrompu des médias", dont voici une traduction.

    Heureusement, rien de tout cela n'est à déplorer en Suisse.

     


     

    Confessions d'un ex-journaliste sur le milieu corrompu des médias

    Comment s'acheter des amis et plaider pour l'ennemi

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    Tout est mensonge, chéri

    Je doute que quiconque ait besoin qu'on lui rappelle que les médias sont pourris jusqu'à la moelle ; même les personnes les plus réticentes et à l'esprit le plus fermé tiennent désormais cela pour acquis. Mais bien que les médias soient largement condamnés de nos jours (mes remerciements aux Allemands pour avoir ramené le mot Lügenpresse dans le discours public), peu de gens savent ou comprennent ce qui se passe réellement dans la cuisine journalistique, où se concocte la potée de mensonges dont les gens sont quotidiennement nourris. Cependant, il y a toujours un moyen de le découvrir, par une infiltration délibérée du milieu ou, dans mon cas, par accident.

    J'ai un vieil ami - appelons-le Sven - que j'ai toujours tenu pour être un homme bienveillant et sincère. Cependant, ces traits étaient également tempérés par une vision optimiste et quelque peu naïve des gens. Pour cette raison, il se retrouvait régulièrement embarqué dans des situations difficiles et parfois même dangereuses. L'une d'elle s'est révélée être un bref passage en tant que journaliste pour un journal en ligne à succès. Il maintint à peine contact au cours de son emploi et finit par décrocher complètement. Environ un mois plus tard, il refit surface - un homme changé, et pas en mieux. Comme il l'expliqua, il démissionna de son travail et se renferma sur lui-même un certain temps, sans autre arme que l'alcool, pour faire face à la dépression dans laquelle l'avait plongé ce travail de journaliste.

    Cette réaction doit probablement paraître excessive à beaucoup d'entre vous, comme elle le parut à moi-même. Les hommes tombent rarement en dépression ainsi et ne se sortent pas de leurs problèmes en buvant. Si j'accordai à mon ami la clémence de lui expliquer ses manquements, je reconnus aussi l'utilité de son expérience et commençai à l'interroger sur ce qu'il avait vu et entendu durant son emploi. Je transmettrai ses conclusions ci-après ; cependant, je ne révélerai ni son vrai nom ni celui de son employeur, sachant que dans le pays "libre" où nous vivons, cela pourrait l'amener en eaux troubles.

    Qui vous paie, vous possède

    Sven rejoint les rangs des journalistes pour apporter la vérité aux gens. À son crédit, il croyait vraiment qu'il ferait exactement cela. Sa première mission semblait si simple, après tout: parler à une personne, enregistrer la conversation, écrire un article, le publier. La réalité se révéla diamétralement opposée. Une fois notre journaliste fraîchement émoulu revenu de sa première entrevue, on lui ordonna de retranscrire l'enregistrement immédiatement et de l'envoyer par courriel au gestionnaire de contenu. Une demi-heure plus tard, Sven reçut une version fortement modifiée de la transcription, avec les éléments qu'il jugeait les plus significatifs remplacés par des tournures dénuées de sens ou complètement supprimés. Quand il alla voir le directeur pour exprimer son indignation, celui-ci lui répondit simplement : "Cet homme ne nous a pas payé pour un article qui le dénigre. Retournez à votre bureau."

    Ce fut loin d'être le seul cas où Sven fut témoin de sommes d'argent tirant le journalisme. Ses nombreux collègues ne produisaient presque jamais du contenu indépendant - ils étaient trop occupés à publier des articles payés les uns après les autres. Lorsque Sven demanda si ces articles devaient être indiqués comme du contenu sponsorisé, la seule réponse qu'il obtint fut un rire amer. Très souvent, le gestionnaire de contenu venait à son bureau et disait quelque chose comme "Savez-vous que le gars sur lequel vous écrivez est un ami proche du boss? Ne vous plantez pas sur cet article." Sven fut également surpris de voir que de nombreuses personnes interrogées (habituellement les politiciens) ne se donnaient même pas la peine de répondre à ses interviews, déléguant à la place leurs secrétaires ou assistantes. L'une d'elle alla même jusqu'à lui remettre un discours pré-écrit en main en lui disant de travailler à partir de cela avant de s'en aller.

    Cependant, notre Sven possédait aussi un sens aigu de la justice, qui l'amena plusieurs fois à ignorer les "recommandations" données par son gestionnaire de contenu, à s'écarter de l'histoire officielle et à permettre à de petits extraits de vérité de faire leur chemin aux yeux du public. Pour chacune de ces transgressions, il fut convoqué au bureau du directeur, sévèrement admonesté, et se vit amputé d'une partie de son salaire mensuel. Tout fragment "non autorisé" qu'il avait écrit fut rapidement édité après coup - même si l'article avait déjà été lu par des milliers de personnes. Et ceci était censé être un média "neutre et objectif"!

    La déontologie? Jamais entendu parler

    Sven éprouva un grand choc quand il réalisa finalement que ses employeurs étaient des êtres dénués de conscience qui se prostituaient au plus offrant. Le choc fut encore plus grand quand il découvrit avec quelle nonchalance ses collègues prenaient leurs responsabilités. Les journalistes d'investigation se reposaient sur des informations obtenues à travers de simples recherches Google et des messages sur Twitter. Les éditorialistes et leurs subordonnés utilisaient des rumeurs et des ouï-dire pour rédiger des charges au vitriol. Les gestionnaires de sites Web postaient tout contenu qui leur plaise aussi longtemps qu'ils le présentent avec de gros titres assez flashy pour attirer le chaland. Le contrôle des faits était quasiment inconnu, à moins que quelqu'un n'ait spécifiquement payé pour cela.

    Quand il était temps de choisir les sujets et de rédiger les articles, la ligne directrice de l'ensemble de l'entreprise était limpide: ne pas mettre les gens en colère. Pas les gens ordinaires, vous pensez bien - ceux-là n'étaient en interne même pas considérés comme des êtres humains, juste une masse sans visage à qui l'on jette des articles et qui sert à générer des clics et à produire de l'argent en retour. Non, le terme de "gens" se référait aux personnes qui comptaient réellement. Ce groupe comprenait des représentants des pouvoirs en place, des personnalités publiques bien connues, de riches individus avec les doigts bien trempés dans le gâteau politique et, bien sûr, les fréquentations personnelles du propriétaire de la publication.

    Ceux-là devaient être protégés, dorlotés et flattés à tout prix, tous les autres n'étant que du gibier. Inutile de le dire, la politique avait au moins autant d'influence que l'argent dans la ligne éditoriale - à chaque fois que quelque chose de remarquable survenait, les "protecteurs de la vérité et de l'objectivité" s'attelaient immédiatement à travailler de façon à tourner les événements d'une manière favorable pour ceux qui tenaient leurs laisses. Des coups médiatiques étaient laborieusement élaborés contre les adversaires politiques et les indésirables, des écrans de fumée étaient érigés, les faits étaient omis, déniés et interprétés de façon biaisée. Sven m'avoua plus tard que le jour où sa publication couvrit les élections législatives fut le premier de sa vie où il passa toute la soirée à se saouler. L'éthique du journalisme, un terme que les médias aiment jeter à gauche et à droite, ne s'avérait rien d'autre que du vent.

    Dans l'omelette médiatique, vous n'êtes qu'un œuf

    Le titre dit tout. Pour les élites du secteur des médias, les pigistes ne sont pas juste des pions - ils sont des préservatifs. Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, l'existence d'un journaliste typique est assez pathétique: sous-payée, sous-évaluée, ingrate et constamment scrutée par sa hiérarchie. Le turnover du personnel de la "cuisine" est très élevé, et pas à cause des promotions obtenues. Dans ce milieu, le terme de "journaliste senior" désigne souvent un pauvre bougre sans alternative qui ne peut pas raccrocher.

    Selon Sven, nombre de ses collègues travaillaient dans le seul but de toucher leur salaire mensuel, ce qui expliquait leur négligence. Faces grises, bouches pincées, regards fuyants et aigreur dans l'attitude - tout ce qu'il fallait pour abattre une journée de plus. En outre, les plus expérimentés esquivaient toute responsabilité quant au contenu publié: chaque fois qu'un lecteur en colère contactait le journal pour se plaindre d'un article, le gars qui l'avait rédigé subissait l'entier du blâme, même si son travail avait été scruté et validé par la rédaction avant publication. Après tout, quel temps fallait-il avant de retrouver un autre drone de bureau avec des compétences de rédaction à peu près décentes?

    Cependant, Sven expliqua également que certains de ses collègues appréciaient leur travail. Ils arrivaient au bureau d'un pas leste, un sourire sinueux sur leur visage et une lueur espiègle dans leurs yeux. Ils étaient les "talents" favoris du directeur de la publication - des ordures froides et vicieuses qui auraient vendu leur propre mère pour une bonne tranche de commérages à répandre un peu partout sur le site. À chaque fois qu'ils avaient l'occasion d'appeler au scandale, de répandre une vilaine rumeur ou de ruiner la vie de quelqu'un, on pouvait presque les voir s'illuminer de l'intérieur. (...)

    Stigmatisation interdite

    Comme vous l'avez probablement remarqué depuis longtemps, le secteur médiatique est une boîte de Pétri immense et accueillante pour de nombreuses variétés de Kulturbolschewismus, de bolcheviques culturels. Dans le cas de Sven, cela dépassait la simple politique interne de dénigrement de la peur et d'autocensure pour être un réel ordre du jour au travail. Il me dit qu'un organigramme accroché en salle de presse expliquait ce qu'il fallait faire en cas d'article rapportant des crimes et des incidents. Il comportait quelque chose comme ceci: "le protagoniste était-il de souche (blanc) ? Oui: rapporter en détail, amplifier ; Non: gommer les détails, minimiser."

    Sven rédigea une fois un article sur une fête nationale, mais son gestionnaire de contenu refusa d'approuver la publication parce qu'elle était "trop patriotique", lui conseillant plutôt de "mettre l'accent sur la participation des minorités dans le festival." Tout ce qui pouvait louer le pays et ses habitants autochtones était indésirable et omis chaque fois que c'était possible, alors que toute nouvelle débordant de haine de soi ou faisant l'éloge d'allogènes au pays (lire: africains et musulmans) ou attaquant les indigènes et leur mode de vie était promis au succès et franchissait le processus d'approbation comme une lettre à la poste.

    Inutile de dire que la rédaction était bourrée de femmes, de blaireaux émasculés faisant office d'animaux de compagnie et, bien sûr, de juifs. Les premières disposaient d'un pouvoir absolu quelle que soit leur position - une simple plainte aux ressources humaines était suffisante pour faire virer n'importe qui, pas besoin de preuves. Les blaireaux émasculés, incarnés par des créatures malingres en T-shirts Che Guevara arborant une barbe lépreuse sur leur visage chargé de piercings, vivaient de façon très satisfaisante la façon dont les choses se passaient, sirotant leurs cafés et dénonçant aux ressources humaines ceux qui exprimaient des idées incompatibles avec le récit. Les juifs étaient dans leur élément naturel en salle de presse, étalant leur arrogance intellectuelle et obtenant des promotions sorties de nulle part. La majorité des articles dénigrant les autochtones, leur culture et leurs valeurs venait d'eux, comme étude du site Web du journal me l'apprit plus tard.

    Menteurs à louer

    Donc, pour résumer tout cela: les médias ne se composent pas d'individus bienveillants mais malavisés, comme beaucoup le pensent encore. Au contraire, ils représentent une entité consciente d'elle-même qui se positionne quelque part entre l'opportunisme sans scrupules et le chien fidèle de l’État. Au mieux, ils se livrent à un faux patriotisme ("Nous avons un pays merveilleux, invitons davantage d'immigrants!"), au pire ils sont hostiles à l'égard de la population historique de leur pays de résidence.

    De plus, les médias permettent la consolidation et l'affirmation des forces globalistes - des gouvernements perfides, des juifs, des multinationales, l'industrie du divertissement et d'autres - contre une population indigène désenchantée et déclinante. Et last but not least, les médias sont complices des crimes commis en Occident par des immigrants non-blancs à cause de leur obscurcissement délibéré des faits et, en cas d'échec, de la démagogie visant à faire pression sur les tribunaux pour laisser les criminels en ressortir libres. Pour moi, cette dernière raison devrait être à elle seule suffisante pour envoyer nombre de journalistes et leurs employeurs au gibet.

    L'essentiel est de toujours se rappeler que les médias ne sont vos amis en aucune façon, ni sur la forme ni sur le fond, même si leurs employés les plus modestes ressemblent davantage à de malheureuses victimes qu'à des ennemis visant la destruction des nations. Il faut s'opposer aux médias, exposer leurs manœuvres et les boycotter à chaque occasion jusqu'à ce qu'ils commencent à saigner de l'argent et s'étouffent avec leur propre venin.

    « Quand l'Etat français se pose en parasite du petit épargnant.Un malaise policier profond et qui dure depuis longtemps. »
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