• Les roses du mal!

    En inaugurant en première commémoration pour débuter son quinquennat un hommage à Jules Ferry, François Hollande commet sa première bévue.

    Il serait bon de rappeler à François Hollande que Jules Ferry, qui était nommé le tonkinois par Clémenceau, eut été un fervent défenseur de la politique coloniale de la France. Il déclara un jour : «Je répète qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures». 

    On se demande bien où sont passés tous les conseillers humanistes de gauche ainsi que l’armada de donneurs de leçons le jour où il pris la décision de rendre hommage à un colonialiste ?

    Taubira et bien d’autres du gouvernement PS on dû se ronger le frein !

    http://www.universalis.fr/encyclopedie/jules-ferry/3-ferry-le-tonkinois/

      

      

      

      

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  • Les propagandistes rouges !

    Depuis plusieurs décennies les français ont pu constater et surtout ces derniers temps avec les élections qui se succèdent, que les journalistes deviennent de vrais propagandistes, nervis de la gauche bourgeoise parisienne, et que les instituts de sondages ont carrément viré dans le rouge, dans le stalinisme avec un militantantisme accru dans la falsification des chiffres afin d’influer sur les tendances, ne projetant plus une impression, un ressentiment populaire dans les sondages mais en provocant une influence, une prépondérance !

    A l’élection présidentielle tout aura été fait par l’IFOP, le CSA, LH2, BVA pour que Mélenchon devienne le troisième homme de cette élection et jusqu’au dernier jour où, ils ont révisé leurs chiffres afin de ne pas paraitre ridicule et manipulateur, mais la manipulation est bien là !

    L’élection change, de la présidentielle nous passons aux législatives mais les manœuvres de manipulations n’évoluent pas, elles sont toujours les mêmes manigancées toujours par les mêmes !

    Voilà t-il pas que le parachuté haineux et égocentrique de Mélenchon deviendrait suivant un sondage extrêmement bien orchestré le premier homme d’Hénin Beaumont devant Marine Le Pen, lui qui s’est affiché avec un petit 11% à la présidentielle face à un 36% de Marine, plus c’est gros plus ça passe, c’est un véritable scénario Orwéllien !

    Non, décidément en France le quatrième pouvoir n’est plus autonome il est larbinisé, vendu au système UMPS, et ce genre de manipulation ne peut que servir les intérêts de l’UMP avec une grande complicité gauchiste. A qui profite le crime ?

    Le lamentabilisme est de mise avec ces politiques, le changement ce n’est pas avec le PS frère siamois de l’UMP, c’est avec Marine et le Front National !

    http://www.frontnational.com/2012/05/sondage-iflop-melenchon-est-toujours-le-candidat-des-journalistes-et-des-sondeurs/

    Sondage Iflop : Mélenchon est toujours le candidat des journalistes et des sondeurs...

    Communiqué de Steeve Briois, Secrétaire Général du Front National, Conseiller municipal d’Hénin-Beaumont, Suppléant de Marine Le Pen

    En juin 2007, l’institut de sondage Iflop, dirigé par la patronne du Medef Laurence Parisot, publiait un sondage concernant les élections législatives dans la circonscription d’Hénin-Beaumont. Ce sondage plaçait Marine Le Pen en 4ème position, à 14 %. L’Ifop se trompait alors de (seulement) 10 points puisque Marine Le Pen réalisa 24 % au soir du premier tour.

    Durant l’élection présidentielle le même institut plaçait, quelques semaines avant le premier tour, Mélenchon à égalité avec Marine Le Pen.

    Aujourd’hui, pour être à la une du « JDD » et faire le buzz, l’institut Iflop fait encore plus fort et fait passer, dans la circonscription d’Hénin-Beaumont, Jean-Luc Mélenchon de 14 % à la présidentielle à …29 % à la législative ! Mélenchon aurait augmenté de 100 % en quelques jours, du jamais vu…

    Mieux, au second tour, il récolterait l’intégralité des voix socialistes du premier tour dans un contexte de fortes divisions à gauche, mais aussi des voix Sarkozystes. Enfin, 4 candidats sur 14 récolteraient 97 % des voix, les 10 autres candidats devant se partager 3 %, ce qui est mathématiquement impossible.

    En réalité, ce sondage est totalement bidon et démontre que, comme à présidentielle, Jean-Luc Mélenchon est le candidat des journalistes et des sondeurs. On pensait que ces élites autoproclamées avaient compris les leçons de la présidentielle. Ils récidivent à la campagne des législatives, où jamais un candidat n’avait bénéficié d’ une telle propagande médiatique.

    Steeve Briois y voit, comme pour la présidentielle, un signe rassurant d’un système à bout de souffle qui cherche à se protéger coûte que coûte. Le verdict des élections législatives des 10 et 17 va refroidir tout ce microcosme parisien qui se regarde le nombril.

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  • Le PS est au pouvoir et s'engage déjà à modifier la loi de 1905 afin de parvenir à leur fin, s'arranger à ce que la France s'islamise.  Manuel Valls est le premier à dresser la pierre de l'édifice islamiste, Manuel Valls, estime qu’il faut «faire évoluer la loi de 1905 afin de permettre la construction des lieux de culte à travers un financement transparent, et par conséquent public». 

    http://www.liberation.fr/politiques/0101463215-valls-ps-pour-un-financement-public-des-mosquees

    Valls (PS) pour un financement public des mosquées.

    Dans une tribune publiée par l'hebdomadaire Marianne, le député-maire socialiste d'Evry, Manuel Valls, estime qu'il faut «faire évoluer la loi de 1905 afin de permettre la construction des lieux de culte à travers un financement transparent, et par conséquent public». Une telle évolution permettrait d'empêcher «les financements et les moyens de contrôle de l'étranger». Selon le député PS, la laïcité ne doit pas être une contrainte mais une «valeur partagée». Il ne faut pas, poursuit-il, qu'elle soit «vécue par les musulmans comme un prétexte pour empêcher la pratique de la deuxième religion du pays».

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  • Mélenchon et la course effréné à la reconnaissance ! 

     

    Mélenchon et la course effréné à la reconnaissance !

    Nous aurons tous entendu parler, non, entendu vociférer Mélenchon pendant la présidentielle et même avant, insultant, provocant les médias, afin d’attirer vers lui les flashs et les lumières des caméras où il se complet à déverser de grandes litanies de haines dans une vulgarité qui lui est chère à l’encontre de Marine Le Pen et des militants, sympathisants et électeurs du Front National. Mélenchon est le cas stéréotype du communiste antifrançais, ce n’est pas l’antéchrist mais l’anti France.

    Pourquoi court il après Marine et le Front National ?                        

    Etant donné que l’élection présidentielle est finie, adieu pour lui le grand frisson des plateaux télés, les journalistes, euh non je les appellerai les propagandistes de gauche, adieu tout ce monde qui lui gravité autour et place à l’oubli, au placard !

    Le narcissique qu’il est ne pouvait s’y résoudre, il est tellement égocentrique que cela en devient de l’autoérotisme, et c’est pour cela qui lui faut quelqu’un de grand, de beau, de fort, d’intelligent pour qu’on ne l’oubli pas pour qu’on parle de lui, il lui faut la meilleure, Marine Le Pen !

    Donc Mélenchon prend la direction d’Hénin Beaumont, pour se battre pour les Héninois et les Beaumontois, sûrement pas, défendre les intérêts des français, il n’en a que faire, se poster aux côtés des ouvriers français qu’il veut remplacer dans les usines par des hordes d’immigrés, non bien sûr, alors pour la France, non il s’en fout, il va à Hénin Beaumont pour qu’on puisse parler de lui grâce à Marine !

    La politique il s’en fout, il préfère s’en servir pour sa propre ambition, c’est un pur produit du système, trente ans au PS ça parle et c’est formateur, c’est l’usine qui fabrique des démagogues, des stigmatiseurs et des humanistes ridicules.

    Le pire c’est que dans sa folle quête de reconnaissance il ne sert que les intérêts de l’UMP en affaiblissant les voix du PS.

    Mélenchon est franc comme un âne qui recule et il ne fait peur ni à Marine ni au Front National !   

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  • http://www.nationspresse.info/?p=170325

    Christiane Taubira, Garde des Sceaux, a été condamnée par la justice en octobre 2004

     

    Le nouveau Garde des Sceaux est une repris de justice ! Ayrault, puis Fabius et maintenant Taubira… Le candidat socialiste déclarait le 14 avril dans Le Journal du Dimanche : « Je n’aurai pas autour de moi à l’Élysée des personnes jugées et condamnées. » Un quinquennat hollandien qui commence donc par un bien gros mensonge…

    Le 15 mai, soit exactement un mois après cette déclaration médiatique, François Hollande, président de la République fraichement intronisé, nommait Jean-Marc Ayrault, son ami et compagnon de route au PS, Premier ministre. Le nouveau Premier ministre avait été, en 1997, condamné à six mois avec sursis et à l’équivalent de 4.500 euros d’amende pour favoritisme dans une affaire de marché public. N’ayant fait l’objet d’aucun appel, la peine est devenue effective en 1997 et a été considérée comme exécutée cinq ans plus tard. Et le député-maire de Nantes a été réhabilité en 2007.

    Même chose pour Laurent Fabius : le député de Seine-Maritime, ancien Premier ministre de François Mitterrand, avait été mis en examen pour homicide volontaire de l’affaire du sang contaminé. Il a comparu en février et mars 1999 devant la Cour de justice de la République qui l’a relaxé le 9 mars 1999. Il est devenu le ministre des Affaires étrangères de François Hollande.

    Et aussi pour Christiane Taubira, devenue Garde des Sceaux, qui, en septembre 2004, a été condamnée aux pour le licenciement injustifié et la rupture abusive de son ancienne assistante parlementaire Sylvia Edom.

    A l’époque L’Express relatait l’évènement comme suit :
    « La rentrée parlementaire de Christiane Taubira a eu lieu en avance, dans une petite salle au quatrième étage du conseil des prud’hommes de Paris, où, le lundi 27 septembre, la députée de la Guyane a été condamnée. Son ancienne assistante parlementaire d’octobre 2002 à avril 2003, Sylvia Edom, a obtenu la requalification de ses deux CDD en CDI. Le conseil a également estimé son licenciement injustifié et la rupture du CDD « abusive ». Si elle échappe au paiement d’heures supplémentaires réclamé par la partie adverse, l’ex-candidate à l’élection présidentielle devra lui verser 5.300 euros. Se disant « sûre de son bon droit », elle ne s’interdit pas de faire appel et s’ « étonne du bruit soulevé par cette affaire ordinaire ».

    Celle-ci témoigne d’un malaise grandissant chez les assistants. Selon l’Union syndicale des collaborateurs parlementaires, il y a eu depuis le début de l’été environ 70 licenciements parmi les petites mains des députés. Le secrétaire général de l’organisation, Jean-François Cassant, évoque la multiplication de « mauvaises pratiques » à l’Assemblée depuis un an. Et passe à l’offensive : le 5 novembre, il présentera avec son homologue du Sénat un projet de convention collective des assistants parlementaires. Une démarche symbolique, car l’Assemblée ne peut pas signer un tel texte, n’étant pas considérée comme l’employeur des assistants, même si elle alloue chaque mois aux députés 7 500 euros pour rémunérer leurs collaborateurs. C’est ce qu’a confirmé le 18 février la Cour de cassation : « Les députés composant l’Assemblée nationale ne constituent pas une unité économique et sociale. » Chacun d’entre eux gère donc sa petite entreprise comme il l’entend. Au risque, tout de même, de se faire taper sur les doigts s’il ne respecte pas la loi. Un comble pour ceux qui l’élaborent. »

    Pas joli, joli, le sens social de Madame le Garde des sceaux !

     

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  • http://www.atlantico.fr/decryptage/valerie-trierweiler-saura-t-elle-se-convertir-au-format-pdf-premiere-dame-france-serge-federbusch-356058.html

    Valérie Trierweiler saura-t-elle se convertir au format PDF
    (Première Dame de France) ?

    La "Première Dame" fait déjà parler d'elle avec les affaires Pierre Salviac, viré de RTL pour un tweet insultant, et Julien Dray, éconduit rudement du QG de François Hollande. Pourra-t-elle continuer à rester journaliste comme elle le souhaite ?

    Décidément, les craintes nourries ici et là sur le tempérament intrusif et brutal de la future « première compagne de France » trouvent à s’alimenter en peu de jours. Et déjà un surnom apparaît : Valérie Trierweiler, la « vire à gogo ».

    Voilà qu’on vient d’apprendre en effet, dans les colonnes du Parisien-Aujourd'hui en France, que le pauvre Julien Dray s'est vu expulser par Valérie Trierweiler du QG de François Hollande où était organisé un pot pour la fin de la campagne. Sa faute ? Avoir convié à son anniversaire Dominique Strauss-Kahn sans prévenir les autres invités de la présence de l'ancien directeur général du Fonds monétaire international. François Hollande a échappé à ces compromettantes fréquentations grâce à Manuel Valls, piégé sur place mais qui sut prévenir à temps le candidat.

    La victoire de dimanche dernier autorisait peut-être un peu plus d’ouverture d’esprit et de générosité de la part d’une personne dont on ne sait toujours pas quel est le statut officiel et qui a pourtant réclamé il y a peu au président de l’Assemblée nationale des sanctions contre un député qui s’était moqué de son nom (voir l'article dans Atlantico).

    Cela ne serait pas si gênant s’il n’y avait eu au même moment la brutale éviction de Pierre Salviac de l’antenne de RTL pour un tweet malvenu sur l’intérêt de « coucher » quand on est une journaliste ambitieuse désirant devenir première dame. Cette sanction est disproportionnée. Bien sûr, rien ne démontre qu’elle ait été prise à la demande de madame Trierweiler mais le simple fait que la radio ait réagi si vite et brutalement alors que Salviac était coutumier de tweets douteux montre que les médias ont déjà intériorisé la nécessité de se tenir à carreau.

    On rappellera aussi que le Canard enchaîné, dans sa dernière édition, relate le ton extrêmement sec sur lequel madame T. a rappelé à une journaliste de Paris Match que le fils de François Hollande était celui de l’ « ancien couple » et non du couple qu’il formait avec Ségolène Royal. « A quoi joues-tu ? » demandait-elle, une question un peu étrange dans sa brutalité.

    Voilà, que les lecteurs se rassurent, nous ne sommes pas coutumier des rubriques people ou faits divers. Mais il ne faudrait pas que notre douce France soit, dans ses plus prestigieux palais, sujet à des accès d’autoritarisme quasi-conjugaux. Ce n’est pas le genre de beauté de notre pays, si libéral pour ses mœurs. C’est dur, la conversion au format « PDF » (première dame de France) !

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