• JOURNAL DU MARDI 9 FÉVRIER 2016 : IMMIGRATION / JOURNÉE EUROPÉENNE

    1) Immigration / Journée européenne
    2) Politique / Marine le Pen met les voiles sur 2017
    3) Politique / L’état d’urgence entériné par la Constitution
    4) International / Alep, tournant du conflit syrien ?
    5) L’actualité en bref

     

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  • http://www.les-crises.fr/le-brexit-maintenant-soutenu-par-47-des-electeurs-britanniques/

    Le Brexit maintenant soutenu par 47% des électeurs britanniques

     

    Source : The Telegraph, le 17/12/2015

    Exclusif : Dans le plus gros sondage d’opinion sur l’Europe jamais réalisé au R-U, Lord Ashcroft révèle que la Grande-Bretagne pourrait se diriger vers la porte de sortie, à moins que David Cameron n’obtienne d’importantes réformes


    La Grande-Bretagne pourrait se diriger vers la porte de sortie de l’UE d’après un sondage qui a découvert que 47 pour cent des électeurs veulent partir – photo : PA

    Kate McCann, Mathew Holehouse et Christopher Hope

    Le 17 décembre 2015

    Les électeurs britanniques qui veulent quitter l’Union Européenne dépassent maintenant considérablement le nombre de personnes qui veulent y rester, constate aujourd’hui le plus gros sondage jamais réalisé au R-U sur cette question.

    Coup dur pour David Cameron, le jour où se tenait à Bruxelles un sommet crucial, une grande enquête auprès de 20 000 électeurs révèle qu’ils sont 47 pour cent du public à vouloir désormais quitter l’UE – contre seulement 38 pour cent choisissant d’y rester et 14 pour cent d’indécis.

    M. Cameron a fait savoir à ses amis qu’il allait ce soir suivre l’exemple de Margaret Thatcher et tenir tête aux dirigeants de l’UE comme elle l’avait fait en 1984 quand elle avait obtenu un rabais sans précédent pour le R-U.

    Le Premier ministre affrontera ce soir les dirigeants européens et refusera de réviser à la baisse sa tentative controversée d’interdire aux migrants les prestations sociales du R-U pendant quatre ans, malgré l’opposition de la majorité des dirigeants de l’UE, dont Angela Merkel et François Hollande.

    La nuit dernière, Mme Merkel a affirmé qu’elle s’opposerait à la principale exigence britannique, mais M. Cameron assurera aux dirigeants de l’UE qu’il “n’a pas de plan B”, dans un effort ultime de maintenir son plan de référendum sur la bonne voie.

    François Hollande, le président français, répondra à M. Cameron qu’il ne peut y avoir “de flexibilité” sur les droits des travailleurs en UE et exigera qu’il “réfléchisse à des alternatives”.

    Quoi qu’il en soit, M. Cameron refuse de revoir à la baisse ses exigences et maintiendra auprès de ses 27 homologues qu’il a besoin de modifications dans les traités pour garantir que les réformes sur les prestations sociales soient promulguées.

    On tend vers un pari aux enjeux très élevés tenu par Downing Street et qui survient après des semaines de propositions qui suggéraient que M. Cameron se préparait à faire des concessions sur ses exigences en matière d’aide sociale.

    Une source haut placée dans l’entourage de M. Cameron a déclaré : « Mme Thatcher a dit que lorsqu’elle négociait un rabais elle avait besoin de ’10 clés pour ouvrir la serrure’ quand il y avait 10 autres membres – à présent il a besoin de 27 clés. »

    M. Cameron voulait d’ici février passer un marché avec Bruxelles, qui lui permettrait d’organiser le référendum de-maintien-sortie en juin 2016.

    Cependant, des sources proches du Premier ministre ont reconnu la nuit dernière que le contrat pourrait ne pas être conclu avant mars ou juin, ce qui signifie un référendum à la fin de l’année 2016.

     

    Le Président français s’oppose à un certain nombre de réformes majeures de M. Cameron – Photo: BENOIT TESSIER/REUTERS

    Downing Street s’inquiète du fait que n’importe quel vote après l’été prochain – au moment où on s’attend à ce que la crise des migrants soit à son apogée – pourrait pousser la Grande-Bretagne vers la porte de sortie.

    Il apparaît aujourd’hui, avec le sondage de Lord Ashcroft, que les Britanniques vont voter pour quitter l’UE à moins que le Premier ministre ne soit capable de convaincre le public qu’il a réussi à conclure un accord satisfaisant, qui ferait partie de ses renégociations avec Bruxelles.

    La nouvelle étude a montré que 35 pour cent des gens étaient prêts à voter pour rester dans l’UE, si M. Cameron pouvait obtenir des concessions, dont un pourcentage important de ceux qui penchent actuellement vers la sortie.

    Cependant, seulement 19 pour cent des électeurs britanniques croient que M. Cameron reviendra de Bruxelles avec un bon accord pour le R-U.

     

    Le sondage a été conduit par Lord Ashcroft – Photo: Julian Simmonds/The Telegraph

    Le sondage de Lord Ashcroft a souligné que les détails du plan de renégociation de M. Cameron étaient “à peine enregistrés” par les électeurs.

    Il a indiqué clairement que les électeurs conservateurs détiennent “les clés de l’issue du référendum”.

    Lord Ashcroft a déclaré : “Les électeurs des conservateurs détiennent la clef de l’issue du référendum. Plus de la moitié de ceux qui ont voté pour les conservateurs en mai se situent du côté “sortie” sur notre spectre, et ils considèrent actuellement que se maintenir dans l’UE est plus risqué que d’en sortir.

    “Mais bien qu’il y ait des pessimistes quant aux chances qu’a Cameron de réussir ses renégociations, ce sont eux qui, de loin, ont la plus grande probabilité de bien réagir s’il arrive à crier victoire de façon convaincante.”

     

    Le Premier ministre se rend à Bruxelles pour des négociations de crise

    Dans l’ensemble, les votants sont partagés équitablement avec 53% qui pensent qu’il est plus risqué de quitter l’UE et 47% qui pensent qu’il est plus risqué de rester dans l’UE, a déclaré Lord Ashcroft.

    Des sources venant de Downing Street ont confirmé la nuit dernière qu’il se peut qu’on ne parvienne pas à un accord final en février comme ils l’avaient initialement espéré.

    Une source de haut rang proche du Premier ministre a déclaré : “Nous n’allons pas trouver un accord demain, tout est une question de bonne volonté derrière l’accord de février, mars, juin – de faire avancer les choses.”

     

    On reste ou on part ?

    Lord Ashcroft a interrogé 20 000 personnes dans le cadre d’un sondage

    La Grande-Bretagne doit-elle rester dans l’UE ?

    38% veulent rester dans l’UE

    47% penchent vers une sortie

    14% restent indécis

    Parmi les indécis, seulement 50% disent qu’ils vont aller voter

    1% a disparu en arrondissant les chiffres

    Est-ce que cela compte pour vous que la Grande-Bretagne soit dans l’UE ?

    81% ça compte énormément

    13% ça ne fait pas de grande différence pour moi

    Si Cameron annonçait qu’il a trouvé un meilleur accord pour la Grande-Bretagne…

    52% déclarent que ça ne changerait rien à leur vote

    35% seraient plus enclins à voter pour le maintien dans l’UE

    13% voteraient probablement pour la sortie

    Pourquoi est-ce important de savoir si le Royaume-Uni va rester ou non dans l’UE ?

    Qu’est-ce qui est en jeu ?

    Immigration 23%

    Contrôle des frontières 18%

    Immigration/réfugiés 16%

    Liberté de circulation 15%

    Contribution du Royaume-Uni au budget de l’UE 13%

    Libre-échange 13%

    Sécurité économique 12%

    Accords commerciaux 11%

    Sécurité intérieure 11%

    Droits de l’homme 10%

    Les personnes interrogées ont choisi trois réponses sur un panel de quarante-et-une options elles-mêmes choisies par des groupes de consommateurs

    David Cameron a promis un référendum sur l’adhésion de la Grande-Bretagne dans l’Union Européenne avant la fin de l’année 2017, mais avant qu’il puisse avoir lieu, il a promis la garantie d’un meilleur accord pour son pays.

    Janvier 2013 : Le discours de Bloomberg

    David Cameron donne les contours d’une vision réformatrice à grande échelle pour sauver l’Europe, mettant l’accent sur la directive sur le temps de travail et sur la bureaucratie excessive de Bruxelles, suivi de l’annonce d’un référendum en 2017 sur le maintien ou non dans l’UE.

    1 janvier 2014 : Les frontières britanniques s’ouvrent aux Bulgares et aux Roumains

    Bulgares et Roumains ont reçu le droit sans restriction de voyager et de travailler dans l’UE après l’avoir rejointe en 2007. Le gouvernement répond par de nouvelles lois pour expulser les mendiants et pouvoir mettre fin au bout de six mois aux paiements des allocations.

    Mai 2015 : l’UKIP [Parti pour l'Indépendance du Royaume-Uni, dirigé par Nigel Farage, NdT] gagne du terrain

    L’UKIP recueille la majorité des voix aux élections européennes. Durant l’été, les parlementaires conservateurs Douglas Carswell et Mark Reckless rejoignent les rangs de l’UKIP.

    Juin 2014 : Défaite de Cameron

    David Cameron est battu par 26 à 2 lors de sa tentative de détrôner Jean-Claude Juncker en devenant président de la Commission européenne. Angela Merkel devait le soutenir, mais a changé d’avis.

    Novembre 2014 : Cameron durcit sa politique d’allocations vis-à-vis des migrants

    Cameron dévoile son plan de réforme de la politique migratoire de l’UE, qui vise à supprimer les prestations liées à l’emploi pendant quatre ans pour les migrants et à expulser les migrants de l’UE sans-emploi après six mois de chômage.

    Décembre 2014 : Une facture de 1,7 milliard de livres pour la Grande-Bretagne

    Cameron est furieux après que son pays se voit adresser une facture de 1,7 milliard de livres au titre de l’adhésion à l’UE, calculée en vertu du succès de son économie par rapport à l’Euro-zone.

    7 mai 2015 : Cameron – et son engagement à renégocier avec l’Union européenne – est élu par la Grande-Bretagne

    David Cameron stupéfie Bruxelles en gagnant les élections législatives sur un programme de réforme et un référendum. Le processus de renégociation est lancé et Cameron se lance dans un tour éclair de l’Europe pour rencontrer ses 27 homologues.

    Juin 2015 : La Grande-Bretagne va financer la crise grecque ?

    Lors du premier choc désagréable de la renégociation, la Commission européenne menace d’utiliser les contributions budgétaires britanniques pour des prêts d’urgence en Grèce – faisant fi d’une promesse obtenue par David Cameron quatre ans auparavant.

    Septembre 2015 : Cameron est contraint de s’engager à aider les réfugiés

    Alors que la crise des réfugiés engloutit le continent, l’UE avertit Cameron que s’il ne fait pas plus pour s’attaquer à la crise, il n’obtiendra rien de sa renégociation. Il propose d’accueillir 20 000 réfugiés syriens.

    29 novembre 2015 : Le Premier ministre parle fermement

    Face à un tollé de protestations, il durcit sa position envers la réforme des allocations – et annonce à plusieurs dirigeants qu’il démissionnera, à moins qu’il n’obtienne quatre ans de politique de restrictions, et déclare qu’il forcera le Conseil européen à prendre une décision en décembre.

    3 décembre 2015 : Pas d’accord pour Noël

    Angela Merkel s’entretient avec M. Cameron au téléphone. Des heures plus tard, il concède qu’il n’y aura pas d’accord avant Noël, février devient la nouvelle échéance.

    17 – 18 décembre 2015 : Conseil européen

    M. Cameron espère avoir une “discussion substantielle” durant le Conseil européen mais l’agenda prédéfini est rempli avec les questions liées au terrorisme et à la crise migratoire.

    5 janvier 2016 : Cameron accorde aux ministres la liberté de vote

    David Cameron a annoncé qu’une fois achevées les négociations avec les dirigeants européens, il supprimera la responsabilité collective et permettra aux ministres de décider leurs propres positions sur la question.

    18-19 février 2016 : Date limite

    La date-butoir pour que M. Cameron scelle un accord.

    Juin 2016 : Date du référendum ?

    Si un accord est signé en février, la date la plus proche pour un référendum est juin.

    FAQ

    Qu’est-ce que le Brexit ?

    Que signifie l’expression “Brexit”?

    Ce terme est une abréviation couramment utilisée pour désigner la sortie de l’UE de la Grande-Bretagne.

    Comment sera-t-il décidé ?

    La décision dépend du résultat d’un référendum national, actuellement préparé par le gouvernement.

    Quand le référendum aura-t-il lieu ?

    David Cameron a promis qu’il se tiendrait avant la fin de l’année 2017, mais il semble probable qu’il se tienne plus tôt, vraisemblablement en 2016.

    Quelle sera la question ?

    La question sera : « Le Royaume-Uni doit-il rester membre de l’Union européenne ou quitter l’Union européenne ? »

    Que se passe-t-il ensuite ?

    Le parlement doit décider de l’adoption du projet de loi de David Cameron concernant le référendum sur l’UE.

    Pendant ce temps, Cameron essaie d’obtenir un meilleur accord de la part de l’UE en négociant avec les ministres des États membres sur des sujets comme l’accès des migrants aux allocations.

    Quel est le résultat attendu ?

    La plupart des sondages montrent que le public britannique est à peu près également divisé sur l’avenir du pays, avec une légère tendance pour rester dans l’UE.

    Source : The Telegraph, le 17/12/2015

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  • http://islamisation.fr/2016/02/05/la-grande-mosquee-de-paris-renforce-son-partenariat-avec-les-ultra-radicaux-de-luoif/

    La Grande Mosquée de Paris renforce son partenariat avec les radicaux de l’UOIF

    ramadan-lasfar-boubakeur

     

    Encore un coup de canif dans la distinction artificielle entre islam et islamisme. Le rapprochement entre les Frères Musulmans de l’UOIF (300 mosquées) et la fédération algérienne de Dalil Boubakeur (700 mosquées) va encore se poursuivre lors d’un “congrès national des musulmans” qui aura lieu en mars, après un colloque parisien en février. Le président de la Grande Mosquée de Paris est un habitué des congrès de l’UOIF où sont invités des “savants” qui prescrivent le meurtre des apostats, homosexuels, juifs. et qui veulent conquérir l’Europe (Qaradawi, Suwaidan). Voir notre reportage au congrès 2014 où de nombreux livres ordonnant le jihâd offensif étaient en tête de gondole. 

    Nous observons de près les convergences entre ces deux organisations depuis le milieu des années 2000.

    Dans un entretien avec le site Oumma.com en juillet 2012, Dalil Boubakeur  prit la défense de l’UOIF quand six de ses conférenciers, des cheikhs saoudiens et égyptiens, furent interdits de séjour pour de nombreux appels au meurtre :

    “Oumma.com: Faut-il comprendre que vous allez vous rapprocher de l’UOIF ?

    D. Boubakeur: Je me rapproche de ceux qui travaillent. Le fait que l’UOIF a été la première composante à quitter le CFCM, à exprimer son désaccord, pour d’autres raisons que les nôtres, nous rapproche indéniablement. L’UOIF compte des cheikhs internationaux en son sein, je ne jette pas la pierre comme cela a été fait durant le congrès du Bourget, même si cela fait peur à une certaine presse ou à la classe politique, je n’ai rien vu d’illégal à cela.(…) L’UOIF est composé de musulmans très rigoureux pour lesquels j’éprouve respect et fraternité”

    Pour ceux qui ont lu notre ouvrage L’islamisation de la France paru en 2006, ils ne seront pas surpris, car Boubakeur avait déjà exprimé son amitié pour l’UOIF. Le 26 mars 2005 au Bourget, il était aux côtés du président de l’UOIF Lhaj Thami Breze et fit cause commune avec les radicaux:

    « Notre vieille amitié, c’est une amitié d’une décennie[…] nous voulons taire nos différences ou nos divergences de points de vue pour voir l’essentiel, l’essentiel. L’essentiel nous l’avons dit c’est la réussite de la communauté musulmane dans son insertion harmonieuse, sereine, dans la société française »

    – Un journaliste pose la question : « mais il en reste des divergences ? »

    – Boubakeur : « heu écoutez, des divergences non, nous avons été très francs, vous savez on a jamais caché nos divergences quand il y en a eu nous l’avons dit à un moment donné pour la constitution du CFCM, nous n’avons pas été tout à fait d’accord, et pendant le parcours de la consultation forcément il y a eut des moments mais là récemment avec la fondation nous avons vu que nos convergences sont vraiment trop fortes , sont vraiment importantes, donc nous allons inch’Allah aujourd’hui poser la pierre à partir de laquelle nous allons construire la confiance et le dialogue qui nous manquait vraiment […]  Nos différences de visions ne doivent pas nous diviser, car nos objectifs sont tous convergents, seules nos méthodes peuvent différer. »

    Dans son Guide de l’étudiant pour apprentis imâms, la Grande Mosquée de Paris cite en référence bibliographique le cheikh Yusuf al Qaradawi proche du Hamas et pro hitlérien (“la Shoa est un châtiment divin“) et un manuel de charia  (Risâla de Qaraywani) appelant à tuer ceux qui insultent le “prophète” et les homosexuels. Voilà l’islam “modéré” que nous vendent les responsables politiques et les éditorialistes.

    Il est temps de fermer administrativement les mosquées de ces deux fédérations et de raccompagner poliment dans leurs pays leurs imâms étrangers.

    Observatoire de l’islamisation, février 2016.

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  • http://bichau.canalblog.com/archives/2016/02/07/33333428.html

    La pro-migrants Bouchart touche 17.200 euros par mois, le Calaisien moyen 900 euros !

     

    Reçue ce jeudi sur France Inter, à 7 h 50 par Léa Salamé, Natacha Bouchart, le maire Républicain de Calais, se vante d’avoir demandé à Bernard Cazeneuve l’interdiction de la manifestation de Pegida France, prévue ce samedi 6 février.

    http://www.franceinter.fr/emission-invite-de-7h50-natacha-bouchart

    Elle gémit que ces rassemblements susciteraient trop de haine. On croit rêver. Sa ville se voit imposer 10.000 clandestins (vrais chiffres), majoritairement hommes seuls, qui agressent quotidiennement les forces de l’ordre, les camionneurs et les Calaisiens, mais la haine, le trouble à l’ordre public, selon les duettistes Cazeneuve-Bouchart, ce seraient donc quelques dizaines, peut-être cent ou deux cents lanceurs d’alerte, venus soutenir les habitants de cette ville.

    BouchartCazeneuve

    On ne peut mieux résumer la collaboration Républicains-socialistes, et le mépris des Français. On remarquera, lors de cet entretien, que ce maire n’aura pas un mot pour les habitants de sa ville, et ne parlera que de la détresse des clandestins. Elle osera minorer les propos de la présidente de Médecins du Monde, qui expliquait que toutes les femmes installées dans la jungle avaient été victimes de violences sexuelles, et assumera ses propos sur la richesse culturelle qu’apporteraient les nouveaux venus à Calais.

    Puisqu’elle ose parler de richesse culturelle, je vais évoquer le porte-monnaie de Madame Bouchart. Il faut savoir que cette femme a gagné la mairie de Calais, en 2008, en faisant campagne contre le cumul des mandats du maire communiste de l’époque, Jacky Hénin, qui était en outre, député européen.

    Sept ans plus tard, quelle est la situation ?

    Natacha Bouchart est maire de Calais : 4600 euros par mois, plus les notes de frais…

    Elle est vice-présidente de la région Nord-Pas-de-Calais : 4000 euros par mois, plus les notes de frais.

    Elle est présidente de l’Aglo, qui n’est pas un mandat électif, et n’entre pas dans le cumul des mandats : 4.600 euros par mois, plus les notes de frais.

    Elle était sénatrice du Nord-Pas-de-Calais depuis 2011, mais venait d’annoncer, avec un sens suprême du sacrifice, qu’elle quittait son mandat, pour se consacrer uniquement à sa ville et à sa région. Sauf que la supercherie vient d’être révélée : la bougresse sera attachée parlementaire de son suppléant, Jean-François Rapin, et palpera donc la modique somme de 4.000 euros par mois.

    Comment mépriser plus ouvertement ses modestes administrés ? D’un côté, elle joue celle qui se sacrifie pour sa ville et sa Région (alors que la loi ne lui laisse pas le choix), et de l’autre, elle profite de l’opération pour devenir salariée de son successeur, piquant à la collectivité 4000 euros par mois supplémentaires !

    On arrive donc, pour Natacha Bouchart, à un total mensuel de 17.200 euros par mois, à quoi s’ajoutent les frais de bouche quotidiens, payés par la collectivité, et parfois les logements de fonction, à Paris.

    Il faut dix-huit mois à un Calaisien moyen pour engranger ce que gagne son maire cumulard en un mois, en encore. Si ces chiffres sont faux, nous attendons avec intérêt que le maire nous donne ses vrais revenus…

    Les Calaisiens ont un revenu moyen de 900 euros par mois, et ils doivent tout payer avec cela, alimentations, loyers, assurances, etc. Ils souffrent au quotidien de l’invasion de leur ville, mais se voient insultés et traités de racistes quand, comme Gaël et David, ils osent ne pas accepter les insultes et intimidations quotidiennes des envahisseurs et des gauchistes...

    Si on résume les choses, la politicienne Natacha Bouchart et ses 17.200 euros par mois, plus les notes de frais, demande aux Calaisiens comme David et Gaël et à leurs 900 euros par mois, en moyenne, de se pâmer devant l’enrichissement culturel des clandestins, et de ne surtout pas les considérer comme des envahisseurs, majoritairement musulmans, qui agressent quotidiennement les habitants de sa ville, les policiers et les routiers.

    NatachaBouchart2016

    La cumularde Natacha Bouchart, en 2016, 17.200 euros de revenus mensuels, plus les notes de frais…

    Et c’est cette femme bouffie par le pouvoir, qui accepte et encourage la présence de ces 10.000 intrus dans sa ville, qui se vante d’avoir fait interdire par Cazeneuve un rassemblement de patriotes qui sèmeraient la haine !

    Il y a des révolutions qui ont commencé pour moins que cela !

    Paul Le Poulpe

    PS : Quelques heures après la rédaction de cet article, nous avons appris que Natacha Bouchart avait démissionné de son poste d’attaché parlementaire. Aurait-elle fait de même si la presse de réinformation n’avait pas révélé la supercherie

    source

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  • http://www.bvoltaire.fr/karimouchikh/lalliance-entre-fn-bloc-droites-patriotes-cle-succes-de-marine-pen-2017,237433

    L’alliance entre le FN et le bloc des droites patriotes, clé du succès de Marine Le Pen en 2017

     

    Pour écarter le risque d’une défaite en 2017, Marine Le Pen doit reconsidérer sa stratégie présidentielle.
     

    À quinze mois de l’élection présidentielle, Marine Le Pen a officialisé sa décision de briguer le suffrage des Français. Pour l’emporter l’année prochaine, elle devra rallier à son panache tous nos compatriotes, de droite comme de gauche, et donc s’appuyer sur un projet politique et une stratégie présidentielle de nature à séduire les Français des deux rives.

    En portant le FN vers des cimes électorales jamais atteintes, la ligne politique actuelle du parti frontiste, celle, au fond, du « ni droite-ni gauche », s’est avérée payante dans les urnes. Jusqu’à un certain point toutefois. Pour gagner à sa cause nombre d’électeurs qui votaient traditionnellement à gauche, le FN a concentré son discours sur les questions économiques et sociales, en négligeant volontairement de traiter, dans le même temps, les sujets qui préoccupent les électeurs de droite (modèle familial traditionnel ; loi Taubira ; PMA/GPA ; questions bioéthiques ; liberté d’éducation). Résultat : alors qu’ils furent bien souvent tentés de voter pour le FN, des électeurs de droite firent le choix, en des proportions importantes, de porter leurs suffrages sur des candidats ou des listes UMP/LR et parfois de DLF, privant ainsi le FN, lors des derniers scrutins, d’un capital de voix considérable…

    L’apport des voix de gauche ayant probablement atteint ses limites historiques, compte tenu notamment de la capacité éprouvée des partis du système à serrer les rangs et à diaboliser médiatiquement le FN, la marge de progression électorale de la formation frontiste se situe, en définitive, clairement à droite. Pour reconquérir ce vote conservateur, dont le potentiel politique est de l’ordre de 8 à 15 % des suffrages, il importe de bâtir dans les prochains mois une force nouvelle qui assumerait une ligne authentiquement de droite, hors du périmètre d’un Rassemblement Bleu Marine inaudible qui n’est jamais parvenu à s’émanciper fonctionnellement du parti frontiste.

    Souverainiste au plan institutionnel, conservatrice au plan sociétal et « libérale » au plan économique, n’hésitant pas à affronter les angoisses culturelles et identitaires de nos compatriotes, cette coalition de forces de droite serait alors en mesure d’occuper et de structurer un espace électoral actuellement délaissé afin d’apporter à Marine Le Pen une réserve de voix qui lui manque systématiquement dans l’entre-deux-tours.

    Au lendemain du séminaire du FN des 5, 6 et 7 février derniers, Marine Le Pen a fait le choix, prévisible, d’écarter cette stratégie d’alliance en lui préférant, dans l’immédiat, celle du statu quo, autrement dit la conquête du pouvoir en 2017 à partir des seules forces frontistes : les quelques ajustements à la ligne politique actuelle, adoptés à l’issue de ces trois jours de réflexion – reformulation du discours sur les problématiques de l’Union européenne ou de l’euro, effort de pédagogie sur son programme économique, création d’un collectif dédié aux PME -, ne seront pas suffisants pour provoquer un électrochoc salvateur et créer une dynamique forte parmi les électeurs de droite.

    Pour écarter le risque d’une défaite en 2017, Marine Le Pen doit reconsidérer, en somme, sa stratégie présidentielle en pondérant franchement la ligne politique actuelle du FN par une alliance programmatique avec le bloc des droites patriotes. Loin d’être une option, cette alliance inédite est donc une nécessité absolue qu’il importe de réaliser au plus vite. Les Journées de Béziers des 27, 28 et 29 mai prochains, auxquelles le SIEL participera, doivent permettre, à l’invitation de Robert Ménard, d’accoucher de cette « UDI patriotique » qui sera promise à un bel avenir politique auprès des électeurs conservateurs, pour beaucoup orphelins d’un Philippe de Villiers…

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  • http://www.loretlargent.info/economie/parce-quun-rebond-est-toujours-moins-bon-quun-bond/17137/

    Parce qu’un rebond est toujours moins bon qu’un bond

    Un rebond est toujours moins bon qu'un bond

    Ces derniers temps, en gros depuis le début de l’année, le mot « rebond » est celui qui apparaît le plus souvent dans le discours des journalistes comme des analystes qui ambitionnent de comprendre les marchés (et accessoirement de nous les expliquer, mais là, c’est déjà une autre histoire). Qu’il s’agisse de notre sacrosaint CAC40 ou encore du prix du baril de pétrole par exemple, chacun des « diseurs de bonne aventure boursière » écumant nos médias y est allé au moins une fois de son couplet sur le « rebond » dès qu’un tressaillement positif venait réveiller les indices concernés. Comme si 0,1% de hausse sur une journée pouvait brusquement effacer 20% de baisse en 3 mois (dans l’esprit des gens, en tout cas). Eh bien, vous savez quoi ? Ça marche ! Le public suit comme un seul homme.

    À vos souhaits !

    Je ne nie pas l’effet bénéfique des bonnes nouvelles, à plus forte raison lorsque le climat est morose. Mais on a parfois l’impression que certains veulent manipuler les cours par la seule force de leur pensée positive. C’est vrai aussi que, parfois, une phrase, un mot, un chiffre, peuvent faire évoluer une valeur boursière sans qu’il y ait pour autant de véritable déclencheur économique ou financier objectif. Que Mario Draghi éternue un peu fort en sortant de son bureau à la BCE, qu’une virgule soit mal placée sur un communiqué de la Banque fédérale américaine ou encore qu’un blogueur influent décide de régler ses comptes avec une marque automobile parce que sa voiture personnelle est tombée en panne pour la troisième fois en un mois, et c’est brusquement tout un pan de l’économie qui vacille, montant dans les tours de manière inconsidérée (au point de faire craindre une énième bulle prête à éclater) ou au contraire s’effondrant sur elle-même en tutoyant des plus bas historiques propres à pousser certains traders à rejouer la balade des lemmings sur le toit de leur immeuble de bureaux.

    Bref, tandis que tout le monde serre les dents (et pas que) à chaque baisse des indices, le moindre frémissement à la hausse déclenche une vague de féroce optimisme auprès des observateurs, à grands coups de « Ooooooh ! » et de « Aaaaaaah ! » admiratifs. Rebond, rebond, rebond ! Tout le monde s’extasie à l’envi devant chaque rebond, chaque soubresaut, même un tout petit hoquet.

    Retour sur Terre

    Mais, au fait, si je me souviens bien de mes cours de physique, tout objet lâché d’une certaine hauteur ne pourra rebondir que jusqu’à un niveau inférieur à celui de départ, de moins en moins élevé à chaque rebond d’ailleurs. Ce qui rebondit doit naturellement retomber. Avant éventuellement de remonter, certes, mais chaque fois un peu moins haut (on appelle cela une tendance baissière).

    Alors, sincèrement, doit-on vraiment se réjouir de voir notre économie… « rebondir » ?

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  • http://www.fdesouche.com/696355-en-2015-un-francais-sur-quatre-declare-avoir-rencontre-des-problemes-avec-un-arabo-musulman

    Un quart des français déclare avoir « rencontré des problèmes » avec un Maghrébin, un Rom ou un Musulman en 2015

    Mais comment interroger des juifs ou des musulmans dans un pays qui refuse de découper sa population en catégories ethnico-religieuses? « Il n’existe aucune définition parfaite de qui est juif ou musulman et de qui ne l’est pas, tant ces groupes sociaux ne se définissent pas uniquement par la religion, explique Brice Teinturier d’Ipsos. La meilleure façon de procéder est de partir de la définition par l’interviewé lui-même, quels que soient les critères qu’il mobilise pour cela : religieux, culturels, familiaux… C’est ce que nous avons fait et c’est ce qui permet d’obtenir l’échantillon le plus représentatif, le moins biaisé et qui reste très significatif même sur une base réduite. »CaDNxXaXEAAVa2W

     

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  • http://www.dreuz.info/2016/02/08/medias-les-sujets-dont-il-faut-parler-sont-decides-par-le-gouvernement-dit-lex-chef-de-la-zdf/

    Médias : « les sujets dont il faut parler sont décidés par le gouvernement » dit l’ex-chef de la ZDF

     

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    Les déclarations du Dr Wolfgang Herles, ancien dirigeant de la « Zweite Deutsches Fernsehen « (ZDF) corroborent ce que nombre d’entre nous savions déjà :

     

    • Les journalistes ne sont plus que des fonctionnaires aux ordres de leurs gouvernements respectifs.
    • Ils ne peuvent plus exercer leur fonction première, à savoir, informer objectivement les peuples.
    • Ils sont priés de présenter les sujets imposés d’en haut.
    • Ils sont sommés d’éluder la vérité, de désinformer, de travestir la réalité et ce, afin de ne pas nuire à la politique de substitution de population, actuellement en pleine accélération.

     

    Medienluegen

     

    La chaîne de télévision nationale, ZDF, qui fut contrainte à présenter des excuses humiliantes au peuple allemand, pour avoir occulté la violence des migrants et les agressions sexuelles envers les femmes et les enfants, se retrouve à nouveau à la une de l’actualité.

     

    Les journalistes sont priés d’écrire des articles qui « plairont » à Frau Merkel

     

    L’un de leurs anciens dirigeants, le Dr Wolfgang Herles, a admis que la ZDF recevait des instructions du gouvernement sur les sujets à traiter. Les journalistes étaient priés d’écrire des articles qui « plairaient » à Frau Merkel.

     

    Wolfang Herles est l’ancien dirigeant de la ZDF- Bonn. Il dévoila ce scoop lors d’un débat radiophonique à Berlin, au cours duquel les journalistes présents parlaient du paysage médiatique.

     

    Discutant de la liberté de la presse, le présentateur demanda au Dr Herles si la situation en Allemagne était réellement hors contrôle. Avec une honnêteté de plus en plus rare de nos jours en Allemagne, le Dr Herles répondit que les citoyens allemands perdaient leur confiance dans les médias et il qualifia ce fait de « scandaleux ».

     

    Il déclara :

     

    « Nous avons un problème ici en Allemagne – je parle principalement des médias publics – nous sommes trop proches du gouvernement : non seulement, parce que le commentaire doit être conforme à la pensée de la grande coalition (CSU-CDU-SPD), et refléter un large éventail d’opinions, mais également par le fait que nous sommes soumis à l’agenda établi par la classe politique.»

     

    les sujets dont il faut parler sont en fait décidés par le gouvernement

     

    Les médias allemands, contrôlés par le gouvernement et subsidiés par les impôts locaux, et en accord avec la coalition au pouvoir, reçoivent des instructions sur ce qui peut être révélé ou non.

     

    Il ajouta : « … les sujets dont il faut parler sont en fait décidés par le gouvernement. »

     

    « Il existe de nombreux sujets, beaucoup plus importants à couvrir, mais non agréés par le gouvernement. Ce dernier veut détourner l’attention du public de ce qui se passe réellement dans le pays afin de lui faire croire que tout va bien dans le meilleur des mondes. »

     

    Ces “instructions”, envoyées aux médias par des services indéterminés au sein du gouvernement, sont ensuite communiquées aux journalistes par des responsables de l’info radio et télévision, utilisant un nouveau jargon.

     

    Le Dr Herles ajouta : « en communiquant les instructions à son équipe, le rédacteur en chef de la ZDF expliquait tout simplement, que le reportage devait être conçu de façon à correspondre à une vision qui serve l’Europe et l’intérêt du public. »

     

    Il n’est nullement nécessaire d’ajouter entre guillemets, que cela signifie « être rédigé selon les desiderata de Mrs Merkel ».

     

    « Aujourd’hui, personne n’est autorisé à exprimer quoi que ce soit de négatif à propos des réfugiés, a ajouté le Dr. Herles. C’est du journalisme gouvernemental et cela conduit à une situation où les gens ne nous font plus confiance. Et c’est un scandale ! »

     

    Les quelques réactions à ces commentaires politiquement incorrects, publiées dans les médias allemands, furent surtout critiques.

     

    Le rédacteur en chef du journal Der Freitag, Jakob Augstein, une figure des médias du centre-gauche, à qui il fut demandé de confirmer l’existence d’instructions venant du gouvernement répondit : « Non, je le nie avec véhémence, le gouvernement n’a jamais envoyé des ordres aux médias ! »

     

    Les médias allemands mainstream ne sont pas libres, et ils occultent ou déforment systématiquement la vérité, et cela constitue l’un des arguments clé de PEGIDA, qui a inventé des mots comme « Lügenpresse » ou « presse menteuse » pour exprimer sa colère.

    Mentir de façon éhontée, dissimuler les vérités importantes, qui dérangent, et falsifier la réalité, c’est typique non seulement de la « Lügenpresse » allemande, mais de bien d’autres médias occidentaux, tout aussi menteurs.

    Le mensonge est ce qui est servi en plat principal aux citoyens allemands par les chaînes de télévision ARD et ZDF, et les médias mainstream.

    Mais le citoyen se réveille, Il se détourne de médias menteurs, non seulement des éditions papier, mais également des sites en ligne.

    C’est la descente aux enfers qui s’amorce, pour les médias officiels, tandis que les sites de ré-information, ces sites taxés de racisme, de xénophobie, de nazisme par la caste de la bien-pensance, connaissent un succès fulgurant.

    Pratiquer la politique de l’autruche, endormir les peuples par la désinformation, tandis que sombre le Titanic Europe, c’est la politique suivie par les lâches de l’UE, atteints d’une cécité volontaire et criminelle.

    A croire qu’ils répètent le scénario mis en place dans les années trente par les poules mouillées de l’époque.

    La politique de déni du danger de l’islam n’a rien à envier à celle pratiquée dans les années trente par le gouvernement britannique à l’égard du nazisme.

    La politique d’apaisement et de paix menée par les clones d’hier de nos irresponsables politiques d’aujourd’hui envers Hitler et la montée du nazisme se termina en un énorme « feu d’artifice » meurtrier qui ravagea l’Europe.

    Dans les années 1930 en Allemagne, Hitler et le nazisme gagnaient en puissance. Tandis que la nature maléfique du nazisme assombrissait le ciel au-dessus du pays, les dirigeants européens, dans leur grande majorité, ne cessaient de nier l’existence de ce mal qui se propageait sous leurs yeux.

     

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    Les discours et les rapports des dirigeants politiques et religieux, des universités et de la presse, s’évertuaient à donner aux citoyens une belle image d’Hitler. Même sa politique d’annexion des territoires limitrophes ne put discréditer la propagande d’un «Hitler homme de raison» défendue par l’establishment. « La paix à tout prix », telle était la devise de ces dirigeants aveugles et lâches.

     

    Peace agreementChamberlain, Daladier, Hitler et Mussolini le 29 septembre 1938 à la conférence pour la Paix à Münich

     

    1315200-Mussolini_Chamberlain_Hitler_et_Daladier_à_MunichLes langues fourchues (Chamberlain, Daladier, Hitler et Mussolini) fument le calumet de la paix ! Ugh ! Ugh !

    Comme ils refusèrent d’attaquer Hitler quand il était encore faible, les Européens durent se battre contre les nazis une fois ces derniers devenus très puissants, et cette prise de conscience tardive mit l’Europe à feu et à sang. La politique de la paix par l’apaisement poursuivie par l’establishment fut celle du mal.

    Cette même politique d’apaisement envers l’islam et le monde musulman en vigueur aujourd’hui, décidée par Obama et les dirigeants de l’UE au détriment de nos peuples, créera un plus grand mal encore, si la raison ne prévaut pas sur la folie suicidaire du projet Eurabia.

    Hier, les dirigeants britanniques ne prenaient pas au sérieux les renseignements communiqués par leurs propres services.

    Le gouvernement britannique désavoua magistralement les rapports détaillés de deux de ses principaux ambassadeurs sur la situation en Allemagne, en affirmant que les accusations étaient fondées sur des malentendus, des déformations, des rumeurs non confirmées… et que les informations transmises par les envoyés spéciaux britanniques sur les atrocités, les tabassages, les profanations de synagogues, commises sous le IIIe Reich, étaient basées sur des mensonges.

    Ce gouvernement servile voulait à tout prix rassurer l’ambassadeur d’Allemagne en Grande Bretagne, Léopold von Hosch, au mépris de la tragique vérité.

    La classe dirigeante anglaise se distingua par cette attitude de déni, ce silence, ce refus de voir, d’entendre et de dire du mal d’Hitler…

    Hier, il ne fallait surtout pas offenser l’immonde Führer.

    Aujourd’hui, il ne faut surtout pas offenser l’islam !

    Et les avertissements alarmants lancés par les différents services de renseignements relatifs à la présence de jihadistes de l’EI parmi les réfugiés ne sont pas pris au sérieux.

    Aujourd’hui, toute critique de l’idéologie islamo-nazie est vue comme une grave offense à l’encontre du monde musulman. L’OCI s’active à la faire condamner comme crime contre l’humanité. Les massacres d’innocents par les soldats d’ »Allah le Miséricordieux » ne sont que des détails sans importance aux yeux de cette organisation regroupant 57 pays musulmans que ne reconnaissent qu’une seule loi, celle de la charia. Mais l’UE, l’ONU et l’administration Obama soutiennent les revendications liberticides des monstres islamiques de l’OCI.

    Hier, les hommes les plus puissants et les plus influents du Royaume Uni décidèrent de ne pas déplaire à Hitler.

    Aujourd’hui, les » grands » de la planète veulent plaire à tout prix au monde musulman et aux monarchies du Golfe.

    Hier, l’establishment avait fait « de l’amour et de la paix » la religion d’état.

    Aujourd’hui, l’establishment essaye à tout prix d’imposer la « Religion d’amour, de tolérance et de paix » aux peuples occidentaux.

    L’hostilité envers les nazis était unanimement dénoncée dans les cercles du pouvoir

    Hier, la politique d’apaisement avait quasiment un sens évangélique.

    Pour certains, la frontière entre politique étrangère et religion devint floue. L’hostilité envers les nazis était unanimement dénoncée dans les cercles du pouvoir.

    Aujourd’hui, la politique d’apaisement glorifie l’islam, et toute critique ou manifestation envers la politique irrationnelle et suicidaire actuelle d’une immigration de masse, majoritairement musulmane, est passible de poursuites pénales dans nombreux pays occidentaux.

    Hier, « il fallait combattre la haine par l’amour chrétien», écrivait Margo Asquith, la veuve du premier ministre britannique.

    «Il n’y a qu’une seule façon de préserver la paix dans le monde, et de se débarrasser de votre ennemi, c’est d’arriver à une sorte d’accord avec lui – et plus cet ennemi sera mauvais, plus il faudra le combattre avec les armes du bien».

    Et de conclure : «Le plus grand ennemi de l’humanité aujourd’hui, c’est la haine».

    Aujourd’hui, il faut opposer à la haine et aux menaces islamistes l’amour du prochain et l’accueil illimité d’immigrés et de « refugiés », parmi lesquels se dissimulent des fraudeurs, des fainéants, des lâches, arrogants, barbares et violents, sans oublier les jihadistes en provenance du califat des égorgeurs. Les vrais « refugiés » sont minoritaires. Les vrais réfugiés éprouvent de la reconnaissance envers leur pays d’accueil. Ils respectent nos lois, ne violent pas nos femmes, nos filles et nos fils, et s’intègrent sans problème.

    Hier, on interdisait et on brûlait les livres susceptibles d’ébranler le bouclier de la paix.

    Pas un seul dirigeant, à l’exception de Churchill, n’avait lu Mein Kampf. Les partisans de l’entente cordiale avec Hitler semblaient complètement ignorer le grand projet d’Hitler, pourtant détaillé dans Mein Kampf, alors qu’une réalité alarmante commençait à émerger.

    Aujourd’hui, quels dirigeants peuvent se targuer d’avoir lu le coran, ce livre politico-social, saupoudré de religieux, incitant les mahométans à répandre l’islam par le jihad guerrier, la Hijra (jihad par l’immigration) et la ruse.

    Hier, la presse et la BBC censuraient toutes les nouvelles inquiétantes au sujet des nazis. Elles ne faisaient jamais le lien entre les différents faits. Le moindre événement qui parvenait à la connaissance du public, malgré ce barrage, n’était jamais analysé comme significatif d’un projet plus vaste.

    Les dépêches des journalistes en place à Berlin relatant ce qui se passait réellement dans l’Allemagne d’Hitler étaient souvent réécrites ou bien supprimées. Les rédacteurs en chef s’arrangeaient pour qu’aucune information pouvant heurter la susceptibilité des nazis ne fût publiée.

     

    L’establishment devait veiller à ne pas associer spécifiquement les nazis au mal qui se répandait dans le pays.

    Le pouvoir avait expliqué aux députés du Tory, le parti conservateur, que s’ils souhaitaient dénoncer le totalitarisme et les politiques d’agression, ils ne devaient désigner personne.

    Il était important d’éviter «le danger de mentionner directement l’Allemagne alors même que nous essayons de trouver un compromis avec elle». Les principaux titres de la presse britannique avaient alors « applaudi » des deux mains. Et tout le Royaume Uni avec elle. Ils étaient tous des hommes de paix.

    La presse se faisait un devoir de ne jamais rendre compte des horreurs commises par les nazis envers les dissidents allemands opposés à la folie d’Hitler, et les citoyens allemands de confession juive.

    Expropriés par les nazis, les Juifs erraient sur les routes d’Europe de l’Est. On était ému au plus profond par les photos de leur calvaire, mais Dawson, le rédacteur en chef du London Times refusait de les publier : il ne pouvait rien faire pour aider les victimes, avait-il expliqué à son équipe, et si l’on diffusait ces photos, Hitler en serait offensé !

     

    Aujourd’hui, n’assistons-nous pas à la même omerta de la part des médias officiels, du Pouvoir et de l’establishment ? Heureusement, qu’il existe un cinquième pouvoir : Internet et grâce aux courageux sites de ré-information, la vérité émerge très rapidement.

    Ce cinquième pouvoir de plus en plus puissant surveille et dénonce les dérives du pouvoir politique, mais également celles d’autres pouvoirs présents dans toute société.

    En conférant aux individus et aux réseaux d’individus une parole libre, Internet bouleverse les conditions d’exercice du pouvoir. La démocratie d’opinion imposée par les médias à la solde de l’establishment devient une démocratie d’opinion libérée.

    Hier, la persécution de l’Eglise d’Allemagne par les nazis ne dérangeait pas les vertueux dirigeants de l’establishment, dirigeants religieux comme dirigeants de la presse. Ils la maquillaient et lui trouvaient des prétextes.

    « Il n’y avait aucune persécution religieuse en Allemagne», avait dit Monseigneur Headlam, à peine quelques «persécutions du fait d’actes politiques».

    Geoffrey Dawson, rédacteur en chef du Times, publiait alors les sermons de l’évêque en intégralité tandis qu’il mettait au panier les dépêches de son propre correspondant à Berlin, l’informant des arrestations arbitraires de religieux allemands et leur enfermement dans des camps nazis.

    Aujourd’hui, rares sont les médias officiels et les responsables politiques qui osent dénoncer, ne serait-ce que brièvement, le génocide des chrétiens et autres minorités non musulmanes actuellement en cours en terre d’islam.

    Quant à l’Eglise, son silence est d’or sur l’idéologie pseudo-religieuse responsable du massacre des Chrétiens au Moyen Orient et ailleurs dans le monde musulman. Certes, le Pape s’indigne de l’extermination des Chrétiens, mais sans jamais nommer les responsables, encore moins l’idéologie au nom de laquelle le génocide est perpétré.

    Les déclarations indignes de certains cardinaux qui justifient leur silence sur les persécutions en cours par la crainte d’interrompre les dialogues interconfessionnels se multiplient, à l’instar de celle de Robert McManus, Evêque catholique romain de Worcester, Massachusetts, le 8 février 2013 :

    « Parler des atrocités commises par les militants islamistes extrémistes à l’échelle planétaire pourrait miner les acquis positifs obtenus grâce au dialogue interreligieux avec les pieux musulmans. »

    Pendant que les dialogues interconfessionnels amicaux se multiplient, la liste des victimes chrétiennes s’allonge

    Et … pendant que les dialogues interconfessionnels amicaux entre prélats de l’Eglise catholique et imams souriants se multiplient en Occident, au Moyen Orient, au Pakistan, au Bangladesh et en Afrique, la liste des victimes chrétiennes des persécutions musulmanes s’allonge sans fin, sans espoir d’une trêve quelconque.

    Ces similitudes entre les lâches agissements du gouvernement britannique dans les années trente, face à la montée du nazisme, et les politiques serviles actuelles de soumission de l’UE à l’islam ne sont-elles pas des plus effrayantes ?

    Remplacez Hitler par Mahomet, Mein Kampf par le coran, et vous constaterez que l’Histoire se répète.

    Nos dirigeants, politiques et religieux, nos élites médiatiques et intellectuelles, réfutant le danger de l’islam, apeurés, possèdent tous et toutes un pedigree historique identique : lâcheté et soumission devant l’ennemi pour avoir la paix des Braves !

     

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    Selon l’adage du brillant philosophe de guerre chinois Sun Tzu : « Nous devons connaître la doctrine de l’ennemi ou être annihilés. »

    Manifestement, Daladier et Chamberlain, signataires de l’accord de Münich, ne connaissaient ni leur ennemi, ni la doctrine de leur ennemi et cela coûta des rivières de sang et des torrents de larmes aux peuples européens.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

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