• Nous le savions déjà, la presse(propagande) est aux ordres de l'état.

    http://www.dreuz.info/2016/02/08/medias-les-sujets-dont-il-faut-parler-sont-decides-par-le-gouvernement-dit-lex-chef-de-la-zdf/

    Médias : « les sujets dont il faut parler sont décidés par le gouvernement » dit l’ex-chef de la ZDF

     

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    Les déclarations du Dr Wolfgang Herles, ancien dirigeant de la « Zweite Deutsches Fernsehen « (ZDF) corroborent ce que nombre d’entre nous savions déjà :

     

    • Les journalistes ne sont plus que des fonctionnaires aux ordres de leurs gouvernements respectifs.
    • Ils ne peuvent plus exercer leur fonction première, à savoir, informer objectivement les peuples.
    • Ils sont priés de présenter les sujets imposés d’en haut.
    • Ils sont sommés d’éluder la vérité, de désinformer, de travestir la réalité et ce, afin de ne pas nuire à la politique de substitution de population, actuellement en pleine accélération.

     

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    La chaîne de télévision nationale, ZDF, qui fut contrainte à présenter des excuses humiliantes au peuple allemand, pour avoir occulté la violence des migrants et les agressions sexuelles envers les femmes et les enfants, se retrouve à nouveau à la une de l’actualité.

     

    Les journalistes sont priés d’écrire des articles qui « plairont » à Frau Merkel

     

    L’un de leurs anciens dirigeants, le Dr Wolfgang Herles, a admis que la ZDF recevait des instructions du gouvernement sur les sujets à traiter. Les journalistes étaient priés d’écrire des articles qui « plairaient » à Frau Merkel.

     

    Wolfang Herles est l’ancien dirigeant de la ZDF- Bonn. Il dévoila ce scoop lors d’un débat radiophonique à Berlin, au cours duquel les journalistes présents parlaient du paysage médiatique.

     

    Discutant de la liberté de la presse, le présentateur demanda au Dr Herles si la situation en Allemagne était réellement hors contrôle. Avec une honnêteté de plus en plus rare de nos jours en Allemagne, le Dr Herles répondit que les citoyens allemands perdaient leur confiance dans les médias et il qualifia ce fait de « scandaleux ».

     

    Il déclara :

     

    « Nous avons un problème ici en Allemagne – je parle principalement des médias publics – nous sommes trop proches du gouvernement : non seulement, parce que le commentaire doit être conforme à la pensée de la grande coalition (CSU-CDU-SPD), et refléter un large éventail d’opinions, mais également par le fait que nous sommes soumis à l’agenda établi par la classe politique.»

     

    les sujets dont il faut parler sont en fait décidés par le gouvernement

     

    Les médias allemands, contrôlés par le gouvernement et subsidiés par les impôts locaux, et en accord avec la coalition au pouvoir, reçoivent des instructions sur ce qui peut être révélé ou non.

     

    Il ajouta : « … les sujets dont il faut parler sont en fait décidés par le gouvernement. »

     

    « Il existe de nombreux sujets, beaucoup plus importants à couvrir, mais non agréés par le gouvernement. Ce dernier veut détourner l’attention du public de ce qui se passe réellement dans le pays afin de lui faire croire que tout va bien dans le meilleur des mondes. »

     

    Ces “instructions”, envoyées aux médias par des services indéterminés au sein du gouvernement, sont ensuite communiquées aux journalistes par des responsables de l’info radio et télévision, utilisant un nouveau jargon.

     

    Le Dr Herles ajouta : « en communiquant les instructions à son équipe, le rédacteur en chef de la ZDF expliquait tout simplement, que le reportage devait être conçu de façon à correspondre à une vision qui serve l’Europe et l’intérêt du public. »

     

    Il n’est nullement nécessaire d’ajouter entre guillemets, que cela signifie « être rédigé selon les desiderata de Mrs Merkel ».

     

    « Aujourd’hui, personne n’est autorisé à exprimer quoi que ce soit de négatif à propos des réfugiés, a ajouté le Dr. Herles. C’est du journalisme gouvernemental et cela conduit à une situation où les gens ne nous font plus confiance. Et c’est un scandale ! »

     

    Les quelques réactions à ces commentaires politiquement incorrects, publiées dans les médias allemands, furent surtout critiques.

     

    Le rédacteur en chef du journal Der Freitag, Jakob Augstein, une figure des médias du centre-gauche, à qui il fut demandé de confirmer l’existence d’instructions venant du gouvernement répondit : « Non, je le nie avec véhémence, le gouvernement n’a jamais envoyé des ordres aux médias ! »

     

    Les médias allemands mainstream ne sont pas libres, et ils occultent ou déforment systématiquement la vérité, et cela constitue l’un des arguments clé de PEGIDA, qui a inventé des mots comme « Lügenpresse » ou « presse menteuse » pour exprimer sa colère.

    Mentir de façon éhontée, dissimuler les vérités importantes, qui dérangent, et falsifier la réalité, c’est typique non seulement de la « Lügenpresse » allemande, mais de bien d’autres médias occidentaux, tout aussi menteurs.

    Le mensonge est ce qui est servi en plat principal aux citoyens allemands par les chaînes de télévision ARD et ZDF, et les médias mainstream.

    Mais le citoyen se réveille, Il se détourne de médias menteurs, non seulement des éditions papier, mais également des sites en ligne.

    C’est la descente aux enfers qui s’amorce, pour les médias officiels, tandis que les sites de ré-information, ces sites taxés de racisme, de xénophobie, de nazisme par la caste de la bien-pensance, connaissent un succès fulgurant.

    Pratiquer la politique de l’autruche, endormir les peuples par la désinformation, tandis que sombre le Titanic Europe, c’est la politique suivie par les lâches de l’UE, atteints d’une cécité volontaire et criminelle.

    A croire qu’ils répètent le scénario mis en place dans les années trente par les poules mouillées de l’époque.

    La politique de déni du danger de l’islam n’a rien à envier à celle pratiquée dans les années trente par le gouvernement britannique à l’égard du nazisme.

    La politique d’apaisement et de paix menée par les clones d’hier de nos irresponsables politiques d’aujourd’hui envers Hitler et la montée du nazisme se termina en un énorme « feu d’artifice » meurtrier qui ravagea l’Europe.

    Dans les années 1930 en Allemagne, Hitler et le nazisme gagnaient en puissance. Tandis que la nature maléfique du nazisme assombrissait le ciel au-dessus du pays, les dirigeants européens, dans leur grande majorité, ne cessaient de nier l’existence de ce mal qui se propageait sous leurs yeux.

     

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    Les discours et les rapports des dirigeants politiques et religieux, des universités et de la presse, s’évertuaient à donner aux citoyens une belle image d’Hitler. Même sa politique d’annexion des territoires limitrophes ne put discréditer la propagande d’un «Hitler homme de raison» défendue par l’establishment. « La paix à tout prix », telle était la devise de ces dirigeants aveugles et lâches.

     

    Peace agreementChamberlain, Daladier, Hitler et Mussolini le 29 septembre 1938 à la conférence pour la Paix à Münich

     

    1315200-Mussolini_Chamberlain_Hitler_et_Daladier_à_MunichLes langues fourchues (Chamberlain, Daladier, Hitler et Mussolini) fument le calumet de la paix ! Ugh ! Ugh !

    Comme ils refusèrent d’attaquer Hitler quand il était encore faible, les Européens durent se battre contre les nazis une fois ces derniers devenus très puissants, et cette prise de conscience tardive mit l’Europe à feu et à sang. La politique de la paix par l’apaisement poursuivie par l’establishment fut celle du mal.

    Cette même politique d’apaisement envers l’islam et le monde musulman en vigueur aujourd’hui, décidée par Obama et les dirigeants de l’UE au détriment de nos peuples, créera un plus grand mal encore, si la raison ne prévaut pas sur la folie suicidaire du projet Eurabia.

    Hier, les dirigeants britanniques ne prenaient pas au sérieux les renseignements communiqués par leurs propres services.

    Le gouvernement britannique désavoua magistralement les rapports détaillés de deux de ses principaux ambassadeurs sur la situation en Allemagne, en affirmant que les accusations étaient fondées sur des malentendus, des déformations, des rumeurs non confirmées… et que les informations transmises par les envoyés spéciaux britanniques sur les atrocités, les tabassages, les profanations de synagogues, commises sous le IIIe Reich, étaient basées sur des mensonges.

    Ce gouvernement servile voulait à tout prix rassurer l’ambassadeur d’Allemagne en Grande Bretagne, Léopold von Hosch, au mépris de la tragique vérité.

    La classe dirigeante anglaise se distingua par cette attitude de déni, ce silence, ce refus de voir, d’entendre et de dire du mal d’Hitler…

    Hier, il ne fallait surtout pas offenser l’immonde Führer.

    Aujourd’hui, il ne faut surtout pas offenser l’islam !

    Et les avertissements alarmants lancés par les différents services de renseignements relatifs à la présence de jihadistes de l’EI parmi les réfugiés ne sont pas pris au sérieux.

    Aujourd’hui, toute critique de l’idéologie islamo-nazie est vue comme une grave offense à l’encontre du monde musulman. L’OCI s’active à la faire condamner comme crime contre l’humanité. Les massacres d’innocents par les soldats d’ »Allah le Miséricordieux » ne sont que des détails sans importance aux yeux de cette organisation regroupant 57 pays musulmans que ne reconnaissent qu’une seule loi, celle de la charia. Mais l’UE, l’ONU et l’administration Obama soutiennent les revendications liberticides des monstres islamiques de l’OCI.

    Hier, les hommes les plus puissants et les plus influents du Royaume Uni décidèrent de ne pas déplaire à Hitler.

    Aujourd’hui, les » grands » de la planète veulent plaire à tout prix au monde musulman et aux monarchies du Golfe.

    Hier, l’establishment avait fait « de l’amour et de la paix » la religion d’état.

    Aujourd’hui, l’establishment essaye à tout prix d’imposer la « Religion d’amour, de tolérance et de paix » aux peuples occidentaux.

    L’hostilité envers les nazis était unanimement dénoncée dans les cercles du pouvoir

    Hier, la politique d’apaisement avait quasiment un sens évangélique.

    Pour certains, la frontière entre politique étrangère et religion devint floue. L’hostilité envers les nazis était unanimement dénoncée dans les cercles du pouvoir.

    Aujourd’hui, la politique d’apaisement glorifie l’islam, et toute critique ou manifestation envers la politique irrationnelle et suicidaire actuelle d’une immigration de masse, majoritairement musulmane, est passible de poursuites pénales dans nombreux pays occidentaux.

    Hier, « il fallait combattre la haine par l’amour chrétien», écrivait Margo Asquith, la veuve du premier ministre britannique.

    «Il n’y a qu’une seule façon de préserver la paix dans le monde, et de se débarrasser de votre ennemi, c’est d’arriver à une sorte d’accord avec lui – et plus cet ennemi sera mauvais, plus il faudra le combattre avec les armes du bien».

    Et de conclure : «Le plus grand ennemi de l’humanité aujourd’hui, c’est la haine».

    Aujourd’hui, il faut opposer à la haine et aux menaces islamistes l’amour du prochain et l’accueil illimité d’immigrés et de « refugiés », parmi lesquels se dissimulent des fraudeurs, des fainéants, des lâches, arrogants, barbares et violents, sans oublier les jihadistes en provenance du califat des égorgeurs. Les vrais « refugiés » sont minoritaires. Les vrais réfugiés éprouvent de la reconnaissance envers leur pays d’accueil. Ils respectent nos lois, ne violent pas nos femmes, nos filles et nos fils, et s’intègrent sans problème.

    Hier, on interdisait et on brûlait les livres susceptibles d’ébranler le bouclier de la paix.

    Pas un seul dirigeant, à l’exception de Churchill, n’avait lu Mein Kampf. Les partisans de l’entente cordiale avec Hitler semblaient complètement ignorer le grand projet d’Hitler, pourtant détaillé dans Mein Kampf, alors qu’une réalité alarmante commençait à émerger.

    Aujourd’hui, quels dirigeants peuvent se targuer d’avoir lu le coran, ce livre politico-social, saupoudré de religieux, incitant les mahométans à répandre l’islam par le jihad guerrier, la Hijra (jihad par l’immigration) et la ruse.

    Hier, la presse et la BBC censuraient toutes les nouvelles inquiétantes au sujet des nazis. Elles ne faisaient jamais le lien entre les différents faits. Le moindre événement qui parvenait à la connaissance du public, malgré ce barrage, n’était jamais analysé comme significatif d’un projet plus vaste.

    Les dépêches des journalistes en place à Berlin relatant ce qui se passait réellement dans l’Allemagne d’Hitler étaient souvent réécrites ou bien supprimées. Les rédacteurs en chef s’arrangeaient pour qu’aucune information pouvant heurter la susceptibilité des nazis ne fût publiée.

     

    L’establishment devait veiller à ne pas associer spécifiquement les nazis au mal qui se répandait dans le pays.

    Le pouvoir avait expliqué aux députés du Tory, le parti conservateur, que s’ils souhaitaient dénoncer le totalitarisme et les politiques d’agression, ils ne devaient désigner personne.

    Il était important d’éviter «le danger de mentionner directement l’Allemagne alors même que nous essayons de trouver un compromis avec elle». Les principaux titres de la presse britannique avaient alors « applaudi » des deux mains. Et tout le Royaume Uni avec elle. Ils étaient tous des hommes de paix.

    La presse se faisait un devoir de ne jamais rendre compte des horreurs commises par les nazis envers les dissidents allemands opposés à la folie d’Hitler, et les citoyens allemands de confession juive.

    Expropriés par les nazis, les Juifs erraient sur les routes d’Europe de l’Est. On était ému au plus profond par les photos de leur calvaire, mais Dawson, le rédacteur en chef du London Times refusait de les publier : il ne pouvait rien faire pour aider les victimes, avait-il expliqué à son équipe, et si l’on diffusait ces photos, Hitler en serait offensé !

     

    Aujourd’hui, n’assistons-nous pas à la même omerta de la part des médias officiels, du Pouvoir et de l’establishment ? Heureusement, qu’il existe un cinquième pouvoir : Internet et grâce aux courageux sites de ré-information, la vérité émerge très rapidement.

    Ce cinquième pouvoir de plus en plus puissant surveille et dénonce les dérives du pouvoir politique, mais également celles d’autres pouvoirs présents dans toute société.

    En conférant aux individus et aux réseaux d’individus une parole libre, Internet bouleverse les conditions d’exercice du pouvoir. La démocratie d’opinion imposée par les médias à la solde de l’establishment devient une démocratie d’opinion libérée.

    Hier, la persécution de l’Eglise d’Allemagne par les nazis ne dérangeait pas les vertueux dirigeants de l’establishment, dirigeants religieux comme dirigeants de la presse. Ils la maquillaient et lui trouvaient des prétextes.

    « Il n’y avait aucune persécution religieuse en Allemagne», avait dit Monseigneur Headlam, à peine quelques «persécutions du fait d’actes politiques».

    Geoffrey Dawson, rédacteur en chef du Times, publiait alors les sermons de l’évêque en intégralité tandis qu’il mettait au panier les dépêches de son propre correspondant à Berlin, l’informant des arrestations arbitraires de religieux allemands et leur enfermement dans des camps nazis.

    Aujourd’hui, rares sont les médias officiels et les responsables politiques qui osent dénoncer, ne serait-ce que brièvement, le génocide des chrétiens et autres minorités non musulmanes actuellement en cours en terre d’islam.

    Quant à l’Eglise, son silence est d’or sur l’idéologie pseudo-religieuse responsable du massacre des Chrétiens au Moyen Orient et ailleurs dans le monde musulman. Certes, le Pape s’indigne de l’extermination des Chrétiens, mais sans jamais nommer les responsables, encore moins l’idéologie au nom de laquelle le génocide est perpétré.

    Les déclarations indignes de certains cardinaux qui justifient leur silence sur les persécutions en cours par la crainte d’interrompre les dialogues interconfessionnels se multiplient, à l’instar de celle de Robert McManus, Evêque catholique romain de Worcester, Massachusetts, le 8 février 2013 :

    « Parler des atrocités commises par les militants islamistes extrémistes à l’échelle planétaire pourrait miner les acquis positifs obtenus grâce au dialogue interreligieux avec les pieux musulmans. »

    Pendant que les dialogues interconfessionnels amicaux se multiplient, la liste des victimes chrétiennes s’allonge

    Et … pendant que les dialogues interconfessionnels amicaux entre prélats de l’Eglise catholique et imams souriants se multiplient en Occident, au Moyen Orient, au Pakistan, au Bangladesh et en Afrique, la liste des victimes chrétiennes des persécutions musulmanes s’allonge sans fin, sans espoir d’une trêve quelconque.

    Ces similitudes entre les lâches agissements du gouvernement britannique dans les années trente, face à la montée du nazisme, et les politiques serviles actuelles de soumission de l’UE à l’islam ne sont-elles pas des plus effrayantes ?

    Remplacez Hitler par Mahomet, Mein Kampf par le coran, et vous constaterez que l’Histoire se répète.

    Nos dirigeants, politiques et religieux, nos élites médiatiques et intellectuelles, réfutant le danger de l’islam, apeurés, possèdent tous et toutes un pedigree historique identique : lâcheté et soumission devant l’ennemi pour avoir la paix des Braves !

     

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    Selon l’adage du brillant philosophe de guerre chinois Sun Tzu : « Nous devons connaître la doctrine de l’ennemi ou être annihilés. »

    Manifestement, Daladier et Chamberlain, signataires de l’accord de Münich, ne connaissaient ni leur ennemi, ni la doctrine de leur ennemi et cela coûta des rivières de sang et des torrents de larmes aux peuples européens.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

    « La France toujours à la traine comme l'eurozone.Et tous ceux qui gardent le silence de peur d'être stigmatisé. »
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