• http://grincheux.typepad.com/weblog/2016/09/les-membres-du-modem.html

    Les membres du Modem

    Robert Rochefort MoDem-02.09.2016

    Robert Rochefort, vice-président du Modem, a été interpellé mercredi 30 septembre pour exhibition sexuelle dans le Castorama de Vélizy-Villacoublay (Yvelines). Il aurait été trouvé par un vigile «en train de se faire plaisir» -de se masturber, dit l'AFP- dans les rayons du magasin de bricolage, à proximité de deux adolescentes de 14 et 17 ans. Il aurait eu le sexe sorti du pantalon mais les jeunes filles n'auraient rien vu et n'auraient pas porté plainte. Il a expliqué aux policiers avoir «avoir besoin de se masturber» quand il était «en situation de stress».

    Chez Casto, y'a vraiment tout c'qu'y faut. C'est la guerre, nous répètent Hollande et Valls (sans toutefois la faire, se contentant de la faire subir), alors François Bayrou a sonné le branle-bas de combat. Son adjoint Rochefort aura compris de travers. Robert Rochefort est plus que "membre" du MoDem, il en est le "vice" président !

    SOURCES : JDD, Huffington Post, Le Parisien

    En passant, il est intéressant de "rappeler" ce que signifie "branle-bas". De branle, dans le sens de hamac, et de bas. Expression de la marine de guerre à voile. L’expression signifie « décrocher son hamac ». Cet ordre était donné avant le combat, pour d’une part faire de la place aux pièces d’artillerie, mais surtout placer les hamacs contre la paroi intérieure du navire. Cette couche supplémentaire limitait la course des éclats de bois, bien plus dévastateurs que le boulet de canon en lui-même lorsqu’un boulet de canon ennemi traversait la coque en bois.
       Après leur découverte par la flotte de Christophe Colomb en 1492 (les Indiens les utilisaient afin de ne pas être au contact du sol et envahis par les insectes,
    les Espagnols ont introduit l'usage des hamacs à bord des navires. Le hamac, surnommé « branle », permettait aux matelots de dormir dans un certain calme, une partie des mouvements des navires étant absorbée par les cordages (les « araignées ») qui le suspendaient.

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  • http://www.contribuables.org/2016/09/le-camp-de-migrants-de-paris-coutera-653-millions-deuros/

    Le camp de migrants de Paris coûtera 6,53 millions d’euros

    Centre migrants paris

    Un nouveau camp de réfugiés est en cours de construction à Paris. Ce centre est destiné à l'accueil des réfugiés arrivés dans la capitale.
    L’État et la Ville de Paris cofinancent un camp pour migrants. Ce centre qui est appelé à accueillir 800 migrants fin septembre sera établi au 70 boulevard Ney, près de la porte de la Chapelle, dans le XVIIIe arrondissement.Selon le journal Le Monde,« son installation coûtera 5,2 millions d’euros à la Ville de Paris et 1,33 million à l’Etat. […] Globalement, le budget annuel est évalué à 8,6 millions d’euros, soit 40 euros par personne et par jour. »Les bénéficiaires du centre ne pourront y rester que de cinq à dix jours.On peut s’interroger sur l’opportunité de cette solution coûteuse, qui risque de conduire à un nouvel appel d’air de réfugiés à Paris.Ce projet est de courte durée : ce terrain devant être récupéré dans deux ans pour l’élargissement des locaux du campus universitaire Condorcet.La création de ce « camp humanitaire » risque aussi de précariser encore un peu plus les réfugiés à leur sortie obligatoire au bout d’un délai de dix jours.
    ****
     A découvrir : l’étude de Contribuables Associés par l’expert Jean-Paul Gourévitch sur le coût des migrants.
    migrations méditerranéennes 2015
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  • http://grincheux.typepad.com/weblog/2016/09/burkini-charlie-hebdo.html

    L'affaire est dans le sac

    Charlie Hebdo-Burkini le sac à papates qui unit la gauche-30.08.2016

    Edwy Plénel - Najat Vallaud-Belkacem - Emmanuelle Cosse

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  • https://observatoiredumensonge.com/2016/09/05/burkini-et-gouvernement-des-juges-un-apercu-historique-interessant/

    Burkini et gouvernement des juges: un aperçu historique intéressant

    Un texte instructif co-signé par Yvan Blot, le général Antoine Martinez et Nicolas Stoquer  

     

    TRIBUNE

     

    Burkini et gouvernement des juges: un aperçu historique intéressant

     

    La décision du Conseil d’Etat de suspendre l’arrêté anti-burkini de Villeneuve-Loubet se situe dans la droite ligne de la confiscation du pouvoir législatif et réglementaire depuis 40 ans en France par le juge administratif dans le domaine de l’immigration. Souvenons-nous des arrêts GISTI qui dans les années 70 élèvent en « principe général du droit » le regroupement familial pour les familles étrangères en France malgré le revirement du président Giscard d’Estaing à la fin de son septennat sur ce sujet sensible.
    Les médias dans leur grande majorité ont célébré cette décision qui voit triompher « l’Etat de droit », confirmant leur alliance idéologique avec les juges dès qu’il est question d’étendre les droits des étrangers et des minorités religieuses en France. Et tant pis si cette décision a pour conséquence de faire primer la subjectivité de 3 juges connus, comme nombre de leurs collègues, pour leur constante prise de position immigrationniste, sur la décision d’élus locaux dont la légitimité démocratique et populaire est pourtant incontestable.
    Et de même que « l’Etat de droit » se trouve en contradiction avec le premier principe de la démocratie qui fait découler l’autorité de l’élection au suffrage universel, le juge administratif, nonobstant son jugement rendu prétendument « au nom du Peuple français », fait droit dans cette décision aux requêtes d’associations islamo-gauchistes et communautaristes extrêmement minoritaires que sont La Ligue des Droits de l’Homme (LDH) et le Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF), cette dernière association soupçonnée d’accointance avec l’idéologie salafiste.
    Cette indéniable trahison du Peuple par les juges découle de l’affirmation d’une prétendue supériorité morale de ces derniers sur le simple citoyen. Cette position leur est acquise depuis qu’ils se sont autoproclamés les gardiens sourcilleux de la déclaration universelle des droits de l’Homme. Deux faits historiques avérés doivent être pourtant rappelés pour relativiser très fortement la prétention des juges. Quant à leur supériorité sur le simple citoyen ou l’élu de la Nation, il faut se souvenir que seul un magistrat n’a pas prêté serment en 1940 au Maréchal Pétain, ce qui donne un aperçu intéressant du courage de nos valeureux juges en période d’exception, comparé aux nombreux Français qui ont su pour leur part entrer dans la Résistance. Quant à l’infaillibilité des décisions de justice prises au nom des droits de l’Homme, méditons ensemble l’arrêt Dred Scott contre Sanford rendu par la Cours suprême des Etats-Unis en 1857 justifiant l’esclavage au nom des droits de l’Homme (le droit de propriété…). Il faut dire que les valeurs énoncées dans la déclaration sont souvent antinomiques et permettent au juge de faire primer selon son idéologie et au gré de sa seule subjectivité, tantôt la liberté, tantôt l’égalité ou encore la sécurité, la liberté de culte ou le droit de la propriété… Ainsi, nous aboutissons à deux décisions du Conseil d’Etat en plein cœur de l’été rendues selon des principes de la déclaration des droits de l’Homme, l’une ordonnant l’expulsion par la force d’une communauté catholique dans l’église Sainte Rita de Paris, le principe de propriété ayant été retenu plutôt que celui de la liberté de culte, l’autre confortant le port du burkini par des musulmanes selon l’exclusif principe de liberté.
    Cette dictature des juges trouve fort heureusement ses limites dans les réactions vigoureuses que les peuples opposent parfois à ces nombreux coups de force juridiques. Plusieurs exemples étrangers doivent être appréciés. Ainsi La Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), qui s’était avisée dans un premier arrêt LAUTSI de faire interdire en Italie les crucifix dans les classes des Ecoles Publiques, a prestement battu en retraite après les réactions indignées des autorités publiques italiennes aiguillonnées par un mouvement populaire significatif. La Cour de Strasbourg a utilisé lors de son revirement la notion très intéressante de « religion majoritaire », celle-là même qui permet en Suisse de continuer à ériger des clochers mais interdire la construction des minarets.
    C’est de Suisse et de son système de Démocratie Directe que viendra probablement le salut face aux gouvernements des juges car si le personnel politique se montre souvent sourd aux aspirations des citoyens et complice des décisions judiciaires abusives, le dernier mot doit toujours en démocratie en revenir au Peuple. Aussi la dernière Initiative Suisse, contre les prétentions de son Tribunal Fédéral à faire primer le droit dérivé européen et en particulier la Convention Européenne des Droits de l’Homme sur le droit fédéral Suisse et sur les référendums d’Initiative Populaire, sera-t-elle particulièrement intéressante à suivre. Le résultat de la future votation est attendu en 2018 qui réservera au Peuple le dernier mot en la matière.

     

    Ivan BLOT

     

    Inspecteur général honoraire au ministère de l’Intérieur
    coprésident des Volontaires Pour la France

     

    Antoine Martinez

     

    Général (2s) Armée de l’Air
    coprésident des Volontaires Pour la France

     

    Nicolas STOQUER

    Président fondateur du RPF
    *** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur ***

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  • L'un des facteurs oublié est aussi l'immigration massive et incontrôlé, de plus avec deux années de non chiffrage 2015 et 2016 la situation n'a pas dû s'arranger mais plutôt se tendre ! qu'elle est la réponse politique des pouvoirs de gauche et de droite, encore plus d'humanisme de laxisme de laisser-fairisme. Incompétence stupidité sont les deux mamelles de la caste politico-médiatique.

    Patriote64

    http://www.economiematin.fr/news-pauvrete-france-salaire-revenus-menages-etude-montant-inegalites

    Inégalités : 8,8 millions de pauvres en France en 2014


    La France a beau être un pays riche occidental et une des principales puissances mondiales, elle ne semble pas en mesure de lutter efficacement contre la pauvreté. L'Insee a publié mardi 6 septembre 2016 sa dernière étude sur les niveaux de vie des ménages français et le moins que l'on puisse dire c'est que ça ne va pas bien. Il y a 14,1 % de la population française qui vit sous le seuil de pauvreté.

    1 679 euros par mois : le revenu médian en France ; 1 008 euros par mois, le seuil de pauvreté

    Etes-vous pauvres ? Riches ? "Dans la moyenne" ? Pour le savoir c'est facile : il faut calculer seloin les termes de l'Insee ce que vous touchez chaque moi. Ce calcul est simple : l'Insee considère comme revenu mensuel toutes les rentrées d'argent (du salaire au Livret A en passant par les loyers) d'un ménage et divise la somme par le nombre de personnes du ménage (les célèbres Unités Constituantes (UC) utilisées dans votre calcul de parts pour les impôts) en fonction du barème qui suit : 1 UC pour le premier adulte, 0,5 UC pour les autres adultes de plus de 14 ans et 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans.

    En 2014, année sur laquelle porte la dernière étude de l'Insee sur la pauvreté, le revenu médian (celui qui sépare la population française en deux) s'établit à 1 679 euros par mois, soit 20 150 euros par an (pour une personne seule). Si vous touchez moins vous faites partie des 50 % les plus pauvres, sinon des 50 % les plus riches.

     

    Le seuil de pauvreté, lui, est fixé par l'Institut à 1 008 euros par mois (12 096 euros par an) ; les 10 % les plus pauvres de France ne gagnent que 10 770 par an tandis que les 10 % les plus riches disposent de 37 260 euros par an (toujours pour une personne seule).

    Plus d'un Français sur dix est pauvre

    L'étude de l'Insee permet ainsi de découvrir la réalité des inégalités sociales en France : avec 14,1 % de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté, la France compte tout de même 8,76 millions de pauvres. La faute à la crise puisqu'avant 2007 ce nombre ne dépassait pas les 8 millions. Mais avec le chômage en augmentation et les salaires qui stagnent, la situation n'est pas rose.

    Les chômeurs sont d'ailleurs la catégorie la plus à risque pauvreté (36,6 %) suivie des familles monoparentales (35,9 %). Les enfants sont très touchés : 20 % d'entre eux vivrait dans un ménage "pauvre".

     

     
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  • http://www.loretlargent.info/cours-de-lor/4-raisons-simples-de-croire-a-une-prochaine-hausse-de-lor/18415/

    4 raisons simples de croire à une prochaine hausse de l’or

    lingots d'or en hausse

     

    Alors que le métal jaune se situe pour l’instant à des niveaux parfaitement corrects, sans être extraordinairement élevés pour autant (surtout si on compare avec son plus haut de décembre 2011, à plus de 1920 dollars l’once), de plus en plus d’experts s’accordent sur le fait que la période actuelle ne saurait être qu’une phase d’attente du marché avant une brusque explosion des cours de l’or.

     

    Passons rapidement sur l’hypothèse évoquée par certains analystes selon lesquels l’or pourrait au contraire chuter aux alentours de 600 dollars l’once. D’abord parce qu’une telle éventualité semble peu probable au regard des coûts de production de plus en plus élevés liés à la raréfaction et à l’appauvrissement des gisements. Mais aussi et surtout parce que cette « prévision » semble méconnaître la façon dont les cours de l’or s’apprécient face aux devises, et d’une manière générale face à l’économie dans son ensemble.

     

    Une baisse majeure très improbable

     

    Quand l’économie traditionnelle va bien, que les monnaies sont fortes et que les perspectives sont bonnes, alors l’or, en sa qualité de valeur-refuge, n’enregistre que peu de demande (ce qui entraîne une baisse des cours). En revanche, lorsque un ou plusieurs indicateurs macro-économiques sont dans le rouge, le métal jaune grimpe plus ou moins vite selon la gravité de la situation. Aujourd’hui, TOUS les indicateurs sont au rouge vif cramoisi clignotant, avec alarme sonore en prime, et les perspectives d’avenir s’annoncent encore plus sombres. Et ce n’est que parce que les banquiers manipulent (de manière assez malhonnête, il faut le dire) les cours de l’or en « fabriquant » de l’or-papier que la valeur du métal reste contenue très en-dessous du niveau auquel elle devrait se situer normalement.

     

    Ainsi, ceux qui parient sur la baisse de l’or sont, soit complices des banquiers tout en étant assez naïfs pour croire que le château de cartes va tenir éternellement à mesure que le vent de l’instabilité des marchés forcira (et on n’est déjà pas loin de la tempête…), soit suffisamment ignorants en la matière pour pouvoir raconter n’importe quoi sans rougir.

     

    Une hausse des cours de l’or inévitable

     

    Je ne vais pas ici entrer dans l’analyse technique des marchés à grands coups de graphes et de chandeliers. Je ne vais pas non plus essayer de décrypter les signaux politico-économiques à l’échelle de la planète pour tenter de deviner l’avenir. Non, je vais juste rappeler quelques faits simples, évidents, connus de tous, et en tirer ce qui me semble une conclusion logique.

     

    1. La Pénurie

     

    Tout d’abord, ce n’est un secret pour personne, et même s’il est difficile de se mettre d’accord sur les chiffres exacts, nul ne peut nier que les gisements d’or se font de plus en plus rares, de plus en plus profonds, de plus en plus difficiles à exploiter, tout en étant… de moins en moins riches en minerais. Conséquence inévitable, l’or déjà rare va le devenir de plus en plus. Un argument indéniable en faveur de la montée des cours à moyen ou long terme.

     

    À titre d’illustration, l’expert James Rickards relate une anecdote survenue lors d’une visite chez un fondeur suisse en avril dernier. Là, son contact lui explique que la raffinerie expédie plus de 500 tonnes d’or par an vers la Chine, mais que ce rythme devient de plus en plus compliqué à tenir. Il donne alors  comme preuve la date de fabrication des derniers lingots expédiés. Dans cette fonderie, la règle veut en effet que les dernières barres d’or fondues soient celles qui partent en premier, ce qui permet d’assurer la rotation rapide des derniers minerais extraits tout en ménageant une réserve en cas de pénurie provisoire. En ce moment, la fonderie en est réduite à expédier des barres fondues… dans les années 1980 ! Ce qui signifie que, non seulement la demande est plus haute que jamais mais qu’en outre les stocks d’or disponibles sont au plus bas, obligeant les fondeurs à puiser dans leurs réserves pour livrer leurs clients.

     

    2. Taux négatifs

     

    Depuis quelques mois, un an peut-être, la finance mondiale a décidé de marcher sur la tête. Désormais, les taux d’intérêts des banques centrales sont négatifs, ce qui signifie qu’on a dépassé le stade de l’argent pas cher, et même de l’argent gratuit, puisqu’on est maintenant entrés dans l’ère de l’argent qui s’auto-détruit. Tout le monde est conscient que cette fuite en avant constitue la pire des manœuvres désespérées qu’on pouvait envisager, et qu’en plus elle ne fonctionne pas comme on le souhaitait. Tout le monde sait aussi que le peu de confiance qu’on pouvait encore accorder à la finance et aux monnaies-dette a dorénavant complètement disparu et que de plus en plus de gens se tournent vers des solutions de repli hors système bancaire et autres valeurs refuge (comme l’or, mais aussi l’immobilier par exemple) en espérant tenir le temps que passe l’orage (qui risque plus de ressembler à un déluge biblique, soit dit en passant).

     

    Toute le monde, enfin, sait que lorsqu’il faudra revenir en territoire positif, de nombreuses banques mais aussi de nombreux États se retrouveront automatiquement en situation de faillite… qu’on s’efforcera bien sûr d’éviter en déversant des quantités astronomiques de liquidités nouvelles dans lesquelles plus grand monde n’aura confiance. À ce titre, il y a de grandes chance que la valeur des richesses tangibles grimpe en flèche. Un point de plus pour l’or.

     

    3. Indices surcotés

     

    Les places boursières mondiales se félicitent actuellement de leur bonne tenue en dépit des évènements majeurs (et souvent désagréables) qui agitent l’économie en ce moment. Ainsi, terrorisme ou pas, Trump ou Clinton, guerre ou paix, le Dow Jones flirte actuellement avec ses plus hauts, tutoyant parfois les 18400 points alors qu’il n’était même pas à 14000 à la veille des subprimes en 2008. En Europe, même son de cloche, à croire que le Brexit n’a eu strictement aucune incidence.

     

    Et pourquoi cette apparente bonne santé ? Grâce aux valeurs bancaires qui claquent des records de performance boursière insolente. Sauf que si les banques sont aussi florissantes (en apparence, toujours), c’est parce qu’elles ont été abreuvées, inondées, submergées de devises fabriquées à une cadence infernale par le jeu des Quantitative Easing. En clair, de la monnaie de singe qui vient renforcer l’intérêt de se positionner urgemment sur des valeurs tangibles avant que tout parte à vau-l’eau.

     

    D’ailleurs, quand on y regarde de plus près, certains signes ne trompent pas. Ainsi, dès l’annonce du Brexit, le cours de l’or a bondi de 15 ou 16 % alors que ce genre d’évènement (en temps normal) n’était pas de nature à provoquer une telle réaction. De la même façon, en France, on a beau se dire qu’on a évité au CAC40 de sombrer en-deça des 3900 points (comme on pouvait le craindre au printemps dernier), les efforts pour redynamiser artificiellement l’indice parisien ne parviennent pas à faire illusion au-delà des 4500 points, comme si ce seuil constituait la limite à la surcote : régulièrement approchée, parfois effleurée, jamais dépassée, avec parfois des corrections brutales et retour aux alentours de 4200 points en quelques jours…

     

    Qui dit surcote dit bulle, et qui dit bulle dit explosion à un moment ou à un autre. Les plus prudents ont depuis longtemps retiré leurs billes des marchés financiers traditionnels et même certains cabinets d’investissement recommandent désormais l’or et les métaux précieux pour « diversifier et protéger son capital ». Du jamais vu depuis plus de 20 ans !

     

    4. Dollar en berne

     

    Encore un fait avéré et établi : l’or monte mécaniquement quand le dollar baisse (et réciproquement), quel que soit le rapport entre l’offre et la demande d’or physique qui, tant qu’on ne craignait pas de pénurie, n’ont jamais vraiment influé sur les cours. Aujourd’hui, l’or se situe au niveau de ce qu’il valait en dollars dans les années 80-90, alors que le dollar a perdu la moitié de sa valeur relative depuis cette époque.

     

    La situation actuelle est une « anomalie »

     

    Dans un tel contexte, n’importe quelle matière première verrait ses cours exploser sans commune mesure. Étonnamment, l’or reste on ne peut plus calme, en violation des règles économiques les plus élémentaires.

     

    En réalité, ce qui ressemble à une « anomalie » n’est rien d’autre qu’une vaste fumisterie à l’échelle planétaire destinée à sauver les marchés financiers classiques. Parmi les manœuvres irrégulières mises en place par les banquiers centraux, on trouve des interventions massives sur le marché des produits dérivés qu’ils inondent de « contrats-or » censés être garantis par de vrais lingots. On sait aujourd’hui que cet or virtuel excède de beaucoup l’or réellement disponible dans les coffres, ce qui a pour effet de maintenir les cours du métal artificiellement bas. On sait aussi que cette stratégie montre des signes de fatigue et que la défiance envers les banques nuit de plus en plus à la crédibilité de leurs contrats-or.

     

    Au final, à l’occasion d’une prochaine crise majeure, tous ces titres prétendument adossés à de l’or — mais dont on soupçonne que 80 à 90% sont construits sur du vent — pourraient bien révéler brusquement leur vacuité, et disparaître en même temps que les institutions qui les ont créées. Ainsi sauterait le dernier verrou libérant l’envolée des cours de l’or… physique !

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  • http://www.contre-info.com/le-difficile-chemin-du-politiquement-correct-tourne-au-ridicule

    Le difficile chemin du politiquement correct tourne au ridicule

    Le politiquement correct est mis à toutes les sauces et devient de plus en plus difficile à appliquer à cause de ses contradictions. Ce qui s’est passé sur la chaîne Canal + dans l’émission du Grand journal en est révélateur : Déjà, il faut savoir qu’il y a une nouvelle formule de cette émission avec de nouveaux présentateurs. On aurait pu penser que cela est une bonne chose, tant il est difficile de regretter le méphitique Yann Barthès. Hélas, après la première émission de cette nouvelle monture, il faut revoir son jugement, car elle semble réaliser l’exploit pourtant difficile de faire pire que la précédente… et d’ailleurs, ça en devient cocasse, tant on touche l’absurde.

    Ainsi donc, de nouveaux présentateurs sont à la table du Grand journal. Parmi eux, une certaine Béatrice Boréale. Vous ne la connaissez pas, c’est normal, elle n’a aucun talent reconnu. Alors, pourquoi figure-t-elle dans cette nouvelle émission ? Tout simplement parce qu’elle se définit comme « trans » (sic), autrement dit, elle est née homme et se prétend femme. Ca suffit comme qualité pour être chroniqueur au Grand Journal. Pathétique… Histoire de pousser la provocation le plus loin possible, « Dame » Boréale arbore autour du cou une croix chrétienne. Quand on sait que le lobby LGBT ne cesse de fustiger l’Église, sans cesse accusée d’être homophobe ou on ne sait quelle tare à ses yeux, on voit le niveau de provocation et encore une fois, on en est presque à regretter l’ancienne formule, mais passons…

    Là où ça devient cocasse, c’est ce qui s’est passé quand Ornella Fleury est intervenue. Cette dernière, normalement, doit parler de météo, mais elle n’a pu s’empêcher de faire des commentaires sur ses acolytes présents sur le plateau. Elle a d’abord vanné le remplaçant de Yann Barthès, un certain Victor Robert, à cause de son manque de notoriété. Puis ce fut le tour de « Dame Boréale » à être chambrée : Elle lui dit : «  Bonsoir monsieur-dame, enfin Brigitte » avant de poursuivre avec une phrase salace que nous ne reproduirons pas, mais qui souligne l’ambiguïté de l’identité sexuelle de ladite dame. Et depuis, on ne rigole plus du tout parmi le lobby LGBT, puisque l’AJL (association des journalistes LGBT) a saisi le CSA pour propos transophobes (sic)… Le communiqué de l’organisation en est presque schizophrène car d’un côté il félicite le Grand Journal pour la présence de Béatrice Boréale « pas en avant dans la visibilité des personnes trans » (sic), mais, dans le même temps, le morigène très sévèrement : « Ces remarques ne sont pas drôles, elles sont injurieuses pour la journaliste Brigitte Boréale et pour toutes les personnes trans. Elles nient le fait que Brigitte Boréale est une femme — sous-entendant qu’elle serait aussi, simultanément, un « monsieur ». » avant de conclure : L’AJL « souhaite que le CSA rappelle fermement à la chaîne Canal+ ses obligations en matière de lutte contre les discriminations et de respect de la dignité de la personne humaine, ainsi que son devoir de maîtrise de l’antenne. »

    Plus que jamais, éteignez vos télévisions !

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  • https://fr.sputniknews.com/france/201609031027598328-jungle-calais-demolition-consequences/

    la Jungle de Calais

    Une fois la "Jungle" de Calais démolie, où iront les réfugiés?
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    Alors que les autorités françaises sont déterminées à démanteler la "Jungle" de Calais, la tension ne cesse de monter autour du camp. Démolir le camp, et ensuite? Le démantèlement n'est pas une solution, et les réfugiés "libérés" devront être abrités ailleurs, estime Julie Lavayssière de l'association Utopia56 dans un entretien à Sputnik.

    Calais Philippe Huguen Calais: Cazeneuve marche sur des œufs Selon le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, le gouvernement poursuivra, et avec la plus grande détermination, le démantèlement de la "Jungle" de Calais. Mais la démolition du camp est-elle vraiment une solution? Mme Lavayssière ne le pense pas. "Cela ne ferait qu'éclater la Jungle en des dizaines de petits camps autour. Le problème serait toujours le même, par contre le travail des associations, de la municipalité et de la police n'en serait que plus compliqué". D'autant plus que ces gens ne vont pas partir et qu'ils demanderont l'asile, dit en écho Maya Konforti de l'association "l'Auberge des migrants". "Donc si on détruit la Jungle trop vite, on va se retrouver avec des gens à la rue et des gens à la rue ça s'installe n'importe comment et cela fait beaucoup plus de désordre que la Jungle qui existe en ce moment", précise-t-elle.  

    Cette initiative qui ne plaît ni aux Calaisiens, ni aux routiers, ni aux associations, ni aux principaux concernés, les réfugiés, doit être discutée avant d'être mise en place. Migrants stand near a city sign along a road near the makeshift camp called The New Jungle in Calais, France, August 19, 2015 © REUTERS/ Regis Duvignau Jungle de Calais, entre ras-le-bol des professionnels et désespoir des migrants "On a écrit une lettre ouverte à tout le monde, en particulier aux groupes de chasseurs et aux Calaisiens, en proposant une table ronde et en discutant de ce problème: parce qu'il y a une situation migratoire ici, elle ne plaît à personne! Elle ne plaît pas aux chasseurs, elle ne plaît pas aux routiers, elle ne plaît pas aux Calaisiens, elle ne plaît pas aux associations […] elle ne plaît pas aux réfugiés non plus!", pointe Mme Konforti. Les associations ont pourtant proposé des solutions. D'abord, il faut mettre en place un suivi, en plus des places dans les centres d'accueil où il y a un manque de personnel. 

    Ensuite, il faut peut-être modifier les accords du Touquet, avec l'Angleterre, poursuit Mme Lavayssière de l'association Utopia56. Troisièmement, l'accueil citoyen dont la ministre Emmanuelle Cosse a commencé à parler semble prometteur. "En effet, il y a beaucoup de citoyens qui souhaitent s'engager mais qui pour l'instant n'ont pas les moyens de s'engager dans l'accueil des réfugiés", souligne Mme Lavayssière. La population de la "Jungle" de Calais s'élève à 6.900 personnes selon la préfecture, quelque 9.000 selon des associations, soit une augmentation de 50% depuis la mi-juin. 1287 ... 1510

    En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/france/201609031027598328-jungle-calais-demolition-consequences/

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