• http://www.dreuz.info/2012/09/professeure-giflee-puis-frappee-au-ventre-par-la-maman-dun-eleve-musulman/

    Professeure giflée puis frappée au ventre par la maman d’un élève musulman

    Une enseignante de Poitiers a été frappée par la mère d’un élève musulman en plein cours.

    « Elle a pris son élan et elle m’a donné un gros coup de pied dans le ventre. »

    Hier, vers 10h, en plein cours de 4e, la professeur d’histoire-géo du collège Jules-Verne de Buxerolles, près de Poitiers, a été tabassée par une musulmane, mère d’un élève.

    L’enseignante avait osé mettre un mot dans le cahier de correspondance de l’élève à propos de devoir non faits et l’oubli de livres et cahiers de classe.

    La mère de famille folle de rage qu’un face de craie se soit permise un tel manque de respect envers un musulman a déboulé dans l’établissement, et est entrée dans la classe comme une furie. Elle a immédiatement injurié la prof en lui demandant des comptes au sujet de l’appréciation portée sur le cahier.

    A la place de la signature demandée sous le mot, la mère avait écrit un flot d’insultes.

    « Elle m’a alors giflée, violemment »

    Elle a commencé à m’agresser tout de suite, en me disant que je n’avais pas du bien comprendre ce qu’elle m’avait écrit dans le carnet. Dans ce carnet elle me mettait des insanités, me traitait de raciste, de menteuse et me disait qu’il fallait que j’arrête de faire chier son fils », a raconté la professeur au micro d’Europe 1.

    « Elle s’est approchée de moi, à deux centimètres de mon visage. Elle a commencé à attraper mes lunettes, mes cheveux. Elle m’a dit : ‘je t’ordonne de foutre la paix à mon fils’. Je lui ai répondu qu’elle n’avait pas d’ordre à me donner, se souvient l’enseignante. Comme elle avait attrapé mes lunettes, je l’ai repoussée, instinctivement. Elle m’a alors giflée, violemment. J’ai fait mettre de la distance entre elle et moi. C’est là qu’elle m’a donné un coup de pied. »

    Les policiers ont procédé à l’interpellation de la femme, mais lors de sa garde à vue, celle-ci a frappé deux policiers, l’un d’une gifle et l’autre d’un coup de pied, selon le parquet de Poitiers qui a ordonné la prolongation de sa garde à vue.

    L’enseignante a été conduite à l’hôpital et elle souffre de maux de tête, et de douleurs aux cervicales et au ventre.

    Dans un communiqué, le ministre de l’Education Vincent Peillon a estimé mercredi soir que « de tels comportements inqualifiables n’ont pas leur place dans l’enceinte de l’école de la République et demande que la plus grande fermeté soit appliquée à l’encontre de leurs auteurs ».

    La « gravité de ces actes » a conduit le ministre « à porter ces faits à la connaissance du procureur de la République, en application de l’article 40 du code de procédure pénale ».

    Je suis bien curieux de savoir quelle peine sera condamnée à cette femme animée par une haine des blancs qui ne va qu’en grandissant.

    Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
    © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

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  • http://www.culturalgangbang.com/2012/09/la-pluralite-de-linformation-cest.html

     pluralité de l'information c'est important


     Hier soir j'apprenais à la radio que les zamis de BHL venaient de décapsuler le représentant de Coca-Cola en Lybie, accessoirement ambassadeur des États-Unis. En bon citoyen responsable je courrais sur le site de Libération.fr pour avoir plus d'informations et je tombais nez à nez avec une Une sur la couverture en direct, s'il vous plait, de la conférence de presse tenue par un marchand américain de téléphone mobile s’apprêtant à dévoiler son nouveau joujou. 
    Pas une publicité, c'était bien l'info primordiale du moment que la rédaction du grand quotidien de gauche français estimait la plus importante à apporter à ses lecteurs. Étonnant de voir le journal qui quelque jour plus tôt faisait une leçon de patriotisme économique à un grand patron français candidat à l'exil fiscal, offrir gratuitement la une de son site internet à une firme extra-européenne régulièrement pointée du doigt pour les conditions de travail dans ses usines délocalisées ou pour l’emprunte écologique catastrophique de ses produits vendus très cher à tout un tas de cons qui n'en ont pas spécialement l'utilité.
     
    J'étais un peu narquois quand j'entendais le flash infos de 20h sur RTL s'ouvrir à son tour sur cette information à haute teneur qualitative : la firme de Cupertino tenait en ce moment même une conférence de presse, Whaou !  C'est alors que j'ai eu la mauvais idée de faire le tour des sites d'information français et même de quelques voisins pour en arriver à la triste évidence que Machin et son Bidule 5 avaient colonisé la totalité des Une des pages d'accueil de la presse francophone (toute sauf 1), quotidiens, gratuits, payants, hebdos, tout le monde à l'unisson, culotte baissée devant le référent ultime de l'économie de l'obsolescence programmée. 
     
    Etat des lieux de la presse francophone en 11 captures d'écran de leur page d'accueil prises entre 19h10 et 21h mercredi 12 septembre 2012 (un peu après pour 20 Minutes)  :
     
     
    Du côté des gratuits on joint l'utile à l'agréable en assurant une synergie entre la rédaction et le service com :
     
     
    Les hebdos ne pouvaient pas non plus passer à côté d'une information aussi brulante :
     
     
     
     
    Pas la peine de s'exiler, nos voisins sont aussi contaminés :
     
     
    Pour trouver enfin une Une non occupée par le nouveau bidet high tech, il faut se tourner vers le journal La Croix. Mais non visible sur la capture d'écran, le sujet est tout de même traité en 4ème position.
    Finalement, le seul de la dizaine de médias que nous avons consultés à se trouver complètement vierge de publi-reportage à la gloire de la pénible marque de Steve Jobs reste l'Huma, qui préfère titrer sur la fête annuelle de la merguez qui aura lieu ce week-end. Bravo à eux.
     
    Nous avons malheureusement oublié nos excellents confrères de Rue 89 et du Nouvel Obs qu'ils nous en excusent.
    Le constat sera qu'il ne reste vraiment pas beaucoup de quotidiens nationaux en France mais que c'est encore beaucoup trop.
    Nous rappellerons que pour arriver à cette homogénéité, le gouvernement français vient de déverser 60 millions d'euros au cours des 3 dernières années sur les médias institutionnels pour assurer leur développement sur la toile et pour être bien sûr qu'ils fassent là où on leur dit de faire. Le résultat semble dépasser les espérances les plus folles. La somme peut paraitre coquette mais n'est rien comparée aux 300 millions d'aides directes octroyées à la presse en 2011 et 271  millions engloutis en 2012. C'est le prix à payer pour assurer, comment ils appelent ça déjà ? L'indépendance et... Ah oui ! La pluralité de l'information.
     
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  • http://www.islamisation.fr/archive/2012/09/13/etats-unis-le-mauvais-genie-se-retourne-contre-son-createur.html

    Etats-Unis/Islamisme: le mauvais génie se retourne contre son parrain

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    Les Etats-Unis soutiennent les mouvements islamistes de par le monde depuis 60 ans. De mémoire :

    -1945 : traité d'alliance historique entre l'Arabie Séoudite et les Etats-Unis pour l'exploitation pétrolifère sur l'USS Quincy.

    - Années 60: Soutien aux Frères Musulmans face aux régimes liés à l'URSS.

    - 1979 : soutien à la révolution islamique iranienne

    - Années 80: soutien aux islamistes Afghans contre l'URSS (le danger communiste était certes la priorité à abattre).

    - 1995: Soutien total (argent, formation, armes) aux islamistes bosniaques contre l'intégrité territoriale Serbe. Bombardement de Belgrade (cibles civiles, hôpitaux, ponts). 500.000 chômeurs suite aux bombardements.

    - 1999: Soutien total aux islamo-terroristes de l'UCK au Kosovo-Métochie (argent, armes, formation). 200 000 Serbes épurés de la provience Serbe.

    - 2003: Intense campagne pour l'entrée de la Turquie en Europe par les diplomates américains, malgré la nature islamiste de l'AKP.

    - 2008: Reconnaissance de l'état-mafieux du Kosovo, malgré les progroms anti-serbes et les accusations de trafic d'organes pesant sur les dirigeants actuels.

    - 2009 : Discours du Caire de Obama à l'Université islamique d'Al-Azhar, affirmant que l'islam a permis la Renaissance européenne et louant l'état colonialiste et islamiste d'Al-Andalus.

    - 2010: Soutien aux Frères Musulmans dans les révolutions arabes. Tunisie, Egypte.

    - 2011: Soutien aux Salafistes en Syrie (argent, formation, forces spéciales)

    - 2011: Condamnation de la loi interdisant le port de la burqa en France, après avoir condamné l'interdiction du port du voile à l'école.

    - 2012: Absence de condamnation de la dictature wahhabitte de Barhein qui massacre les Chiites.

    Comme vient de l'écrire l'africaniste Bernard Lugan quant à l'assassinat du Consul en Lybie: "le moins qu'on puisse dire, c'est que ses anciens protégés sont bien ingrats envers lui"

    Observatoire de l'islamisation

     
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  • http://www.christianophobie.fr/opinion/le-ministre-manuel-valls-et-le-deux-poids-deux-mesures

    Le ministre Manuel Valls et le “deux poids deux mesures”

    Certaines choses peuvent être tues ; d'autres non…

    Vendredi dernier 7 septembre, un inconnu a uriné dans les deux grands bénitiers de l’église Notre-Dame la Grande de Poitiers (rien dans la presse, un signalement sur le Forum Catholique). Silence de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur (et des cultes…). L’église de Cormery (Indre-et-Loire) saccagée et profanée au milieu de la semaine dernière (signalement dans La Nouvelle République qui évoque des faits similaires survenus à Corçay de manière presque concomitante, et des « actes très similaires » survenus en Loir-et-Cher « ces derniers mois ». Silence de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur. L’église Saint-Benoît de Lageon (Deux-Sèvres) saccagée cette semaine (le Courrier de l’Ouest signale le fait dès le 11 septembre dans sa version en ligne). Silence de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur. 70 tombes chrétiennes profanées cette semaine à Cahors (FR3 Midi-Pyrénées en fait un sujet). Silence de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur… J’en passe… Les portes de la mosquée de Limoges sont souillées d’excréments dans la nuit du 11 au 12 septembre. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, indigné dénonce véhémentement dans un communiqué « cet acte [qui] porte gravement atteinte à la dignité des musulmans et choque l’ensemble des citoyens attachés aux valeurs de respect et de tolérance », ajoutant que « s’attaquer à une religion, c’est s’attaquer à la République ». Cherchez l’erreur…

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  • Si un Chrétien tabassait un musulman, on parlerait de "crime raciste" et si en plus il a sa carte au Front National ce ne serait qu'un facho raciste et xénophobe qui ne fait qu'exprimer son intolérance aux autres!

    Lorsqu'un musulman frappe, tue, menace, maltraite ou insulte un chrétien, aux yeux des médias français complices de ces débordements et des politiques du système complaisant dans un but unique électoraliste, ils appellent ça un "INCIDENT"!

    Ce système est écouerant et extrêmement dangereux, il faut absolument que les français de bonnes foi reprennent les rennes du notre pays en votant enfin intelligement pour le seul parti qui défend nos intérêts, ceux de notre nation !

    Patriote64

    http://www.dreuz.info/2012/09/france-professeur-tabasse-par-un-eleve-musulman/

    Professeur tabassé par un élève musulman

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    Michel Garroté – Rédacteur en chef – Le quotidien français Sud-Ouest informe (extraits adaptés ; cf. lien en bas de page) : « Appelée par l’établissement, la police est intervenue au lycée Trégey à Bordeaux suite à un incident (Note de Michel Garroté – « incident » est ici un euphémisme) survenu entre un professeur et un élève de 18 ans qui s’est conclu par des violences (Note de Michel Garroté – Incident ?  Si un Juif ou un Chrétien tabassait un musulman, on parlerait de « crime raciste »…). Le cours abordait la religion musulmane. Très vite dans la discussion, le professeur et un de ses élèves ont été en désaccord. Au point que le ton est monté et que le lycéen s’est énervé, renversant violemment une table.

    La salle de classe a été évacuée par l’enseignant qui en a référé au personnel de la vie scolaire. Convoqué dans le bureau du conseiller principal d’éducation, l’élève s’est visiblement (Note de Michel Garroté – inutile d’écrire « visiblement » puisque l’élève a tabassé son professeur) énervé de nouveau quand il a appris que ses parents avaient été avertis de l’incident. Il a alors passé son humeur sur le mobilier et les murs, menaçant de tout casser puis, croisant son professeur dans le couloir, s’est jeté sur lui.

    D’abord bousculé, l’enseignant a reçu des claques de la part de son élève, un coup-de-poing et un coup de tête (Note de Michel Garroté – Nous y voilà enfin : un élève musulman tabasse son professeur). Une jeune surveillante qui tentait de s’interposer et de ramener le jeune à la raison a quant à elle reçu un coup dans l’épaule et a évité un panneau d’affichage lancé dans sa direction par l’élève furieux. Interpellé, le jeune a été placé en garde à vue. Il est convoqué devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour violences sur personnes chargées d’une mission de service public », conclut le quotidien français Sud-Ouest (fin des extraits adaptés ; cf. ci-dessous lien vers source).

    Pour ce qui me concerne – cela sera ma conclusion – l’élève musulman qui tabasse son professeur est un élément parmi d’autres. Et la totalité de ces éléments forme un ensemble. Je m’explique. Primo, le printemps arabe soutenu par l’occident se transforme en hiver islamique qui se retourne contre ce même occident.

    Secundo, Mohamed Merah assassine des Français, notamment des Juifs Français, y compris des enfants juifs français. Tertio, Mohamed Merah est considéré comme un héro, par les miliciens djihadistes, et, par ceux d’entre les musulmans, qui se considèrent comme des islamistes, dans le sillage de l’hiver islamique, et cela, en Syrie, en Libye, en Egypte et en France notamment.

    Quarto, au prétexte fallacieux d’un film osant critiquer la religion musulmane, un diplomate occidental se fait massacrer en Libye et nos médias allèguent que cela serait la faute aux occidentaux qui seraient islamophobes. Quinto, un élève musulman tabasse son professeur, car il y est encouragé par les actions criminelles de Mohamed Merah et par la belligérance des miliciens djihadistes de l’hiver islamique. Tous ces éléments sanglants forment un ensemble, celui du djihadisme islamiste.

    L’accusation hallucinante « d’islamophobie » que les médias occidentaux portent contre les citoyens de pays libres et démocratiques, cette accusation mensongère est d’autant plus hypocrite et abjecte, que ces mêmes médias, sont – systématiquement – christianophobes, israélophobes et américanophobes, autrement dit racistes et intolérants.

    Ces médias occidentaux (je ne vise pas Sud-Ouest mais les médias nationaux et internationaux ainsi que l’audiovisuel) soumis à l’islam sont, en 2012, ni plus ni moins, l’équivalent de ce que furent les collaborateurs à l’époque nationale-socialiste ; et l’équivalent de ce que furent les communistes européens à l’époque de l’impérialisme soviétique.

    Les miliciens djihadistes en sont parfaitement conscients. Et ils interprètent cette soumission des médias occidentaux à l’islam, comme un encouragement à poser des bombes, à assassiner des diplomates occidentaux, à assassiner des enfants juifs et à tabasser de professeurs français.

    Pendant ce temps, en France, le patron de LVMH et la compagne du président livrent des procès aux médias ; qui eux, se passionnent pour l’adoption d’enfants, par des couples lesbiennes et gays mariés civilement. Alors que le pays est – économiquement parlant – au bord du gouffre. Là, il ne s’agit plus d’éléments formant un ensemble. Là, il ne s’agit plus que d’impostures répétées. Et de chaos empirique.

    -

    Reproduction autorisée

    Avec mention www.dreuz.info

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  • http://www.dreuz.info/2012/09/jean-philippe-harlem-bling-bling-desir-nomme-pdg-de-ps-a-caviar/

    Jean Philippe Harlem Bling Bling Désir nommé PDG de PS A Caviar

    Michel Garroté – Je lis avec amusement dans ‘Le Figaro’ (extraits adaptés ; lien en bas de page) : « Condamné pour emploi fictif, le futur patron du Parti socialiste fait face aux critiques de l’opposition (Note de Michel Garroté – L’opposition qui est bien placée pour donner des leçons). Celle-ci rappelle la promesse de Hollande de ne pas s’entourer de personnes ayant eu des démêlés avec la justice. Le Parti socialiste s’est-il tiré une balle dans le pied en plaçant Harlem Désir à sa tête ? Alors que François Hollande avait assuré pendant sa campagne qu’il ne s’entourerait pas de personnes condamnées par la justice, le choix fait par l’actuelle patronne du PS, Martine Aubry et par le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, peut paraître surprenant. Le parcours de l’eurodéputé comporte en effet un volet judiciaire. Soupçonné d’avoir bénéficié d’un emploi fictif, alors qu’il dirigeait SOS Racisme, il a été condamné à dix-huit mois de prison avec sursis et 30.000 francs d’amende (4.573 euros). Il était accusé d’avoir perçu illégalement au cours de cette période 202.560 francs (30.880 euros) de salaires, de l’Association régionale pour la formation et l’éducation des migrants (Arfem), basée à Lille (ci-dessous, liens vers Le Figaro et vers mon article du 10 septembre sur le même sujet).

    Michel Garroté

    Rédacteur en chef

     

    http://www.lefigaro.fr/politique/2012/09/12/01002-20120912ARTFIG00447-la-condamnation-de-desir-une-epine-dans-le-pied-du-ps.php

    La condamnation de Désir, une épine dans le pied du PS

     

    Harlem Désir à La Rochelle lors des universités d'été du PS le 24 août dernier.
    Harlem Désir à La Rochelle lors des universités d'été du PS le 24 août dernier.

      

    •  Condamné en 1998 pour emploi fictif, le futur patron du Parti socialiste fait face aux critiques de l'opposition. Celle-ci rappelle la promesse de Hollande de ne pas s'entourer de personnes ayant eu des démêlés avec la justice.

      Le Parti socialiste s'est-il tiré une balle dans le pied en plaçant Harlem Désir à sa tête? Alors que François Hollande avait assuré pendant sa campagne qu'il ne s'entourerait pas de personnes condamnées par la justice, le choix fait par l'actuelle patronne du PS, Martine Aubry, et par le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, peut paraître surprenant. Le parcours de l'eurodéputé comporte en effet un volet judiciaire, dont l'opposition a déjà fait son angle d'attaque.

      Soupçonné d'avoir bénéficié d'un emploi fictif de 1986 à 1987, alors qu'il dirigeait SOS Racisme, il a été condamné dix ans plus tard, en décembre 1998, à dix-huit mois de prison avec sursis et 30.000 francs d'amende (4.573 euros). Il était accusé d'avoir perçu illégalement au cours de cette période 202.560 francs (30.880 euros) de salaires, de l'Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants (Arfem), basée à Lille.

      Acculé par les critiques de la droite, Harlem Désir s'est expliqué mardi sur ses démêlés avec la justice. «On ne découvre rien me concernant. Ces condamnations concernent des faits, il y a 25 ans, quand j'étais jeune militant. La justice a tranché et je n'ai pas de commentaire à faire», a-t-il déclaré, tout en reconnaissant «une erreur». «Mais jamais ma probité n'a été mise en cause. Il n'y a pas eu d'enrichissement personnel», a ajouté l'actuel numéro deux du PS, concédant toutefois que cet épisode judiciaire l'avait amené à s'interroger sur sa candidature.

      Le PS, «parti de la morale»

      Une mise au point qui n'a pas calmé l'opposition. «Comment le PS, parti démocratique, peut-il porter à sa tête un homme condamné pour de tels faits? François Hollande avait pris l'engagement de ne pas s'entourer de personnes jugées et condamnées. Qu'il demande à sa famille politique de revenir à la raison», a réagi mercredi le député UMP de la Haute-Loire Laurent Wauquiez. Son collègue des Alpes-Maritimes, Lionnel Luca, connu pour ses nombreux dérapages, s'est quant à lui fendu d'un tweet acerbe: «18 mois de prison avec sursis et 30.000 francs d'amende pour “recel d'abus de confiance”, c'est le CV du nouveau patron du PS, le parti de la morale.»

    •   Lionnel Luca 2012

       

      Encore à l'UMP, l'élu du Nord Gérald Darmanin a estimé qu'«après le congrès de Reims, où de graves soupçons de fraudes sont venus ternir sa légitimité de première secrétaire, Martine Aubry vient, dans la pure tradition des républiques socialistes, de désigner Harlem Désir, condamné par la justice en 1998, comme son successeur».

      Du côté du Front national, la réprobation aussi est unanime. «Ses condamnations pour emplois fictifs rappellent la haute morale républicaine de SOS Racisme, association vivant de subventions publiques et pourtant souvent mise en cause pour sa gestion», a tancé la députée du Vaucluse, Marion Maréchal-Le Pen. Le vice-président du parti Louis Aliot a pour sa part fait d'une pierre deux coups en critiquant Harlem Désir, mais aussi son rival malheureux, le député de Paris Jean-Christophe Cambadélis. «Les deux candidats potentiels étaient tous des ex-repris de justice et ex-membres fondateurs de SOS racisme», a-t-il souligné.

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  • http://www.dreuz.info/2012/09/leglise-de-cormery-et-la-mosquee-de-limoges-ont-ete-profanees-manuel-valls-condamne-la-profanation-de-la-mosquee-pour-leglise-pas-un-mot/

    L’église de Cormery et la mosquée de Limoges ont été profanées. Manuel Valls condamne la profanation de la mosquée. Pour l’église, pas un mot.

    Les portes de la mosquée de Limoges ont été profanées avec des excréments dans la nuit de mardi à mercredi 12 septembre, a annoncé Manuel Valls.

    « Manuel Valls condamne avec la plus grande fermeté la nouvelle profanation de la mosquée de Limoges, dont les portes, la nuit dernière, ont été souillées par des excréments. Cet acte porte gravement atteinte à la dignité des musulmans et choque l’ensemble des citoyens attachés aux valeurs de respect et de tolérance », selon le communiqué de la place Beauvau.

    « Manuel Valls assure les communautés musulmanes de Limoges et de France de son entier soutien. Il réaffirme enfin sa détermination, ainsi que celle des services de police en charge des investigations, à identifier le ou les auteurs de ces agissements intolérables, afin de les déférer à la justice », a-t-il ajouté.

    Eglise de Cormery vandalisée

     La semaine précédente, l’église de Cormery a elle aussi été profanée, volée et vandalisée. « La porte de la sacristie était ouverte, explique un paroissien. La porte du tabernacle avait été arrachée, tout était saccagé à l’intérieur. Dans la sacristie, tout était sens dessus dessous ». Le ciboire, les hosties et différents objets ont été volés dans le tabernacle.

    « C’est un sacrilège pour nous, précise le curé. Le tabernacle, c’est le lieu où se trouve le corps du Christ. C’est très grave pour tous les paroissiens. La communauté est attristée, choquée qu’on puisse s’en prendre ainsi au Christ », poursuit le père Meunier, (qui ne doit pas beaucoup suivre ce qui se passe en Egypte, en Algérie ou à Bethlehem pour les Chrétiens).

    Manuel n’a pas condamné. Il n’a pas considéré que la dignité des catholiques a été gravement atteinte. Il n’a pas assuré les communautés catholiques de son entier soutien, et il n’a pas affirmé sa détermination à identifier les auteurs. Il n’a pas non plus jugé ces agissements intolérables. En fait il n’a rien dit du tout. Pas un mot. Les catholiques, il s’en fout comme de ma première chemise, le ministre Manuel Valls.

    Je suis bien triste que les Français, ce peuple que je croyais grande gueule, soient anesthésiés au point de supporter ces humiliantes injustices sans réagir, et qu’ils acceptent passivement la destruction de leur culture et de leurs racines, au nom d’un multiculturalisme qui ne leur attire que des emmerdes.

    Certes les minorités doivent être protégées. Mais aujourd’hui, la minorité religieuse pratiquante, ce sont les catholiques. Les Français de souche méritent-ils ce mépris Mr le ministre ? Ils payent votre salaire. Vous êtes à leur service autant qu’à celui des communautés récentes, et votre attitude discriminatoire est moralement injustifiable. France terre d’accueil ne veut pas dire terre catin. Les Français de souche ont payé et payent de leurs impôts pour accueillir ces minorités d’immigrés. Ils ouvrent leurs bras et leurs offrent ce qu’ils ont construit depuis des siècles. Vous vous grandiriez en vous élevant au dessus de leur indifférence, en vous posant en garant de leur identité qu’ils laissent filer. A moins que vous cherchiez à la détruire ?

    Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
    © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

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  • http://www.wikistrike.com/article-hollande-president-illegitime-d-un-pays-qui-collabore-a-la-pedocriminalite-110013508.html

    Hollande, président illégitime d'un pays qui collabore à la pédocriminalité

    79082032_p.jpg Aujourd'hui, nous allons voir de plus près à quoi ressemble l'élection du président de la République française. Nos dirigeants nous disent que nous sommes dans un "Etat de droit", et ne cessent d'inventer de nouvelles lois, de nouveaux règlements, décrets, arrêtés... Et pourtant, le fait est que l'un des piliers de cet Etat de droit, l'élection du président de la République par le peuple, est complètement vermoulu.

     

    De fait, les irrégularités sont légion. Celui qui, par idéalisme, par folie ou pour d'autres raisons, veut se présenter devant les citoyens et être candidat à l'élection, se voit opposer une résistance totale de la part des "institutions", depuis la préfecture jusqu'au Conseil constitutionnel, en passant par divers ministères, le CSA et d'autres encore.

    Il s'agit d'un vériable chemin de croix, et les lois ne sont même pas respectées. Si bien que finalement, seuls des candidats cooptés par les partis politiques peuvent prétendre demander les 500 signatures. Le document que je vous propose est la plainte de Fabienne Amyot, dont on a déjà parlé ici, auprès du BIDDH (Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme), émanation de l'OSCE (Organization for Security and Co-operation in Europe). 

    Fabienne Amyot est cette femme qui recherche ses enfants, nés de viols par un ami de sa famille, politicien influent, et placés dans des familles "amies" également, sans que rien ne soit légal dans tout le processus. Fabienne Amyot a choisi comme stratégie d'alerter les instances nationales et internationales au sujet de ce qu'elle qualifie, elle qui a vécu les pires barbaries, de "massacre" des enfants par des groupes pédocriminels. Quand on lui répond, ce qui est rare, c'est pour l'envoyer voir ailleurs, mais où? Ca, on ne le lui dit jamais.

    Eh bien il lui est arrivé la même chose quand elle a voulu se présenter à notre chère "présidentielle", histoire d'agir pour que les choses changent, au moins à ce niveau là. Pour que le "massacre" cesse. Mais bien sûr, on ne l'a pas laissée faire. 

    Le document complet de 48 pages est téléchargeable ici:RECOURS_BIDDH_comm_1

     

    Et ici, quelques extraits pour tenter de comprendre l'illégalité totale de cette élection, et par conséquent l'illégitimité de celui qui occupe ce poste aujourd'hui. 

     

    Fabienne Amyot demande l'intervention des chefs d'Etat européens pour:

    - Coup d’Etat
    - Haute Trahison
    - Livraison de la France à des organisations ultra criminelles
    - Dévoiement général des institutions pour le crime
    - Crimes massifs sur les enfants et sacrifices humains
    - Extermination des victimes et des témoins par les institutions

    "Je demande à l’OSCE de s’enquérir des moyens mis en oeuvre par l’ONU pour contraindre la CPI à procéder à une élection légale, prévue au Statut de Rome".

    "La Constitution elle-même ne prévoit pas les programmes des partis politiques, et les interdit puisqu’en son article 27, elle stipule : « tout mandat impératif est nul »".

    "Or, j’ai été privée de tous les moyens octroyés par la loi pour me présenter, y compris par violation de ma vie privée et ma déclaration de candidature a été écartée d’office de la liste des candidats, bien que légale".

    "Dans le processus électoral qui vient d’être mise en oeuvre, en pratique, les institutions et les candidats imposteurs ont éradiqué le suffrage universel direct, instaurant un suffrage indirect drastique, avec des moyens manifestement occultes réservés à eux seuls pour parvenir à être inscrit sur la liste électorale, géré par des acolytes. Ils ont ainsi réduit l’ensemble des citoyens en état d’inéligibilité par un coup de force, ont privatisé l’ensemble des moyens institutionnels"

     

    En tant que candidate, j’ai constaté et j’ai été confrontée aux faits que :
    Ce processus électoral du Président de la République , fondé sur la loi de 1962, a donné lieu à des centaines de lois, décrets, textes, modifiant tous les articles de cette loi de 1962, la vidant de sa substance, sans que son cadre extérieur ne soit modifié
    Ces modifications n’ont pas toutes été suivies de décrets d’application ne donnant pas les moyens de se conformer à la loi, ni de rendre concret le processus électoral
    Certains décrets déterminent des droits pour les citoyens dans le processus de l’élection mais ne sont pas appliqués et la privation de droits est infligée sans scrupule
    De nombreuses lois, non écrites (constituées de notifications telles que « modifiées », « supprimées », …) sont utilisées comme références légales à des modes de procédures, de ce fait, totalement vides de doctrine

    La hiérarchie des normes juridiques n’est aucunement respectée et est inversée quasiment systématiquement
    La doctrine de la Constitution est éradiquée par des mises en oeuvre totalement inverses
    Des décrets modifiés, qui sont parus au journal officiel, ne sont pas appliqués mais la forme antérieure aux modifications est appliquée.
    - La corrélation entre les lois et les décrets est inexistante

    Les institutions ont mis en oeuvre un processus interne d’élection dont les modalités sont tenues secrètes et sont réservées aux candidats dont la liste est arrêtée par un mode également secret, plusieurs mois avant l’élection
    - Aucune institution n’est un interlocuteur, toute se renvoyant la responsabilité des entraves et / ou carences
    L’élection présidentielle n’a aucune autorité de recours à sa tête pour déposer un recourseffectif avec des responsables devant les citoyens d’une corruption de l’élection
    - Elles imposent certains modes procéduraux caducs sans aucun cadre de référence légale
    - Les droits prévus dans les décrets sont réservés à quelques personnes
    - Les moyens de l’élection prévus dans les décrets ne sont pas établis
    Les modes de mise en oeuvre des étapes ne sont pas formulés et accessibles à tous. Il n’existe aucun mode légal d’application, donc sont maintenus occultes. Ils ne sont divulgués qu’à quelques candidats et mis en oeuvre rien que pour eux 
    - Les critères d’accès à ces moyens occultes pourtant décrétés publics et obligatoires pour l’élection, sont de nature discriminatoire, subjectifs, et établissent une catégorisation radicale des personnes selon qu’elles sont jugées suivant des critères de : crédibilité, présidentiabilité, honorabilité et appartenance à l’honorariat…

    Ces critères subjectifs ont fait l’objet de « recommandations » auxquelles il a été donné une valeur juridique qui se substitue à toutes les garanties de la Constitution, légalisant un véritable code de corruption et intronisant une dictature dont la doctrine est écrite, qui relève de la pire barbarie.

     

    Fabienne Amyot insiste ensuite sur le fait que la Constitution, qui est au sommet des normes françaises, précise que le président doit être élu au suffrage universel. Pourtant, elle explique qu'en réalité nous sommes face à un "processus électoral à trois niveaux institutionnels dont les deux premiers sont occultes". Les citoyens ne participent qu'au troisième tour de scrutin.

    En outre, les candidats doivent (article 3 du décret 2006-1244 du 11 octobre 2006) se déclarer d'abord en préfecture. Mais, la préfecture a tout fait pour lui refuser ce devoir. Et les candidats des partis politiques, eux, ne sont pas déclarés en préfecture.

     

    Sur l'invention du "Répertoire National des Elus et Candidats" (RNEC)

    Ce truc est une merveille: il s'agit comme son nom l'indique d'un répertoire, créé en 2001, qui doit recenser les élus et candidats aux élections, ainsi que leurs fonctions, mais aussi leurs "nuances politiques", ce qui est illégal mais ne dérange pas la CNIL.

    Il a notamment pour but de centraliser les résultats des différents scrutins, mais aussi de faire appliquer la lois sur les cumuls, sur le "financement de la vie politique" et d'autres lois du genre. 

    Etrangement, "aucun citoyen n'a pu en prendre connaissance", précise Fabienne Amyot, à part les élus et candidats. Bizarrement, le Conseil constitutionnel a décrété que pour être candidat, il faut être dans le répertoire. Et pour être dans le répertoire, il faut être dans un "parti" ou un "groupement politique". C'est donc le serpent qui se mord la queue. Alors qu'à l'origine, l'élection du président, en France, est un scrutin "direct", on est donc face à un premier mode de désignation: "l'appatenance à un parti" ou à un "groupement politique", reconnu, donc. Mais, par qui? Les partis?

    Le mieux, précise Fabienne Amyot, c'est qu' il n'existe "aucune directive légale spécifiant comment un candidat peut être inscrit  dans ce Répertoire". 

    Pas ce chance, si on n'est pas dans ledit répertoire, on ne peut pas demander les parrainages, c'est-à-dire les fameuses 500 signatures, qui constituent un deuxième mode de désignation, un deuxième scrutin. Accessoirement, il semble qu'aucun texte "ne prévoit le mode d'application de la loi sur le parrainage", donc encore une fois toutes les magouilles sont possibles.

    Pourquoi ne laisse-t-on pas les gens décider eux-mêmes, pourquoi opérer une telle "présélection"? Pourquoi faut-il à ce point verrouiller l'élection présidentielle, la dernière qui parvient à limiter le nombre d'abstentionnistes, malgré un dégout certain des citoyens pour la manière dont on gère la chose publique au "pays-des-droits-de-l'homme" ??? 

    Fabienne Amyot tenta en vain d'accéder à ce répertoitre. Mais, explique-elle, "les services de la Préfecture me renvoyaient de service en service, me disaient ne pas savoir quel service est compétent, puis me disaient que le Répertoire ne pouvait pas être communiqué au motif qu’il était modifié en permanence à cause des changements permanents de mandat des 46 000 élus ou des décès".

    Enfin, le répertoire, dit-on, n'est pas accessible car il change tout le temps.Autrement dit: il n'est pas à jour.


    Pourtant, il existe des lois, genre "pays-des-droits-de-l'homme", comme la loi du 6 novembre 1962, titre IV, qui dit que " Tous les candidats bénéficient de la part de l’Etat des mêmes facilités pour la campagne en vue de l’élection présidentielle".

     

    Sur l'invention du "Mémento du candidat à l'élection présidentielle 2012".

    Ce truc aussi est une sacrée invention. Les lois qui sont censées encadrer cette élection du président sont au mieux floues mais vaguement appliquées, au pire complètement ignorées, au profits de règles sorties d'ont ne sait où. 

    Dans une brusque illumination, des types se sont dit qu'il faudrait mettre ça au clair, dans un mémento compréhensible. De fait, la littérature en la matière est des plus vastes.

    Ledit mémento reprend donc moult "textes, coutumes ou méthodes" qui "sont extraites de toutes sortes de textes de lois, certaines n'étant pas même destinées à l'élection présidentielle", rappelle notre téméraire candidate.

    Le mémento ne mentionne pas certaines lois et règles en vigueur, et fait référence à des lois parfois inconnues des autres textes sur l'élection présidentielle. Certains textes se contredisent, ou contredisent la constitution. Qui décidément, ne sert plus que de breloque à l'Etat de droit fascisant dans lequel nous vivons.

     

    Sur la technique du "parrainage": les fameuses "500 signatures"

    "Le système de parrainage est basé sur une liste d’élus habilités et ayant mandat pour parrainer les candidats. Le décret N°2001-777 détermine la liste des élus habilités, la liste des candidats acceptés comme ayant droit à solliciter les parrainages, et la constitution d’un Répertoire National des Elus et des Candidats où figure les informations sur ces élus « parrainant » (article 3) dont leur appartenance politique , leurs distinctions honorifiques, le nombre de suffrages qu’ils ont obtenus,…et jusqu’à leur « nuance politique »".

    Et bien sûr, on l'a dit, aucun texte ne précise le mode de "dépôt de candidature" pour figurer sur cette liste de candidats (le répertoire) permettant d’être reconnu comme candidat pouvant être parrainé.

    Bon, on ne va pas s'étaler sur ces parrainages, mais il s'agit bien sur d'une trahison flagrante du principe de scrutin direct.

     

    Face à des murs

    Fabienne Amyot tente alors de signaler les irrégularités, voir de porter plainte. Mais auprès de qui? A chaque fois qu'elle contacte l'autorité responsable (conseil constitutionnel, conseil d'État, ministères, Commission nationale de contrôle, on lui répond qu'on n'est pas compétent.

    Exemple: L’article 58 de la Constitution dit que "le Conseil Constitutionnel veille à la régularité de l’élection du Président de la République. Il examine les réclamations et proclame les résultats du scrutin". Oui, mais si vous cherchez à vous plaindre pour n'avoir pas pu accéder au fameux répertoire (RNEC), qui est pourtant la première condition pour demander les 500 signatures, vous vous voyez répondre par la vénérable institution qu'elle n'est pas compétente  et réduire le problème à "un litige opposant un citoyen à un service administratif".

    Soit. Qui est donc l'autorité compétente? Cela reste un mystère.

    Pour tenter de se faire connaitre quand même, Fabienne tente d'accéder à la télévision. Avec cela, pense-t-elle, elle pourra au moins s'exprimer et être entendue par quelques uns de ceux qui peuvent lui donner ses signatures.

    Evidemment, on le lui refuse. Fabienne Amyot explique: "Il m’a été répondu d’une manière très méprisante et volontairement condescendante, que n’étant pas connue et étant jugée par le CSA « non présidentiable », le CSA n’acceptait pas de me laisser m’exprimer et m’interdisait tout passage à la télévision et qu’il ne serait accordé aucun temps d’antenne pour ma candidature.
    Le 14 mars 2012 (Pièce N°12) le CSA m’a envoyé un courrier où, d’une part il est écrit que les candidats bénéficient selon la loi d’un temps d’accès équitable à l’antenne mais qui restreint la nature et la qualité de «
    candidat » aux personnes avec « représentativité assurée » et démontrant « suffisamment d’intérêt » ; les responsables du CSA, s’octroyant la dignité de trier les personnes « intéressantes » et les personnes « dénuées d’intérêt » donc éliminables et dont les droits n’existent pas, sans autre forme de procès".

    Et pourquoi la "représentativité" de Fabienne Amyot n'est-elle pas "évaluable"? Tout simplement parce qu'elle se présente pour la première fois, alors forcément on ne la connait pas. Pour le CSA, dont il faut déjà avoir été candidat et être représentatif, et espérer accéder à l'antenne. Pourtant, nous on pensait que c'était le peuple qui décidait qui était représentatif, et via un scrutin direct, en plus.

    Les règles du CSA, évidemment, sont aussi obscures que tous les autres règlements au sujet de cette élection.

    Apparemment "des médiateurs de presse ont dénoncé les « règles » imposées par le CSA comme inapplicables, instaurant l’inéquité et ont posé la question : "Que vaut une règle si elle n’est pas compréhensible et applicable par tous ?"

    De son côté, la Commission Nationale de Contrôle, également sollicitée par Fabienne Amyot, lui a répondu par écrit que "le principe d’égalité de traitement dans les medias audiovisuels, n’a pas à être respecté strictement entre toutes les personnes qui se déclarent candidates, avant l’établissement de la liste des candidats" !

    Evidemment, il ne fut pas simple d'ouvrir son compte de campagne. Il fallut une grande patience et une volonté de fer pour surmonter les sarcasmes des fonctionnaires de la banque de France, et des employés des banques qui refusaient d'ouvrir ce fameux compte, pourtant indispensable avant de tenter d'être candidature à la candidature de la candidature à la présidence de la République, et cela dans les 48 heures.

    Notre alpiniste de cette montagne d'aberrations bureaucratiques explique: "En sus de ces entraves, toutes les banques ont refusé d’ouvrir mon compte de campagne alors que j’ai fait les démarches début mars avec ma mandataire, déclarée en préfecture. Je me suis rendue à la Banque de France à Paris à deux reprises qui a refusé l’ouverture de mon compte de campagne et même de m’établir un document prouvant que je demandais cette ouverture". Cela, après moult refus de moult banques, et parce que la Banque de France est censée assurer cette ouverture de compte en dernier ressort.

    De son côté, le Conseil d'Etat refuse d'être saisi des requêtes en annulation en suspension effectuées par Fabienne Amyot pour faire annuler la liste des candidats du 19 mars 2012.

    Et d'un coup, elle reçoit deux ordonnances en provenance du conseil d'Etats, datées du même jour. Elle explique:

    "j’ai reçu deux ordonnances en date du 21 avril 2012 N°358669. L’une est signée de Mr Mathias GUYOMAR, l’autre n’est pas signée, sauf par la secrétaire, Mme Guinot Béatrice (Pièce N°29).
    Je note que les modes de procédure prévues aux Contentieux en Conseil d’Etat, y compris pour les référés, n’est pas respectée, que Mr Mattias Guyomar ne fait pas partie des fonctionnaires du Contentieux du Conseil d’Etat, et qu’il ne pouvait pas rendre l’ordonnance.
    La décision N°358669, rendue par Mr Mattias GUYOMAR, envoyée par le Conseil d’Etat est un faux.
    C’est un faux en écriture publique".

     

    Autres problèmes


    Parallèlement, Fabienne Amyot a eu quelques mauvaises surprises durant cette campagne, qui relève de la campagne de Russie davantage que de la campagne électorale.

    "J’ai constaté aussi une violation de ma correspondance électronique et de mes boites mail, avec même apparition dans mes mails de manière flagrante des noms des personnes qui violaient mes correspondances et qui signaient leur intrusion pour me le faire connaitre et m’intimider.
    Mes emails étaient déroutés vers un centre « Lagardère active ».
    J’ai fait toutes les copies d’écran et j’ai les preuves".

    "Or ceux qui ont piraté mon courrier électronique ont bloqué mes envois et de manière ostensible car je me suis rendue compte après la date de dépôt des parrainages, que tous mes mails avaient été dévoyés dans une boite mail de stockage. Je ne m’en suis aperçue qu’après la date de dépôt des parrainages fixée au 16 mars. Aucun maire n’a reçu mes sollicitations de parrainage.
    Ce sont des agissements honteux et qui relèvent du pire terrorisme possible puisque les responsables n’ont 
    même pas le courage de se présenter en personne et de revendiquer leurs actes".

    "Je me suis rendue au commissariat de police le 17 mars 2012 pour déposer plainte avec la copie de tous les mails où la violation des correspondances apparait sans ambigüité, avec les noms des personnes qui modifient mes mails. La policière a refusé de prendre ma plainte en me disant que ces faits sont normaux mais, comme j’ai insisté, elle a toute de même consenti à rédiger une main courante.
    Ces violences permanentes et extrêmes, auxquelles se sont ajoutés de multiples situations de vols grotesques, de litiges inconcevables et extrêmement violents qui surgissaient dans tous les actes de ma vie privée, par violation de mes droits, par menaces, chantages, que je ne peux pas décrire ici tellement ils sont nombreux, méritent qu’on s’y penche sérieusement"

     

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    Fabienne poursuit: "ce sont les partis politiques qui se sont appropriés l’ensemble des institutions pour s’approprier le processus électoral et empêcher toute initiative des citoyens, écarter toute candidature par tous moyens possibles, la fin justifiant les moyens".

    On se souvient déjà que Sarkoléon avait pris une ou deux plaintes pour ne s'être pas présenté sous son vrai nom mais cela n'avait pas dérangé le Conseil constitutionnel.

    Si on ajoute à cela l'introduction, en plus, des machines à voter, dont les résultats sont très faciles à falsifier, on se demande réellement à quoi il sert encore de participer à ce cirque "démocratique". A quoi rime une telle usurpation?"

    Fabienne Amyot, elle, à demande à l'ONU (après avoir sollicité la Cour Pénale Internationale) "à disposer d’un groupe d’élites pour me rendre dans tous les endroits où ces crimes contre l’humanité sont commis, pour les faire cesser, pour arrêter les criminels, et permettre aux victimes d’obtenir des soins. Il s’agit de crimes contre l’humanité commis durant des décennies avec l’aide des institutions françaises et avec leur flagrante collaboration. Il s’agit de crimes d’agression et de crimes de guerre puisque commis contre des civils, des enfants, par les moyens institutionnels, au coeur du système judiciaire, par dévoiement flagrant et extrême de celui-ci".

    Et puis ce serait bien aussi, qu'on établisse ce tribunal international demandé par Juan Miguel Petit, rapport de l'ONU sur l'exploitation sexuelle des enfants, après une mission de trois jours en France. Un tribunal destiné à juger enfin de manière impartiale tous ces crimes commis sur les enfants par ces réseaux pédocriminels-qui-n'existent-pas.

    "Je le demande parce que les criminels qui m’ont volée mes enfants nés au coeur de l’humanicide, appartiennent aux groupes d’honorariat de ceux qui viennent de prendre le pouvoir de force en France", écrit-elle.

    "Les meurtres rituels d’enfants, les viols rituels, la privatisation des institutions judiciaires pour l’instrumentalisation et l’asservissement des rares survivants ou de leurs proches, constitue au minimum un enrôlement d’enfants de moins de 15 ans, crime qui constitue le plafond d’action de la CPI.
    Les grossesses forcées imposées aux adolescentes violées, les vols de leurs enfants, leur disparition, meurtres, tortures, sont une des pires traites d’êtres humains". 

    "La France ayant champ libre, de nouveaux modes d’arrachement des enfants sont en cours, avec le même mode anarchique et dictatorial mis en oeuvre que dans l’élection".

    "Les multiples tentatives citoyennes de demandes d’aide émanant de partout en France sont entravées par tous moyens, tellement les criminels ont champ libre, disposent de tous les moyens institutionnels et tellement les faits impactent irrémédiablement les consciences et ont été menés au paroxysme".

    "De nombreux citoyens informés, témoins, victimes, s’activent pour mettre en cause les criminels et faire connaitre l’humanicide, produire les preuves, demander la justice.
    La plupart des survivants se font massacrer par tribunal interposé, de manière flagrante, ou par privation de soins médicaux, ou disparaissent sans laisser de traces. Les survivants doivent donc en plus s’occuper des survivants plus fragiles, sans moyen, et avec les institutions utilisées comme des kalachnikovs contre eux.
    J’ai ainsi été informée quelques mois avant l’élection présidentielle, que tous les candidats à l’élection présidentielle, les chaines de télévision, les journaux avaient été rendus destinataires de 750 DVD, démontrant les preuves de multiples viols d’enfants, de témoignage de sacrifices humains, de témoignage de privation de soins des victimes et de harcèlement institutionnel en lieu et place de l’arrestation des criminels et de la justice.
    Or, malgré les faits, les preuves, aucun candidat, aucun media, n’a parlé, n’a rempli sa mission, n’a voulu briser l’omerta. Dès lors, ils sont complices puisqu’informés".

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