• http://www.wikistrike.com/article-les-veritables-raisons-pour-lesquelles-l-allemagne-demande-aux-etats-unis-la-restitution-de-son-or-114905424.html

    Les véritables raisons pour lesquelles l'Allemagne demande aux Etats-Unis la restitution de son or  

    5172661_7718626-copie-1.jpgTraduit par JFG-QuestionsCritiques

    Les Allemands demandent aux Etats-Unis qu’ils lui rendent la totalité des 374 tonnes d’or détenues par la Banque de France et 300 tonnes sur les 1500 tonnes de lingots détenues par la Banque de Réserve Fédérale de New York.

    Certains disent que l’Allemagne demande le rapatriement de son or uniquement à cause de pressions politiques intérieures, et qu’aucun autre pays ne fera de même. Mais le co-directeur général de Pimco, [Mohammed] El Erian, déclare :

    En premier lieu, cela pourrait traduire des pressions sur d’autres pays pour qu’ils rapatrient également une partie de leurs avoirs en or. Après tout, s’il peut stocker en toute sécurité son or chez lui – un grand si pour certains pays – aucun gouvernement ne souhaiterait être vu comme l’un des derniers à externaliser l’ensemble de cette activité auprès de banques centrales étrangères.

    Voici ce que nous observions en novembre dernier :

    La Roumanie a demandé pendant de nombreuses années à la Russie qu’elle lui restitue son or.

    L’année dernière, le Venezuela a demandé à la Banque d’Angleterre la restitution de 90 tonnes d’or. *** Voici ce que Zero Hedge observe (citant Bloomberg) :

    Le gouvernement de l’Equateur veut que les banques du pays rapatrient environ un tiers de leurs avoirs à l’étranger pour soutenir la croissance nationale, a dit le chef de l’agence fiscale de ce pays.

    Carlos Carrasco, le directeur de l’agence fiscale connue sous l’acronyme SRI, a déclaré aujourd’hui que les sociétés de prêt équatoriennes pourraient rapatrier environ 1,7 milliard de dollars et quand même remplir leurs obligations vis-à-vis des clients internationaux. Carrasco s’exprimait lors d’une audition parlementaire à Quito sur une proposition du gouvernement d’augmenter les taxes sur les banques pour financer les aides financières aux pauvres de cette nation sud-américaine.

    Quatre membres du parlement suisse veulent que la Suisse réclame la restitution de son or.

    Certaines personnes aux Pays-Bas veulent aussi qu’ont leur rende leur or.

    (Forbes observe que l’Iran et la Libye ont également rapatrié leur or récemment).

    Le principal rédacteur économique du Telegraph, Ambrose Evans Pritchard, soutient que la demande allemande de rapatriement montre que nous sommes en train de passer de facto à un étalon or :

    Les banques centrales dans le monde entier ont acheté plus de lingots (en volume) l’année dernière qu’à n’importe quel moment depuis près d’un demi-siècle. Elles ont accumulé 536 tonnes nettes supplémentaires en 2012 alors qu’elles diversifiaient leurs nouvelles réserves en évitant les quatre monnaies suspectes : le dollar, l’euro, la livre sterling et le yen.

    L’Accord de Washington, en vertu duquel la Grande-Bretagne, l’Espagne, les Pays-Bas, l’Afrique du Sud, la Suisse, et d’autres pays ont vendu une partie de leur or chaque année, semble déjà relever d’une autre époque – qu’on pourrait appeler l’ère de Gordon Brown [l'ancien ministre des Finances puis Premier ministre britannique]. C’était la période illusoire où les investisseurs pensaient que l’euro prendrait sa place en tant que pilier jumeau d’un nouveau condominium G2 aux côtés du dollar. Cet espoir s’est évanoui. Les avoirs des banques centrales en euro bonds sont tombés à 26%, là où ils se trouvaient il y a près de 10 ans.

    Ni l’euro ni le dollar ne peuvent inspirer une confiance totale, bien que pour des raisons différentes. L’UME [Union monétaire européenne] est une construction dysfonctionnelle couvrant deux économies incompatibles et encline à tanguer de crise en crise sans une trésorerie unifiée pour l’étayer. Le dollar est assis sur une pyramide de dette. Nous savons tous que cette dette se dégonflera au fil du temps – pour le meilleur ou pour le pire. Le seul véritable désagrément concerne la vitesse à laquelle cela se fera.

    ***

    Ma supposition est que tout nouvel étalon or sera sui generis [c.-à-d. dont la singularité empêche tout classement dans une catégorie déjà répertoriée et nécessite de créer des textes spécifiques], et ce serait mieux. Qu’on laisse l’or prendre sa place de troisième devise de réserve, une devise qui ne peut être dévaluée et qui oblige les autres [devises] à rendre des comptes, mais pas trop dominante pour atteler ensemble nos destins collectifs dans les hausses inflationnistes (oui, l’or fut très inflationniste après la Conquête musulmane de l’Hispanie) et les baisses déflationnistes des réserves minières mondiales.

    ***

    Une troisième devise de réserve est exactement ce dont a besoin l’Amérique. Ainsi que l’a soutenu le Pr Michael Pettis, de l’université de Pékin, détenir la devise de réserve mondiale est un « fardeau exorbitant » dont les Etats-Unis pourraient se passer.

    Le dilemme de Triffin – avancé par l’économiste belge Robert Triffin dans les années 1960 – suggère que le détenteur de la devise suprême est confronté à une contradiction inhérente. Il doit gérer un déficit commercial structurel au cours du temps pour maintenir le système à flot, mais cela minera sa propre économie. Ce système s’autodétruit.

    Un étalon or partiel – créé par le marché mondial et n’ayant de compte à rendre à personne – est le meilleur de tous les mondes. Il offre une provision de valeur (mais pas de rendement). Il joue un rôle d’équilibre. Il n’est pas assez dominant pour étouffer le système.

    Ayons donc trois devises mondiales, un trépied avec une jambe dorée ! Ce trépied pourrait même être stable.

    Combien d’or y a-t-il ?

    Cela n’inspire pas confiance que le rédacteur en chef de CNBC, John Carney, soutienne que cela importe peu que les Etats-Unis aient ou non l’or physique qu’ils prétendent détenir.

    En fait, nombreux sont ceux qui affirment que l’or est parti :

    Ned Taylor-Leyland, de Cheviot Asset Management, dit que la Fed et la Banque d’Angleterre ne restitueront jamais l’or à leurs propriétaires étrangers. Jim Willie dit que l’or est parti.

    ***

    D’autres affirment que l’or n’a pas été exactement vendu, mais qu’il a été loué ou gagé, et donc que les Etats-Unis ne le possèdent pas vraiment.

    Eric Sprott, gérant d’un fonds qui pèse 10 milliards de dollars, écrit – dans un article intitulé « Do Western Central Banks Have Any Gold Left??? » [Les banques centrales occidentales ont-elles encore de l'or ???] :

    Si les banques centrales occidentales louent effectivement leurs réserves physiques, elles n’auraient pas réellement l’obligation de révéler les quantités spécifiques d’or qui restent dans leurs coffres respectifs. Selon un document sur le site de la BCE [Banque Centrale Européenne] concernant le traitement statistique des réserves internationales de l’eurosystème, les directives actuelles de reporting ne requièrent pas que les banques centrales fassent la différence entre l’or détenu directement et l’or prêté ou échangé avec une partie tierce. Ce document établit que « les transactions réversibles en or n’ont aucun effet sur le niveau d’or monétaire, quel que soit le type de transaction (c-à-d. les échanges, les placements, les dépôts et les prêts en or) , en ligne avec les recommandations contenues dans les directives du FMI ». (les caractères gras sont dans le texte original). Par conséquent, selon les directives actuelles de reporting, les banques centrales sont autorisées à continuer de porter sur leurs bilans les entrées d’or physique, même si elles l’ont échangé ou prêté entièrement. On peut le voir dans la manière dont les banques centrales occidentales se réfèrent à leurs réserves d’or.

    En effet, il est a présent bien documenté que la Fed a loué une grande partie de ses réserves d’or et que les grandes banques empruntent de l’or aux banques centrales et ensuite le prête à de multiples parties tierces.

    Comme tel, il ne serait pas totalement surprenant que la Fed ait besoin de 7 années pour rendre à l’Allemagne ses 300 tonnes d’or [...] même si la Fed prétend détenir 6.720 tonnes dans la seule Banque de Réserve de New York.

    Même le co-directeur général de Pimco, Bill Gross, déclare :

    Lorsque la Fed émet chaque mois pour 85 milliards de dollars de chèques afin d’acheter des bonds du Trésor et des crédits hypothécaires, elle n’a réellement rien en « banque » pour les garantir. Ils possèdent soi-disant quelques milliards de dollars de « certificats or », une histoire à dormir debout sur la provision secrète de Fort Knox, mais il n’y a essentiellement rien d’autre là que de la confiance. Lorsqu’un opérateur de première importance comme J.P. Morgan ou Bank of America vend ses bonds du Trésor à la Fed, il obtient un « crédit » sur son compte à la Fed, connu sous le nom de « réserves ». Il peut dépenser ces réserves en échange d’autre chose, mais alors une autre banque obtient un crédit pour ses réserves, etc., etc. La Fed a dit à ses banques membres « Faites-moi confiance, nous honoreront toujours nos réserves », et donc les banques lui font confiance, et les entreprises et les particuliers font confiance aux banques, et « the beat goes on » [et ça continue] comme le chantaient Sonny & Cheer. 54 trillions de dollars de crédit dans le système financier des Etats-Unis, basé sur la confiance envers une banque centrale qui n’a rien dans ses coffres pour les garantir. Etonnant !

    Et étant donné que du tungstène plaqué-or a été déniché partout dans le monde, et qu’un expert allemand de premier plan sur l’or a trouvé de faux lingots d’or gravés avec les marques officielles des Etats-Unis, les Allemands ont perdu confiance dans la fiabilité de la Fed. Voyez ce qui suit.

    Cela pourrait être particulièrement vrai depuis que la Fed a refusé aux Allemands d’inspecter leurs propres réserves d’or qui y sont stockées.

    Guerre des devises ?

    Le rapatriement de l’or est – sans aucun doute – lié à la monnaie.

    Voici ce qu’observe Forbes :

    Des fonctionnaires de la Bundesbank [...] ont reconnu que cette manœuvre est « préventive » au cas où une « crise monétaire » frapperait l’Union Monétaire Européenne.

    ***

    « Non, nous n’avons aucune intention de vendre de l’or », a déclaré au téléphone, mercredi dernier, un porte-parole de la Bundesbank, « [ce transfert] est pour le cas où il y aurait une crise monétaire. »

    Reggie Middleton pense que la demande de l’Allemagne de récupérer son or fait partie d’une guerre monétaire.

    Jim Rickards a dit auparavant que la Fed projetait de mettre la main sur l’or allemand :

    Jim Rickards a exposé les projets possibles de la Réserve Fédérale de réquisitionner l’or souverain de l’Allemagne et de tous les autres dépositaires étrangers, qui se trouve à la Réserve Fédérale de New York, dans l’éventualité d’une crise du dollar et monétaire conduisant à des « guerres monétaires » intensifiées, et « l’option nucléaire » d’une révision à la hausse radicale du prix de l’or et un retour à un quasi-étalon or est envisagé par les banques centrales assaillies pour empêcher la déflation de la dette.

    Est-ce une raison pour que l’Allemagne réclame maintenant la restitution de son or ?

    La Chine devient tranquillement une superpuissance de l’or, et on dit depuis longtemps que la Chine convertirait le yuan en devise adossé à l’or.

    James Delingpole du Telegraph fait remarquer:

    Au milieu des années 1920, le chef de la Banque centrale allemande, [Horace] Hjalmar Schacht, s’est rendu à New York pour voir de ses yeux l’or de l’Allemagne. Cependant, les responsables de la Fed de New York furent incapables de retrouver la palette de lingots d’or allemands. Le Président de la Réserve Fédérale d’alors, Benjamin Strong, fut mortifié, mais pour mettre Strong à l’aise, Herr Schacht se tourna vers lui et lui dit : « Ne vous inquiétez pas, je vous crois lorsque vous dites que l’or est ici. Même s’il n’y est pas, vous êtes d’accord pour le remplacer ». (H/T The Real Asset Company)

    Mais cela se passait alors, et là, nous parlons d’aujourd’hui. Aux yeux des Allemands – et qui peut leur donner tort ? – l’Amérique a perdu son pouvoir magique à tel point qu’on ne peut plus lui faire confiance pour honorer ses dettes, même dans l’éventualité improbable qu’elle soit financièrement capable de le faire. C’est pourquoi, marchant dans les pas du vénézuélien Hugo Chavez (qui n’est pas si bête), l’Allemagne rapatrie son or de la Réserve Fédérale américaine. Il sera désormais stocké à Francfort.

    ***

    [Les choses] peuvent sembler calmes en surface, mais ce dernier coup de la part de la Bundesbank nous donne une assez bonne indication qu’en dessous de la surface cette institution apparemment sereine défend chèrement sa peau.

    Si vous voulez une analyse complète, je recommande cet excellent résumé de Jan Skoyles. Voici la partie effrayante:

    Plusieurs fois par an, il y a une discussion concernant ce que la Chine prévoit de faire avec l’or qu’elle extrait et qu’elle importe chaque année, et nombreux sont ceux qui croient que les Chinois amassent ce métal comme assurance contre les milliards de dollars en bons du Trésor, en billets et en créances qu’ils détiennent. Nombreux sont ceux qui croient qu’ils émettront à court-terme une sorte ou une autre de devise adossée à l’or et qu’ils se débarrasseront des 1.000 milliards de dollars qu’ils détiennent en titres du Trésor américain. A partir du moment où les Etats-Unis semblent considérer que leur monopole monétaire va de soi, si jamais les Chinois ou d’autres agissent ainsi, les Etats-Unis devront réagir – le plus probablement avec de l’or dont ils ne disposent pas en quantité suffisante.

    Tous ceux qui pensent que cela ne va pas se produire devraient finalement lire la parabole de Peter Schiff « How An Economy Grows And Why It Crashes » [Comment croît une économie et pourquoi elle s'effondre]. Si quelque chose ne peut pas durer éternellement, elle ne durera pas.

    Autrement dit, Rickards et Skoyles semblent soutenir que l’Allemagne pourrait rapatrier son or dans ce premier jeu de chaises musicales dans lequel la Chine se prépare à déployer un yuan adossé à l’or. Selon cette théorie, le reste des devises mondiales s’effondreront à moins que leurs nations puissent lutter pour mettre la main sur suffisamment d’or afin de conférer de la crédibilité à leur papier-monnaie.

    Post-scriptum : Michael Rivero pense que la guerre au Mali a quelque chose à voir avec cela :

    Le Mali est l’un des plus gros producteurs d’or du monde. Avec le Ghana, son voisin, ils comptent pour 7 à 8% de la production d’or mondiale. Cela en fait une riche prise de guerre pour les pays qui ont désespérément besoin d’or physique. Donc, même si l’Allemagne a commencé à réclamer la restitution de son or à la Banque de France et à la Réserve Fédérale de New York, la France (aidée par les Etats-Unis) a décidé d’envahir le Mali pour combattre les « Islamistes » travaillant pour « al-Qaïda ». Bien sûr, les « Islamistes » sont devenus l’étiquette fourre-tout pour les gens qui doivent être tués afin de les ôter du chemin vers les richesses, et les gens qui sont bombardés par la France (aidée par les Etats-Unis) ne sont pas « al-Qaïda » mais des Touaregs qui ont combattu pour leur indépendance pendant 150 ans, bien avant que la CIA ait créé « al-Qaïda ». Livrés à eux-mêmes, les Touaregs pourraient vendre l’or à qui ils voudraient au prix qu’ils demanderaient, et à ce moment précis la Chine peut surenchérir sur la France et les Etats-Unis.

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  • http://www.francepresseinfos.com/2013/01/lue-veut-controler-medias-nationaux.html

    L'UE veut contrôler les médias nationaux

     
     
    L
    ’Union Européenne continue de vouloir étendre son emprise sur les Nations. En effet, un rapport de l'Union européenne  abusivement appelé « A free and pluralistic media to sustain European democracy » (Traduction : « Un media libre et pluraliste pour soutenir la démocratie européenne ») recommande que la presse soit étroitement réglementée et que la surveillance des médias nationaux soit confiée à des fonctionnaires de Bruxelles ayant le pouvoir d’imposer des amendes et de virer des journalistes. Une volonté totalitaire qui s’abrite derrière le paravent de la démocratie et qui met en péril la liberté d'expression. Un vrai retour à l'URSS !
    Un comité de « haut niveau » de l’UE, comprenant l'ancien président de la Lettonie et l’ancien ministre de la justice d’Allemagne, a été mis sur pied l’année dernière par Neelie Kroes, vice-présidente de la Commission européenne, avec pour mandat de soumettre un rapport sur «la liberté des médias et le pluralisme». Le comité a conclu que le temps était venu d’introduire de nouvelles règles pour contrôler la presse.
     

    Les recommandations du rapport ont été accueillies avec colère en Grande-Bretagne, un pays souvent critiqué par les fonctionnaires européens pour sa couverture médiatique des questions européennes. Un porte-parole du ministère de la Culture, des Médias et des Sports a déclaré : «Nous n'avons nullement l’intention de permettre à l’Europe de réglementer la presse britannique. Nous avons clairement fait savoir que nous comptons sur l’industrie de la presse pour mettre en œuvre des mesures difficiles et indépendantes d’auto-réglementation ».
    Douglas Carswell, député conservateur de Clacton, a dénoncé les recommandations «extraordinaires et profondément troublantes» du rapport. «L’idée que des fonctionnaires de l’UE surveillent notre presse libre pour vérifier sa conformité aux «valeurs européennes» est tout simplement intolérable, a-t-il dit. C’est le genre de mentalité que je m’attendrais de trouver en Iran, non pas en Occident. Cette idée farfelue nous renseigne peu sur l'avenir de la réglementation de la presse. Elle indique toutefois que le projet européen est finalement incompatible avec la notion d’une société libre ».
    Nigel Farage, chef de l’UKIP, a comparé le rapport à «1984 d’Orwell», ajoutant qu’il s’agit «d’une atteinte flagrante à la liberté de la presse. L'ambition des bureaucrates non élus de Bruxelles de se doter du pouvoir d’imposer des amendes et de suspendre des journalistes est absolument scandaleuse ».
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  • http://fr.novopress.info/131142/la-gale-fait-son-grand-retour-en-france/

    La gale fait son grand retour en France

    31 janvier 2013

    La gale fait son grand retour en France
     
     

    31/01/2013 

    La gale est une maladie parasitaire de la peau (photo ci-dessus), qui avait plutôt tendance à disparaître en France, avant l’arrivée massive de populations immigrées. D’abord apparue dans les banlieues d’Ile-de-France, aujourd’hui, de plus en plus de cas sont signalés en province, dans les écoles, les hospices, les prisons et les hôpitaux.

     

    En Bourgogne par exemple, la gale touche désormais environ 5.000 personnes chaque année. Depuis mi-décembre, une épidémie sévit à l’hôpital de Nevers, où vingt-quatre personnes ont déjà été infectées par cette affection, sans gravité mais contagieuse.

    Personne n’ose faire le lien pourtant évident entre la recrudescence de ces cas de gale en France — plus de 200.000 cas par an —, et le flux d’immigrants qui s’installent dans des conditions de vie parfois déplorables.

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  • http://www.francepresseinfos.com/2013/01/taubira-naime-pas-la-france-ni-son.html

    Taubira n’aime pas la France ni son Identité

    D’ailleurs, sur sa circulaire enjoignant les juges à brader la nationalité française aux enfants nés de mères porteuses à l’étranger, elle ne fait même pas mentionner le nom « France » ! Qu’une indépendantiste n’aime pas NOTRE Pays… même si cela ne nous fait pas spécialement plaisir, il y a une certaine logique.
    Mais qu’un tel personnage se retrouve bombardé « ministre » signifie tout simplement que le gouvernement qui l’a embauché n’est pas plus soucieux de l’intérêt du Peuple Français que de son Identité.

     
    Circulaire Taubira en date du 25 janvier 2013
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  • http://zebuzzeo.blogspot.fr/2013/01/lunion-bancaire-en-zone-euro-un.html

    L’EUROPE S’APPRÊTE À « PROTÉGER LES INVESTISSEURS CONTRE LES CONSÉQUENCES DE LEURS MAUVAISES DÉCISIONS »

     

    de 

     
     
    l’économiste suisse HaraL’économiste allemand Hans-Werner Sinn et ld Hau ont signé avant-hier une tribune libredans le Financial Times, intitulée : « L’union bancaire de la zone euro est profondément viciée ». Elle traite un thème qui m’est cher et sur lequel il est toujours bon de revenir : que le mécanisme du prêt et de l’emprunt est aujourd’hui faussé du fait que le défaut, soupape nécessaire d’une économie fondée sur une répartition très inégale de la richesse, a été mis hors-jeu. Tout défaut, toute somme qui n’est pas remboursée par un emprunteur à un prêteur, est depuis 2007 prise à charge par l’État, c’est-à-dire par le contribuable, le cas princeps étant celui de la faillite de l’assureur américain AIG en septembre 2008 : le contribuable américain a (à son corps défendant bien entendu) réglé l’entièreté des 182,5 milliards de dollars nécessaires à rembourser rubis sur l’ongle l’ensemble des créanciers.
     
    Dans ce domaine, l’Europe met en ce moment les bouchées doubles. Sinn et Hau écrivent très justement à propos du projet d’union bancaire européenne qu’il « pourrait constituer une nouvelle étape dans le transfert de dettes privées douteuses au bilan des États – ce qui réjouit le marché des capitaux et explique sans doute sa confiance retrouvée ».
     
    Les principales composantes du taux d’intérêt sont la prime de liquidité (le prix à payer pour le temps qui s’écoulera avant le remboursement), l’expression du rapport de force entre prêteurs et emprunteurs dans une conjoncture particulière de l’économie, et la prime de risque faite pour absorber statistiquement le défaut s’il a lieu. Or maintenant que le risque a cessé d’exister, la prime de risque incluse dans le taux d’intérêt exigé constitue une simple aubaine. À propos du Mécanisme européen de stabilité (MES) Sinn et Hau font observer qu’il « met en avant des mesures protégeant les investisseurs contre les conséquences de leurs mauvaises décisions ».
     
    Pour justifier son profit, le prêteur invoque – et le plus souvent à hauts cris – le risque auquel il est exposé. Mais le risque de non-remboursement a aujourd’hui disparu : le versement des sommes dues a été verrouillé, aux frais de la communauté. Si celle-ci proteste : dit qu’elle a du mal à payer, il lui est répondu sans vergogne – venant d’en haut – que ses difficultés actuelles proviennent du fait qu’« elle a vécu autrefois au-dessus de ses moyens ! ».
     
    Les exilés et autres optimiseurs fiscaux expliquent à qui veut les entendre que leur attitude se justifie par le fait que la solidarité fiscale s’exerce systématiquement à leurs dépens. Certains d’entre eux – peut-être même de bonne foi – continuent de l’affirmer. Ils peuvent cependant être rassurés : depuis 2007, et dans l’ensemble des pays occidentaux en tout cas, c’est désormais à eux que la solidarité fiscale bénéficie essentiellement.
     
    Il faut que les États cessent immédiatement de prendre à leur charge la totalité des défauts qui se manifestent dans l’économie : le défaut est une soupape assurant le désendettement sans que l’économie ne s’effondre pour autant. L’assurance contre le défaut existe d’ores et déjà : c’est la prime de risque incluse dans le taux, faite précisément pour absorber statistiquement un non-remboursement éventuel. Si le défaut d’une firme spécifique devait constituer par sa nature-même un risque systémique, cette firme doit être immédiatement démantelée en unités non-systémiques.
     
    Les mesures assurant la disparition du risque pour le prêteur ont été mises au point conjointement par les entreprises transnationales et les grandes firmes d’audit avant d’être proposées clé-en-main aux États par leurs lobbyistes. J’ai rappelé cela lundi lors de la première réunion du « Groupe de réflexion sur l’économie positive », la fureur d’un participant au cœur de ce mécanisme en réponse à mon affirmation, m’a confirmé que j’avais visé juste.

    Blog de Paul Jorion » L’EUROPE S’APPRÊTE À « PROTÉGER LES INVESTISSEURS CONTRE LES CONSÉQUENCES DE LEURS MAUVAISES DÉCISIONS »
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  • http://lagauchematuer.fr/2013/01/29/pour-faire-oublier-l%e2%80%99echec-de-leur-politique-les-socialistes-remettent-le-vote-des-etrangers-sur-la-table/

    Pour faire oublier l’échec de leur politique les socialistes remettent le vote des étrangers sur la table !

    Peut-être certains à droite ont pensé que le vote des étrangers non-européens, cette mesure phare de François Hollande seraient jetée aux oubliettes et bien non. L’envie de détruire les fondements de notre nation est toujours présente au sein du Parti Socialiste.

    Nous apprenons aujourd’hui par les services de communication de Matignon qu’une initiative imminente sur le droit de vote des étrangers aux élections locales allait être mise en place. Le mariage pour tous et l’intervention au Mali ne suffisait pas à faire oublier l’échec de la politique globale de François Hollande. Encore une fois celui-ci va utiliser des paravents afin de diviser la société française sur un sujet mineur mais qui aura au moins le mérite de ne pas parler des vrais sujets qui fâchent et qui doivent être réglés au plus vite comme le chômage, l’insécurité, l’immigration, l’éducation etc.

    François Hollande n’a aucune réponse concrète à donner sur tous ces sujets, il n’a d’ailleurs aucune vision et il sait. C’est pourquoi il investit avec force et vigueur sur tout ce qui est sociétal, toutes ces mesures ont le mérite de cliver notre société et ont l’avantage de ne rien coûter. Il est donc gagnant sur tous les plans.

    Seulement les français ne sont pas dupes Monsieur Hollande, ils comprennent où vous souhaitez en venir avec vos tours de passe-passe. Vous ne pourrez pas indéfiniment faire la politique de l’autruche. Un jour ou l’autre vous devrez vous engagez sur une réelle politique de réforme de notre modèle économique et sociale. Sans cela notre pays sombrera dans le chaos, mais cela le peuple de France vous le fera payer.

    Cliquez sur le lien pour lire notre argumentaire sur notre opposition au vote des étrangers

    http://lagauchematuer.fr/2012/09/21/droit-de-vote-des-etrangers-pourquoi-je-suis-contre/

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  • http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/les-chomeurs-peuvent-attendre/

     

    Les chômeurs peuvent attendre !

    Pendant un minimum de 2 semaines, la Chambre des Députés va débattre exclusivement du mariage pour les homosexuels.

    Est-ce vraiment la priorité actuelle des Français ?

    Avec le faux espoir de masquer l’échec désormais patent du gouvernement dans le domaine économique, le gouvernement se jette, à corps perdu, dans les réformes de société.

    Le parlement a à peine commencé le débat sur le mariage et l’adoption, qu’il sème le trouble en diffusant une directive reconnaissant la GPA (tant qu’elle est pratiquée hors de France) et en indiquant que Matignon va prendre « une initiative forte dans le domaine du vote des étrangers« .

    Que pensent de cette agitation les 15 000 salariés de Peugeot et Renault menacés de perdre leur emploi ou de subir des mutations traumatisantes ? Sont-ils solidaires du lobby gay qui retient actuellement toute l’attention du gouvernement et du parlement ?

    Des mouvements sociaux sont lancés à Aulnay (PSA), à Cléon (Renault) et maintenant à Amiens (Goodyear). Certains sont violents et voient s’affronter salariés grévistes et non-grévistes, et le gouvernement trace sa route « sociétale » ignorant les priorités des Français!

    Par ces temps troublés où l’on aurait besoin de tous pour se mobiliser contre le chômage et pour améliorer la compétitivité de la France, François Hollande – le président qui devait apaiser la France – est en train de cliver la France comme jamais pour satisfaire une infime proportion de la population française.

    Il a jeté dans la rue plus d’un million de manifestants, le 13 janvier dernier, contre le droit à l’adoption pour les  couples homosexuels. Combien descendront dans ces mêmes rues quand le débat sur le vote des étrangers commencera ?

    Pour illustrer cet article, voici la vidéo d’un débat entre Guillaume Peltier (UMP et Droite Forte) et Olivier Faure (PS chargé de la communication) :


    Olivier Faure et Guillaume Peltier: le Face à… par BFMTV
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  • http://zebuzzeo.blogspot.fr/2013/01/les-partisans-du-mariagepourtous-sont.html

    Les militants du #mariagepourtous sont des encartés du PS en attente de postes

     

     

    Monsieur le Président, ne me discriminez pas une troisième fois

     
    En tant qu’homosexuel et soutenu par la "Manif pour tous", j’ai été une troisième fois, discriminé. Ma parole qui est en réalité celle de plusieurs centaines d’homosexuels compte visiblement moins que celle de l’Inter-LGBT qui, je le répète, n’est absolument pas représentatif des homosexuels en France, ils n’ont jamais été mandaté par qui que ce soit et surtout pas par les premiers concernés.
     
    Monsieur le Président, je vous remercie donc de bien vouloir, au prochain chant du coq, ne pas me discriminer une troisième fois. Écoutez, s’il vous plaît, les nombreux homosexuels qui sont contre le projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe.
     
    Merci pour nous qui sommes aussi des citoyens à part entière.

    Le mouvement pour le mariage est coopté par une minorité, un groupe de militants LGBT encartés au PS, certains occupent même des fonctions au gouvernement. Des gens comme Bruno Julliard ou Gilles Bon-Maury. Ce dernier est élu personnalité de l’année par le magazine Yagg alors qu’il n’a rien foutu de l’année. Mais bon, c’est un mec de Homosexualités et Socialisme. On assiste à une sorte de montée par capillarité des apparatchiks du mouvement gay. Ils accèdent ainsi aux administrations et au gouvernement et n’ont plus de marge de manœuvre. Ils obéissent, pour soigner leur propre carrière, à un gouvernement qui ne comprend rien aux questions minoritaires. 
    Nicolas Gouguin, porte-parole de l’InterLGBT, se gargarise en disant que 2013 sera l’année du mariage pour tous. Non ! 2013 sera l’année de la crise. (Didier Lestrade)
     
     
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