• La dépense publique nuit gravement à la nation.

    La surenchère de la dépense publique que le gouvernement Ayrholande ne cesse  d'accroitre ne créée aucune richesse, mais uniquement des impôts pour effectuer de l'assistanat à son électorat chéri, ce genre de clientélisme, aveu d'impuissance clou au pilori toutes les entreprises qui elles sont créatrices d'emplois.

    La dépense publique nuit gravement à la santé de la nation!

    Patriote64

    http://www.irefeurope.org/content/moins-de-d%C3%A9penses-publiques-c%E2%80%99est-plus-de-comp%C3%A9titivit%C3%A9

    Moins de dépenses publiques c’est plus de compétitivité

    Ce sont les pays les plus réformateurs qui ont la compétitivité la plus élevée. Moins de dépenses publiques, c’est moins d’impôts, plus d’attrait pour l’entreprise et l’emploi. A l’inverse, la France croit vaincre le chômage et devenir compétitive en multipliant les aides aux entreprises et aux chômeurs. C’est une erreur.

     

    On ne peut que se réjouir de voir qu’un gouvernement socialiste prenne – enfin – conscience de l’importance d’un marché du travail compétitif. Certains syndicats semblent aussi avoir compris qu’il fallait donner un peu d’air au monde de l’entreprise.
    Toutefois, malgré l’urgence de la situation, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, souhaite privilégier l’action publique en faveur de la recherche et de l’innovation au détriment de la libéralisation du monde du travail. Comment parler d’un « choc de confiance » alors que les entreprises croulent sous les charges et les impôts ? Et comment attirer les investisseurs alors que la fiscalité s’alourdit et que l’Etat ne cesse de grossir ?
    Mais le signal le plus important pour la compétitivité d’un pays est la baisse des dépenses publiques. Ce n’est pas un hasard si les pays les plus compétitifs sont aussi ceux qui ont réformé le plus leurs administrations. En consultant le Rapport (2012-2013) sur la compétitivité dans le monde réalisé par le Forum Economique Mondial, nous avons pu constater que les pays les mieux classés étaient en même temps les plus réformateurs.
    Parmi les 10 premiers figurent (en plus de Singapour et Hong Kong) les Pays-Bas, le Canada, l’Allemagne, la Suisse, la Nouvelle Zélande, la Suède, l’Australie et la Grande-Bretagne. Tous ces pays ont fortement baissé leurs dépenses publiques et réformé leurs administrations. Ouverture à la concurrence, privatisations, suppression du nombre des fonctionnaires et des administrations, baisse de la fiscalité ont été mis en place par des gouvernements de droite ou de gauche. Dans tous ces pays, le taux de chômage est inférieur au taux de chômage français.
    Certains s’imaginent que le taux de chômage peut diminuer si l’Etat consacre davantage de moyens financiers aux interventions sur le marché du travail (par exemple emplois aidés, aides aux entreprises, indemnités de chômage). C’est tout le contraire qui se produit.
    Les derniers chiffres (juillet 2012) de l’OCDE montrent que la France est dans le peloton de tête de ce type de dépenses publiques avec 1.1 % du PIB (ce pourcentage va sûrement augmenter avec les dernières mesures gouvernementales en faveur de l’emploi « d’avenir » prévus pour les jeunes) alors que la moyenne de l’OCDE est de 0.7 % du PIB. La Nouvelle-Zélande et le Canada dépensent 0.3 % du PIB et le Royaume-Uni 0.4 % alors que leurs taux d’emploi est de 72 % (et 70 % pour le Royaume-Uni). En fait, ces dépenses ont pour effet le plus visible de réduire le taux d’emploi, c'est-à-dire le nombre de personnes employées en proportion de la population en âge de travailler (15-64 ans). En France, le taux d’emploi est de 63.8 % (en 2011), ce qui traduit le fait que les Français entrent plus tard sur le marché du travail (parfois pour y être chômeurs) et en sortent plus tôt, ce qui n’est pas un atout pour la compétitivité de l’économie. Même les Etats-Unis, qui ne dépensent pratiquement rien (0.1%) en faveur de l’emploi, ont un taux d’emploi (66.6 %) plus élevé qu’en France.

    Taux d’emploi et dépenses publiques (% du PIB) en faveur de l’emploi


     


    France


    Australie


    Canada


    Royaume-Uni


    Allemagne


    Nouvelle-Zélande


    Etats-Unis


    Dépenses publiques (en % du PIB) en faveur de l’emploi


    1.1


    0.3


    0.3


    0.3


    0.9


    0.3


    0.1


    Taux d’emploi


    63.8


    72.7


    72.0


    70.4


    72.6


    72.6


    66.6

    OCDE, Emploi et marché du travail, juillet 2012

     

    A l’heure actuelle, la France est le seul pays à ne pas avoir réformé l’Etat. Notre fonction publique et nos dépenses publiques sont en augmentation constante, comme d’ailleurs la fiscalité. Or, les exemples que nous venons de donner montrent que c’est la mauvaise voie pour résorber le chômage. Le gouvernement ferait mieux de s’en inspirer s’il veut rendre le pays plus compétitif.

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