• http://lesbrindherbes.org/2016/02/28/media-la-traduction-surrealiste-de-linterview-de-m-marechal-le-pen-par-fox-news/

    Fox news : La traduction surréaliste de l’interview de Marion Maréchal

    L’on savait déjà que certains médias racontent n’importe quoi  parce qu’il ne prennent pas la peine d’enquêter et de sourcer leurs affirmations où qu’ils sont bridés par leur direction.. N’est-ce pas Monsieur Bolloré ?   Ça, c’est le courant planétaire. Mais là, je vous propose une pépite : La traduction d’un interview de Marion Maréchal Le Pen diffusé par Fox News, (chaîne hyper conservatrice américaine). Ils ne font pas mieux que le parti communiste Chinois…

    Une preuve de plus, si il en fallait, que nous vivons dans un monde de mensonges organisés.

    NB : Désolée, Le code de partage ne fonctionne pas. Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir la vidéo

    Média

    L’étonnante traduction en anglais de l’interview de Marion Maréchal-Le Pen

    Dans un portrait réalisé dans le cadre de l’émission «Full Measure», diffusée notamment sur Fox, un entretien avec la nièce de la présidente du Front National a fait l’objet d’une traduction surréaliste.

     

    (NDLR : Cette vidéo n’est pas publiée pour promouvoir le discours, vous l’aurez compris.)

     

    L'étonnante traduction en anglais de l'interview de Marion Maréchal-Le Pen

     

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  • http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/devinez-qui-a-dit-ca-en-2006/

    Devinez qui a dit ça en 2006 !

    hollande-2006-masque

    Le 21 février 2006, on entendit à la tribune du palais Bourbon, un membre de l’opposition s’exprimer ainsi :

    « Ce que je veux, c’est que nous engagions, les uns et les autres, un vrai débat politique sur nos conceptions de l’avenir du modèle social français, qui nous opposent légitimement. Vous avez fait le pari d’une société de précarité, au nom de ce que vous croyez être l’efficacité, comme si l’incertitude et l’instabilité pouvaient être le gage d’une prospérité, même éphémère. Nous, la gauche, faisons le choix inverse : ce sont les sécurités professionnelles et sociales qui permettent les transitions et garantissent une croissance durable. »

    L’orateur poursuivait alors en dressant le sombre bilan du gouvernement :

    « Une croissance qui « expire » à 1,4 % en 2005, une dette d’un « niveau historique » (68 % à l’époque)… « Vous proclamiez votre volonté de redresser le pouvoir d’achat : il s’est effondré sous le poids de l’aggravation de la pression fiscale et sociale que vous avez infligée aux Français ».  »Mais plutôt que d’assumer la responsabilité de vos décisions depuis quatre ans, monsieur le Premier ministre, vous préférez mettre en accusation notre modèle social : ce ne serait pas votre politique, par ses errements, qui serait en échec, mais la France, par ses acquis sociaux, qui serait en panne, poursuivait le futur président de la République. Tel est le tour de passe-passe qui vous disculpe : rien ne serait de votre faute, tout viendrait des Français eux-mêmes… trop protégés par trop de garanties, immobiles, enfermés qu’ils seraient derrière des verrous qu’il faudrait faire sauter à tout prix ! Et le premier d’entre eux s’appelle tout simplement le code du travail.

    En conclusion, il assénait ses derniers coups :

    Il ne vous a pas suffi en quatre ans, et avant vous à Jean-Pierre Raffarin et au gouvernement précédent, d’augmenter le contingent des heures supplémentaires, d’alléger leur coût, de supprimer un jour férié, de faciliter le recours à l’intérim, d’assouplir les règles du licenciement, de modifier les fondements de la négociation collective, de supprimer les emplois-jeunes. La dernière étape est pour bientôt, puisque vous nous préparez un nouveau contrat pour tous les salariés, au nom, sans doute, du principe d’égalité de tous devant la précarité. Aujourd’hui, ce sont les jeunes de moins de 26 ans qui risquent de faire les frais de votre obstination idéologique (…) Tirer prétexte de la précarité de quelques-uns – encore trop nombreux – pour la généraliser à tous, est insupportable.  »Laisser penser qu’il faudrait démanteler le CDI au prétexte que certains n’y accéderaient pas est inacceptable !

    Cet orateur n’était autre que François Hollande, à l’époque, chef de l’opposition !

    image: http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/wp-content/uploads/hollande-2006.jpg

    hollande-2006

    Si on peut comprendre que François Hollande ait évolué en 10 ans, depuis 2006, on comprend moins – comme Martine Aubry et ses sbires – qu’il ait à ce point tourner casaque depuis 2012, date de ses promesses de campagne. Hollande est un cynique sans foi ni loi ! Pour se faire élire, il a flatté le peuple de gauche. Pour ce faire, il a nié la crise, chargé son prédécesseur de tous les maux et  en se déclarant l’ennemi de la finance ! Le petit peuple de gauche a adoré ! Après avoir distribué quelques cacahuètes pendant deux ans, comme Mitterrand, de 1981 à 1983, il a été rattrapé par la réalité et a tenté, mais beaucoup trop tard, de réparer ses erreurs.

    Les prochaines semaines vont être passionnantes, entre un Hollande qui va tenter de nous refaire le coup de la synthèse, cette fois-ci impossible, un Manuel Valls dont on sent bien qu’il veut aller jusqu’au bout et un Macron qui va compter les points, dépossédé qu’il a été de sa loi Macron II au profit de Myriam El Khomri.

    Passionnant, je vous dis !

    Mon pronostic : Manuel Valls quitte le gouvernement. Mais j’ai beau chercher, je ne trouve pas qui acceptera de le remplacer dans cette galère ! Un des deux bons petits soldats : Cazeneuve ou Le Drian ? Ils sont tellement lisses politiquement qu’on ne pourra pas dire qui ils ont trahi !

    Les citations de Hollande sont extraits de cet article du Point : « Code du travail : quand Hollande en 2006 dénonçait le Hollande de 2016« .


    En savoir plus sur http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/devinez-qui-a-dit-ca-en-2006/#1dfjyhd14TbgmxFZ.99
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  • Si la justice française et donc l'état prenait autant de directives et de lois qu'il en prend contre les automobilistes, qui sont pour eux uniquement une source de revenue (impôt supplémentaire) il y aurait moins de récidivistes.

    Les sanctions sont toujours disproportionnées pour les patriotes qui dévoilent et combattent la dictature en place et très laxiste avec les racailles et crapules tendances gauchistes.

    à chacun d'analyser, mais les faits sont là ainsi que les chiffres largement cachés par le pouvoir.

    Patriote64.

     

    http://actu.orange.fr/une/enfant-renverse-a-paris-le-braqueur-etait-un-multirecidiviste-et-sortait-de-prison-afp-s_CNT000000ku5uI.html

    Enfant renversé à Paris : le braqueur était un multirécidiviste et sortait de prison

    Enfant renversé à Paris : le braqueur était un multirécidiviste et sortait de prison
    voir la photo ©Photo:AFP/LIONEL BONAVENTURE

     

    L'homme a grièvement blessé un garçon de 6 ans vendredi, en lui fonçant dessus avec une voiture volée, avec laquelle il a ensuite tenté de braquer un fast-food.

    Le suspect, âgé de 35 ans, est bien connu de la police et de la justice. Il était sorti de prison depuis quelques jours et son casier judiciaire comporte 12 condamnations, apprend-on de source judiciaire ce samedi 27 février.

    Cet homme a été arrêté vendredi pendant sa fuite, sur l'autoroute A3 au niveau d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), après avoir tenté de braquer un fast-food. En état d'alcoolémie, "il a foncé en direction des policiers" lors de son interpellation. Ces faits pourraient être qualifiés de tentative d'homicide sur policier si le suspect est mis en examen à l'issue de sa garde à vue, précise la source judiciaire.

    L'enfant blessé reste, ce samedi, dans un état critique. Il a été renversé par le suspect à bord du véhicule qu'il venait de voler, sous la menace d'une arme factice, dans le sud-est de la capitale, place d'Italie (13e arrondissement).

    L'homme était sorti de prison lundi, après avoir purgé une peine de 10 mois ferme. Son casier judiciaire porte douze condamnations pour des délits liés aux stupéfiants, plusieurs délits de conduite sans permis, extorsion et vol. Sa garde à vue a été prolongée ce samedi. Il devrait être déféré dimanche, pour être présenté à un juge en vue d'une mise en examen.

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  • http://institutdeslibertes.org/brexit-ou-pas-brexit/

    Brexit ou pas Brexit?

    Par Charles Gave

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    De temps en temps, j’ai l’impression diffuse mais certainement fausse que les hommes politiques prennent les électeurs pour des imbéciles. Nous venons d’en avoir une remarquable illustration à  l’occasion de la renégociation d’un statut privilégié pour la Grande Bretagne dans la Communauté Européenne.

    Le premier Ministre, David Cameron, pour des raisons de politique intérieure liées à la montée d’un parti  anti-européen conduit par Nigel Farage a été obligé de promettre au peuple Britannique avant les dernières élections Britanniques un référendum sur le maintien ou non de la Grande-Bretagne dans la Communauté Européenne. Ce même premier ministre à ensuite fait savoir qu’il allait renégocier des conditions «spéciales» pour la GB et que s’il obtenait ce qu’il comptait demander aux autres pays comme « privilèges», il recommanderait au Peuple de voter pour le maintien du pays dans les structures européennes…On voit l’énormité de la ficelle.

    • Bien entendu, il n’allait rien demander de vraiment essentiel.
    • Bien entendu, les autres pays et Bruxelles allaient pousser des cries d’orfraie à  ces demandes.
    • Bien entendu, de longues et difficiles palabres allaient avoir lieu à Bruxelles jusqu’aux petites heures du matin.
    • Bien entendu, vers 6 ou 7 heures du matin, avant les nouvelles radio, nos héros allaient sortir épuisés de leur nuit de travail en agitant un chiffon de papier expliquant qu’ils étaient arrivés à un accord qui allait garantir la paix à notre temps (Fine allusion à Chamberlain et à Munich).

    Et à la suite de cet accord complètement inattendu monsieur Cameron peut donc recommander en son âme et conscience à chaque citoyen Britannique de voter pour le maintien de la Grande-Bretagne dans les structures Européennes.

    C’est vraiment prendre les électeurs Britanniques pour des tanches.D’abord, les institutions Européennes n’ont JAMAIS respecté les souverainetés nationales puisqu’elles ont été créées pour les détruire. On se souvient du referendum sur la Constitution Européenne que la France et la Hollande ont rejeté pour se les voir imposer par un traité quelque temps après.

    On se souvient aussi des Irlandais qui avaient voté non à l’Euro et qui furent invités à voter à nouveau jusqu’à ce qu’ils  acceptent l’Euro de guerre lasse, pour s’entendre dire ensuite qu’ils ne pourraient jamais plus en sortir.On se souvient du vote des Grecs, immédiatement trahis par Tsipras dont on se demande combien il a touché pour trahir ses électeurs aussi rapidement.

    Comme l’a dit fort clairement le ministre des finances Allemand « il n’y a pas de sortie démocratique des institutions européennes». On ne saurait être plus clair : c’est ce que disait Brejnev aux Tchèques ou aux Polonais en 1968, en mettant en avant sa théorie de la « souveraineté limitée ».

    Et donc nous allons avoir un referendum le 23 Juin sur le maintien ou non de la Grande Bretagne en Europe. Et malgré le soutien du Premier Ministre Britannique, il est loin, très loin d’être gagné.

    Voici pourquoi.

    Le peuple Anglais en général et les Conservateurs en particulier sont extraordinairement attachés à la notion de démocratie qu’après tout, ils ont inventé au cours des siècles, depuis la  magna carta imposée à Jean sans Terre en passant par la glorieuse révolution de 1689 et jusqu’à la prise de contrôle par l’assemblée élue (les Communes) sur l’assemblée héréditaire (la Chambre des Lords) au XIX eme siècle.

    Or l’Europe d’aujourd’hui n’a rien de démocratique. Il n’y a pas de séparation des pouvoirs puisque la Commission détient à la fois le Pouvoir législatif et exécutif alors qu’elle n’est élue par personne, n’étant composée que de politiciens de seconde zone ayant été battu aux élections dans leurs propres pays.

    Le parlement Européen n’est pas maitre de son ordre du jour qui lui est imposé par la Commission et ne sert strictement à rien si ce n’est à entretenir grassement une multitude de médiocres que personne ne connait.

    Quand à la cour Européenne de justice, il s’agit d’une parodie de Cour suprême peuplée de juristes dont un grand nombre avaient fait les grands jours des tribunaux communistes à l’époque où les pays qui les ont désigné à ces importantes fonctions étaient communistes. Confier le maintien de nos Libertés à  ces gens là, c’est confier la clé de sa cave à un sommelier alcoolique.

    Et donc le choix pour le peuple Anglais va être extraordinairement simple : il ne s’agira pas de voter pour ou contre l’Europe, mais de voter pour ou contre la Démocratie, qui comme chacun le sait ne peut s’exercer dans chaque pays qu’en s’appuyant sur la Souveraineté Nationale exprimée au travers d’élections libres.

    Dans le fond, il va falloir choisir entre Churchill et de Gaulle d’un coté et Jean Monnet et Draghi de l’autre. Car il va falloir choisir entre la Démocratie, dont on sait qu’elle est le pire de tous les régimes à   l’exclusion de tous les autres et la technocratie qui nous a amené dans cette espèce d’URSS molle dont tous les pays Européens crèvent.

    La question va être donc: voulez-vous être gouvernés par des gens que vous n’avez pas élu, qui ne sont pas responsables devant vous, que vous ne pouvez pas virer en cas d’incompétence crasse ou de corruption patente ou voulez-vous être gouvernés par des gens que vous connaissez, que vous pouvez virer à intervalle régulier et qui vous représentent ?

    Voulez-vous être jugés selon votre Droit (Common Law) qui a évolué lentement au travers des siècles en fonction de l’évolution de votre société ou voulez vous être jugés en fonction de codes sortis tout armé de la cervelle de politiciens fous comme en France  (voir notre code du travail ou notre code fiscal par exemple)?

    Que l’on ne s’y trompe pas : si la prééminence du Droit Européen sur le Droit Britannique n’est pas annulée, les autorités européennes reprendront le contrôle de la Grande Bretagne inéluctablement quelques soient les « garanties » que monsieur Cameron auraient pu obtenir. Ces garanties ne valent pas le prix du chiffon de papier sur lesquelles elles ont été écrites.

    Et le débat pour ce referendum va traverser les deux partis de gouvernement de part en part.

    Chez les Conservateurs, au pouvoir actuellement, la grande question va être la liberté de vote pour le référendum, d’abord pour ceux qui sont à l’intérieur du gouvernement. Si Cameron demande la « loyauté » des membres de son gouvernement, on devrait avoir des démissions en chaine qui pourraient mettre en question son poste de premier ministre.  Qui plus est, il est hors de question qu’il puisse imposer sa volonté à ceux que l’on appelle les  back benchers , c’est-à-dire les députés de base qui ne sont en rien dépendants de lui pour leur réélection. Et cela d’autant plus que si le non venait à l’emporter, à mon avis, monsieur Cameron, désavoué, devrait démissionner pour être remplacé par un nouveau premier ministre, qui pourrait être soit Osborne, l’actuel ministre des finances, soit un personnage très original qui rappelle quelque peu Churchill, Boris Johnson, l’ancien maire de Londres qui vient de recommander de voter  le Brexit.

    Chez les Travaillistes, le leader actuel du parti est un gauchiste invétéré, très à la gauche de Mélenchon chez nous et qui semble avoir peu de sympathies pour la camarilla atlantico-corrompue qui gère l’Europe depuis quarante ans, tandis que le petit peuple Anglais qui voit ce qui se passe à Calais, en Allemagne ou en Suède se dit que Nigel Farage n’a peut être eu qu’un tort, c’est d’avoir eu raison avant les autres, ce qui est plutôt considéré comme une qualité outre Manche…

    Du coté du « oui » que trouve t’on ?

    Intellectuellement, pas grand-chose si ce n’est les milieux dits « d’affaires » , c’est-à-dire les gens qui ne doivent leurs survies qu’aux contacts qu’ils ont su établir avec les structures de pouvoir Bruxelloises et ici je pense aux avocats d’affaires, aux auditeurs , aux comptables , aux lobbyistes, aux fiscalistes, en gros tous ceux qui ne créent rien mais rendent le travail des autres plus difficile.  Ces groupes essaient de faire naitre chez le peuple Anglais la PEUR, en leur expliquant que si le vote non l’emportait, leur niveau de vie baisserait sèchement. Ces gens là, fort bien représentés par le Financial Times, de façon générale, étaient tous partisans de l’Euro et avaient utilisé les mêmes arguments pour essayer de forcer la Grande-Bretagne  à rejoindre la monnaie commune. Par exemple, la City allait voir son influence s’écrouler puisque la Grande Bretagne n’étant pas dans l’Euro, le marché de l’Euro irait automatiquement s’installer à Francfort ou à Paris, ce qui serait très dommageable pour les institutions financières Britanniques. On sait ce qu’il en advint… ou encore que les autres pays Européens allaient devenir protectionnistes contre les produits Anglais, tout en passant sous silence le fait que la Grande Bretagne a un déficit extérieur monstrueux avec les autres pays d’Europe. Devenir protectionniste pour l’Allemagne ou la France, cela voudrait dire ne plus vendre de BMW ou de Peugeot. On voit qui y perdrait… Jamais n’est mentionné le fait que la Suisse ne bénéficie pas des conseils éclairés de messieurs Juncker or Draghi et qu’elle s’en porte plutôt bien.  En fait, ces gens la représentent ceux qui se précipitent à Davos chaque année et correspondraient chez nous à  messieurs Attali, Duhamel, Minc ou Bernard Henri-Levy dont chacun reconnait la remarquable capacité à ne faire que des erreurs et à se tromper tout le temps.

    Et que peut faire l’Europe « Institutionnelle » ?

    Son seul moyen d’action pendant la crise Grecque a été de menacer de façon fort peu subtile la Grèce de cesser de financer le gouvernement local, ce qui permit à la population de comprendre que la Souveraineté Grecque avait été vendue pour un plat de lentilles par des politiciens à la fois corrompus et incompétents. La Grande Bretagne ayant sa propre monnaie, voila quelque chose qui n’aura pas lieu. Oh certes, «ils» vont essayer de faire baisser la Livre Sterling et les marchés financiers locaux avant le vote, pour instiller la peur, mais cela me donnera une merveilleuse occasion d’achat…

    Conclusion

    Mon militaire de père disait que la Grande-Bretagne perdait la majorité des batailles mais gagnait toutes les guerres.  Car les seules guerres qui vaillent la peine sont celles qui sont menées au nom de la Liberté. Une fois de plus, et fidèle à sa mission historique, la Grande Bretagne va défendre la Liberté contre la Tyrannie… Plutôt mourir qu’être esclave, même si l’esclavage est présenté au début comme étant doux. Etre libre disait Jean Paul II, c’est de pouvoir et de vouloir faire ce que l’on doit faire. En Europe, nous ne sommes plus libres et depuis longtemps.

    Une fois la Grande Bretagne redevenue libre, chacun verra que l’empereur est nu, la nouvelle Union Soviétique s’écroulera comme la précédente, et ce sera une bonne, une très bonne nouvelle.

    Le vote Anglais est donc la chose la plus importante pour l’Europe depuis le Traité de Rome en 1956.

    Comme le disait Churchill, sans lequel nous parlerions Allemand ou Russe, j’attends de chaque Anglais qu’il fasse son devoir.Go England, Go !

    Sauf quand la France joue contre l’Angleterre au Rugby, bien sur.Il y a des limites à tout.

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  • Regardez bien la photo, elle en dit long sur ces personnes !! 

    Evidemment, pas beaucoup d'arguments devant cette situation.............

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    Soutenir la nouvelle culture venue pour nous enrichir ? Pas si sûr !!! 

    Une femme, pieds nus, porte les 3 enfants, et 

     les 7 jeunes hommes marchent les mains dans les poches (chaussures aux pieds), 

     pas un d'entre eux pour aider cette femme,

     Pourquoi devrions-nous les aider ? Eux, qui n'aident pas, leur propre femme ...... 

    Est-ce ça la culture qui vient nous enrichir ?

    JE NE CROIS PAS .......    Chacun sa conclusion

    Patriote64

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  • http://resistancerepublicaine.eu/2016/02/21/scandale-au-ministere-de-marisol-touraine-demission-dun-haut-fonctionnaire-qui-vide-son-sac/

    Scandale au Ministère de Marisol Touraine, démission d’un haut-fonctionnaire qui vide son sac

    21 Fév 2016Manipulations médiatiques, République et laïcité


    Scandale au Ministère de Marisol Touraine, démission d’un haut-fonctionnaire  qui vide son sac

     

    Le témoignage de Thomas Dietrich est essentiel, il montre exactement comment cela se passe dans les Ministères, comment on fait semblant d’installer des organismes indépendants pour évaluer, conseiller… et  les mettre au placard quand ils disent le contraire de ce que veut le ministre ou le gouvernement…

    Thomas Dietrich évoque notamment le scandale des vaccins, je vous renvoie à la courageuse campagne du docteur Joyeux qui dénonce  le scandale des vaccins dangereux imposés à nos enfants pour des raisons de rentabilité accrue des laboratoires, sans doute.

    La fracassante démission d’un haut cadre du ministère de la Santé

    Daniel Rosenweg | 20 Févr. 2016, 21h35 | MAJ : 20 Févr. 2016, 22h00

    Un haut cadre de la santé publique a décidé de démissionner. Il dénonce des dysfonctionnements au sein du ministère de la Santé. LP/C.L

    « Permettez-moi, Monsieur le directeur général, l’ultime honneur de ne pas vous saluer » ! Ce propos peu commun conclut une lettre de démission pour le moins explosive, datée de vendredi et signée « Thomas Dietrich, ex-responsable du secrétariat général de la Conférence nationale de santé, de mars 2015 à février 2016 ».

    Adressée au Directeur général de la Santé, Benoît Vallet, son supérieur hiérarchique, cette courte missive s’accompagne surtout d’une « contribution » destinée à l’Inspection générale des affaires sociales, dans laquelle ce diplômé de Sciences Po et romancier* n’y va pas de main morte. Ce document de 28 pages que nous avons pu consulter est un véritable brûlot contre le ministère de la Santé. Ce dernier ne porterait en fait que très peu d’intérêt à ce que pense le public sur des grands sujets de santé comme la vaccination, la fin de vie ou encore l’e-santé. Selon Thomas Dietrich, « ladémocratie dans le domaine de la santé n’est qu’une vaste mascarade montée par les politiques».

    Des pressions sur des sujets sensibles

    Il sait de quoi il parle puisque durant un an, il a dirigé le secrétariat général de la Conférence nationale de santé. Créé par une loi de 2004, cet organisme (à ne pas confondre avec la Grande conférence de santé qui s’est tenue jeudi dernier), est constitué de 120 membres, représentants l’ensemble du paysage de la santé : usagers, professionnels du soin, élus, chercheurs, assureurs, laboratoires… Sa mission est simple : rendre des avis indépendants pour éclairer, notamment les parlementaires et le ministère.

    Cette instance est assujettie à la Direction générale de la Santé, elle-même dépendant de la ministre, Marisol Touraine. Or, selon Dietrich, le ministère ne supporterait pas certaines prises de positions. Son avis sur la « Loi fin de vie », qui n’allait pas assez loin, fut le début de l’entrée en disgrâce de la CNA. Le coup de grâce vint lorsque sa présidente, Bernadette Devictor, afficha sa volonté de piloter un débat national sur la vaccination.

    Des pressions commencèrent alors à s’exercer. Lors d’une réunion avec Benoit Vallet, rapporte Thomas Dietrich, « il fut exigé que je fasse relire les avis ou contributions de la CNA par le cabinet de la ministre ». Une première. Plus tard, le fonctionnaire fut convoqué par sa hiérarchie qui s’opposait à la diffusion d’une lettre d’information de la CNS. « La volonté affichée d’organiser un grand débat sur la vaccination avait effrayé », écrit le démissionnaire.

    Finalement, la ministre demandera un rapport sur la vaccination à une députée socialiste, Sandrine Hurel, et lancé un débat national dont l’organisation a été confiée au Pr Alain Fisher, « membre éminent du comité de campagne de Martine Aubry, lors des primaires de 2011 », rappelle encore l’auteur.

    Une importante baisse de budget 

    Pendant ce temps, la source financière de la CNA s’est tarie. La part servant à indemniser ses membres bénévoles est tombée de 80000€ en 2012 à 59600€ en 2015. La part servant à organiser les débats publics est tombée de 141000€ à 96000€. De même, les promesses du Directeur général de la Santé de renforcer les rares effectifs n’ont finalement pas été tenues.

    Une évolution qui n’a rien d’économique, si l’on en croit Thomas Dietrich, car le ministère a pu trouver 400 000€ pour financer une nouvelle structure, « l’institut pour la démocratie en Santé », dont la secrétaire générale était jusque-là conseillère de Marisol Touraine. « Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte ».

    Interrogé samedi, Thomas Dietrich « assume » sa lettre. « Je démissionne parce que je n’ai rien à perdre, je suis libre. Je sais que je risque des sanctions en tant que fonctionnaire, mais je ne pouvais pas continuer comme ça ».

    *Thomas Dietrich vient de publier chez Albin-Michel « Les enfants de Toumaï

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  • http://fr.irefeurope.org/La-ruine-des-departements,a3658

    La ruine des départements :
    Un élément de plus dans la crise de l’État providence

    Le débat ouvert par le département du Haut-Rhin, à propos du RSA et d’une contrepartie demandée aux bénéficiaires, n’est que la partie visible d’un iceberg, celui de la quasi-faillite des départements : mais, ici comme ailleurs, c’est « l’Etat providence » qui est en faillite ; que l’Etat ait décentralisé une partie de ses dépenses sociales ne change rien à cette réalité. Nos départements, comme toutes les collectivités, souffrent d’un excès de dépenses, d’une décentralisation illusoire et du millefeuille territorial français.

    La fausse autonomie des collectivités territoriales

     

    On savait les départements en grande difficulté financière, une dizaine d’entre eux étant déjà asphyxiés. Le vote du conseil départemental du Haut-Rhin, demandant aux bénéficiaires du RSA une « contrepartie », sous forme de 7 heures de bénévolat, a attiré l’attention sur l’explosion des dépenses sociales. Mais Marisol Touraine, ministre des affaires sociales, a été claire : le gouvernement affirme que l’assemblée départementale « n’avait pas le droit de conditionner le RSA à l’exercice du bénévolat ou de telle activité ».

     

    Cela en dit long sur l’autonomie des collectivités locales, alors que l’article 72 de la Constitution stipule leur libre administration, il est vrai « dans les conditions prévues par la loi » ! Quelle autonomie, puisque les départements reçoivent une part de leur financement du budget de l’Etat, via la dotation globale de fonctionnement ? Quelle autonomie, puisque la péréquation enlève toute réalité à l’autonomie fiscale ? Quelle autonomie, puisque l’Etat impose aux départements la prise en charge d’une part des dépenses sociales, dont le RSA, tout en se réservant le monopole de la décision en la matière : il est plus facile d’être généreux avec l’argent des autres et l’Etat peut augmenter le RSA : ce sont les départements qui en paient une part croissante.

     

    Les effectifs de la fonction publique territoriale explosent

     

    La question de la contrepartie du RSA n’est qu’un signal d’alarme ; conditionner ce versement à une activité bénévole visait à décourager la fraude. Mais qu’est-ce qu’un bénévolat obligatoire ? Et qui pourrait bénéficier de ce vrai-faux bénévolat ? Des associations, des collectivités locales et des établissements publics. Donc des organismes publics, qui hurleraient au scandale si une entreprise pouvait embaucher quelqu’un à ce tarif-là, payé en outre par le contribuable ! Comme pour beaucoup de mesures « sociales », destinées à masquer le chômage, on créée de faux emplois publics ou parapublics. La réalité, c’est que le coût du travail est excessif pour les non-qualifiés (effet pervers du SMIC), créant du chômage, et la meilleure réponse serait de diminuer ce coût, permettant aux entreprises de créer de vrais emplois.

     

    Au-delà du RSA, les départements, comme l’ensemble des collectivités territoriales, sont en difficultés financières. Mais, au lieu de réagir en réduisant les dépenses, ces collectivités réclament des recettes nouvelles. Certes, l’Etat est hypocrite en transférant une part de ses dépenses sociales sur les collectivités, mais les collectivités ne font guère d’efforts pour réduire leurs dépenses. L’IREF a d’ailleurs souvent démontré que les dépenses des collectivités locales augmentaient plus vite en France qu’à l’étranger. Si l’emploi public a explosé ces dernières années, cela est dû avant tout aux collectivités territoriales ; elles représentent désormais 35% des effectifs de l’ensemble de la fonction publique, contre 21% à la fonction publique hospitalière et 44% à la fonction publique d’Etat. Depuis un demi-siècle les effectifs territoriaux ont été multipliés par trois !

     

    Le socialisme local est lui aussi en cause

     

    Non seulement les dépenses de fonctionnement représentent 80% des dépenses départementales, mais encore la moitié est constituée par les seules dépenses sociales. Leurs difficultés financières ne sont donc qu’un élément de la crise des Etats-Providence ; l’ensemble de toutes ces dépenses, locales et nationales, fait de la France le champion des dépenses publiques et des prélèvements obligatoires. En prétendant rendre des « services publics », qui auraient pu être assurés par le secteur privé, les collectivités locales ont une part de responsabilité : le socialisme local ne vaut pas mieux que son exercice au niveau national.

     

    Le millefeuille administratif français est source de dépenses : l’IREF a montré que la France était suradministrée. Aux communes, départements, régions, on a ajouté des échelons intermédiaires. On peut s’interroger notamment, comme la commission Attali en 2008, sur l’opportunité de conserver l’échelon départemental, créé en 1789/90 par l’Assemblée constituante sur des critères dépassés, comme le fait qu’aucune commune d’un département ne soit éloignée de plus d’une journée de cheval du chef-lieu ! Quand la commission européenne nous a encore mis en garde début février contre le maintien de nos déficits publics à un niveau trop élevé, elle a mis en cause l’absence de véritables réformes structurelles : il est évident qu’à côté de l’Etat, les collectivités locales sont elles aussi concernées.

    par , le 15 février 2016

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