Bravo a Monsieur le maire Engelmann, il faut débarrasser la France de tous ces gauchistes qui utilisent les associations et l'argent publique afin de colporter leur propagande nauséabonde. Il est temps de faire le ménage en France et de rendre les clefs de la parole au peuple et non pas à des descendants de Goebbels.
La mairie FN de Hayange (Moselle) veut priver de local le Secours populaire jugé trop pro-migrants (Màj: Philippot explique)
Bravo. Un grand nombre d’associations caritatives sont des courroies de transmission de la gauche. Comme les associations d’éducations populaires certaines association humanitaires sont pilotées par des élus socialistes ou communistes.Il faut rappeler d’ailleurs que le secours populaire est l’émanation d’une organisation communiste, le secours rouge.(1) La gauche a toujours cherché à se doter d’un réseau culturel et associatif qui puisse lui permettre de faire de la propagande et de mener des actions d’entrisme dans certain milieux. C’est le même principe avec les média subventionnés locaux ou nationaux. Tout ça souvent dans l’illégalité totale.
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1 Octobre 2016
Florian Philippot (Vice-Président du Front National) a expliqué que Fabien Engelmann, maire d’Hayange, a chassé le Secours Populaire de ses locaux parce qu’il les occupait « sans droit ni titre » mais aussi parce qu’il fait de la propagande pour le Front de Gauche, confondant action associative et politique, ce qui est strictement interdit.
Il dénonce une polémique destinée à nuire au FN et exprime son soutien au maire.
29 Septembre 2016
La municipalité (FN) de Hayange (Moselle) menace d’expulser demain l’antenne locale du Secours populaire qui occupait jusqu’à présent un local municipal à titre gratuit, et à qui elle reproche de mener une « propagande pro-migrants ».
Le Secours populaire est prié de quitter les lieux au plus tard ce 30 septembre, a déclaré le maire (FN) Fabien Engelmann, précisant que ce jour-là un huissier de justice se présenterait sur place et qu’ensuite, le cas échéant, une procédure d’expulsion serait lancée.
Ces locaux, où sont stockés des denrées alimentaires et des vêtements à destination des personnes à faible revenu, « sont occupés sans bail », par une « succursale du Parti communiste », assure le maire.
« Le maire me reproche notamment des propos que j’ai tenus » au journal Libération en décembre 2015, à propos d’un goûter de Noël dont les enfants de migrants auraient été exclus sur décision de la municipalité, a expliqué Anne Duflot-Allievi, présidente du comité local de l’association caritative.
« Je n’ai rien contre le Secours populaire », mais (à Hayange) la présidente et le trésorier sont des militants du PC, qui font de la propagande pro-migrants toute l’année » et « utilisent l’image du Secours Populaire pour faire de la politique ».
Michel Sapin devra rembourser une partie de ses indemnités de maire indûment perçue
Le ministre de l'Économie et des Finances a été maire d'Argenton-sur-Creuse de 2008 à 2012, une commune dont le label "Ville touristique" lui permettait de toucher une indemnité majorée.
Le tribunal administratif de Limoges a condamné ce jeudi plusieurs anciens élus d'Argenton-sur-Creuse (Indre), dont son ancien maire Michel Sapin, à rembourser certaines indemnités indûment perçues. L'actuel ministre de l'Économie et des Finances a été maire d'Argenton-sur-Creuse de 2008 à 2012, période durant laquelle il percevait, comme ses adjoints, des indemnités majorées grâce au label "Ville touristique".
Les règles d'attribution de ce label ayant été modifiées en 2009 (la décision revient désormais à la préfecture), Michel Sapin aurait dû cesser de percevoir cette indemnité majorée. Cette irrégularité avait été pointée du doigt par des membres de l'opposition lors d'un conseil municipal, qui avaient ensuite décidé de saisir le tribunal. Réalisant qu'ils risquaient de perdre ces indemnités majorées, Michel Sapin et ses adjoints ont alors fait voter une augmentation de leurs indemnités, afin de compenser la perte de celles issues du label "Ville touristique".
Michel Sapin et les élus concernés ont tous ont été condamnés à verser un total 100 000 euros.
Le ministre ayant perçu l'indemnité la plus élevée en tant que maire de 2008 à 2012, il devra s'acquitter de la plus grosse partie de cette somme.