• A quand la vérité sur l'ignominie de la gauche française.

    http://www.enquete-debat.fr/archives/le-livre-noir-de-la-gauche-a-ecrire-durgence-87578

    Le livre noir de la gauche : à écrire d’urgence !

     

    Il existe de nombreux “livres noirs” : de la psychanalyse, du communisme, de l’agriculture, des médecins stars, de la CIA, de l’accueil de la petite enfance, de la condition des femmes, de la Révolution française, du médicament, des serial killers, des hôpitaux, du colonialisme, de la gastronomie française, de la garde à vue, de la chasse, du management, et finalement de la droite. Mais point de livre noir de la gauche à l’horizon… Maintenant que la gauche est revenue au pouvoir, il serait temps qu’un tel livre voit le jour, nous en suggérons le sommaire à l’audacieux qui relèvera le défi, au moment où ne pas être de gauche devient de plus en plus difficile.

    Depuis le temps que la gauche admoneste, sur un ton outré et comminatoire, tous ses adversaires politiques, il serait temps de lui rendre la monnaie de sa pièce. Qui s’y collera ?
    Le dernier redresseur de torts en date est un certain Stéphane Hessel, qui a ajouté la pierre de l’indignation à l’édifice socialiste, forteresse morale si imprenable que la droite s’y est ralliée depuis longtemps. Le seul nom de gauche paralyse tout esprit critique, qui sait qu’à la moindre critique il sera traité de vichyste, de fasciste, de collabo, de pétainiste, de raciste, d’antisémite, de nazi, d’extrême-droite, de salaud, de chien, voire d’ennemi du genre humain !
    Le livre noir de la gauche commence et finit avec François Mitterrand. Il commence avec Mitterrand vichyste, décoré de la francisque, puis ministre de la justice qui autorise la torture en Algérie, l’ami de René Bousquet, l’homme des suicides suspects (de Bérégovoy à de Grossouvre), le créateur de SOS Racisme et du FN, des écoutes téléphoniques et de Bernard Tapie ministre.  Ses créatures lui ont survécu, et principalement SOS Racisme et le FN. Le premier alimente toujours le PS en membre du bureau national et conseillers du nouveau Président Hollande. Le second auréole la gauche, divise toujours la droite, tout en la rendant infréquentable. Tant que Mitterrand, “qui a toujours été d’extrême-droite” selon Georges Frêche, ne sera pas mort définitivement, c’est-à-dire qu’il aura emporté ses créatures avec lui dans le monde des esprits, la gauche restera la gauche, tolérante bien qu’intolérante, méprisable bien que méprisante, morale bien qu’immorale.

    A moins que le livre noir de la gauche ne commence avec Jules Ferry, la nouvelle égérie de François Hollande. Écoutons ce brave homme (par ailleurs créateur de l’école libre et obligatoire), le 28 juillet 1885 à l’Assemblée Nationale : « Messieurs, il y a un second point, un second ordre d’idées que je dois également aborder (…) : c’est le côté humanitaire et civilisateur de la question. (…) Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. (…) Je répète qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures. (…) Ces devoirs ont souvent été méconnus dans l’histoire des siècles précédents, et certainement quand les soldats et les explorateurs espagnols introduisaient l’esclavage dans l’Amérique centrale, ils n’accomplissaient pas leur devoir d’hommes de race supérieure. Mais de nos jours, je soutiens que les nations européennes s’acquittent avec largeur, grandeur et honnêteté de ce devoir supérieur de la civilisation.»

    Paradoxalement, la gauche actuelle dénonce les horreurs du colonialisme, alors que c’est elle qui en a été responsable. Et ne comptez pas sur le PS ou ses alliés pour reconnaître les bienfaits de la colonisation, cette position politique est désormais classée à l’extrême-droite ! La gauche d’aujourd’hui classe donc à l’extrême-droite la gauche d’hier, preuve supplémentaire que la gauche a tous les droits, même de reprocher aux autres ses propres turpitudes et ses propres errements.

    A n’en pas douter, la gauche de demain classera celle d’aujourd’hui à l’extrême-droite, et à raison ! Pour son racialisme : métissage, discrimination positive, diversité. Pour sa haine de la liberté d’expression. Pour sa négation du vote et de la représentation nationale, Mitterrand est aussi l’inventeur du Traité de Maastricht, et Jacques Delors le chef de l’Union européenne en construction, qui ont privé la France de sa souveraineté. Pour son soutien à l’intégrisme religieux, via le soutien sans faille apporté à un islam loin d’avoir fait son aggiornamento (financement public de mosquées, critique de l’islam interdite sous peine d’accusation en racisme), et à l’interdiction du blasphème avec la loi Gayssot, entre autres.

    La gauche ce fut aussi et surtout le Front populaire, et ce cher Léon Blum, qui est en grande partie responsable de la Shoah. Autre paradoxe : un juif responsable du génocide des juifs. Évidemment, cette analyse choquera la gauche, et pour cause, Léon Blum était de gauche. Avec Hitler au pouvoir depuis 1933, M. Blum président du Conseil entre 1936 et 1938 considéra que le plus urgent était de donner des congés payés et la semaine de 40 heures. Mais détruire le régime hitlérien avant que celui-ci ne commette l’irréparable, il n’en était pas question. Voici ce que raconte le Général de Gaulle dans ses mémoires de guerre à propos de sa rencontre avec Blum en 1936 :
    “J’avais eu, pourtant, quelque espoir. Dans le grand trouble qui agitait, alors, la nation et que la politique encadrait dans une combinaison électorale et parlementaire intitulée : front populaire, il y avait, me semblait-il, l’élément psychologique qui permettait de rompre avec la passivité. [...] Au mois d’octobre, Léon Blum, président du Conseil, m’invita à venir le voir. [...] Avec chaleur, Léon Blum m’assura de l’intérêt qu’il portait à mes idées. “Pourtant, lui dis-je, vous les avez combattues.” – “On change d’optique, répondit-il, quand on devient chef du gouvernement.” [...] “Notre actuel système nous interdit de bouger. Au contraire, le corps cuirassé nous y déterminerait. N’est-il pas vrai qu’un gouvernement peut trouver quelque soulagement à se sentir orienté d’avance ?” Le président du Conseil en convint de bonne grâce, mais déclara : “Il serait, certes, déplorable que nos amis d’Europe centrale et orientale soient, momentanément, submergés. Toutefois, en dernier ressort, rien ne serait fait, pour Hitler, tant qu’il ne nous aurait pas abattus. Comment y parviendrait-il ? Vous conviendrez que notre système, mal conformé pour l’attaque, est excellent pour la défense.” Je démontrai qu’il n’en était rien.” Général De Gaulle, Mémoires de guerre, p.28-29, éditions pocket

    J’ai pu visiter le camp de Buchenwald, pour rendre hommage à mon arrière-grand-père déporté là-bas pour faits de résistance, et j’y ai découvert avec amusement la cellule de Léon Blum, proche des baraquements nazis, à l’écart du reste du camp. Et je me suis demandé si M. Blum avait eu le loisir de réfléchir à son erreur considérable alors qu’il était aux responsabilités, et aux conséquences immenses qu’aurait eu de sa part un comportement de chef d’État. La Shoah aurait sans doute été évitée, de même qu’une bonne partie des 50 millions de morts de la guerre. Mais je divague, il est évident que les congés payés sont bien plus importants !

    Donc, la 2ème Guerre Mondiale. Nous avons déjà parlé de la décoration de François Mitterrand par Pétain, et de son amitié avec René Bousquet, celui qui a procédé à la rafle du Vel d’Hiv, nous n’y reviendrons donc pas. Par contre la collaboration n’est pas un bon point pour la gauche, et notamment les antiracistes, écoutons Eric Zemmour qui reprend à son compte la thèse de l’historien israélien Simon Epstein :

    "Vidéo à regarder sur le site en suivant le lien"

     

    On pourrait prolonger cette analyse sur l’antiracisme avec la création de SOS Racisme pour récupérer la marche des beurs, et l’étouffer, afin de devenir une courroie de transmission du PS et de l’UEJF, et réduire au silence toutes les autres voies plus patriotes ou moins morales. Serge Malik l’explique mieux que je ne pourrais le faire :

    "Vidéo à regarder sur le site en suivant le lien"

     

    On sait ce qu’est devenu l’antiracisme : une idéologie, ne tolérant pas la critique (toute critique étant forcément raciste), qui limite la liberté d’expression par des procès en sorcellerie et des procès en justice, qui se finance principalement sur l’argent publique, qui ne reconnaît pas le racisme anti-blanc en partant du pré-supposé qu’un blanc ne peut pas être discriminé (suivant en cela l’exemple d’Houria Bouteldja, islamiste notoire), qui enferme les immigrés dans une case d’”issus de l’immigration”, et qui place le racisme au-dessus de toutes les autres discriminations, beauté, taille, poids, infirmités diverses. Au nom de l’égalité, on bafoue l’égalité, encore un paradoxe.
    L’antiracisme est surtout la meilleure manière qu’a trouvé la gauche pour ne pas avoir à parler des autres sujets, bien plus importants, comme l’économie, l’Etat, la politique étrangère etc. Tout est ramené à un moment ou à un autre au racisme, comme avec l’histoire Taubira/Zemmour récemment.

    Comment oublier l’épisode algérien, Mitterrand ayant justifié la torture en tant que Ministre de la justice de la 4ème République, ce qui n’est tout de même par rien ! On comprend mieux pourquoi Jean-Marie le Pen a été instrumentalisé par Mitterrand pour faire oublier ses propres erreurs politiques. Même son protégé Jacques Attali n’a pas supporté cette justification de la torture : “Pour Attali, qui se référait à une discussion avec Mitterrand, ce dernier «a créé les conditions légales pour que la torture soit en place […] quand il a comme Gardes des sceaux proposé la loi de mars 1956 qui donnait tous les pouvoirs aux militaires en matière de justice» en Algérie. «Il m’a dit, début 1974 : c’est la seule erreur que je veux bien reconnaître dans ma vie», a ajouté Attali.”

    Et comment oublier l’alliance de la gauche avec le parti communiste, et les ministres communistes au gouvernement ! A une époque où le PCF était on ne peut plus proche de l’URSS totalitaire, à une époque aussi où Georges Marchais, leader du PCF, avait déclaré “Le bilan du communisme est globalement positif” ! Sans pour autant déclencher les mêmes hurlements des médias et de l’intelligentsia que pour le “détail” de le Pen, je vous rassure. C’est un député communiste également qui fit voter l’ignoble loi Gayssot, qui a fait du négationnisme par un effet boomerang pourtant prévisible un courant désormais mondial.

    Enfin, pour terminer en beauté, on citera toutes les magouilles au PS, du bourrage des urnes à l’élection du 1er secrétaire à la “Rose mafia” dénoncée par un ancien du PS, Dalongeville, dont nous vous repassons l’émission chez Eric Brunet :

    "Vidéo à regarder sur le site en suivant le lien"

     

    Il y aurait encore beaucoup à dire dans ce livre noir de la gauche, mais pour cela il faudrait un livre !


     

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