• Les parisiens l'ont voulu maintenant ils l'auront dans le ...........!

    Ce ne sera pas une zone réservé uniquement pour les nudistes, mais pour tous! Qui va payer les forces de l'ordre pour gérer les exhibitionnistes, les dépravés sexuels, les voyeurs, les pédophiles, les partouzeurs, etc, enfin bref tous les détraqués de gauche.....

    Patriote64

    http://www.bvoltaire.fr/mariedelarue/hidalgo-entre-bouchons-et-nudistes-elle-nous-ferait-regretter-delanoe,285467

    Hidalgo : entre bouchons et nudistes, elle nous ferait regretter Delanoë !

     
    Pendant ce temps-là, dans la vraie vie, les vraies gens continuent de ramer. Et pas à Paris-Plage.Afficher l'image d'origine

     

     

     

    Dimanche dernier était la Journée sans voiture instaurée par la mairie de Paris. Une idée rayonnante pour notre plus grand bonheur et la santé, dit-on, de nos poumons.

    La matinée avait été pluvieuse et plutôt fraîche, du genre qui ne vous donne pas envie de flâner sur les berges de la Seine désormais livrées aux piétons, vélos, rollers, trottinettes, gyropodes, Segway et compagnie. Et puis, gentil avec madame le maire, le soleil s’est montré vers les 16 heures et les badauds ont mis le nez dehors… Pour mieux se le boucher.

    Car Paris sans voiture, quoi qu’en dise Anne Hidalgo, n’est pas Paris sans voitures. Au contraire, c’est Paris bouchons XXL. Moi-même, je le confesse, j’ai traversé Paris à pied dimanche après-midi. Mais je traverse toujours Paris à pied. Et devant la bousculade qui freinait mon pas de fantassin, j’ai pris le bus avenue Rap. Et vu, en passant au rond-point, les Champs-Élysées bouclés par la Kommandantur : barrières, chevaux de frise et hommes en armes pour contenir la foule. Et sur les voies « circulables », des bouchons comme jamais. Vingt minutes coincés devant Saint-Lazare, au bas de la rue de Rome. 
Vous savez quoi ? J’ai regagné les Buttes-Chaumont à pied.

    Il y a eu, dimanche, des tas de naufragés de la route. L’humoriste Fabrice Éboué, par exemple, qui a posté une vidéo à l’attention du maire.

    Devant le succès, Hidalgo a répondu. De haut. Ironique. « Afin de concevoir une solution qui vous permette, lors de la prochaine journée sans voiture, d’effectuer sereinement votre trajet Paris-banlieue. Je suis heureuse de vous annoncer que LA solution a été trouvée. Elle est expérimentée aujourd’hui même par plusieurs millions d’audacieux Parisiens et Franciliens. Je vous invite à la découvrir au lien suivant : http://ratp.fr/ », lui a-t-elle conseillé.

    Métro pris (une nouvelle vidéo en témoigne), voilà la réponse de l’intéressé : « J’ai relevé ton défi, à toi de relever le mien. Je te demande de prendre le RER D après 22 heures, entre Saint-Denis et Sarcelles. J’attends ta vidéo. » Et d’en remettre une petite couche bien sentie sur les nouvelles préoccupations écolo-existentielles de madame le maire : « Maintenant que nous sommes réconciliés, serait-il possible de trouver une place en crèche pour mon fils, nous galérons depuis deux ans ? Je sais que vous êtes très occupée avec votre nouveau projet de parcs nudistes à Paris, mais comprenez ô combien je préférerais que mon enfant croise une puéricultrice avant un pénis. »

    Ce garçon ne serait pas ce qu’il est, on essaierait sûrement de le faire passer pour un coincé du caleçon, voire rétrograde tendance facho. Car en deux vidéos et trois phrases, il a résumé la politique de la mairie de Paris : la course au « bonheur », celui d’une bourgeoisie de gauche nourrie aux mamelles de la haute fonction publique et territoriale, celle des petits marquis à la Julliard passés directement des manifs de l’UNEF aux bureaux du PS puis aux cabinets ministériels ; des parasite sociaux qui rêvent d’imposer leur vision hédoniste comme projet de société. Pour oublier le chômage et la crise du logement, la fête à Neuneu permanente, à côté de quoi les Jack Lang et autre Delanoë font figure de minables amuseurs… Qu’importe, n’est-ce pas, les Parisiens paieront.

    
Comme l’écrit Bruno Roger-Petit dans Challenges : « La nudité dans Paris, stade suprême de la rupture avec le capitalisme, l’héritage de Jaurès, Blum et Mitterrand va trouver là son accomplissement le plus abouti. » Voilà bien résumée la politique de la ville-capitale. Et de conclure : « En 1971, on chantait l’Internationale avec Mitterrand en promettant de rompre avec le capitalisme, et en 2016, on chante “Tout nu et tout bronzé” avec Hidalgo en promettant d’instaurer le naturisme. Changer la vie, enfin ! »

    Pendant ce temps-là, dans la vraie vie, les vraies gens continuent de ramer. Et pas à Paris Plages.

    « Alep, les américains sont les véritables criminels de guerre...!Pour une fois qu'il y en a un qui a eu le courage, à regarder jusqu'au boud. »
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