• http://www.lejournaldupeupledefrance.com/2016/08/sos-racisme-est-raciste.html

    SOS Racisme est raciste

    Publié le 28 Août 2016

    SOS Racisme est raciste

    Où était SOS Racisme quand le chinois d’Aubervilliers s’est fait agressé et tué ?

    Où sont-ils quand un blanc se fait attaquer par des noirs ou des arabes ?

    Où sont-ils ?

    Ils doivent défendre les gens de couleurs — de toutes les couleurs — c’est le but de leur organisation, non ? Alors quoi : je ne suis pas daltonien, mais le noir est une couleur comme le jaune, le rouge et le blanc.

    Les gens d’SOS Racisme sont racistes et ségrégationnistes, puisqu’ils décident qui est de couleur et qui ne l’est pas, qui doit être protégé du racisme et qui doit être livré aux racistes.

    © Simon Durand* pour Dreuz.info.

    * Nom modifié pour lui éviter d’être puni par la justice française pour oser user de sa liberté d’expression.

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  • http://www.lespatriotesencolere.com/2016/08/un-no-border-passeur-et-impuni.html

    Un NO BORDER passeur et impuni

    Publié le : 24/08/2016
     
     
     
    Ce n’est pas un, ni deux, ni cinq clandestins que le No Border a fait passer en France, mais plus de 200 !
     
    Un Niçois de 37 ans a été arrêté le 17 août près de Breil-sur-Roya (Alpes-Maritimes) alors qu'il faisait monter dans sa fourgonnette huit migrants érythréens, relaie Nice-Matin. Mais dimanche, le procureur de la République de Nice Jean-Michel Prêtre a indiqué que l'homme ne ferait l'objet d'aucune poursuite judiciaire. Son acte semble pourtant de l'«aide à l'entrée et à la circulation aux séjours irréguliers», passible de 5 ans de prison et 30 000 euros d'amende. 

     
    En 2011 (sous Sarkozy), le gouvernement annonce la suppression  du «délit de solidarité» par la loi du 31 décembre 2012 (sous Hollande) permettant d'éviter les poursuites sous conditions. Les critères sont très exigeants. Il faut d'abord prouver agir dans une logique humanitaire. Mais surtout, n'avoir touché absolument aucune contrepartie de la part du migrant. Recevoir de l'argent, mais aussi l'aide du réfugié - par exemple dans les tâches ménagères - sont considérés comme des contreparties. C’est ce que nous révèle Le Parisien.
     
    Ainsi, nos deux derniers présidents en date ont œuvré à permettre la clandestinité légale. Ce No Border niçois a pu faire entrer en France plus de 200 clandestins, mais combien comme lui, ont permis à nos frontières d’être violées en toute impunité ?
    On peut aisément imaginer des centaines, milliers voire centaines de milliers de personnes aidées depuis 2011 !
     
    Sam
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  • http://www.ndf.fr/nouvelles-deurope/21-08-2016/slobodan-milosevic-innocent-des-crimes-de-guerre-qui-ont-servi-a-justifier-les-sanctions-contre-la-serbie-et-lintervention-au-kosovo/

    Slobodan Milošević innocent des crimes de guerre qui ont servi à justifier les sanctions contre la Serbie et l’intervention au Kosovo

    Afficher l'image d'origine

    Dans le cadre du procès contre Radovan Karadžić, le Tribunal pénal international pour la Yougoslavie (TPIY) a reconnu en mars 2016 que le président serbe n’avait pas participé au projet d’épuration ethnique en Croatie et en Bosnie et qu’il s’y était même opposé.

    Un aveu du TPIY qui aurait dû faire les gros titres des médias occidentaux, ce qui n’a bien entendu pas été le cas.

    Voir l’article du Salon Beige du 11 août dernier à ce sujet, et aussi l’article du Visegrád Post du 21 août (qui donne également en lien la lettre envoyée deux jours avant sa mort en prison par Slobodan Milošević aux ministère des Affaires étrangères russe, dans laquelle l’ancien président de la Serbie estime être victime d’empoisonnement et demande à être examiné par des médecins russes).

    Ou encore l’entretien avec Nikola Mirković publié dans le journal Présent du samedi 20 août :
    Present-Milosevic blanchi

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  • http://www.contribuables.org/2016/08/ladministration-verse-21-950e-a-un-islamiste-assigne-a-residence/

    L’administration verse 21 950 euros à un islamiste assigné à résidence

    Farouk Ben Abbes

    Actuellement assigné à résidence à Toulouse en raison de sa dangerosité supposée, Farouk Ben Abbes, a reçu un dédommagement de 6 000 € de l’État pour préjudice moral.Selon le Parisien, cet islamiste a aussi bénéficié d’un trop-perçu de 15 000 € versé par l'administration se basant sur une mauvaise décision de justice.

    Arrêté au Caire en 2010, cet islamiste avait passé trois mois en détention entre 2010 et 2011, car il était soupçonné de préparer un attentat contre la salle de spectacle du Bataclan, avant de bénéficier d’un non-lieu « faute de charges suffisantes ».

    • Le 3 mars 2014, un arrêt de la Cour d’appel de Paris reconnaissait à Farouk Ben Abbes un préjudice moral à hauteur de 6 000 euros en réparation des trois mois passés en détention. Les magistrats de la Cour d’appel décidèrent d’indemniser également le « préjudice matériel » correspondant à ses frais d’avocats, soit une facture de 20 000 euros.
    • Le ministère de la Justice forme un recours devant la Cour de cassation. Le 13 janvier 2015, la haute juridiction va rejeter le préjudice matériel de Farouk Ben Abbes, mais valide son préjudice moral. Soit pour l’État, une facture finale de 6 000 euros, hors frais de procédure.

    Par erreur, la Commission nationale des réparations des détentions prend en compte la décision de la cour d’appel, et non la décision de la cour de cassation. L’organisme de paiement du ministère de la justice verse ainsi sur le compte de l’islamiste, 21 950 euros (augmentation due à l’ajout d’indemnités de retard).

    Selon le Parisien, Farouk Ben Abbes aurait « omis » de signaler ce trop-perçu à l’administration, qu’elle devrait prochainement lui réclamer. L’homme, qui réside aujourd’hui à Toulouse, aurait donc empoché 21 950€ sur le dos des contribuables, dont 6 000 euros pour préjudice moral.

    En raison de sa dangerosité, l’homme est assigné à résidence chez lui à Toulouse, depuis les attentats du 13 novembre 2015. Peu de temps après, il violera cette assignation et sera condamné en mars 2016 à trois mois de prison…

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  • http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/camp-dete-decolonial-ou-le-racisme-anti-blanc-assume,252527

    « Camp d’été décolonial », ou le racisme anti-blanc assumé

    #TousUnisContreLaHaine anti-Blanc !

    Les gauches radicales, chaotiques et protéiformes, issues des luttes marxistes culturelles entamées à l’orée des années 1960, trouvent une seconde jeunesse au sein du mouvement Nuit debout. Enfin, disons plutôt qu’elles se radicalisent et se médiatisent. Pour faire court, ces militants estiment que les Occidentaux sont ontologiquement des oppresseurs, et ne conçoivent l’histoire du monde qu’en une succession de rapports de domination. Le dominant étant, dès l’origine, l’homme blanc cisgenre (c’est ainsi que les hétérosexuels sont désignés dans leur jargon).

    Dans les années 1980, personne n’a compris que l’antiracisme, appliqué au champ politique, et sorti du cadre de la simple morale élémentaire, n’était en réalité que le cache-sexe d’un racisme inversé, qui s’exerçait à l’encontre des personnes d’origine européenne. Héritiers des Black Panthers, et de l’affirmative action états-unienne, les Indigènes de la République développent une pensée politique articulée autour de la haine de l’Occident, de l’Europe et, en dernier ressort, de la France. Haine qui vise prioritairement les peuple historiques de ces entités politiques et charnelles.

    Les tiers-mondistes pensent que le processus de décolonisation n’est pas encore achevé. Souhaitant poursuivre la mission eschatologique que se sont donnée les « damnés de la terre », en collaboration avec un faiseur d’opinions comme Alain Badiou, ils ont décidé de ne plus se mélanger aux Français blancs. Ce concept de « non-mixité » s’est ainsi matérialisé, en marge des manifestations contre la loi portant réforme du Code du travail, avec une réunion intitulée « Paroles non blanches : rencontres autour des questions de race », ou bien encore par un « Camp d’été décolonial » réservé aux personnes « victimes du racisme d’État », qui se tiendra à Reims au mois d’août.

    Une multitude de groupuscules ont ainsi vu le jour : les susnommés Indigènes de la République, mais aussi des entités plus baroques, tels le collectif Stop le contrôle au faciès ou le collectif Mwasi, qui s’adresse aux « femmes cisgenres et transgenres noires/métisses africaines et afro-descendantes ».

    Ce capharnaüm postmoderne se nourrit de toutes les confusions contemporaines engendrées par les sociétés complexes, multiethniques et multiculturelles. Nous assistons à une véritable surenchère victimaire et narcissique : genre, ethnie…

    Laquelle surenchère profite d’une impunité totale. Les propagandistes de l’anti-France peuvent tout dire. Ils ont pignon sur rue. Pire : leur haine est niée au sommet de l’État. En témoigne la campagne à 100 millions d’euros, financée par vos impôts, qui ne fait jamais mention du racisme anti-blanc, nous livrant à la vindicte de personnages revanchards.

    Trois choses interpellent particulièrement dans ce phénomène. D’abord, la prise en otage des Français noirs ultramarins, sommés de se solidariser à des luttes qui leur sont profondément étrangères.

    Ensuite, la collusion contre nature entre ces idéologies et l’islam politique, pourtant à milles lieues de ces thèses, démontrant que nous sommes proches d’une insurrection.

    Enfin, last but not least, sur un registre plus comique, on peut se demander pourquoi ces gens vont se « décoloniser » à Reims, capitale spirituelle des rois de France ? Ils ne vont pas se « décoloniser » au Liberia. S’ils n’aiment pas la France, ne se sentent pas aimés en retour, ne se vivent pas en Français, ils peuvent toujours quitter le pays. Personne ne les en empêchera. Mais peut-être veulent-ils nous contre-coloniser ?

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  • http://grincheux.typepad.com/weblog/2016/08/saint-augustin-par-plantu.html

    Saint Augustin illustré par Plantu

    Sr Augustin par Plantu

    À force de tout voir, on finit par tout supporter.   
    À force de tout supporter, on finit par tout tolérer. 
    À force de tout tolérer, on finit par tout accepter. 
    À force de tout accepter, on finit par tout approuver. 
                Saint  Augustin, 430 ap.  J.C.

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  • http://h16free.com/2016/08/22/55243-nos-senateurs-sont-trop-couteux-et-ne-veulent-surtout-pas-que-ca-se-sache

    Nos sénateurs sont trop coûteux et ne veulent surtout pas que ça se sache.

    Dans de nombreuses familles, il existe un vieil oncle fêtard, une cousine un peu gâteuse ou un beau-frère trop prodigue dont on se borne, aux réunions de famille, à éponger les dettes. Dans la famille France, ce personnage haut en couleur et cher en frasques coûteuses, ce serait le Sénat. Régulièrement, la presse (re)découvre que cette institution, en plus d’agiter le microcosme politico-politicien à chaque vote législatif un peu pointu, peut facilement s’enorgueillir d’un coût de fonctionnement particulièrement élevé pour une utilité tous les ans plus douteuse.

    Les chiffres ne font guère de doute et même s’ils n’intéressent (presque) personne, méritent d’être ressortis. En effet, alors que le pays semble s’enfoncer avec un délice malsain dans des polémiques vestimentaires particulièrement habiles à camoufler ses problèmes économiques et politiques fondamentaux, il semble intéressant de constater que peu, pour ne pas dire rien, a été fait pour aligner le train de vie des Sénateurs avec la passe économique délicate que connaît le pays.

    Pour s’en convaincre, il suffira de reprendre quelques articles, pas tous récents, mais toujours d’actualité : entre l’indemnité de base, déjà élevée à 5.388 euros net par mois, à laquelle on ajoutera un défraiement de 6.037 euros d’autant plus généreux qu’il n’est soumis à aucun contrôle, les facilités de transport (en avion ou en train), les primes diverses et variées et les facilités qu’offre naturellement la fonction (à commencer par l’excellent restaurant), le Sénateur français revient cher. Plus de 23.000 euros par mois, en fait. Quant à l’institution elle-même, avec son budget qui dépasse les 323 millions d’euros à l’année, elle ne se classe pas parmi les parents pauvres de la République.

    Malheureusement, même si on rappelle ces chiffres aux Français de temps en temps, leur réaction semble toujours aussi prosaïque, si ce n’est pas carrément détachée. Tout se passe pour ainsi dire comme si le Sénat n’existait pas vraiment, ou seulement le temps de l’une ou l’autre procédure législative dans laquelle il viendrait mettre son grain de sel, à l’occasion.

    Peut-être l’opacité des comptes est-elle responsable de cette nonchalance des contribuables face aux dépenses princières de ces élus si particuliers. Bien sûr, ces derniers se défendent, âprement même, de cacher leurs coûts et leurs émoluments et prétendent à la transparence en faisant assaut de petits rapports commodes plus ou moins validés par la Cour des Comptes. Cela ne suffit malheureusement pas, loin s’en faut.

    C’est là que les choses deviennent intéressantes puisqu’alors, la curiosité pousse certains journalistes (ceux qui n’ont pas oublié le sens de leur travail) à mener des enquêtes. Et lorsqu’il s’agit du Sénat, la stupéfaction est souvent de mise. Il y a quelques années, une équipe de France 3 découvrait en effet que l’opacité des comptes de cette institution républicaine était parfaitement assumée. On se souviendra du moment mémorable où le questeur du Sénat (un certain Bernard Saugey) expliquait trouver parfaitement normal que ces comptes détaillés ne soient pas disponibles.

    Pour lui, je cite (cf vidéo vers 1:22),

    « ce n’est pas la peine que tous les gens regardent des choses qu’ils ne seront pas capables de commenter ; ils auront certainement des réflexions idiotes. »

    senat yvan stefanovitchOn comprend dès lors assez bien l’état d’esprit de ces élus, et leur positionnement quelque peu spécial vis-à-vis des contribuables lorsqu’ils demandent des comptes. Ce qui explique notamment leur récente réaction lorsqu’un ouvrage d’Yvan Stefanovitch, paru courant juin, s’entichait de détailler les dérives sénatoriales qui, sans être illégales (et pour cause : la loi, c’est eux), n’en restent pas moins éthiquement discutables et économiquement injustifiées par les temps qui courent. En effet, en publiant « Le Sénat. Un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes », le journaliste tente de lister et décrypter les privilèges et autres facilités dont disposent ces élus.

    Mais chose pas du tout étonnante lorsqu’on reprend les propos du questeur, nos sénateurs n’entendent pas se laisser ainsi remonter les bretelles morales par un journaliste qui ose résumer la dérive d’un lapidaire « Le Sénat, c’est quatre ou cinq jours par mois pour… 11 350 euros net mensuel ». Ce qui se traduira, quelques jours après la parution du livre en question, par un vote de la Haute Chambre à la fois sans débat et fort discret puisqu’avec seulement 40 votants … Vote qui autorisera Gérard Larcher, l’actuel président de cette assemblée, à attaquer en diffamation Yvan Stefanovitch, pour faire bonne mesure.

    On ne se formalisera pas des conditions dans lesquelles ce vote est intervenu (allez lire l’article en lien ci-dessus, c’est particulièrement croustillant) puisqu’on comprend ici qu’il est surtout question pour l’institution de protéger ses arrières et qu’en l’occurrence, tous les moyens sont bons, même ceux qui sont les plus moralement douteux.

    Malheureusement pour les sénateurs, la petite agitation procédurière et leur tentative de discréditer le journaliste via un dépôt de plainte en diffamation ne changera rien au fait que les questions soulevées restent pertinentes : pourquoi les Français doivent-ils supporter les coûts d’une institution qui ne fournit pas ses comptes, n’oblige ses membres qu’à une transparence particulièrement minimaliste, et qui se refuse à toute remise en cause ?

    Il serait intellectuellement aisé de croire que faire faire des économies à ces élus et à cette institution est un exercice anodin, voire vain tant les déficits budgétaires de l’État sont énormes, les dérives des administrations gigantesques et les abus évidents des uns et des autres, depuis les collectivités territoriales jusqu’aux grands ministères nationaux.

    Il n’en est rien. Imposer la transparence au Sénat est l’un de ces petits pas indispensables qui s’imposent pour débuter la démarche d’enfin assainir les finances d’un pays trop longtemps laissé en pâture aux politiciens les plus cupides. D’autant que l’impact financier serait palpable : non seulement, les petits ruisseaux font les grandes rivières, mais retailler le Sénat pour coller à la réalité du pays, par exemple en redimensionnant le nombre d’élus, s’impose alors qu’on attend plus de réactivité de ses institutions. 100 sénateurs suffisent, et 248 sénateurs de moins, c’est plus de 68 millions d’euros d’économisés tous les ans. Alternativement, abaisser l’ensemble des frais de fonctionnement au pro-rata de cette diminution ramènerait son coût à moins de 100 millions à l’année (contre 323 actuellement).

    Et, miracle, alors qu’on peut parier sur un fonctionnement aussi efficace de la Haute Chambre, 200 millions d’euros deviendraient à nouveau disponibles pour des postes qui manquent cruellement de moyens, notamment dans le régalien, cet espace que l’État semble avoir déserté pour compter fleurette au social voire au sociétal. Combien de places de prison pourrait-on aménager avec ces sommes sauvées de ces dispendieuses administrations ? Combien de matériels informatiques pourrait-on fournir aux forces de l’ordre ou à la Justice qui en manquent cruellement ? Combien de justiciables ou de victimes pourraient être aidés par ces fonds de nouveau disponibles ? Pour rappel et rien qu’à titre d’exemple, l’aide juridictionnelle représente 405M€ en 2016, dont 20M€ pour les victimes. On pourrait plus que doubler ce montant sans toucher d’un euro aux impôts et taxes collectés chez les Français…

    Et au-delà de l’impact économique d’une véritable refonte du Sénat, il faut comprendre l’impact psychologique indispensable que cette réforme entraînerait : auprès des Français qui payent, qui verraient qu’on peut faire bien mieux sans prélever plus, et en ne faisant grogner qu’une toute, toute petite poignée d’entre eux. Pensez donc : pour seulement 248 politiciens retournant à la vie active, on aurait d’un coup 65 millions de Français plus heureux (le calcul peut aller bien au-delà, comme je le détaille ici).

    Autre bénéficie psychologique évident : les autres élus comprendraient subitement le message que leurs épaisses rémunérations peuvent disparaître, les incitant ainsi fermement à arrêter les âneries coûteuses et les débats consternants et à se retrousser les manches pour parler des vrais sujets (au hasard : le chômage, l’insécurité ou la pérennité du système de santé, pour rire).

    Bien sûr, ici, je m’aperçois avoir été pris d’une transe rêveuse. Tout comme il n’y aura pas de réforme du Sénat, il n’y aura aucune espèce de transparence de sa part. Démontrant toute leur futilité et leur mépris des contribuables qui payent pour leurs salaires, les Sénateurs ont largement prouvé qu’ils étaient complètement déconnectés des réalités de terrain. Et même si une diminution effective du nombre et du train de vie des élus est maintenant indispensable pour des raisons éthiques (ils doivent montrer l’exemple) et des raisons économiques (ça nous coûte trop cher), vous pouvez parier qu’il n’en sera absolument rien.

    Tout se déroule comme prévu.

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  • http://www.wikistrike.com/2016/08/la-sante-mentale-d-hillary-clinton.html

    La santé mentale d'Hillary Clinton

     

     

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