• http://www.postedeveille.ca/2012/09/tunisie-une-femme-violee-est-poursuivie-pour-atteinte-a-la-pudeur.html

    Tunisie : une femme violée est poursuivie pour "atteinte à la pudeur"

    Elle est poursuivie par les policiers qui l'ont violée !

    Plusieurs ONG tunisiennes ont dénoncé, mercredi 26 septembre, les poursuites pour "atteinte à la pudeur" engagées contre une jeune femme violée par deux policiers, alors que le gouvernement dominé par les islamistes est régulièrement accusé de s'en prendre aux droits des femmes.

    Femmes-tunisie-violAlors que les deux policiers ont été incarcérés pour viol, la jeune femme et son fiancé "ont été convoqués par un juge d'instruction mercredi 26 septembre pour une confrontation où elle est entendue en tant qu'accusée du délit d'atteinte à la pudeur et voies de fait", selon un communiqué signé notamment par l'Association tunisienne des femmes démocrates et la Ligue tunisienne des droits de l'homme.

    Les signataires dénoncent une procédure qui "transforme la victime en accusée, qui vise à la terroriser et à l'obliger, elle et son fiancé, à renoncer à leurs droits". Les associations s'interrogent aussi "sur le sérieux de l'engagement du gouvernement à appliquer le plan national de lutte contre la violence faite aux femmes".

    Le 3 septembre dernier la victime et son fiancé étaient dans leur voiture lorsqu'ils ont été abordés par trois policiers. Deux d'entre eux ont violé la jeune femme pendant que le troisième gardait son ami. L'affaire avait fait scandale, d'autant que le porte-parole du ministère de l'intérieur, Khaled Tarrouche, avait déclaré que le couple avait été retrouvé par les policiers dans une "position immorale", tout en précisant que cela ne justifiait pas le viol qui a suivi.

    Les associations féministes tunisiennes dénoncent depuis l'arrivée au pouvoir des islamistes d'Ennahda le comportement de la police à l'égard des femmes, qui seraient régulièrement harcelées pour leur tenue vestimentaire ou lors de sortie nocturnes sans un homme de leur famille. Les femmes tunisiennes bénéficient du statut le plus moderne du monde arabe depuis la promulgation du Code de statut personnel (CSP) le 13 août 1956 instaurant l'égalité des sexes dans plusieurs domaines.

    Source : Le Monde, 26 septembre 2012

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  • http://www.scriptoblog.com/index.php?option=com_content&view=article&id=858:myopie-et-neofascisme-au-nouvel-observateur&catid=37:actualite&Itemid=54

    Ce que le Nouvel Observateur ne voit pas : le vrai fascisme

    Tout d’abord, offusquons-nous des méthodes fascistes employées par le Nouvel Observateur, à savoir la délation et le dressage de liste. Plongés dans leur lavage de cerveau politiquement correct, manquant de références historiques, et pour cause ils sont incultes, les journalistes du Nouvel Observateur ne se sont même pas rendus compte qu’ils reproduisaient des méthodes de purs collabos. Car ne nous leurrons pas, le but de cette liste dressée et de la délation qui s’en suit est un appel au châtiment des concernés. La gauche bobo-mondialiste, tels les authentiques fascistes d’autrefois, ne supporte pas ceux qui ne pensent pas comme elle. Elle a une haine viscérale du pluralisme, pourtant condition essentielle de la démocratie. Absolument inconscients de cette intolérance, les flics du politiquement correct ne semblent pas mesurer que tels les fascistes d’autrefois, ils sont mus par une haine brûlante.

    Au-delà des méthodes et du comportement fasciste du Nouvel Observateur, ce qui inquiète le plus votre serviteur est la banalisation d’un discours fasciste depuis plusieurs années dans les médias dominants, qu’ils soient libéraux-libertaires ou libéraux-identitaires.

    Le fascisme tel que l’Europe l’a connu dans les années 30 induisait la disparition des institutions démocratiques, la marginalisation du suffrage universel, la diabolisation d’une partie de la population, la constitution d’une milice politique, la mise en place d’un parti unique et l’asservissement du peuple à une oligarchie.

    Or, depuis toujours, le Nouvel Observateur, à l’instar des autres médias dominants, est un fidèle soutien et défenseur de l’Union européenne. Rappelons que les institutions européennes sont fondées sur la négation du suffrage universel et de la séparation des pouvoirs. Oui, la Commission européenne n’est pas démocratiquement élue, ses membres étant simplement nommés par le Parlement européen après des tractations opaques sur lesquelles les citoyens n’ont aucune prise. Malgré cette absence d’onction par le suffrage universel, cette institution non élue dispose, en vertu de ses attributions légales, du monopole de l’initiative des lois européennes (les directives et règlements européens), donc du pouvoir législatif. En sus de quoi, la Commission est chargée par les traités de veiller à la juste application…des traités. Ceci s’appelle le pouvoir exécutif. Aucun régime prétendument démocratique n’accepterait d’être soumis à de telles institutions. C’est pourtant pour ce système que les médias dominants et l’intelligentsia française se battent. Et ce sont les contestataires de ce système antidémocratique qui sont diabolisés, pardon : nazifiés.

    Ajoutons que le droit européen contenu dans les traités est un manuel pratique de néolibéralisme et qu’il aboutit à accorder les pleins pouvoirs à l’oligarchie financière. Le peuple est ici hors système.

    De façon tout à fait naturelle, le Nouvel Observateur, à l’instar des autres médias du Système, cautionne de nos jours la mise en veilleuse du suffrage universel, comme en témoigne son silence sur l’absence de référendum sur le TSCG. Selon nos flics du politiquement correct, il serait populiste et par extension peut-être même fasciste, de demander son avis au peuple.

    Le Nouvel Observateur, nous semble-t-il, valide également la mise en place d’un parti unique à la tête de la France, l’UMPS, qui, quelle que soit la section dominante du moment, l’UMP ou le PS, se charge d’appliquer bien servilement les traités européens et de suivre à  la ligne les injonctions de l’OTAN. D’où le fameux concept de « vote utile » : il ne serait utile que de voter pour le PS ou l’UMP, les deux membranes du même parti européiste et mondialiste. Tout autre vote est considéré comme inepte.

    De même, nous n’avons pas vu le Nouvel Observateur avoir le moindre mot de condamnation pour la milice informelle qui persécute le peuple de France avec la complicité du pouvoir depuis des décennies, à savoir les racailles.

    Le Nouvel Observateur paraît être soucieux de retirer à ses adversaires idéologiques, qu’ils appartiennent au Système ou non, une de leur liberté fondamentale sans laquelle la démocratie n’est pas : la liberté d’expression.

    Pire du pire, tels les systèmes fascistes d’autrefois, le Nouvel observateur dressent la liste de ceux contre qui il est autorisé de sévir hors de tout cadre légal, ceux qui sont destitués de leur statut d’être humain pour insoumission au politiquement correct, les néo-untermensch : les opposants à l’immigration, au métissage et au multiculturalisme, pour ne pas dire, au sens plus large, les patriotes.

    En résumé, le Nouvel observateur est le partisan d’un parti unique et le défenseur d’un système institutionnel basé sur la négation du suffrage universel et la négation de la séparation des pouvoirs, qui de surcroît donne les pleins pouvoirs à l’oligarchie financière. Le Nouvel observateur ne s’offusque pas que le droit de vote soit retiré au peuple pour les questions qui concernent sa souveraineté. La persécution du peuple par une milice qui ne dit pas son nom, faute de structure officielle, ne l’émeut pas non plus. Enfin, le Nouvel observateur dégage les critères constitutifs du néo-untermensch.

    Oui, il y a bel et bien des fascistes en France. On les reconnait à ceci qu’ils ont un véritable dégoût de la France et qu’ils tentent de passer pour des résistants au fascisme d’autrefois. Mais ils restent des fascistes, bien plus fidèles au fascisme des années 30 qu’ils ne le croient.

    Soyons certains qu’absolument aucun des journalistes du Nouvel Observateur ne comprendrait une seule ligne de cet article tant leur cerveau sont objectivement déréglés. Ces derniers ne mesurent pas la portée de leurs actes, de leur idéologie, de leurs prises de position et de leurs mots. Ils sont bien ce que le Système attend d’eux : des pantins aveugles et disciplinés.

    Ainsi nous serions tentés de recommander la lecture de La lettre volée à Monsieur Dély, le génie d’Edgard Poe pouvant peut-être lui servir d’électrochoc remettant son cerveau en bon ordre. Mais probablement Monsieur Dély s’en priverait-il. Edgard Poe, en tant qu’auteur enraciné, n’est-il pas lui aussi une référence fasciste ?

     

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  • http://francaisdefrance.wordpress.com/2012/09/28/94927/#comments

    Témoignage d’un ancien de l’UMP présent aux universités d’été du FN à la Baule.

    J’ai passé un week-end assez étonnant à la Baule. Ne connaissant du Front National que ce que ce qu’en disaient et disent encore aujourd’hui, les médias. Ainsi que les » dérapages » de son fondateur Jean-Marie Le Pen. J’avoue être entré avec une certaine curiosité mêlé d’une certaine méfiance. Le samedi matin, à l’approche du Palais des Congrès de la Baule, il y avait déjà beaucoup de monde mais aussi beaucoup de journalistes. J’entre et je me retrouve devant les portiques qui font la joie de tous les citoyens depuis que l’idée d’une bombe ou d’un attentat obsède les esprits: Merci à qui ? Sûrement pas aux Bretons ni aux Auvergnats mais il faut bien l’admettre, du fait des adeptes de cette grande et belle religion de tolérance, d’amour et de paix qui nous gratifie de leur sollicitude attentive dès que l’on dit un mot de travers qui les contrarie sur leur prophète. Ils considèrent ipso facto, comme une insulte, tous propos qui n’est pas un mot de soumission et d’allégeance au « grand homme » tueur, pilleur, esclavagiste, gigolo dans sa jeunesse et pédophile à la fin!

    Je franchis les portiques plus facilement que ceux de la Préfecture de Nanterre et j’arrive dans le hall ou je reçois une carte de presse pour suivre les Universités d’été du Front National.

    Muni de mon précieux sésame, je peux circuler comme je l’entends sans constater de près ou de loin, de jeunes blonds aux yeux bleus et aux chemises noires. Diantre, pas un de ses dangereux réactionnaires et autres « ras du front » comme ils disent. En fait, de braves gens venus de tous les horizons et toutes les origines qui circulent, se rencontrent, s’abordent, rient ensemble et se retrouvent avec plaisir.

    Ne connaissant personne, je me sens un peu orphelin dans cette joie partagée par ceux qui m’entourent. « La solitude dans la foule » comme dit le poète. Ils n’ont pas de soupçon dans le regard face à l’intrus manifeste. En fait, si je suis là, c’est que c’est normal et ma foi, vis ta vie semblent-ils me dire. J’en conclus que je suis libre de circuler. Aucun « fort en gueule » ne m’interpelle, aucun « gros bras patibulaire » ne me renifle et pour cause, il y en a pas de ces caricatures. On devine sous l’air débonnaire du service d’ordre, que ce sont des bénévoles, des militants qui font un boulot de surveillance et de canalisation. M’aurait-on menti ? Tous s’expriment dans une langue qui, sans être châtiée et tout à fait correcte et dénote plutôt une bonne culture générale. Pas d’arriérés mentaux politiques dans cette université, pas de beuglard avinés dès le matin, pas de gros beaufs demeurés ? Un peu plus rassuré, je m’avance dans la salle où règne un certain brouhaha comme dans toutes les salles ou la foule attend et bavarde. Le second étonnement c’est la jeunesse des militants. A l’UMP, la moyenne d’âge est plus élevée et en général c’est plutôt mauvais signe. J’en faisais souvent la remarque à cette époque où j’étais un militant de ce parti ou j’y ai même siégé en tant que Conseiller National. Un parti politique qui prétend détenir l’avenir ! Il ne peut pas avoir cette prétention en ayant, en tant que militants, une majorité de personnes âgées ou pour le moins, des femmes et des hommes ayant déjà réalisé la plus grande partie leur vie. Je ne veux pas dire qu’il n’y a pas de jeunes à l’UMPmais rien à voir avec la composition de cette foule qui attend que les débats s’ouvrent.

    De plus en plus rassuré (hé oui), je m’installe à côté de personnes qui se révèlent sympathiques et ouvertes et avec lesquelles j’engage la conversation. J’attends, moi aussi tranquillement le premier débat.

    Et là, c’est mon troisième étonnement, les débats sont qualité, je dirai même de haute qualité car je n’avais jamais assisté à des réunions politiques ou les intervenants étaient de cette qualité tant sur le plan de l’expertise des intervenants que de la qualité des questions posées. Très honnêtement, je me suis de nouveau demandé pourquoi ce genre de débats en interne aux FN, ne transpirait pas dans les médias. Comment des journalistes présents à ces types de débats étaient dans l’incapacité de les retranscrire si ce n’est, en bons journalistes.

    Je commençais à comprendre cette méfiance des militants et des responsables envers les médias en général. Il est vrai que lorsque les dirigeants de l’UMP ou du PS disent, y compris une banalité, les médias font le tri mais s’en font tout de même l’écho. Là, j’écoutais des débatteurs en économie, en finance, en fiscalité qui nous expliquaient du lourd et prouvaient que ces sujet pouvaient être abordables et compris par tous. Cela me rappelait François de Closets qui autrefois à la télévision expliquait, quand celle-ci était un outil pédagogique et non un machine à décerveler, ce qu’était l’économie d’un pays, d’une entreprise et que je comprenais tout.

    En l’espace de deux heures, plusieurs tabous s’étaient effondrés.

    - Je n’étais pas entré dans des locaux occupés par des militants agressifs, bien au contraire. Il n’y avait pas de gros bras le couteau entre les dents, le regard méfiant prés à bouffer de l’autre, de l’étranger, des « différents » comme disent les biens pensants.

    - La moyenne d’âge des militants et le fait que rien n’est pris en charge par le FN. Tous viennent par leurs propres moyens et de toutes les provinces de France.

    - Les intervenants n’avaient pas d’invectives à la bouche, pas de haine de l’autre. Ils ne bavaient pas d’inepties, ils étaient disciplinés et serviables. Tous écoutaient studieusement et applaudissaient la qualité des interventions.

    Je finissais par me demander pourquoi je n’avais pas eu cette curiosité de venir plus tôt finalement. Au fond, je savais pourquoi, car je faisais partie de cette masse de Français qui avaient été intoxiqués par la diabolisation. Il est vrai, à ma décharge, que Jean-Marie Le Pen n’avait rien fait pour me rassurer du fait de ses propos que je ne vais pas rappeler ici mais qui, montés en épingle, ne pouvaient que produire cette diabolisation. Il semblait même s’en repaître parfois. Du moins c’était mon sentiment.

    Je continuais mon bonhomme de chemin avec ma carte de presse autour du cou, une carte que je planquais au début car je me méfiais d’éventuelles réactions de militants ayant une dent envers cette presse si mesquine et foncièrement injuste. Même avec cette carte de presse, que l’on m’avait remise à l’entrée, les bonjours et les sourires n’avaient pas fondu comme neige au soleil.

    Le hasard me permit d’assister à une petite interview de Monsieur Le Pen ou un journaliste lui demandait ce qu’il pensait de la réflexion de Véronique Genest sur son islamophobie déclarée. Sûrement par hasard j’imagine. Monsieur Le Pen se contenta de dire que chacun était libre de penser ce qu’il voulait et chacun pouvait avoir ses peurs, ses phobies. Puis il s’éloigna laissant le journaliste bien marri. Cette interview ne sera jamais mise en ligne. Comme celle que LCI me proposa de faire, je ne sais pas pourquoi, sur ma bonne ou ma mauvaise bouille. Le thème était, là aussi par hasard, sur le voile islamique et la kippa que souhaite interdire dans la sphère public Marine Le Pen. Elle aussi ne sera pas retransmise puisqu’elle ne répondait pas au désir de fond qui était de trouver le caillou noir pouvant faire le buzz.

    Je cherchais des amis de Résistance-Républicaine car je savais qu’il y en avait. Je ne les connais pas tous bien sûr. Je n’en ai vu qu’un seul seulement, Fabien, un ex militant de la CGT qui fût viré de son syndicat pour avoir été sur une liste du FN. La CGT doctrinaire, sectaire, communiste de type stalinien, donnant des leçons de démocratie à tour de bras, avait montré son vrai visage comme tous ces partis de gauche et de la droite molle désormais ! La CGT voit une partie de ses effectifs voter pour le FN voire, militer pour ce parti politique, ce qui prouve qu’ils ont fini par comprendre qu’ils avaient été baladés pendant des décennies. Il est toujours temps de se réveiller finalement. L’essentiel étant justement de se réveiller et de constater les dégâts commis par cette engeance. A ce stade de ma réflexion, je réalise que je fais partie de ces floués et que moi aussi, je me trouve sur le même chemin.

    Après les débats de grandes qualités vint le discours-entretien de Jean Marie Le Pen. Ce fût une véritable ovation dans la salle. A cet instant, je me suis demandé comment je m’étais retrouvé là, dans cette foule qui acclamait ce vieux chef que j’avais appris à détester ou à mépriser pendant des années.

    Le lien entre les militants et le créateur du FN est puissant, c’est certain. Je suis surpris car rien dans les médias ne m’avait laissé réaliser ce lien affectif. Là où hier, je voyais un tribun, un chef de type mussolinien haranguant les foules forcément incultes, il y avait là, un vieil homme encore vif, ayant un lien sentimental avec cette foule debout qui applaudissait avec enthousiasme son entrée.

    Son discours était chargé en chiffres, mais les débats didactiques précédents nous y avaient habitués et donc, l’économie, la finance, la justice, la sécurité, l’immigration, l’Europe furent tout à tour évoqués. Et quelle ne fut pas ma surprise de constater le soir devant l’écran de télévision que les médias ne retinrent qu’un extrait d’une citation du général de Gaulle sur que sont les français à savoir : C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns ! Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et religions chrétienne.

    Uniquement cette référence d’un général qui par ailleurs, ne fait pas l’unanimité au Front National parmi les Français qui subirent les conséquences de la perte de l’Algérie. Comment des journalistes peuvent-t-ils faire du général de Gaulle à titre posthume, un lepéniste ou un Jean Marie Le Pen un gaulliste, sans se sentir ridicule. Pour ma part, je partage totalement cette citation et qu’importe celui qui la reprend à son compte.

    Puis ce fût encore une nouvelle ovation qui se termina par une Marseillaise extraordinaire que je n’avais pas connu dans d’autres réunions politiques et particulièrement à l’UMP qui relevait plus de la politesse que de la ferveur que je constate ce samedi 23 septembre à la Baule dans ce parti politique. Mes voisins avaient les yeux qui brillaient, un sourire immense, des regards enthousiastes. J’ai chanté avec eux cette Marseillaise avec toute la force que je pouvais alors même que je n’osais pas le faire ailleurs, de peur de passer pour un fasciste voire, comble de l’horreur, un lepèniste.

    Fin de la première journée. J’étais épuisé mais satisfait de cette rencontre forte. Quelle découverte tout de même…

    La deuxième journée fût du même niveau. Une rencontre passionnante avec Marie Christine Arnautu, avec des profs d’économie et de gestion comme Monsieur Lemaire d’HEC, Monsieur Sulzer. Des responsables politiques comme Paul Marie Couteaux, Bertrand Dutheil, des personnalités comme Alain Jamet, Wallerand de Saint Just, tous participants à un débat sur la politique et la philosophie. Du lourd, du très lourd qui bouscule les idées et remet la Nation à sa vraie place par rapport au consumérisme proposé par les européistes et destructeurs de la Nation justement ! Exemple de débats sur la philosophie et la politique, comme des petites affirmations souriantes sur des réalités en querelles de clochers bien françaises de type : « Mon village est plus beau que le tien, ma province est plus belle que la tienne mais nous avons le plus beau des pays comme disait le poète en rappel sur la charité bien ordonné commence par soi-même qui répond comme en écho, à cette phrase d’Aristote qui affirmaitqu’il vaut mieux passer la journée avec des amis et des personnes excellentes qu’avec des étrangers et des premiers venus.En effet, la politique est liée à la philosophie.

    Toutes ces rencontres avec ces personnes par la suite furent faites dans une grande simplicité et sans prétention aucune.

    Vint le discours magnifique et de bonne humeur de Gilbert Collard ou le rire s’entremêlait avec le sérieux des propos. Un discours applaudi par l’ensemble des militants démentant de facto, l’idée de méfiance comme semble le dire les journalistes. Un discours de Marion Maréchal-Le Pen que l’on pouvait attendre, vu sa jeunesse, comme difficile mais ce ne fût pas le cas loin de là. Ce fût l’occasion d’un éclairage sur la stupidité de leurs collègues parlementaires de gauche et une découverte d’un état d’esprit fâcheux de Monsieur Copé incapable, apparemment, d’accepter la présence des élus du FN et refusant de saluer cette jeune député. Bel esprit démocratique.

    Je passerai sur le discours de Marine Le Pen que vous trouverez sur ce site. Un seul mot, il fut fantastique! Je m’y suis retrouvé. Je savais que la droite molle avait glissé à gauche, j’en ai acquis la certitude dans ces universités.
    YouTube http://www.youtube.com/watch?v=Eh47LO2zqMY

    Je ne suis pas un extrémiste, je ne suis pas fasciste, je suis simplement un bonapartiste revendiqué depuis de nombreuses années et qui souvent était moqué à ce sujet par mes amis politiques de l’époque où j’étais Conseiller Municipal. Je suis un bonapartiste qui avait retrouvé à travers De Gaulle, les valeurs françaises qui sont celles de l’amour de la France, de sa grandeur, de sa puissance, de sa souveraineté, de son indépendance et qui constate que Marine Le Pen revendique ces valeurs d’amour de la Nation avec la volonté du référendum pour rendre la parole au peuple de France.

    Je ne regrette pas d’avoir participé à ces Universités d’été et j’encourage tous les lecteurs qui ne sont pas au Front National d’assister un jour à ces débats. C’est une bonne thérapie pour se débarrasser des derniers stigmates anti Marine Le Pen.

    Gérard Brazon

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  • http://www.polemia.com/article.php?id=5086

    Désinformation sur l'école : vers un « grand remplacement » du personnel « enseignant »

    La désinformation sur l’école est essentielle au maintien du système actuel. La désinformation se focalise sur la notion de « refondation » de l’école ; celle-ci est comprise par beaucoup comme une restauration de l’école traditionnelle. Il n’en est rien. Il s’agit, au contraire, de parachever la suppression d’un enseignement par discipline au profit d’un enseignement par « activités ». De même le débat sur les postes est biaisé : l’opinion croit que les socialistes vont rétablir les postes d’enseignant supprimés par le gouvernement précédent. Tel n’est pas le cas. Les nouveaux postes, ainsi créés, vont bénéficier à des « assistants d’éducation » et à des « auxiliaires de vie scolaire individualisés » dans le cadre d’une institution scolaire transformée en « lieu de vie », sinon garderie. Pour les enseignants aussi, le temps du grand remplacement est venu ! Claude Meunier-Berthelot fait le point pour Polémia.
    Polémia.

    Sont-elles rassurantes, les annonces de création de postes depuis que Vincent Peillon a pris la tête du ministère de l’Education ! 1000, 6000, 60.000… enfin ! C’est un festival de chiffres qui pourraient fleurer bon une renaissance de l’Ecole d’autant que le ministre de l’Education accompagne ses discours de sa tonitruante volonté de « refondation » du système éducatif qui donnerait quasiment à penser qu’il aurait l’intention de redonner du lustre à cette ruine qu’est devenue l’Education nationale.

    Encore faudrait-il savoir ce qu’il appelle « refondation » de l’Ecole. Petite précision sémantique : la « refondation » n’est pas la restauration En réalité, la « refondation » du système éducatif n’a rien à voir avec sa « restauration ».

    Cette « refondation » de l’Ecole n’est pas nouvelle ; elle n’est pas une création originale de Vincent Peillon qui en prend seulement le relais puisqu’elle a pour base la réforme révolutionnaire de Claude Allègre de 1999 sur laquelle tous les ministres se basent depuis, pour la mettre en œuvre et métamorphoser ainsi l’Institution scolaire en lieu de vie.

    Cette « refondation » de l’Ecole, du primaire à l’université incluse, est donc déjà bien entamée et il s’agit d’une véritable destruction de l’institution scolaire puisqu’elle vise à supprimer tous les cours pour les remplacer par des activités au cours desquelles l’enfant doit construire son savoir sans obligation de résultat pré-établi, activités réalisées sur la base d’un thème, ersatz de programme.

    Travesties sous des appellations qui fassent penser, au contraire, à un souci de faire mieux assimiler des connaissances aux élèves – « accompagnement personnalisé, aide aux devoirs, tutorat, projet personnel de réussite éducative, travaux personnels encadrés, … » –, ces activités sont prévues non en complément des cours, mais en remplacement des cours. Toute idée de transmission des savoirs, d’acquisition de connaissances par un professeur est exclue, toute idée d’identité culturelle, de formation intellectuelle et d’exigences également.

    Ceci expliquant cela…

    1000 créations de postes dans le primaire ?

    Vincent Peillon affirme vouloir donner la priorité à l’enseignement primaire et commence par un vœu pieux : le ministère « souhaite que tout soit mis en œuvre » pour que les CP soient confiés à des professeurs expérimentés ; c’est une annonce qui fait bon effet et dont le public retiendra l’intention, mais un « souhait » n’est ni un arrêté ni un décret, et cette formulation nous laisse augurer que cela restera assurément au stade du souhait, d’autant que la nouvelle philosophie du système éducatif dans le cadre de la « refondation » du système scolaire consiste à balayer le savoir en supprimant les cours.

    Par ailleurs, Vincent Peillon prétend créer 1000 postes ; or, 5.700 suppressions de poste dans le primaire ont été votés dans le budget 2012 et, quand il annonce la création de 1000 postes dans le primaire, en réalité, il reste toujours 4.700 suppressions !

    6.000 postes dans le secondaire ?

    Dans le budget 2012 – donc entériné depuis plus de 6 mois – ont été votées par le gouvernement précédent des coupes budgétaires importantes se concrétisant par 6.550 suppressions de poste d’enseignant.

    Vincent Peillon prend la tête du ministère de l’Education et dit « attendre » 6.000 recrutements. Bien qu’ « attendre » ne soit pas « créer », faisons comme si ! Mais… créer à la suite d’une suppression de 6.550 postes, subsiste toujours un déficit de 550 postes.

    De plus, les catégories de personnels « recrutés » ne sont pas précisées pour les besoins de l’effet d’annonce et, afin que le public puisse en déduire qu’il s’agit de postes d’enseignant, le ministre « recrute » ! Mais si l’on cherche à approfondir le sujet et que l’on aille à la pêche à l’information, on découvre que sur ces 6.000 recrutements, seulement 280 concernent les professeurs du 2nd degré ! (en moyenne, à peine 3 par département) !

    Une majorité de personnels sans aucune qualification…

    Alors, quid de l’immense majorité des recrutements annoncés appelés à remplacer les postes d’enseignant supprimés ? Ils concernent des personnels sans aucune qualification : des assistants d’éducation, c’est-à-dire des personnels non diplômés, recrutés sous contrat de droit public pour une durée de 3 ans renouvelables, chargés de surveiller les élèves, d’ « aider aux devoirs », dit le texte. Encore faudrait-il que, dans l’absolu, ces personnels en soient capables et que, par surcroît, des devoirs soient réellement prévus dans le système éducatif en cours de « refondation » !

    Parmi ces assistants d’éducation, certains sont également des « auxiliaires de vie scolaire individualisés » (AVSI) chargés d’accompagner les enfants en situation de handicap et qui constitueront une grande partie de ces 6.000 recrutements ; d’autres sont des personnels recrutés via des « contrats aidés » œuvrant également auprès des élèves handicapés et dont les contrats ont une durée variant de 6 à 24 mois.

    Pourquoi si peu de professeurs malgré les besoins affichés ?

    En réalité, ces assistants d’éducation recrutés massivement et sur-représentés par rapport aux enseignants sont appelés à remplacer les enseignants : ils seront donc amenés à « soutenir » des enfants qui n’auront plus cours ! Car la réalité de la « refondation » de l’Institution scolaire, déjà bien engagée par le précédent ministère et dont Vincent Peillon prend seulement le relais tout en nous laissant croire qu’il se lance dans une concertation pour « refonder » l’Ecole sur des bases totalement opposées, est celle-là !

    Ce que l’histoire ne dit pas et qui n’est absolument pas relayé par les médias, c’est que les enseignants, dans leur grande majorité, sont farouchement hostiles à cette révolution de l’Institution scolaire dont ils contestent le bien-fondé et qu’ils rejettent, ce sur quoi les syndicats font bien entendu le silence le plus total, puisqu’ils cautionnent largement cette « refondation »-destruction de l’Institution scolaire.

    Aussi, afin d’endiguer les contestations, prévenir les manifestations d’hostilité et permettre la poursuite de la mise en œuvre de cette « refondation »-destruction envers et contre tout, prétendre que les enseignants éprouvent une « souffrance normale » (sic) n’est pas suffisant. Le personnel enseignant, trop critique par rapport à cette « refondation », est « mis sur la touche » par le moyen des suppressions de poste d’enseignant pour remplacer ces enseignants par des personnels incompétents sur le plan scolaire, incapables de remettre en cause le système et donc forcément dociles à cette révolution de l’Institution scolaire qui en détruit tous les fondements.

    Tout cela confirme, s’il en était besoin, que ce remplacement du personnel qualifié par des personnels de formation totalement indifférenciée et a minima, traduit la mutation de l’Institution scolaire en centres d’activités et de loisirs nommément désignés du terme de « refondation ».

    Et pour les besoins de l’ « enfumage », ces personnels sont fraîchement désignés par Vincent Peillon « emplois-avenir-professeurs » qui passeront dans le moule des IUFM non supprimés mais rebaptisés, pour les mêmes besoins de l’enfumage, « Ecoles supérieures du professorat et de l’éducation », dans lesquelles continue à être distillé un pédagogisme totalement abscons au détriment de l’enseignement disciplinaire.

    Un air de « déjà vu » !

    Cette substitution du personnel « enseignant » par du personnel incompétent nous rappelle l’époque où les CES ont été créés pour remplacer les classes de premier cycle des lycées et où les professeurs agrégés et certifiés ont été remplacés par des instituteurs n’ayant aucune formation universitaire et baptisés PEGC (professeurs d’enseignement général des collèges). De ces CES ont été alors systématiquement exclus les étudiants titulaires d’une maîtrise d’enseignement avec, pour motif avoué, « trop de diplômes », donc trop dangereux pour le système en décomposition ; ce tour de passe-passe avait permis d’entériner la chute prodigieuse de niveau des élèves victimes des méthodes globales d’enseignement généralisées à la fin des années 1950 à l’école primaire.

    Aujourd’hui, nous sommes toujours dans cette même logique de « substitution du personnel enseignant » pour achever la destruction de l’Institution scolaire programmée dans le plan Langevin-Wallon de 1947, destruction baptisée du terme de « refondation ».

    Claude Meunier-Berthelot

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    La mafia albanaise au début 2012 : quand enfle une prochaine vague criminelle

     

    François Farcy, criminologue 

    Pendant que, trop souvent encore, les dirigeants de grandes puissances s’obstinent à regarderailleurs, le crime organisé transnational prospère discrètement - et la mafia albanaise n’échappe pas à la règle. Car depuis leur émergence en Europe occidentale à la fin des années 90, les clans criminels albanophones ont évolué, se sont adaptés à notre société et ont poursuivi leurs activités. Où en sont-ils aujourd’hui ? Trois termes situent bien leur état présent : pérennisation, intégration et quatrième vague.

    Pérennisation

    Comme déjà souligné, la Mafia albanaise, certes polycriminelle, a cependant trois domaines de prédilection : les vols organisés, le trafic de drogues et la traite des êtres humains (TEH) incluant le proxénétisme et le trafic de migrants. Depuis la fin des années 90, ces infractions constituent le « coeur de métier » des clans criminels albanophones, ce que l’évolution des dernières années démontre amplement. Ajoutons-y une importante caractéristique mafieuse : la permanente mobilité entre « territoires de chasse » et « sanctuaires » de la diaspora, et une permanente adaptation au travail policier. Concernant les vols organisés, l’adaptation permanente se traduit par un changement régulier de cibles selon la réaction policière ou de la concurrence d’autres gangs (roumains, moldaves, nomades) ; ce déplacement géographique permettant en outre d’explorer de nouveaux territoires de chasse et d’éviter les arrestations. A titre d’exemple, entre 2000 et 2005, la Belgique a été victime de nombreux cambriolages commis par des clans albanais ou kosovars ; notamment des groupes ayant fui la guerre du Kosovo ou la faillite de l’Albanie, ou s’étant glissés parmi les vraies victimes en prenant de fausses identités.

    A partir de 2006, ces épidémies de vols n’ont pas cessé mais les Albanais y ont été moins actifs. Ce changement d’activités s’explique par la répression judiciaire mais aussi par la raréfaction de la « main d’oeuvre ». Au début des années 2000 en effet, certains voleurs albanais, simples exécutants, sont alors eux-mêmes des victimes des clans mafieux, pour le compte desquels ils volent, pour rembourser leur migration clandestine en Europe. Les clans diversifient alors leurs prédations et ciblent d’autres objectifs : coffres forts de centres commerciaux, alcools et stocks de cigarettes des stations-services, vol de métaux, voitures de luxe, etc.. La seule activité des clans criminels albanais diminuant fort depuis fin2010 est le vol de fret (vols « Cargo » : effraction des camions sur les parkings d’autoroute).

    En Belgique et en France en effet, diverses actions policières et judiciaires ont alors permis de démanteler et traduire en justice plusieurs gangs implantés à Bruxelles depuis une décennie. Classiquement opportunistes, certains de ces clans criminels se sont alors réorientés vers les trafics de drogues, d’armes ou des êtres humains. Courant 2011, certains sont réapparus dans de nouvelles séries de cambriolages commis partout en Belgique. Surprise : les mêmes criminels sont toujours à la tête de ces clans, mais avec une nouvelle « piétaille » récemment arrivée d’Albanie et du Kosovo. Nous le verrons plus loin : la suppression du visa d’entrée fait ic sentir ses effets. Entretemps aussi, la mafia albanaise a conquis de nouveaux territoires de chasse comme en Irlande ou en Espagne, où presque toutes les polices sont aujourd’hui confrontées à des clans criminels albanophones.

    Lire la suite : http://www.drmcc.org/IMG/pdf/MafiaAlb_2012.pdf

     

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  • L'U.D.I, une Utopie pseudo Démocrate Identifiable

    Les groupuscules et les partis du centre pour ce qu'il en reste se sont réunis la semaine dernière sous l'impulsion de Jean Louis Borloo afin d'effectuer un rassemblement sous une même étiquette, seul grand absent de cette réunion entre amis, le Modem avec la non présence de François Bayrou.

    Démarrant sur les chapeaux de roues, Jean Louis Borloo a été désigné comme président de l'UDI mais un grand hic est à noter dans la façon dont les élections se sont passé au sein de ces différents mouvements, aucun militants des différent partis et mouvements centriste n'ont été consulté pour l'élection du président!

     Si on peut se laisser à penser que les militants étaient d'accord pour former un rassemblement afin d'avoir plus de poids dans la vie politique française, ils auraient sûrement apprécié de pouvoir désigner démocratiquement leur leader!!

    A ne pas douter l'UDI commence son aventure comme les autres partis du système, avec un faux semblant de respect démocratique, un parti de plus qui affiche le non respect comme l'UMP et le PS.........

    Patriote64

      

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  • http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2012/09/la-mauvaise-foi-de-laurent-joffrin.html

    La mauvaise foi de Laurent Joffrin

    Laurent Joffrin p1370473.jpg

    Laurent Joffrin, de son vrai nom Laurent (André Marie Paul) Mouchard né le 30 juin 1952 à Vincennes, est un journaliste français. Il a collaboré aux journaux Libération et Le Nouvel Observateur dont il dirige la rédaction. En 2006, il devient directeur de publication de Libération, qu'il quitte le 1er mars 2011.

    Il porte bien son vrai nom, normal qu'il en ait changé!

    Patriote64

      

    La mauvaise foi de Laurent Joffrin

    Ce dernier ose écrire dans Le Nouvel Observateur :

    "si les synagogues ou les mosquées sont régulièrement souillées ou vandalisées, c’est rarement le cas des églises ou des cathédrales".

    Il ferait mieux de se renseigner :

    ""L’immense majorité des profanations perpétrées en France visent des lieux de culte ou des cimetières chrétiens. En 2007, elles représentaient 151 cas sur un total de 164 lieux de culte profanés, soit 92,1%. Le pourcentage s’élève à 94,4% un an après, en 2008, pour un total de 285 profanations constatées. L’année dernière [2009], si le nombre total de profanations a baissé (226), la part des lieux de culte chrétiens a encore augmenté, pour s’établir à 95,6%."

    En 2008, un rapport parlementaire avait pointé le déséquilibre médiatique quant aux profanations ("Malgré un traitement médiatique qui donne une impression inverse, la grande majorité des profanations concerne des sépultures chrétiennes"). Avec Monsieur Joffrin, ce déséquilibre se poursuit.

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  • http://www.lexpress.fr/actualite/societe/je-ne-m-attendais-pas-a-ce-qu-on-me-demande-d-etre-le-premier-gay-a-me-marier_1167195.html

    "Je ne m'attendais pas à ce qu'on me demande d'être le premier gay à me marier"

    ParMylène Lagarde, publié le27/09/2012 à 18:43, mis à jour à 19:16

    Bruno et Vincent devraient être le premier couple gay à se passer la bague au doigt. Cette union sera célébrée à Montpellier, une ville très engagée sur le sujet, conformément au souhait de la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem. 

    "Je ne m'attendais pas à ce qu'on me demande d'être le premier gay à me marier"

    MONTPELLIER - Le premier mariage gay sera célébré à Montpellier par Hélène Mandroux en présence de Najat Vallaud-Belkacem. Vincent Autin et son compagnon Bruno seront les premiers à s'unir.

    Vincent Autin

    Montpellier, chef de file du mariage gay. Avant même l'adoption de la loi, la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, a annoncé ce jeudi que la première union civile serait célébrée dans cette ville. On connait même le nom des heureux élus: la maire de la ville, Hélène Mandroux (PS) unira Vincent Autin, président de la LGP Montpellier Languedoc-Roussillon, et son compagon Bruno. Et cette célébration pourrait avoir lieu dans les semaines qui viennent: le projet de loi sera présenté le 24 octobre au conseil des ministres.  

    "Je ne m'attendais pas du tout à ce que m'on me demande d'être le premier gay à me marier en France, assure Vincent Autin à L'Express. C'est la ministre qui me l'a proposé lorsque je l'ai rencontrée". Une offre qui ne se refuse pas. "C'est un honneur pour nous deux. Au delà de la célébration de notre amour, notre union représente l'union de tous les militants".  

    Montpellier engagé dans le mariage gay

    Du côté de la mairie, on assure que cette nouvelle "est tout un symbole pour la ville qui a une longue histoire liée au militantisme homosexuel et une communauté gay très importante." En 2009, Hélène Mandroux avait déjà lancé un appel en faveur du mariage homosexuel. Le 5 février 2011, elle a même uni symboliquement Tito Livio Santos Mota et Florent Robin, envers et contre tous.  

    Si la nouvelle est une surprise, personne ne souhaite perdre de temps. La municipalité assure que les préparatifs administratifs vont être lancés dans les plus brefs délais afin d'"unir le couple dans les jours qui suivront la promulgation de la loi". Et Vincent et Bruno devraient avoir une invitée de marque: la ministre Najat Vallaud-Belkacem a affirmé qu'elle serait présente le jour de leur union.

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