• http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/pouvoir-socialiste-les-catholiques-evacues-les-gauchistes-proteges/

    Pouvoir socialiste: les catholiques évacués, les gauchistes protégés !

     

    les-catholiques-evacues-les-gauchistes-proteges

    L’encre de mon précédent article : « Justice socialiste : mieux vaut être une mosquée qu’une église ! » n’est pas encore sèche et les cierges de la cathédrale de Rouen pour l’hommage au père Jacques Hamel fument encore, que je dois dénoncer l’évacuation pour le moins musclée de l’église Sainte-Rita par les forces de police du pouvoir socialiste laïcard qui ne manque pas une occasion pour « bouffer du curé » !

    A Notre-Dame des Landes, le pouvoir socialistes a laissé pendant des années l’emplacement du futur aéroport de Nantes aux mains de l’extrême gauche et des altermondialistes. Place de la République, le mouvement Nuit Debout a transformé cette place de Paris en une zone de non-droit et le gouvernement socialiste a laissé les riverains souffrir de cette situation pendant des semaines.

    Mais quand il s’agit d’évacuer une église, le pouvoir socialiste retrouve sa fermeté !

    Pire, c’est au lendemain même de l’enterrement du père Jacques Hamel, lâchement égorgé dans son église de Saint-Etienne du Rouvray par deux terroristes islamiques, que le pouvoir socialiste a fait évacuer manu militari les élus qui s’étaient réunis pour s’opposer à cette évacuation. Cet article de Marc de Poni, paru dans le Figaro, nous rapporte ce fait divers navrant :

    Crédits photo : Sébastien SORIANO/Le Figaro

    Crédits photo : Sébastien SORIANO/Le Figaro

    La droite indignée à la suite de l’évacuation musclée de l’église Sainte-Rita

    Annoncée à la dernière minute au maire du XVe arrondissement, l’évacuation de l’Église Sainte-Rita provoque une forte émotion à droite et au FN, au lendemain des obsèques du père Jacques Hamel.

    L'évacuation musclée de l'église Sainte-Rita

    L’évacuation musclée de l’église Sainte-Rita

    elus-traines-a-terre-devant-sainte-ritaVoir la police évacuer par la force une chaîne humaine formée d’élus en écharpe, on pensait ce genre scène essentiellement réservée à Notre-Dame-des-Landes ou le chantier du barrage de Sivens. C’est pourtant bien la scène qui s’est déroulée ce mercredi matin devant l’église Sainte-Rita, dans le XVe arrondissement de Paris, en présence de plusieurs responsables de l’opposition parisienne et du député LR Frédéric Lefebvre. Un événement qui intervient dans un contexte particulièrement douloureux, au lendemain des obsèques du père Jacques Hamel, assassiné à Saint-Étienne-du-Rouvray, et qui soulève l’indignation au sein des Républicains comme du FN. «Cet incident est extrêmement grave. La préfecture de Police de Paris se couvre de honte», lance au Scan Philippe Goujon, maire du XVe arrondissement et opposant historique à la destruction de l’église.

    Absent au moment des faits, Philippe Goujon n’en a pas moins organisé la résistance à distance. «J’ai été prévenu à la dernière minute, hier soir à 21h par la préfecture qui a manifestement attendu que je sois absent et en congés pour procéder à l’évacuation», accuse-t-il. Mais c’était sans compter la pugnacité des défenseurs de l’Église. «Je m’oppose à toute destruction d’église, surtout en période de trouble, au lendemain des obsèques du père Hamel. Ça n’est pas au nom du rite, mais au nom de la préservation du patrimoine du XVe arrondissement que je m’oppose à cette destruction. Ce serait une mosquée, ce serait pareil», assure-t-il. «J’ai donc appelé en urgence quelques élus mardi soir, ainsi que le député Frédéric Lefebvre, qui a fondé le collectif SOS pour nos églises». À l’arrivée des CRS ce mercredi matin, une trentaine d’irréductibles (parmi lesquels des militants identitaires parisiens, ndlr) assistait à une dernière messe, tandis qu’une chaîne humaine était assise à l’entrée. «Plusieurs élus, munis de leur écharpe, ont été traînés au sol par les CRS. Ils vont porter plainte», prévient le maire LR.

    Un «symbole de maltraitance» attaque la droite

    «J’ai immédiatement appelé le directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur, et j’ai découvert qu’il n’était au courant de rien», témoigne Frédéric Lefebvre auprès du Scan. «On ne pouvait pas choisir de pire moment dans ce contexte d’émotion. Et le fait que le ministère de l’Intérieur n’ait rien fait pour stopper l’opération est parfaitement indigne», accuse-t-il. Contacté par le Scan, le cabinet de Bernard Cazeneuve «comprend l’émotion», mais renvoie aux explications de la préfecture de Police, parues dans un communiqué ce matin, sans autre forme d’explication. Il y est notamment rappelé que le bâtiment n’appartient plus au patrimoine de l’Église catholique. «J’ai vu la désinformation qui circule, les mensonges de la préfecture sont patents», tranche de son côté Frédéric Lefebvre, qui estime qu’il y a «une volonté manifeste de saborder toute tentative de reprise de l’église». Des pourparlers seraient en cours pour une reprise du site avec des représentants de la communauté orthodoxe, alors que le bien ne fait actuellement l’objet que d’une promesse de vente, fait-on valoir. «C’est tout à fait symbolique de la maltraitance des religions et des croyants qui sévit ces derniers temps», ajoute le candidat à la primaire de la droite.

    Quelques images de l’évacuation brutale du site :

     

    Au siège des Républicains, on s’indigne …

    enfants-de-choeur-evacues-a-sainte-ritaUn sentiment rapidement partagé par de nombreux cadres de la rue de Vaugirard, frappés par la brutalité de certaines images. «Décidément ce gouvernement est en perdition», a commenté sur Twitter le député LR de Paris Jean-François Lamour. «L’évacuation par la force pour détruire l’église Sainte-Rita de Paris est le triste symbole de ce pouvoir socialiste sans âme et sans repère», a attaqué pour sa part Éric Ciotti. «Le pouvoir gauchiste utilise la force pour évacuer les élus de l’église Sainte-Rita et se dérobe pour fermer les mosquées salafistes ou expulser les imams qui prêchent la haine de la France. «Bande de lâches», s’est à son tour indignée sur Facebook, l’ancienne ministre Nadine Morano. «Ces images de Sainte-Rita sont choquantes. Un prêtre et un enfant de chœur présentent-ils une menace?», s’est encore alarmée la députée Valérie Boyer, face aux photos montrant un prêtre traîné au sol par la police.

    La «patronne des causes désespérées»

    Au Front national aussi, les cadres se sont rapidement saisis de ce scandale estival pour attaquer le pouvoir. «Et si l’on faisait des parkings sur l’emplacement des mosquées salafistes plutôt que de détruire nos églises?», a feint de s’interroger la présidente du FN, en référence au projet de réhabilitation du bâtiment, décrié par les fidèles et certains riverains. «Le gouvernement est plus efficace quand il s’agit d’évacuer Sainte-Rita pour construire un parking que pour fermer les mosquées salafistes!», a poursuivi, dans la même lignée le trésorier du FN Wallerand de Saint-Just. Le numéro deux du parti Florian Philippot a brocardé, lui, «l’indécence» des autorités face à «l’évacuation musclée de l’église Sainte-Rita à des fins immobilières, quelques jours après l’égorgement du père Hamel».

    Marc de Boni pour le Figaro Premium.

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  • https://francaisdefrance.wordpress.com/2016/07/21/ces-deputes-ont-refuse-la-fermeture-des-mosquees-salafistes-ils-ont-signe-la-mort-de-milliers-de-francais/

    Ces députés ont refusé la fermeture des mosquées salafistes, ils ont signé la mort de milliers de Français

     

    Bonsoir à tous,

     

    Je vous invite à faire circuler au maximum la liste des députés qui ont voté contre une loi pour la fermeture des mosquées salafistes.

     

    Voir l’article paru ce soir sur Résistance républicaine.

     

    Amitiés résistantes et déterminées à tous

     

    Assemblée nationale, XIVe législature, Session extraordinaire de 2015-2016
    Compte rendu intégral.

    Capture d’écran 2016-07-20 à 20.43.41
    Avertissement : version provisoire mise en ligne à 17:36
    Deuxième séance du mardi 19 juillet 2016
    Extrait :
    M. Christian Jacob : » Nous demandons aussi la fermeture immédiate, par les préfets, des mosquées salafistes dans lesquelles nos valeurs sont piétinées (Mêmes mouvements), dans lesquelles les lois religieuses s’imposent aux lois de la République. C’est là que la République doit prouver qu’elle est partout chez elle. Elle doit refuser ces zones, qui ne sont même plus de non-droit mais d’un autre droit, d’un droit que nous ne voulons pas, que nous n’acceptons pas, en France. « (Applaudissements sur les bancs du groupe Les Républicains et sur plusieurs bancs du groupe de l’Union des démocrates et indépendants.)

    Les gauchistes ont massivement voté contre. Pascal POPELIN en tête.
    Liste des islamo-collabos :

    Capture d’écran 2016-07-20 à 20.42.54
    http://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/(legislature)/14/(num)/1316

    Vous pouvez aussi télécharger la liste ici afin de l’imprimer.  Fermeture-mosquees-salafistes
     

    J’appelle tous les patriotes de France à faire circuler en permanence, et ce, jusqu’aux élections présidentielles la liste des traîtres à la Nation qui, par leur vote, viennent de signer la mort programmée de milliers de Français.

     

    Usez de tous les moyens dont vous disposez pour faire connaître aux Français, le noms des députés islamo -collabos qui ont voté contre l’amendement qui aurait permis la fermeture administrative ( au minimum ) des mosquées salafistes.
    Leurs obsessions idéologiques vous donne un occasion magistrale de dénoncer légalement leur haute trahison, les débats de l’assemblée nationale nous appartiennent, faisons- en bon usage.

    Photocopiez cette liste  (et/ou l’article en entier )et distribuez quelques exemplaires dans TOUS les quartiers de votre ville, le bouche à oreille fera le reste. Ajoutez un petit mot à cette liste pour inviter vos concitoyens à vérifier comment a voté LEUR député.

    Bien sûr servez-vous du net à outrance.
    Ensemble, patriotes, inversons la courbe de la peur,  dirigeons la vers les vrais responsables.

    http://resistancerepublicaine.eu/2016/07/20/ces-deputes-ont-refuse-la-fermeture-des-mosquees-salafistes-ils-ont-signe-la-mort-de-milliers-de-francais/

     

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  • Français, arrêtez d'être des quiches soyez des hommes, battez vous pour vos libertés et n'acceptez plus d'être soumis, vos gouvernants ne sont plus à la hauteur !!

    Patriote64

     

     

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  • J'invite à lire afin de se plonger dans le monde réel et non pas idéologique et de découvrir des vérités cachés par un système bien rodé qui est le notre en promulguant uniquement le politiquement correct au lieu d'établir la vérité.

    La vérité est comme une pièce elle aura toujours deux faces suivant la sensibilité de chacun.

    Patriote64

    http://www.causeur.fr/hitler-et-jesse-owens-aux-jeux-olympiques-39518.html#

    Hitler et Jesse Owens aux Jeux olympiques

    Retour sur un mythe du XXe siècle

    Une légende tenace veut qu'aux JO de 1936, Hitler ait quitté le stade olympique de Berlin pour éviter de serrer la main au quadruple champion noir. C'est faux. Ce qui est vrai, en revanche, c'est que le fabuleux Jesse Owens ne fut guère honoré en son propre pays.
    jesse owens hitler jeux olympiques

    Suddeutsche Zeitung/ Rue des archives.

    Organisés du 1er au 16 août 1936, les JO de Berlin ont fait couler des flots d’encre. Avant même leur ouverture, la presse du monde entier s’était interrogée sur la nécessité de participer à une fête confiée à un pays qui, depuis sa désignation en 1931, avait nettement viré à la dictature. On avait malgré tout décidé d’y aller et ce furent presque 4 000 athlètes de 49 pays qui participèrent aux épreuves. Seule l’Espagne républicaine avait formellement boycotté ces XIe Olympiades auxquelles l’URSS n’était pas invitée. Dans la capitale du Reich, Goebbels avait donné de fermes instructions pour que l’accueil des visiteurs étrangers soit parfait et que tout signe d’antisémitisme soit gommé. Les organisateurs teutons avaient veillé à ce qu’il ne manque pas un seul bouton de guêtre, ajoutant même quelques belles trouvailles dont la principale fut l’introduction de la flamme olympique, transportée en relais depuis la Grèce. Pendant les compétitions elles-mêmes, les controverses reprirent cependant, avec en point d’orgue la décision de la délégation américaine de modifier son équipe de relais en remplaçant deux athlètes juifs, Marty Glickman et Sam Stoller, par leurs coéquipiers noirs Jesse Owens et Ralph Metcalfe. Les responsables de ce faux pas ont toujours nié avoir voulu complaire à leurs hôtes, ce qui n’a pas empêché le Comité olympique américain de « réhabiliter » et de présenter ses excuses à Glickmann et Stoller, en 1998. Cela fit une belle jambe au second : il était mort depuis treize ans.

    Quoi qu’il en soit, au soir du 16 août, rares furent ceux qui trouvèrent à redire sur la réussite de l’événement, encore rehaussée aux yeux du gouvernement du Reich par la victoire de ses sportifs qui remportèrent 89 médailles, loin devant les États-Unis (56) et l’Italie (22). C’est bien après la cérémonie de clôture que s’imposa un autre scandale : Hitler aurait quitté le stade et refusé de serrer la main à Jesse Owens après sa victoire au saut en longueur (4 août), venant après celles du 100 mètres (3 août), en attendant celles du 200 m (5 août) et du relais 4 x 100 m (9 août).

    Qu’Hitler ait été raciste ne fait pas le moindre doute. Qu’il n’ait guère goûté qu’un athlète noir domine ses compétiteurs blancs non plus. Mais il semble bien que « l’épisode Owens » soit une légende.

    [...]

    1. Mischner le prétend dans son livre Arbeitsplatz Olympia-Stadion : Erinnerungen 1936-1972, paru en 2004. Il ajoute même qu’Owens possédait une photo de sa poignée de main avec Hitler. Ladite photo n’a jamais été retrouvée.
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  • Malheureusement seul les vainqueurs ont le droit d'écrire l'histoire même s'ils perdent la guerre mais ont une grande puissance économique.

    Patriote64

    http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/10-aout-2016-agent-orange-55e-183487

    10 août 2016, Agent Orange : 55e anniversaire du premier épandage d’agent chimique au Viêt Nam

    Aujourd’hui, selon la Croix Rouge vietnamienne, le pays compte entre 3 et 4 millions de victimes, les dernières appartiennent à la troisième génération d’après-guerre.

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    Photo André Bouny. Village de la Paix de Tu Du, HCM-V.

    « Le 30 novembre 1961, le Président Kennedy autorisa l’épandage aérien massif d’agents chimiques pour défolier la forêt primitive vietnamienne. Des essais en situation réelle au Viêt Nam avaient eu lieu pour la première fois, au moyen d’un hélicoptère, le 10 août 1961 sur la forêt tropicale de la province de Kon Tum. Peu de temps après, Kennedy signa l’ordre d’utiliser ces agents chimiques pour détruire et empoisonner les ressources vivrières. Dans un premier temps, cette opération est nommée "Trail Dust" (Traînée de poussière), puis Opération Hadès (le Dieu des morts et des enfers chez les Grecs). Elle est rapidement rebaptisée de manière bien plus anodine Opération "Ranch Hand" (Ouvrier agricole). C’est ce troisième nom de code militaire qui resta dans l’Histoire pour décrire l’épandage des agents chimiques sur le Viêt Nam, le Laos et le Cambodge. Elle visait à éradiquer les arbres de la forêt tropicale afin d’ôter le couvert végétal protégeant les résistants ainsi qu’à anéantir les récoltes dans le but d’affamer populations et combattants.

     

    Par la suite, début 1961, Kennedy souhaitant rassurer l’Amérique sur le fait qu’il n’était pas « rose », dépêcha 400 Bérets Verts, des forces d’opérations spéciales avec pour mission d’instruire les soldats sud-vietnamiens aux différents moyens de combattre la guérilla communiste au sud. Le nombre des "conseillers militaires", que son prédécesseur avait envoyés par centaines, fut porté à 16 000. Sous l’égide des conseillers états-uniens, l’armée du Sud lança des milliers d’opérations de ratissages au sein de la population. Le sous-secrétaire d’État George Ball fut le seul des principaux conseillers du Président à le mettre en garde. Il prévint son ami Kennedy que le Viêt Nam ne se plierait pas facilement à la volonté de l’Amérique. "Maintenir l’indépendance du Sud-Viêt Nam, insista Ball, signifie que dans cinq ans il y aura 300 000 soldats américains dans les rizières et les jungles du Viêt Nam." Kennedy ne crut pas une seconde à cette prophétie.

    Des bombardiers et des hélicoptères américains vinrent s’ajouter aux forces en présence, confirmant l’interventionnisme états-unien, tandis que l’armée du Sud-Viêt Nam engageait 100 000 hommes supplémentaires. Plus tard, ses effectifs approcheront le million. 

    Le 12 janvier 1962, un petit matin calme se levait sur l’aéroport de Tan Son Nhat, à Saigon. Trois avions UC-123, équipés spécialement le mois précédent, étaient arrivés six jours plus tôt de la base aérienne de Clark, aux Philippines. Le moteur n°1 commença à tourner lentement sous l’aile droite. Puis ce fut au tour du deuxième. Les hélices des trois avions faisaient un effet stroboscopique. Le régime des moteurs montait en puissance. Par anticipation, les pilotes redoutaient la rencontre de leurs hélices avec les dernières chauves-souris géantes de la nuit, animaux de plus d’un mètre d’envergure. Plein gaz, le fracas faisait trépider les aéronefs et le capitaine aux commandes vit les poussières qui commençaient à danser à la surface du plancher. Maintenant, les moteurs Pratt & Whitney R-2800 des Fairchilds UC-123 Provider libéraient chacun 2 300 ch rugissants. Freins libérés, les avions-cargos capables de soulever 27 tonnes s’élancèrent comme d’immenses insectes gorgés de poison au-dessus de l’infinie canopée. La plus grande guerre chimique de l’Histoire de l’humanité venait de commencer. » Extrait du livre Agent Orange, Apocalypse Viêt Nam, d’André Bouny, 416 p., Éditions Demi Lune, Paris, 2010.

     

    Suivez le procès contre les multinationales américaines productrices de l’Agent Orange qui se déroule actuellement en France : http://www.agent-orange-vietnam.org/

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  • Avec la France gauchiste policière et juridique, il est préférable de casser du flic à coup de barre de fer, détruire des biens publiques et d’autrui, bruler des voitures de particuliers ou de police, de caillasser des hôpitaux, faire chier de simple citoyen etc.....afin d'être béni par les médias et le ministère de l'intérieur que d'être un simple chrétien défendant son lieu de culte!

    Le Gouvernement et le ministre Bernard Cazeneuve aurait-il agit de la même façon pour une mosquée ?

    Où sont les pseudos grandes gueules de RMC ?

    Patriote64

    http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/expulsion-des-occupants-de-sainte-rita-un-symbole-desastreux,275673

    Expulsion des occupants de Sainte-Rita : un symbole désastreux

     
    Il est consternant que le ministère de l’Intérieur n’ait pas pu trouver une issue plus paisible à ce conflit judiciaire.

    Les images sont fortes. Tôt, le 3 août au matin, les fidèles et les occupants de l’église Sainte-Rita étaient violemment chassés par la police. Dans le XVe arrondissement de Paris, au 27 de la rue François-Bonvin, se tient une église au nom de la sainte des causes désespérées, des petits, des sans-grade. Saint-Rita se trouve prise entre un immeuble et une terre à construire entourée d’un grillage sur lequel on peut lire : « En France, on tue les prêtres et on rase les églises. »

    L’église Sainte-Rita est assez originale dans le paysage parisien. Abritant une communauté gallicane, l’église s’est fait connaître pour des messes atypiques, toujours célébrées selon le rite tridentin. Au début des années 2000, la Société des chapelles catholiques et apostoliques, propriétaire des lieux depuis 1898, décidait de mettre en vente l’église. Considérant que l’église ne méritait pas de protection particulière en raison de son architecture, ou de son histoire, la Commission du Vieux Paris autorisait la vente en 2010. En 2011, un promoteur nantais s’est vu délivrer un permis de démolir, souhaitant bâtir une annexe de l’UNESCO et des parkings sur la parcelle. Dès le départ, une forte opposition s’est mobilisée contre ces projets, arguant du fait que l’église pourrait être rachetée par d’autres communautés chrétiennes.

    Vous connaissez la suite. Les occupants de l’église, « sans droit ni titre », ont été évacués de force, suite à une action judiciaire menée par ses propriétaires. Sur le plan symbolique, l’action de la police est désastreuse. Des enregistrements montrent des élus bousculés, l’abbé Jean-François Billot traîné au sol… Certains témoins présents sur place rapportent même que des enfants de chœur auraient été gazés.

    Au lendemain des obsèques du père Jacques Hamel, assassiné par des terroristes islamistes, il est consternant que le ministère de l’Intérieur n’ait pas pu trouver une issue plus paisible à ce conflit judiciaire ; s’agissant, a fortiori, d’occupants pacifiques, soutenus par de nombreux riverains et respectueux de la destination initiale des bâtiments. L’État ne doit pas utiliser la force aveuglément, au risque de donner la sensation qu’il n’est pas légitime à agir. Face aux zadistes, les pouvoirs publics ont été beaucoup plus conciliants, voire faibles, alors que les occupations en question étaient loin d’être aussi paisibles que celle de l’église de Sainte-Rita…

    On aimerait que la République française se remette les idées en place, en traitant prioritairement les dossiers importants. Des centaines de mosquées fondamentalistes devraient être fermées en France. On y prêche la haine du pays sans que personne n’y trouve rien à redire. Idem dans certains quartiers où l’ordre public n’est pas respecté. On aimerait, aussi, que les socialistes parisiens, toujours prompts à se targuer d’une politique assurant la « mixité sociale » (cache-sexe du multiculturalisme), se lèvent contre la spéculation immobilière plutôt que de l’encourager.

    Quand Manuel Valls affirme que l’organisation État islamique cherche à provoquer des divisions entre les Français, il se trompe. L’État islamique profite des divisions déjà existantes dans le pays. L’expulsion des occupants de Sainte-Rita ne fera, malheureusement, qu’accentuer ce phénomène…



     
     
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  • http://www.sudouest.fr/2016/08/05/un-jeune-juge-pour-avoir-lance-casse-toi-pov-con-a-emmanuel-macron-2458526-710.php

    Un jeune jugé pour avoir lancé "Casse-toi pov'con" à Emmanuel Macron

    Emmanuel Macron n'a pas porté plainte. Emmanuel Macron n'a pas porté plainte. ©

    AFP REMY GABALDA

    Le jeune manifestant est convoqué devant le tribunal en décembre

    Un jeune d'une vingtaine d'années est poursuivi pour outrage pour avoir lancé : "Casse-toi pov'con" à Emmanuel Macron lors d'une visite du ministre fin juillet à Laval, révèle France Bleu Mayenne en citant des sources judiciaires.

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    Le 25 juillet, alors que l'arrivée du ministre était imminente quartier du théâtre à Laval, un petit groupe de jeunes avait commencé à scander : "Anti, anti, anticapitaliste !" en face du bâtiment où devait se dérouler une cérémonie de remise du label "French Tech". Puis, au moment où Emmanuel Macron descendait de son véhicule l'un d'eux avait crié : "Casse-toi Pov'con !" à l'adresse du ministre.

    Sur le coup, le ministre avait été surpris mais avait esquissé un sourire et la suite de la visite s'était déroulée dans un ambiance détendue, Emmanuel Macron se prêtant volontiers au bain de foule et aux selfies. Pendant ce temps, les forces de l'ordre avaient procédé à des contrôles d'identité des jeunes manifestants.

    Pas de plainte du ministre

    Le ministre n'a pas porté plainte mais la justice s'est saisie de l'affaire, a indiqué le parquet de Laval. Entendu une nouvelle fois, le jeune incriminé a reconnu les faits et il est poursuivi pour "outrage". Il est convoqué devant le tribunal le 6 décembre.

    L'insulte "Casse-toi pov'con !" a été rendue célèbre par Nicolas Sarkozy (LR) qui l'avait lui-même lancée, alors qu'il était président de la République, à un homme qui refusait de lui serrer la main au Salon de l'agriculture à Paris le 23 février 2008.

     

    Je plante le décor, je ne suis pas de droite LR ni de gauche encore moins d'extrême gauche ou écolo-gaucho, je ne parle même pas du centre et je n'ai aucune affinité avec dame Morano, mais la justice française et bel et bien gauchiste gouvernementaliste.

    Lorsque les loups se bouffent entre eux je jubile, un extrême gauche se faisant serrer par un juge de gauche à cause d'un ministre de gauche c'est bandant, mais redescendons sur terre...

    Le deux poids deux mesures de la justice française, Guy Bedos traite Nadine Morano de connasse il est relaxé, et pour des termes similaires un peigne cul de gauche dit à Macron "casse toi pauvre con" il est dans la merde.

    Justice équitable ????

    Comme quoi à gauche il vaut mieux être humoriste ou fonctionnaire d'état que simple citoyen!

    Patriote64

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/08/02/97001-20160802FILWWW00146-guy-bedos-relaxe-en-appel-contre-nadine-morano.php

    Guy Bedos relaxé en appel contre Nadine Morano

    L'humoriste Guy Bedos a été relaxé aujourd'hui en appel pour ses injures envers la députée européenne Nadine Morano (Les Républicains), ce qui confirme le jugement de première instance. Le ministère public avait requis une condamnation pour "injures publiques envers un citoyen chargé d'un mandat public", sans préciser la peine demandée.

    Dans ce qui devait être son dernier spectacle, le 11 octobre 2013, l'humoriste de 82 ans avait qualifié de "connasse" et de "salope" la candidate déclarée à la primaire présidentielle LR.

    Lors de l'audience du 24 mai, les avocats de Nadine Morano comme le ministère public avaient estimé que Guy Bedos était sorti du registre de l'humour avec ses propos. La défense avait de son côté plaidé un droit à l'humour. "Le fait que ce soit sur scène doit lui permettre à mon sens de bénéficier d'une licence particulière et de ne pas être condamné", avait expliqué l'avocat Me Benjamin Domange. "Vous n'êtes pas juges du bon goût.", avait-il ajouté.

    Lors du premier jugement, en 2015, le tribunal correctionnel de Nancy avait estimé dans ses attendus que les propos litigieux étaient volontairement "exagérés dans le but de renforcer l'effet comique", ce qui appartient à "la loi du genre".

     

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