• La Mafia albanaise démonstration d'insécurité l'immigration en cause....

     

    La mafia albanaise au début 2012 : quand enfle une prochaine vague criminelle

     

    François Farcy, criminologue 

    Pendant que, trop souvent encore, les dirigeants de grandes puissances s’obstinent à regarderailleurs, le crime organisé transnational prospère discrètement - et la mafia albanaise n’échappe pas à la règle. Car depuis leur émergence en Europe occidentale à la fin des années 90, les clans criminels albanophones ont évolué, se sont adaptés à notre société et ont poursuivi leurs activités. Où en sont-ils aujourd’hui ? Trois termes situent bien leur état présent : pérennisation, intégration et quatrième vague.

    Pérennisation

    Comme déjà souligné, la Mafia albanaise, certes polycriminelle, a cependant trois domaines de prédilection : les vols organisés, le trafic de drogues et la traite des êtres humains (TEH) incluant le proxénétisme et le trafic de migrants. Depuis la fin des années 90, ces infractions constituent le « coeur de métier » des clans criminels albanophones, ce que l’évolution des dernières années démontre amplement. Ajoutons-y une importante caractéristique mafieuse : la permanente mobilité entre « territoires de chasse » et « sanctuaires » de la diaspora, et une permanente adaptation au travail policier. Concernant les vols organisés, l’adaptation permanente se traduit par un changement régulier de cibles selon la réaction policière ou de la concurrence d’autres gangs (roumains, moldaves, nomades) ; ce déplacement géographique permettant en outre d’explorer de nouveaux territoires de chasse et d’éviter les arrestations. A titre d’exemple, entre 2000 et 2005, la Belgique a été victime de nombreux cambriolages commis par des clans albanais ou kosovars ; notamment des groupes ayant fui la guerre du Kosovo ou la faillite de l’Albanie, ou s’étant glissés parmi les vraies victimes en prenant de fausses identités.

    A partir de 2006, ces épidémies de vols n’ont pas cessé mais les Albanais y ont été moins actifs. Ce changement d’activités s’explique par la répression judiciaire mais aussi par la raréfaction de la « main d’oeuvre ». Au début des années 2000 en effet, certains voleurs albanais, simples exécutants, sont alors eux-mêmes des victimes des clans mafieux, pour le compte desquels ils volent, pour rembourser leur migration clandestine en Europe. Les clans diversifient alors leurs prédations et ciblent d’autres objectifs : coffres forts de centres commerciaux, alcools et stocks de cigarettes des stations-services, vol de métaux, voitures de luxe, etc.. La seule activité des clans criminels albanais diminuant fort depuis fin2010 est le vol de fret (vols « Cargo » : effraction des camions sur les parkings d’autoroute).

    En Belgique et en France en effet, diverses actions policières et judiciaires ont alors permis de démanteler et traduire en justice plusieurs gangs implantés à Bruxelles depuis une décennie. Classiquement opportunistes, certains de ces clans criminels se sont alors réorientés vers les trafics de drogues, d’armes ou des êtres humains. Courant 2011, certains sont réapparus dans de nouvelles séries de cambriolages commis partout en Belgique. Surprise : les mêmes criminels sont toujours à la tête de ces clans, mais avec une nouvelle « piétaille » récemment arrivée d’Albanie et du Kosovo. Nous le verrons plus loin : la suppression du visa d’entrée fait ic sentir ses effets. Entretemps aussi, la mafia albanaise a conquis de nouveaux territoires de chasse comme en Irlande ou en Espagne, où presque toutes les polices sont aujourd’hui confrontées à des clans criminels albanophones.

    Lire la suite : http://www.drmcc.org/IMG/pdf/MafiaAlb_2012.pdf

     

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