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  • L’émission des grandes gueules sur RMC baisse de niveau depuis quelques temps, entre le pédant et vulgaire Charles de Consigny qui balance des florilèges de conneries et insulte à tour de bras les membres et sympathisants du FN, Sylvain Grandserre avec le QI d'un gaucho très limité et enfin le vénérable Jacques Maillot qui juge le programme économique et social du FN sans l'avoir lu ni vu à l’œuvre, alors qu'il y a deux ans de cela il disait haut et fort qu'il fallait laisser le temps à Hollande de mettre en place son programme pour pouvoir le juger.

    Ce que l'on donne aux uns n’est pas acceptable pour les autres?C'est vrai que 40 ans de programme économique et social RPR-UDF-UMP-Socialiste-Communiste et écolos nous ont propulsé au bonheur des dames.........

    Alain et Olivier le niveau baisse il va falloir reprendre les troupes en mains...

    Patriote64.

     

    http://www.prechi-precha.fr/sylvain-grandserre-rmc-au-sujet-fdesouche-drepanocytose-mein-kampf-hitler-dit-quil-faut-tuer-les-juifs/

    Sylvain Grandserre (RMC) sur Fdesouche et la drépanocytose : Dans Mein Kampf Hitler dit qu’il faut tuer tous les juifs.

    Commentaire de Raymond La Science sur le Forum de Fdesouche :

    Ce qui est assez paradoxal dans cette émission , c’est que le rebelle en carton qui cause dans le poste réagit exactement comme si ce chiffre de 36 % , selon lui invraisemblable , était affolant . Il y a un non-dit terrible , dans le genre  » Non , non , on en est pas là , voyons c’est impossible  » , un parfait antiraciste ne devrait pas réagir comme ça , au contraire . Il faut choisir , pour un dogmatique , soit le Grand Remplacement existe et il ne pose aucun problème , soit il n’existe pas et il n’y a pas lieu de s’en inquiéter , mais défendre implicitement qu ‘il n’ existe pas au niveau décrit sous entend qu’au niveau décrit il existerait , il y a la introduction d ‘une clause conditionnelle fort douteuse . On ne minimise que ce que l ‘on redoute .

    On a envie de lui poser une question : Pourquoi ça vous paraît dément ? Ça vous dérange ? Il y a un seuil de toxicité ? Un risque ? C’est TROP donc c’est faux ? On a l ‘impression qu’on vous annonce votre taux de cholestérol ! Curieux non ? Et si c’est vrai , au delà des excuses promises est ce que ça changerait vos opinions sur son innocuité ?

    Clairement on n’est pas seulement devant le classique déni de réalité mais devant une réaction d’inquiétude , de refus du réel , assez ambigüe qui prouve largement la superficialité de toutes ces positions immigrationistes de pure façade , toilettage de moraliste bourgeois …

    Encore un partisan de l ‘immigration de masse à condition que ça ne le concerne en rien au delà de sa bonniche marocaine et du mec qui fait la plonge  dans son resto préféré . Une fois encore nous sommes confrontés à une « pensée » touristique , irresponsable , hédoniste , dénuée de toute anticipation ou prospective , une vision politique « Club Med » , ce sont des amateurs , tous ces petits rigolos tomeront de haut dans une poignée d’années .

    ———-

    Addendum : Après avoir repris notre vidéo, le site Fdesouche met au défi Sylvain Grandserre d’infirmer les chiffres officiels de l’AFDPHE.

    Réponse de Fdesouche

    NDLR : Les chiffres de notre carte sont tirés des statistiques officielles de l’AFDPHE, page 62. Il est précisé explicitement page 31 que « le dépistage de la drépanocytose est ciblé chez les
    enfants à risque nés en métropole ». Les chiffres de Fdesouche sont justes. Nous mettons donc nos contradicteurs au défi de nous prouver l’inverse. En revanche, si nous avions commis une erreur d’interprétation, nous ferons amende honorable.

    Sylvain Grandserre (RMC) au sujet de Fdesouche et de la drépanocytose : Dans Mein Kampf Hitler dit qu’il faut tuer tous les juifs.

    Sylvain Grandserre s’exprime sur fdesouche, la drépanocytose et le Grand Remplacement.

    Dans l’émission des Grande Gueules un auditeur interpelle Sylvain Grandserre sur les propos qu’il a tenu au cours de l’émission au sujet du FN et du remplacement de population. Le maitre d’école réfute l’idée qu’il y ait 36% des naissances en France qui soient issus à l’immigration extra-européenne. L’auditeur l’invite à prendre connaissance des études sur les dépistages de la drépanocytose et cite Fdesouche. Le maitre d’école rit et ironiquement fait référence à Hitler en évoquant Fdesouche.


    Sylvain Grandserre (RMC): Y a pas 36% de... par prechi-precha


    Sylvain Grandserre (RMC): Y a pas 36% de… par prechi-precha

    Lire : Drépanocytose : la carte de France du Grand Remplacement mise à jour

    Si0yyX2

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  • Il y a tellement de chose à faire qui sont simples et qui ne coûtent pas un rond en s'attaquant directement à la source, en traitant les causes et pas les conséquences.

    Patriote64.

    http://www.observatoiredessubventions.com/2014/10-milliards-d-euros-pour-la-transition-energetique/

    10 milliards d’ euros pour la transition énergétique

    Ségolène Royal vient d'annoncer le déblocage d'une enveloppe de 10 milliards d'euros sur 3 ans pour financer la transition énergétique.

    Ségolène Royal vient d’annoncer le déblocage d’une enveloppe de 10 milliards d’euros sur 3 ans pour financer la transition énergétique.

    10 milliards d' euros pour la transition énergétique

    La ministre de l’Écologie a en effet présenté son projet de « programmation de la transition énergétique pour une croissance verte« , adopté en Conseil des ministres, pour lequel 10 milliards d’euros seront débloqués sur 3 ans ( voir Le scandale des énergies renouvelables). Ségolène Royal entend ainsi « lutter contre le dérèglement climatique » et « réduire la facture énergétique de la France qui s’élève à près de 70 milliards d’euros par an ».

    Voici donc les grandes lignes du projet de transition énergétique de Ségolène Royal:

    - Division par 4 des émissions de gaz à effet de serre du pays à l’horizon 2050.

    - Diminution de la consommation énergétique finale de 50% d’ici à 2050.

    - Réduction de la consommation d’énergie fossile de 30% pour 2030.

    - Porter la part des énergies renouvelables à 23% pour 2020, puis 32% pour 2030 ( contre 13,7% en 2012).

    - Ramener la part du nucléaire dans la production d’électricité à 50% d’ici à 2025. ( voir Le scandale des énergies renouvelables)

    - Création de 100 000 emplois « durables et non délocalisables en trois ans ». ( voir Comment les emplois verts détruisent l’ emploi privé)

    - Rénovation thermique de 500 000 bâtiments par an grâce au crédit d’impôt développement durable ( allègement fiscal de 30% pour les ménages ayant réalisé les travaux avant fin 2015).

    - Enveloppe de 5 milliards d’euros de prêts « croissance verte » proposée par la CDC ( Caisse des Dépôts et Consignations) aux collectivités territoriales pour financer la rénovation énergétique des bâtiments publics.

    - 50% des véhicules de l’Etat devront être électriques ou à faibles émissions et 7 millions de bornes de recharges devront êtres installées pour les particuliers d’ici à 2030.

    - La part des énergies renouvelables devra être doublée avant 2030 pour qu’elles produisent 40% de l’électricité, 38% de la chaleur et 15% des carburants. ( voir Le scandale des énergies renouvelables)

    - 800 millions d’euros de prêts seront proposés chaque année par la BPI ( Banque publique d’) aux entreprises développant les énergies renouvelables, et ce jusqu’en 2017.

    - Création d’un fonds de 1,5 milliard d’euros pour développer les territoires à « énergie positive » et « zéro déchet ».

    Ségolène Royal assure que les 10 milliards d’euros débloqués pour financer son projet de transition énergétique « ne relèvent pas de la dépense budgétaire. Ils permettront de générer 3 fois plus de travaux ». Où la ministre de l’Ecologie compte-t-elle trouver cet argent ?

    Le texte du projet de transition énergétique de Ségolène Royal sera examiné à partir du 1er octobre à l’Assemblée.

    Voir aussi L’écologie, oui! Les écolos, non! – Les enquêtes du contribuables

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  • http://french.ruvr.ru/2014_08_01/Les-resultats-de-l-analyse-des-images-satellites-publiees-par-le-Service-de-securite-d-Ukraine-sur-Internet-le-30-juillet-2014-0538/

    Résultats de l’analyse des images satellites publiées par le Service de sécurité d’Ukraine sur Internet le 30 juillet 2014

    Résultats de l’analyse des images satellites publiées par le Service de sécurité d’Ukraine sur Internet le 30 juillet 2014

    Par La Voix de la Russie | Les spécialistes du ministère de la Défense de Russie ont analysé les matériaux graphiques, publiés le 30 juillet de cette année par le Service de sécurité d’Ukraine (SBU), censés « démentir » l’authenticité des prises de vue de satellites artificiels russes, constatant la présence le 17 juillet de batteries ukrainiennes de missiles Bouk dans la région de la catastrophe du Boeing 777 malaisien, et « attester » des tirs par des Forces armées russes contre le territoire ukrainien.

    La première chose qu’on veut dire – pour présenter des accusations graves, et d’autant, tirer des conclusions, il est nécessaire de l’étayer de faits. Il est généralement connu qu’un rattachement exact des images satellites à la surface terrestre dans le système de coordonnées géographiques et le temps astronomique des prises de vue sont des attributs obligatoires de tels documents.

    Cela est indispensable pour déterminer la composition exacte du groupe satellitaire, survolant à un moment donné le lieu pris en photo, en comprenant les caractéristiques et les capacités des appareils cosmiques concrets, évoluant sur orbite circumterrestre suivant des trajectoires connues d’avance.

    En répondant à cette question, nous pouvons constater sans équivoque que suivant les données du Système de contrôle de l’Espace de Russie, dans la période comprise entre 10h00 et 13h00, heure de Moscou, (9h00 et 12h00, heure d’Ukraine) le 12, le 16, le 17 et le 18 juillet les satellites ukrainiens Sitch-1 et Sitch-2 ne survolaient pas les territoires indiqués. Pendant le temps marqué sur les images au-dessus de la zone de la catastrophe se trouvait le satellite américain de reconnaissance optique et électronique de type KeyHole. De cette façon, la provenance de la base photographique pour le traitement ultérieur au Service de sécurité d’Ukraine (SBU) ne doit susciter des doutes chez personne.

    Pour ce qui est des prises de vue, leur analyse détaillée a montré ce qui suit.

    Sur les deux premières diapositives les images satellitaires russes et ukrainiennes sont en somme identiques. Mais avec cette notice importante que la prise de vue présentée par le SBU a été faite quelques jours plus tard.

    Diapositive n°1

     

    Diapositive n°2

     

    Plus intéressantes pour l’analyse sont les images ukrainiennes sur les diapositives n°3 et n°4.

    Diapositive n°3

     

    Le temps de prise de vue marqué ne correspond pas à l’image.

    Ainsi, à 11 heures du matin le soleil dans ce lieu se trouve au Sud-est et, par conséquent, les ombres doivent y tomber seulement au Nord-ouest.

    Tandis que sur les matériaux présentés par le SBU les ombres tombent on ne sait pas pourquoi en direction du Nord-est. On obtient donc que ces prises de vue ont été faites non seulement à une quelconque autre date, mais aussi dans l’après-midi, et le temps marqué sur les images y a été délibérément falsifié.

    Et ceci est un fait absolu, alors que sur les prises de vue, publiées par le ministère de la Défense de Russie le 21 juillet, ces positions correspondent aux coordonnées géographiques et au temps astronomique.

    Qui plus est, sur la partie de la bande forestière de protection marquée par le SBU on voit à l’œil nu des déformations, faites par le rédacteur de photo. Notons que sur limage satellitaire russe elles sont absentes.

    Remarquons pour compléter que suivant le bulletin météo pour le 17 juillet dans la région au-dessus d’Avdeevka la nébulosité était de 70-80% avec l’altitude de la couche inférieure d’environ 2 500 mètres, ce qui est facilement vérifiable par beaucoup de sources indépendantes et ce qu’on voit très bien sur l’image d’Avdeevka, faite par le satellite artificiel russe.

    Remarquez que sur l’image n °4 du SBU le même jour et à la même heure le temps est ensoleillé. Les commentaires sont ici superflus.

     

    Diapositive n°4


    Sur la diapositive n°5, la résolution de la photo russe a été délibérément réduite par les « artistes » du Service de sécurité d’Ukraine (SBU), ce qui a rendu flous les contours du relief (champs labourés).


    Diapositive n°5

     

    Alors que le ministère russe de la Défense ait rendu public une image de haute résolution de cette même zone (cf. image ci-dessous). Toutes les soi-disant inexactitudes, indiquées par le SBU, sont absentes sur cette image.

    L’image de la zone, fournie par le ministère de la Défense de Russie.


    La photo ukrainienne sur la diapositive n°7 est également identique à la photo russe, avec une seule différence : elle a été réalisée 5 jours plus tôt (!) que la photo russe. Il n’est pas clair ce que voulait illustrer le SBU avec cette photo.

    Diapositive n°7


    Analysons maintenant le matériel graphique fourni par le SBU, qui confirme les livraisons prétendues de l’équipement militaire et de l’armement russe sur le territoire de l’Ukraine, ainsi que le transfert des mystérieux groupes de diversion, et le bombardement des communes ukrainiennes.

    Sur les 14 images satellites présentées par le SBU, on peut distinguer des véhicules de transport et des traces de leur déplacement sans aucune référence à une zone concrète, une date ou heure. Ainsi, sur la moitié des images (Diapositives n°2 à n°7), on peut voir des routes des champs, qui selon le SBU, passent par le territoire de la Fédération de Russie et d’Ukraine.

    Diapositive n°2

     

    Diapositive n°3

     

    Diapositive n°4

     

    Diapositive n°5

     

    Diapositive n°6

     

    Diapositive n°7


    En même temps, sur ces photos vous ne trouverez aucune route, qui traverserait la frontière russo-ukrainienne. Quant aux allégations du SBU sur le fait que les traces sur les champs sont ceux des véhicules blindés russes, elles ne tiennent pas la route.

    Compte tenu de la qualité des images, cela reste un mystère comment les experts ont pu identifier ces véhicules comme des chars, des blindés ou des camions, et affirmer que ces véhicules appartiennent à la Fédération de Russie, et non pas aux forces armées de l’Ukraine.

    Cela concerne également deux autres photos (Diapositives n°4 et n°14), sur lesquelles on voit des traces de l’équipement de la zone avec du matériel de génie.

    Diapositive n°4

     

    Diapositive n°14


    Une situation similaire se crée avec le soi-disant équipement militaire russe qui se trouverait sur le territoire de l’Ukraine et qui, selon les affirmations du SBU est montré sur les Diapositives n°11 à n°13.


    Diapositive n°11

     

    Diapositive n°12

     

    Diapositive n°13


    On ne comprend pas à nouveau quels critères utilise le SBU pour affirmer que cet équipement appartient à l’armée russe. Surtout que le territoire non loin des villages de Marinovka, Kojevnia et Grigorievka, où cet équipement a été « découvert », est contrôlé depuis longtemps par les forces de l’ordre ukrainiennes.

    En ce qui concerne les « traces » des tirs des lance-roquettes Grad, effectués depuis la zone du village de Grigorievka sur les Diapositives n°8 à n°10, situé sur le territoire de l’Ukraine (!) et contrôlé par les forces de l’ordre ukrainiens, il s’agit d’un nouveau « chef d’œuvre » de la conspirologie ukrainienne, qu’on peut mettre sur le même pied d’égalité avec les accusations précédemment formulées par Kiev de l’implication de la Russie dans l’organisation des émeutes sur le Maïdan de Kiev et la tragédie à Odessa.

    Diapositive n°8

     

    Diapositive n°9

     

    Diapositive n°10

     

    Au lieu de présenter à la communauté internationale des données fausses rassemblées à la hâte, la direction du SBU ferait mieux d’organiser un contrôle minutieux des bataillons de mercenaires sous la direction de Kolomoïsky, Liachko, Iaroch et d’autres leaders, armés à titre privé. Ces mercenaires, actuellement actifs dans les régions de Donetsk et de Lougansk, sont en train de pilonner des villages ukrainiens sans un contrôle quelconque de la part du commandement de l’opération antiterroriste.

    ***
    En résumant les résultats de l’analyse présentée ci-dessus, et en se basant sur les donnes de contrôle objectif du système russe de monitoring de l’espace, on peut affirmer sans équivoque que l’Ukraine n’est pas le propriétaire des images, rendues publiques le 30 juillet.

    La qualité des images, et l’argumentation des accusations envers la Fédération de Russie qu’utilise le SBU ne tiennent pas la route.

    C’est certainement la raison pour laquelle les véritables propriétaires de ces images n’ont pas osé jusqu’à présent de publier ces images sous leurs noms, pour ne pas casser le mythe existant sur la toute-puissance des services de renseignement aérospatial ukrainiens. 



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  • http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/08/rebondissement-dans-laffaire-du-vol.html

    Rebondissement dans l'affaire du vol MH17 : Les experts allemands établissent des traces de canonnage

     

     

     

     

     

     

    Les séparatistes pro-russes (aidés par les Russes, qui en portent l’inexpiable responsabilité) sont donc à l’origine du crash de l’avion malaisien, scandaleusement abattu par un missile anti-aérien de type SA-11 (BUK M1). Haro sur eux, puisque tout est clair (l’avantage des vérités révélées sur les longues et fastidieuses recherches). Les affirmations russes de la présence d’au moins un avion SU-25 à proximité du vol 17 n’étaient donc qu’affirmations mensongères, comme l’étaient les messages du contrôleur aérien Carlos qui témoignait de la même chose (si d’aventure ce Carlos a même jamais existé).

     


     

    On comprend mal pourquoi les enregistrements du contrôle aérien de Kiev (qui a fait dévier le vol civil pour l’amener sur une route plus au nord qu’à l’accoutumée, c’est-à-dire passant au dessus d’une zone contrôlée par les pro-russes) devaient de toute urgence être confisqués par le SBU ukrainien, mais qu’importe. Et s’ils n’ont pas reparu, c’est sans incidence. Tout comme l’offensive de ceux qui, sur zone, poursuivent une opération anti-terroriste (ATO) qui ne permet plus aux experts de pouvoir véritablement travailler.

     

     

     

    Voilà le contexte dans lequel viennent s’inscrire, tout à trac, l’apparition d’images qui ne sont pas du tout celles que l’on attendait (aïe !…) et les observations des experts allemands qui les ont examinées. A peine avait-on cessé de croire à l’arrivée de Grouchy que Blücher s’annonce.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et voici que reviennent en mémoire ces premiers témoignages, ceux des habitants vivant à proximité de la zone du crash, qui faisaient état de plusieurs détonations dans le ciel et, souvent, mentionnaient la présence d’au moins un, parfois deux avions de plus petite taille.

     

     

     

    Revoici à nouveau sous les projecteurs les explications de l’état-major des forces armées russes, lors de sa présentation, qui, en se basant sur des échos et suivis de radar, affirmait la présence d’au moins un Su-25 à moins de 5 km (entre 3 et 5 km, disait-il) du vol MH17. Précisant même qu’il s’agissait d’un signal radar simple (sans identification secondaire, donc d’un vol militaire). « On a observé la montée d’un avion ukrainien SU-25 en direction du Boeing malaisien, qui se trouvait alors à une distance de 3 à 5 km. Le Su-25 peut atteindre une altitude de 10.000 mètres. Il dispose de missiles air-air qui peuvent tirer jusqu’à 12 km et garantissent la destruction d’un objectif jusqu’à 5 km », avait clairement affirmé le lieutenant-général Andreï Kartapolov.

     

     

     

    C’est en effet que plusieurs éléments de l’épave du Boeing semblent bien présenter ce qui ressemble à… des impacts de balles. Des traces de balles de canon automatique de calibre 30, tel que le canon qui équipe les SU-25, pour être précis. Ne pourrait-il pas s’agir aussi bien de shrapnells provenant d’un missile sol-air BUK ? Apparemment pas ! Certains éléments photographiés révèlent clairement des perforations rondes entrantes, en même temps que des orifices aux bords déchiquetées vers l’extérieur, et cela sur les mêmes éléments de carlingue. Cela indiquerait soit un tir croisé par deux avions de chasse, soit l’explosion d’un missile complétée par des tirs.

     

     

     

    Il y aurait donc deux armes du crime. Ce n’est pas du tout la version occidentale entendue jusqu’ici…

     

     

     

    C’est néanmoins ce qu’un ancien pilote allemand, expert en technologie aérienne, Peter Haisenko, vient de publier sur le sujet : « Si l’on regarde l’image de ce fragment de cockpit, cette image est certainement choquante. On y voit dans la zone de l’habitacle des traces de perforations par balles aussi bien en entrée qu’en sortie. Aucune spéculation ici, mais l’analyse de faits clairs : le cockpit montre des preuves manifestes d’impacts de balles. Vous pouvez voir les trous d’entrée et certains points de sortie. Les bords des orifices d’entrée sont repliées vers l’intérieur, les trous sont beaucoup plus petits et de forme ronde. Le calibre est de 30mm. Les orifices de sortie sont moins bien formés et les bords en sont déchirés vers l’extérieur.

     

     

     

    En outre, il est visible que les trous de sortie ont déchiré la double épaisseur d’aluminium et ont plié le métal vers l’extérieur. Ce qui veut dire que les éclats ont été projetés de l’intérieur de la cabine vers l’extérieur. On constate également que les rivets ouverts ont, eux aussi, été pliés vers l’extérieur. Une seule conclusion s’impose : c’est que l’avion n’a pas été touché par un missile. Les dommages infligés à l’aéronef sont par ailleurs uniquement circonscrits au poste de pilotage… ». [1]

     

     

     

    Calibre 30 mm… Comme l’armement du Sukhoï SU-25, qui est équipé d’un canon de 30 mm type GSch-302/AO-17A, tirant des obus explosifs à éclats (le Sukhoï est approvisionné pour 250 coups). Ou plutôt comme l’armement de DEUX Sukhoï Su-25, puisque l’on relève des traces d’entrée et de sortie de balles sur le même côté, ce qui montre que le cockpit du MH17 a été touché de DEUX côtés.

     

     

     

    Dmitry Travkin [1] a présenté un photomontage présentant la pièce de l’avant du fuselage, telle qu’elle a été retrouvée sur le site du crash, à la place qu’elle devait occuper sur la carlingue du Boeing, et reconstituant la trajectoire des projectiles qui ont frappé à la fois le coin de la vitre de cockpit et l’extrémité de l’aile gauche de l’appareil.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On remarque instantanément qu’il ne s’agit pas là de l’effet typique d’un missile anti-aérien tel que le BUK, à savoir un cône de détonation, lequel aurait projeté ses éclats de façon nettement plus dispersée. Mais qu’il s’agit bien plutôt d’un tir de canon.

     

     

     

    Des feux après l’impact au sol, et non avant !

     

     

     

    Bernd Biederman, colonel en retraite et spécialiste des missiles de défense anti-aérienne, est pour sa part d’avis que le Boeing de la Malaisie « n’a pas pu avoir été touché par un missile de défense aérienne sol-air ». C’est ce qu’il vient d’écrire dans un article publié par le quotidien Berlinois « Nouvelle Allemagne » (édition du jeudi), faisant remarquer que si l’avion avait été touché par les éclats d’un missile sol-air, il aurait immédiatement pris feu « du fait de l’énorme chaleur de friction que les éclats génèrent en pénétrant le fuselage. » Un seul éclat contient la même énergie cinétique qu’un wagon de chemin de fer de 40 tonnes percutant les tampons à 60 kilomètres à l’heure, souligne-t-il. « Dans le cas du Boeing Malaisien, on a pu voir que des feux épars avaient éclaté après l’impact au sol, car les débris chaud de l’avion étaient entrés en contact avec des matériaux combustibles. » [1]

     

     

     

    Biedermann est un familier de la technologie soviétique et russe de défense aérienne : comme officier, il a dirigé des unités de missiles anti-aériens au sein des forces de l’Allemagne de l’Est, avant d’enseigner ce domaine à l’Académie militaire qui formait les troupes de défense anti-aérienne.

     


    « Les impacts sur le morceau de carlingue semblent mieux correspondre au tir du canon de 30 mm du Frogfoot (nom de code Otan du SU-25) qu’à des éclats de missile », relève pour sa part Jacques Sapir. [2] « Ces derniers sont – en général – nettement plus dispersés, sauf si l’explosion de la tête du missile a eu lieu à toute proximité de la cible (probablement moins de 5 m). La tête du missile BUK contient de l’explosif et des petits cubes d’aciers au sein de l’explosif. La détonation provoque un cône d’éclats. Si le missile détonne à 10 m-15 m de la cible, le cône est déjà formé. Si le missile détonne à moins de 5 m, les éclats peuvent par contre être groupés. »

     

     

     

    Lorsque l’on sait qu’un ou même deux SU-25 ont accompagné le Boeing pendant plusieurs minutes, les choses ne peuvent manquer d’apparaître sous un jour différent de celui que l’on nous avait tout d’abord présenté. Même si l’on sait aussi que l’Armée ukrainienne avait déployé des missiles BUK dans la région de Donetsk, craignant semble-t-il une attaque aérienne russe contre ses forces engagées dans l’est du pays, en représailles aux tirs qui avaient frappé à de multiples reprises des postes frontière de la Fédération de Russie (le gouvernement russe avait menacé l’Ukraine de « frappes ciblées »).

     

     

     

    Quant au SU-25, s’il n’est pas à proprement parler un chasseur, mais un appareil d’attaque au sol, il pouvait néanmoins monter suffisamment haut pour se trouver à portée de tir missile (missile air-air R-60)… ou de tir canon.

     

     

     

    Et Jacques Sapir de noter : « L’enquête a pour l’instant révélé que l’équipage a été mis hors de combat quasi-instantanément. Cela est cohérent avec la thèse de l’hypoxie suite à une dépressurisation brutale du cockpit, comme avec celle d’un équipage massacré, soit par des obus soit par des éclats de missiles. »

     

     

     

    Et d’observer : « Si ce sont bien des obus du canon de 30-mm qui arme le SU-25, ces derniers sont composés d’uranium appauvri. La radioactivité résiduelle devrait donc être détectable sur les débris. » Wait and see.

     

     

     

    Reste que si l’avion a bien été abattu par un ou plusieurs tirs de canon de 30 mm, il ne saurait plus longtemps être question de l’hypothèse d’un tir accidentel de missile. Les pilotes de chasse ne se recrutent pas dans les bars chez les fantaisistes. Pas plus que les Sukhoï 25 ne volent en haute altitude sans raison.

     

     

     

    « Il y a plus de choses dans le ciel et sur la terre, Horatio, que n’en rêve votre philosophie. »

     

     

     

    Quant au Département d’État des États-Unis, il vient de changer sa position, passant d’un crime de Poutine à un « accident tragique ». Sans que l’on sache s’il compte également modifier prochainement ses précédentes allégations : celles relatives aux photos (récupérées sur Twitter) qu’on nous affirmait être celles d’un BUK des séparatistes s’enfuyant en Russie après son forfait, comme celles qui se rapportaient à certains extraits audio (récupérés sur Youtube), où, nous expliquait-on, des rebelles pro-russes auraient tenu conversation au sujet d’un avion qu’ils venaient d’abattre (avant que de comprendre qu’ils avaient en fait, à tort, cru l’avoir abattu).

     

     

     

    Verra-t-on un jour quelque image satellite sérieuse ou quelque relevé de suivi radar réellement parlant de la part de Washington ? Cela est pour le moins douteux. Tout au plus, peut-être, un enregistrement du MIG personnel du président russe, avec Igor Strelkov à ses commandes, survolant le village de Grabove quelques minutes après le crash du Boeing (si le montage vient à être posté un jour sur Facebook).

     

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  • http://pasidupes.blogspot.fr/2014/08/dans-le-viseur-du-gouvernement-la-ldj.html

    Dans le viseur du gouvernement, la LDJ est en sursis

     
    Révolutionnaires et violentes, le NPA ou les Femen, organisations épargnées

    Les prétextes de Hollande et Valls
    Elle existe aussi et
    prospère sous Hollande
    Des pro-palestiniens manifestaient pourtant en dépit de l'interdiction de la préfecture de police mais, pour justifier son intention de dissoudre la LDJ, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, prend pourtant prétexte d'accrochages avec les activistes lancés par le NPA, parti trotskiste révolutionnaire. La Ligue de Défense Juive, organisation également musclée, s'était interposée entre les agresseurs et la synagoque de la rue de la Roquette, Paris 11e. 

    Le motif de protection d'un lieu de culte ne pèse pas lourd en république laïque. 
    Boutault à la manif pro-Hamas
    à Barbès, le 23 juillet 2014
    Au 17 de la rue des Rosiers, dans le 4e voisin, se trouve aussi une synagogue et le maire du 2e arrondissement où se situe le quartier multi-ethnique du Sentier, mais traditionnellement juif, n'est autre que Jacques Boutault (EELV) qui manifesta à Barbès avec les pro-Hamas. Lien PaSiDupes 
    La manifestation était interdite et donna lieu à des émeutes, le 19 juillet, mais l'élu Verts n'est pas inquiété. En revanche, l'organisateur trotskiste du NPA, Alain Pojolat, est convoqué le 22 octobre devant la 24e chambre du TGI de Paris.

    Or, s'il n'est pas journaliste, chacun garde aussi à l'esprit l'attentat de 1982, 7 rue des Rosiers, dont la motivation antisémite est avérée, puisque le restaurant Goldenberg situé dans le quartier du Marais à Paris était la cible du Fatah-Conseil révolutionnaire d'Abou Nidal, groupe dissident de l'OLP, identifié en 2011 par la justice française comme responsable de la fusillade qui a fait 6 morts et 22 blessés.

    Des organisations terroristes ont la faveur du pouvoir socialiste
    L'ex-Fatah est l'une des organisations terroristes placées sur la liste officielle du Canada, des USA, de l'U.E et du Royaume-Uni.
    Une autre est le Hamas, Mouvement de résistance islamique, pour lequel les manifestants pro-palestiniens ont été autorisés à manifester, à l'appel du NPA et du PCF, est sur la liste officielle des organisations terroristes du Canada, des USA et de l'Union européenne. Il est classé terroriste par Israël et par le Japon.

    Les antifa aussi seraient plus convenables s'ils sont révolutionnaires ...
       
    Le ministère de l’Intérieur étudie la possibilité juridique de dissoudre le groupuscule "d’autodéfense" juif.

    La dissolution de la Ligue de défense juive (LDJ) est aujourd’hui sérieusement envisagée par le ministère de l’Intérieur. A gauche, ses adversaires considèrent cette association d’autodéfense communautaire comme une milice. Comme les Femen, féministes révolutionnaires, ou les antifa, qu'ils soient de droite ou de gauche, les sionistes de la LDJ ont pris l'habitude de riposter aux menaces contre la communauté juive à partir de 2001.

     

    Condamnés par les institutions juives anti-sionistes, ses membres ne sont qu’une poignée, mais sont cependant accusés, comme certains pro-palestiniens radicaux, d’attiser les tensions inter-communautaires en France, alors que se succèdent les manifestations liées au conflit armé à Gaza.
     
    Motifs ethniques
    La DLPAJ [Direction des libertés publiques et des affaires juridiques] cherche sans relâche des motifs d’interdiction de la LDJ, admet une source policière. "Nous menons l’analyse la plus fine possible pour être certains que c’est faisable," fait valoir cette direction du ministère de l’Intérieur. Le procédure est en effet encadrée en droit. L’article 212-1 du code de la sécurité intérieure mentionne sept critères pouvant justifier une dissolution par décret en Conseil des ministres. 

     

    Femen à l'entraînement
    Deux d’entre eux pourraient être invoqués contre la LDJ. L’un concerne les groupes qui "provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence pour motifs ethniques ou religieux, ou propagent des idées encourageant cette discrimination", mais les provocations dans une rue notoirement juive venaient des manifestants pro-palestiniens, et l’autre, ceux "qui présentent, par leur forme et leur organisation militaires, le caractère de groupes de combat ou de milices privées". Ce que sont par ailleurs les Femen.
     
    La LDJ, n’étant pas dotée de statuts légaux, n’est pas officiellement une association. Mais l’article 212-1 permet également la dissolution de "groupements de fait" - appliquée par exemple au groupe suprémaciste noir Tribu Ka en 2006, ou encore aux groupes d’extrême droite Jeunesses nationalistes révolutionnaires et Troisième voie de Serge Ayoub, en juillet 2013, suite à la mort du jeune Clément Méric. Il semblerait donc que l'extrême gauche ne recèle aucun groupe d'ultra-gauche...  "En matière de dissolution, il n’y a strictement aucune différence entre une association et un groupement de fait, explique Nicolas Gardères, l’avocat de Serge Ayoub. Même non déclaré, un tel groupe émet des tracts, anime une page Facebook, organise des réunions, appelle à des rassemblements… Autant de choses que la dissolution interdit. Son logo ne doit plus apparaître." Et si l’organisation poursuit malgré tout ses activités, ses dirigeants encourent des poursuites pour "reconstitution de ligue dissoute".
     
    Les groupes radicaux dissimulateurs 

    Selon l’avocat (par ailleurs militant EE-LV), la LDJ répondrait à la définition d’une milice privée, 
    Le drapeau djihadiste du front Al-Nosra
     rebelles armés affilié à al-Qaïda
    flotte au coeur de Paris
    avec les manifestants pro-palestiniens
    en ce qu’elle présente "une organisation hiérarchique paramilitaire, l’obéissance de tous à un chef, des entraînements collectifs aux arts martiaux, une capacité à orchestrer des coups de forces". 
    La dissolution du mouvement n’est, pour autant, pas encore acquise, tnt elle est partiale. Les services juridiques de Beauvau veulent d’abord s’assurer que leur argumentaire est imparable, un aveu d'incertitude lourd de sens sur le bien-fondé d'un projet d'action partisane. "On ne prendra pas le risque de perdre en justice contre la LDJ, explique une source policière. D’autant que depuis quelques années, ce mouvement est légitimé de fait par la montée de antisémitisme, dont les émeutes pro-Gaza sont la démonstration sur le sol français et que certains faits ou accusations sont ou prescrits ou infondés. 

    Mercredi, les services du ministère ont d’ailleurs décortiqué la réponse du Conseil d’Etat au recours déposé par Serge Ayoub, qui contestait la dissolution de ses organisations. L’étude de l’arrêt, qui confirme deux dissolutions et en annule une, doit permettre d'étayer les arguments juridiques du gouvernement et de sécuriser une éventuelle procédure à l’encontre de la LDJ.
     
    Les spécialistes des mouvements radicaux sont toutefois divisés sur l’opportunité des dissolutions.
    Le NPA est gravement responsable des émeutes de Barbès
     
    En effet, de telles organisations ont au moins l’avantage de concentrer les militants ultras, facilitant leur surveillance par les autorités. Elles canalisent leur engagement et évitent souvent les débordements les plus extrêmes. A l’inverse, une dissolution risque de disséminer et de livrer à eux-mêmes les éléments les plus radicaux.

    Hollande ne dissout que les extrémistes de droite
    Groupe Action antifasciste Paris-banlieue de Clément Méric, 
    avec foulards et cagoules 

    Le président réclame à la gauche un brevet de bon socialiste
    Le père de François Hollande est en effet un ancien partisan de l'OAS et candidat de Me Jean-Louis Tixier-Vignancour...

    Restent aussi les Femen
    Une organisation para-militaire longtemps hébergée par la Mairie de Paris dans le 18e arrondissement, au coeur de Paris, là où eurent lieu les violences urbaines de Barbès.
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  • http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/07/perpignan-insultes-jets-de-pierre-et-menaces-%C3%A0-la-sortie-dune-%C3%A9glise.html

    Perpignan : insultes, jets de pierre et menaces à la sortie d'une église

    Communiqué de Xavier Baudry, Conseiller Communautaire de Perpignan-Méditerranée, Conseiller Municipal FN-RBM de Perpignan :

    P"Le Groupe Perpignan Ensemble (FN-RBM) dénonce avec vigueur les graves incidents commis envers l’église Saint Paul du Moulin à Vent. En effet, nos concitoyens doivent savoir, que ce lieu de culte, depuis plusieurs mois, est victime de jets de pierres, les passants et fidèles sont régulièrement insultés, le curé menacé, et cela même pendant et à la sortie des offices!!! Silence radio de la part des élus UMPS, aucun communiqué de la part d’artistes ou intellectuels auto-déclarés « bien pensants »…. Qu’aurait-on déjà entendu, si ce lieu de culte avait été une synagogue ou une mosquée ?? Nous demandons avec force, une réaction immédiate de la part des autorités municipales afin qu’elles mettent enfin en œuvre, les moyens nécessaires à la sécurité de nos concitoyens, aux abords de cette édifice, des patrouilles de Police régulières et une réponse judiciaire immédiate (et non des «mesurettes», comme la pose d’une simple caméra !)."

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  • http://www.enquete-debat.fr/archives/bernard-cazeneuve-ne-connait-pas-les-chiffres-ou-ment-effrontement-pour-limmigration-64444

    Bernard Cazeneuve ne connaît pas les chiffres ou ment effrontément pour l’immigration !

     

    etrangers en europe 2012Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve “ nos flux migratoires actuels sont parmi les plus modérés d’Europe”, des chiffres de 2010 ! on est entre 7 et 8 maintenant.

    Faux !

    Bernard Cazeneuve ne connaît pas les chiffres ou ment effrontément : 

    Selon l’Organisation des Nations Unies (ONU) sur les 197 pays étudiés, la France métropolitaine se situe au 6ème rang pour le nombre d’immigrés (6,684 millions), derrière notamment les États-Unis (au 1er rang avec 43 millions), ou l’Allemagne (au 3ème rang avec 10,758 millions)

    6ème rang  sur 197 !  des chiffres de 2010, on doit être à 8 millions en 2014

    En pourcentage de la population totale, avec 10,7%, la France toujours en 2010, on dépasse les 11%.

    Du pipo Monsieur Bernard Cazeneuve !

    «La France est une terre d’immigration et une terre d’asile. Elle doit le demeurer… »

    • avec 5 millions de chômeurs,
    • des régimes sociaux et un État en faillite,
    • pas assez de logements pour ceux qui sont en France, les Français comme les autres,

    On devait avoir 500.000 logements selon François Hollande, en 2014 on sera en dessous de 300.000 et on promet des mesures pour la rentrée 2014

    2 ans pour lancer des programmes immobiliers donc cela va bouger à l’Automne 2016 !!!

    “ l’immigration peut être une opportunité pour la France, à condition d’être maîtrisée, que les étrangers admis soient intégrés, qu’ils respectent nos lois”  on a vu que cela donnait à Barbès et à Sarcelles !  comme intégration

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