• Même si je ne suis pas fan de Charlie Hebdo ce magazine satirique est en train de démontrer la couardise de nos instances politique face à une religion vindicatrice, étouffante et ne voulant pas faire le ménage chez elle, ainsi que la pseudo démocratie et droit à l'expression qui navigue dans notre pays la France! Pour ceux qui ne savent pas ce qu'est un journal satirique qu'ils s'en réfèrent à la définition.

    Bravo à eux!

    Patriote64 

      

      

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  • http://www.nationspresse.info/?p=187166

    Près de 40 % des Français souhaitent que les idées de Marine Le Pen soient prises en compte par Hollande

    Avec un François Hollande en chute libre dans l’opinion publique enregistrant -15 points depuis son élection, LCP a commandé un sondage à Louis Harris Interactive afin de savoir si les Français jugeaient que Sarkozy aurait fait mieux.

    La réponse est cinglante : 44 % estiment que l’ancien président aurait fait moins bien que le chef de l’État actuel et 30 % pensent que sa politique n’aurait été ni meilleure ni moins bonne.

    Autre point intéressant de ce sondage c’est le score que réalise Marine Le Pen quant aux idées émises durant la dernière campagne présidentielle. 39 % des sondés par l’institut pensent que les propositions de la candidate nationale devraient être plus prises en compte par le gouvernement de François Hollande.

    Avec une UMP totalement divisée par la guerre des chefs, Marine Le Pen est désormais la seule personnalité politique à proposer une force d’opposition en ordre de bataille.

    Le 17 septembre, la présidente du Front National a expliqué au micro de RTL face à Jean-Michel Aphatie, que son parti avait enregistré de manière historique un afflux d’adhésions durant le mois d’août, ce qui est inhabituel après deux élections majeures comme la présidentielle et les législatives.

    Télécharger le sondage sur le site de Louis Harris

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  • Le gouvernement Ayrault veut etouffer nos retraités qui sont déjà pour la plupart à bout de souffle, incapables de pouvoir s'offrir une maison de retraite convenable sans endetter leur descendance. Les socialistes veulent taxer la CSG de +1% supplémentaire pour les revenus débutant à 11 000 euros par an, ce qui représente 915 euros mensuel. Ensuite c'est la suppréssion de l'abbattement de 10% pour la déclaration d'impôt sans compter la redevance télé et la taxe d'habitation, le tout pour renflouer les caisses de la Sécurité Sociale prétextant qu'ils en sont les fossoyeurs!

    Je reste persuadé que l'immigration massive, la gratuité des soins et des opérations médicales pour les étrangers, la CMU souvent pour les mêmes, la fraude, la mauvaise gestion électoraliste des gouvernements succéssifs de droite et de gauche sont à l'origine du mal, mais la gauche préfère stigmatiser nos anciens, nos parents, nos retraités au lieu de regarder la vérité en face et de la dénnoncer, de la combattre efficacement.

    Mais pour cela il faut ce qu'ils n'ont pas, le courage politique!

    Patriote64

    http://www.lecri.fr/2012/09/18/pas-de-%c2%ab-tabou-%c2%bb-sur-la-fiscalite-des-retraites-admet-bercy/35899

    Pas de « tabou » sur la fiscalité des retraites admet Bercy

    Miège_retraites

    Hausse de la CSG pour les  retraites de plus de 11.000 euros annuels  et réduction de l’abattement de 10 %  sont au programme des modélisations sur lesquelles planche actuellement le ministère des Finances.

    Lorsque la Cour des comptes suggère à l’Etat de réduire son train de vie elle n’est pas écoutée, mais quand elle préconise d’augmenter les prélèvements, Bercy lui prête immédiatement une oreille attentive.

    Interviewé dans le cadre du «Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI», Pierre Moscovi, ministre des Finances, a confirmé dimanche que la contribution des retraités à l’effort de redressement budgétaire n’est pas « taboue ».

    Des mesures pourraient être votées dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) qui sera voté à l’automne, après la loi de Finances, assurent certains observateurs.

    Retraités « aisés »

    La semaine dernière, l’instance de la rue Cambon présidée par le socialiste Didier Migaud (ancien député de l’Isère), a préconisé de récupérer 5 milliards sur les 12 milliards d’avantages fiscaux concédés aux retraités.

    La Cour propose notamment de supprimer l’abattement de 10 % pour frais professionnels imputable sur l’impôt sur le revenu. Cet avantage est plafonné à 3 660 euros par foyer fiscal. La Cour conseille également d‘aligner le taux de CSG à 6,6 % des retraités sur celui des actifs (7,5 %).

    Bercy qui s’est empressé de récupérer la balle au bond travaille déjà sur une modélisation. Le but est de pénaliser les retraités « aisés ». En effet, assure-t-on à Bercy, ils sont les premiers bénéficiaires de la ristourne sur les frais professionnels  puisque celle-ci est proportionnelle au montant des pensions.

    Justice sociale

    Pour sa part, le relèvement de la CSG à 7,5 % pourrait être présenté comme un outil de justice sociale. Pour le moment, la CSG ne frappe que les pensions supérieures à environ onze mille euros.

    32 %  des retraités en sont exonérés et 12% n’acquittent qu’un taux de CSG réduit à 3,8%. Les mieux lotis sont taxés à 6,6%, (0,9% de moins que les actifs). Le relèvement de la CSG toucherait donc au premier chef les retraités les plus aisés ou les moins pauvres, selon les sensibilités.

    Ces projets ont suscité une vive réaction des associations de défense des pensionnés.

    Comment ne pas les comprendre ? Selon l’Insee, les différentes réformes des retraites engagées depuis les années 90 entraîneront un recul du pouvoir d’achat des pensionnés de 40% d’ici à 2040.

     

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  • Au lieu de vouloir encore taxer et toujours taxer le peuple français, celui qui travaille et ceux qui ont déjà contribué à la grandeur de notre pays, les retraités, il serait plus intelligent de supprimer certaines de ces agences d'état qui ne servent qu'à remercier les amis, et qui, pour la plupart sont en doublons, cela reste des instituts de complaisance, sauf évidement quelques unes, mais pas 1244!

    Leur coût est faramineux et toutes ces agences ne sont pas utiles, bilan 1244 agences plus 2 qui vont être créer à la demande du gouvernement, 442 830 fonctionnaires, et 50 milliard de budget de fonctionnement, avec des salaire indécents pour les plus haut fonctionnaires pouvant atteindre 150 à 200 000 euros par an. Un véritable scandale!!!!!!

    Comme la charité ordonnée commence par soi même, la rigueur devrait aussi commencé par les plus hautes instances gouvernementales, le problème c'est que ces institutions sont le réservoir électoral de gauche, les donneurs de leçons sur la solidarité, le patriotisme, l'égalité......

    Patriote64

    http://www.lecri.fr/2012/09/17/linspection-generale-des-finances-tire-lalarme-sur-le-cout-faramineux-des-agences-detat/35858

    L’inspection générale des finances sonne l’alarme sur le coût faramineux des agences d’Etat

    cleiss cleiss Centre des Liaisons Européennes et Internationales de Sécurité Sociale

    Les agences d’Etat seraient au nombre de 1.244 et emploieraient 442.830 personnes, pour un budget de près de 50 milliards d’euros en 2012, selon un rapport de l’inspection générale des finances.

    Dans un rapport (en lien ci-dessous), rendu public ce lundi par Pierre Moscovici (Finances) et Jérôme  Cahuzac (Budget), l’inspection générale des finances (IGF) dénonce le sureffectif de centaines d’agences créées par l’Etat.

    Selon ce rapport, commandé sous le gouvernement Fillon, achevé en mars 2012 mais enterré à l’époque pour cause de présidentielle, ces officines de tailles variables coûtent, 50 milliards d’euros par an à l’Etat , le tout pour une efficience toute relative.

    Sur le fond, ce rapport critique d’abord le recours systématique de l’Etat à « des entités qu’il contrôle et qui exercent pour son compte des missions de service public non marchand, alors même qu’il n’existe pas d’analyse systématique de la pertinence du recours à ce mode de gestion ».

    Ces agences dont le monde de fonctionnement est parfois opaque, ont été créées au fil du temps, à la petite semaine. Elles sont aujourd’hui si nombreuses que l’Etat ne sait plus combien elles sont !

    Dans ce maquis, on trouve des agences  notamment Pôle emploi, Météo France, l’AMF,  le Centre des Liaisons Européennes et Internationales de Sécurité Sociale, l’Agence de développement de la culture kanak, etc. Aucun recensement n’a été effectué.

    Des effectifs pléthoriques

    Alors que François Hollande vient d’affirmer que l’Etat va réduire son train de vie et sa voilure administrative, l’IGF révèle que le nombre de fonctionnaires attachés à ses agences ne cesse pas d’enfler.

    Entre 2007 et 2012, il a augmenté de 6%. Les effectifs approchent désormais des 450.000 personnes. Toutes profitent de surcroît de budget en hausse chaque année et d’un salaire, en moyenne, plus élevé de 5% que dans le reste de la fonction publique.

    L’IGF s’interroge aussi sur la gestion financière de ces organismes, leurs dépenses ou encore les rémunérations des dirigeants.

    Dans son audit, l’IGF préconise notamment de prélever sans attendre 2 milliards d’euros dans les caisses de ces agences afin de renflouer le budget de l’Etat. Certaines d’entre elles bénéficient en effet de taxes affectées. Ainsi, le CNC perçoit-il directement celle prélevée sur la vente des places de cinéma, etc.

    Pour l’avenir, l’IGF préconise d’alourdir les contraintes pesant sur ces agences. Reste à savoir si le gouvernement Ayrault aura le courage de trancher dans le vif. C’est dans le projet de loi de finances 2013 qu’il faudra chercher les premières réponses.

    DL

    Le rapport « l’Etat et ses agences »

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  • http://www.francesoir.fr/actualite/politique/senat-une-cagnotte-13-milliard-d-euros%E2%80%A6-154978.html#liste-coms

    Sénat : Une cagnotte de 1,3 milliard d’euros…


    Le Sénat a accumulé une cagnotte de 1,3 milliard d’euros, en ne rendant jamais à l’Etat ses excédents budgétaires. En temps de crise, il serait urgent de rembourser cet argent du contribuable.

     

    Le Sénat est assis sur un véritable trésor de guerre
    Le Sénat est assis sur un véritable trésor de guerre SIPA

    1,310 milliard d’euros comme trésor de guerre, 1.310 millions d’euros qui dorment tranquillement dans la cagnotte du Sénat, alors que le gouvernement racle les fonds de tiroirs, à la recherche du moindre petit million pour réduire la dette colossale de la France. Cela ressemble à un scandale d’Etat, dont personne ne semble s’émouvoir. Pourtant, en un demi-siècle, les trois cents et quelque sénateurs et les mille deux cents fonctionnaires environ de cette Assemblée, censée être exemplaire, ont « confisqué » dans les faits l’argent du contribuable pour se constituer un très égoïste trésor de guerre.

     

    Comment est-ce possible ? L’origine de cette incroyable et très contestable cagnotte remonte à la Libération. En effet, pendant la guerre de 1939-1945, le régime de Vichy avait supprimé les dotations financières accordées chaque année à l’Assemblée nationale et au Sénat. Les deux Assemblées ont donc connu d’énormes difficultés de fonctionnement jusqu’à la Libération. En 1945, pour se mettre à l’abri de tels désagréments, les deux Assemblées ont décidé de se constituer, dorénavant, un trésor de guerre… totalement injustifié en temps de paix, dans une démocratie apaisée.

    Qu’importe : sénateurs de droite, du centre et de gauche ont décidé de ne plus reverser au Trésor public l’argent non dépensé de la dotation gouvernementale qu’ils reçoivent tous les ans. Sous la IIIe République, ces excédents étaient intégralement reversés à l’Etat. C’était la moindre des choses. Mais, après 1945, les parlementaires se sont accordé sans complexes le droit de garder et de gérer les excédents financiers de l’Assemblée nationale et du Sénat, sans avoir à subir le moindre contrôle d’une quelconque autorité administrative. 

    Une cagnotte qui grossit

    D’année en année, le Sénat a veillé à faire grossir sa « caisse noire », dans l’opacité la plus totale. En effet, le premier rapport public sur l’utilisation du budget du Sénat n’a été publié qu’en 2003. Depuis, tous les ans, ce rapport est vendu pour la modique somme de 3,5 €. Mais, c’est un labyrinthe de tableaux et de chiffres difficiles à décrypter, compréhensible aux seuls spécialistes, si bien que les médias s’y sont peu intéressés. 

    Pas de Cour des comptes au Sénat

    Même la Cour des comptes n’a pas pu fourrer son nez dans la comptabilité du Sénat. Cette institution est pourtant chargée de vérifier la bonne gestion de tous les budgets des ministères, des collectivités locales, du Parlement et même de l’Elysée. Tous se plient sans rechigner à cette règle constitutionnelle… tous sauf le Sénat, qui s’exempte lui-même de cette obligation sans être sanctionné ! Avec l’aide d’un expert-comptable spécialisé en comptabilité publique, France-Soir a donc décidé d’éplucher les 88 pages du rapport d’information du 18 mai 2011 de la « Commission spéciale chargée du contrôle des comptes et de l’évaluation interne sur les comptes du Sénat de l’exercice 2010 ». Et là, nous sommes tombés sur la discrète cagnotte du Sénat, à la page 75.

    Bien cachée

    C’est dans la rubrique comptable « immobilisations financières » que se cache cette cagnotte, valorisée au total à 1,310 milliard d’euros. Trois grands postes principaux y figurent. Primo, le portefeuille de titres du Sénat proprement dit. Il totalise la bagatelle de 119,8 millions d’euros en actions et obligations de toutes sortes. En clair, depuis des années, le Sénat joue (habilement) en Bourse. Secundo : les 152,8 millions d’euros de prêts (immobiliers pour la plupart) accordés à taux zéro aux sénateurs et au personnel de cette Assemblée par les deux très riches caisses de retraite du Sénat. Troisième poste : les placements financiers et leurs intérêts venant en couverture des engagements de retraite pour 1,026 milliard d’euros. Ces derniers se répartissent entre 499,5 millions d’euros pour la caisse de retraite des anciens sénateurs et 527 millions d’euros pour la caisse de retraite des ex-employés du Sénat.

    Deux caisses de retraites en or

    Dans les pages 27 et suivantes du rapport parlementaire, l’examen des comptes de ces deux caisses de retraite (qui fonctionnent par répartition et capitalisation) montre qu’elles n’ont nul besoin de se refinancer chaque année auprès de l’Etat. Démonstration avec l’année 2010 : le Sénat a versé à ses retraités 26,7 millions d’euros de pensions, tout en dégageant un excédent de 28,8 millions d’euros. Pour certains ancien dignitaires de la Haute Assemblée, ces pensions s’élèvent à près de 10.000 € mensuels…

    On peut se féliciter que cette caisse de retraite des sénateurs soit bien gérée, au point d’être assise sur un tas d’or, contrairement à beaucoup d’autres. Mais que cette même caisse continue, chaque année, à solliciter l’aide de l’Etat, comme si elle était en déficit, frôle l’indécence. Même constat pour la caisse de retraite du personnel du Sénat. 

    Remboursez !

    Un seul chiffre résume la florissante comptabilité du Sénat : en 2010, tous budgets confondus, cette Assemblée a dégagé un résultat en excédent de 3,275 millions d’euros sur le dos du contribuable, 3,275 millions inutiles, un trop-perçu qu’il serait juste de rembourser à l’Etat… qui se dit en situation de préfaillite, qui multiplie les plans d’austérité, imposés à tous les Français, qui fait la chasse aux niches fiscales et augmente la TVA.

    Rendre ce trésor de guerre aux Français semblerait logique. Dans son discours d’investiture, le 1er octobre dernier, le nouveau président du Sénat, le socialiste Jean-Pierre Bel, n’a pas écarté cette éventualité. Au-delà de la justice sociale, cela améliorerait l’image d’une institution pléthorique (348 sénateurs français, contre 100 aux Etats-Unis, 66 en Allemagne et 264 en Espagne), aux émoluments ou avantages élevés (les sénateurs touchent près de 15.000 € brut par mois, dont 6.000 en indemnité mensuelle forfaitaire pour frais).

    Jean-Pierre Bel a donc admis : « Nous devons changer l’image de notre Assemblée, souvent caricaturée certes, mais qui se doit aujourd’hui à plus de transparence, plus de modestie. Elle se doit d’aller vers une vraie rénovation démocratique, vers une autre façon de travailler […]. Nous devons en débattre ensemble, dans un cadre collectif. »

    Monsieur le président, pour « plus de transparence, plus de modestie » rendez à l’Etat la cagnotte de 1,310 milliard d’euros, puisque tous les ans vous touchez plus d’argent que vous n’en avez besoin. En 1992, le gouvernement de Pierre Bérégovoy avait déjà demandé à l’Assemblée nationale et au Sénat de restituer leurs deux cagnottes… afin – déjà ! – de diminuer le déficit budgétaire.

    L’Assemblée nationale avait accepté de rendre, en deux fois, 4 milliards de francs (environ 610 millions d’euros). Les divers présidents du Sénat, eux, se sont opposés à tout remboursement, permettant à leur cagnotte de grossir encore. La raison officielle de ce refus était toujours la même : gonflé d’intérêts, ce reliquat des sommes versées par l’Etat constituait une provision en prévision des retraites futures des sénateurs et du personnel de cette Assemblée. On l’a vu, faux argument. Alors, Messieurs les Sénateurs, remboursez ! Un milliard trois cent dix millions d’euros pour diminuer, tout de suite, notre dette sans douleur, qui dit mieux ?

    Les plus hauts salaires de la fonction publique

    Cette caisse noire ne sert pour l’instant presque à rien, sinon à immobiliser des excédents financiers dans un Sénat qui accorde déjà les plus hauts salaires mensuels brut de la fonction publique à son personnel. Un salaire minimum fixé à 3.000 € pour, notamment, les gardiens du Luxembourg, lingères et agents de nettoyage, 6.000 € pour les chauffeurs en début de carrière et jusqu’à près de 20.000 € pour les grands directeurs. Un même Sénat qui fait bénéficier les anciens sénateurs de retraites mensuelles brut canon : 4.400 € en moyenne, 6.600 € pour vingt-deux ans de cotisations et jusqu’à 10.000 € pour une quarantaine de sénateurs « dignitaires ». Cerise sur le gâteau : une indemnité mensuelle (« allocation de retour à l’emploi » payée par le Sénat) pouvant aller jusqu’à 5.542 € est versée à chaque sénateur battu aux élections et sans emploi… pendant trois ans.

    Yvan Stefanovitch
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  • En France comme en Suisse, c'est certain, mais en France il est interdit, car il y a une loi, de faire des relevés éthniques, c'est une façon de faire taire le peuple et surtout d'étouffer les vérités de certains politiques comme ceux du Front National, le système politique embourgeoisé et les propagandistes, (médias de gauche) veillent à ceux que rien ne filtre car ils en seraient tenu pour responsable !

    Patriote64

    http://www.defrancisation.com/violences-domestiques-en-suisse-63-des-auteurs-sont-etrangers/

    Violences domestiques en Suisse : 63% des auteurs sont des étrangers

     

    Une affiche de l’UDC

    (….) A Bâle, en Suisse, la police a publié des chiffres. En 2011, 310 cas de violences domestiques ont été suffisamment graves pour donner lieu à des suites judiciaires. 63% des auteurs de violences et 56% des victimes étaient des étrangers (…). En comparaison, la proportion d’étrangers à Bâle, quoique énorme en soi, n’est que de 32%.

    Suite et source : bernerzeitung.ch, via Novopress, Merci à Merdalor

     
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  • http://www.defrancisation.com/laicite-la-ville-de-brou-scie-la-croix-du-cimetiere/#more-53785

    Laïcité : La ville de Brou fait scier la croix du cimetière

    Un remake de Père et Maire se jouerait-il dans la bonne ville de Brou ? On peut se poser la question.

     

    Laïcité : La ville de Brou scie la croix du cimetière

    Lors d’une réunion, Philippe Masson, maire (Parti radical valoisien) de la Ville a été sensibilisé par Marie Scheffer-Arth, conseillère municipale d’opposition, sur la présence d’une croix métallique placée sur le portail du nouveau cimetière. Ce dernier a été réalisé durant un mandat de Marcel Bordet, maire de l’époque. « Le cimetière étant un bâtiment public, il ne devrait pas y avoir de signes religieux » lui avait alors fait remarquer la conseillère municipale.

    Prenant en compte cette remarque, Philippe Masson a écrit au service juridique de l’association des maires. Lequel lui a répondu que, selon l’article 28 de la loi de 1905 relative à la séparation de l’Église et de l’État, « il est interdit à l’avenir d’élever ou d’apposer un  signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou quelque emplacement public que ce soit, à l’exception des édifices servant au culte, des terrains de sépulture dans les cimetières. On déduit de cet arrêt que le maire doit veiller à ce qu’aucun bâtiment ou emplacement public ne présente de signes religieux, sauf si ces derniers ont été apposés avant 1905… Dans votre cas, il semblerait que le cimetière ait été construit après la loi de 1905. Dès lors la commune est tenue de retirer ce signe religieux. »

    Les services de la Ville ont donc enlevé la croix pendant l’été. Mais l’affaire n’a pas été classée pour autant. Courant août, le maire a reçu une lettre du père Didier Henry s’élevant contre le retrait de la croix. Depuis une pétition « pour le respect des signes de la foi chrétienne et la tolérance » circule dans la ville.

    Prenant acte des faits et des écrits reçus, Philippe Masson a répondu au père Didier Henry en lui rappelant la loi et le pourquoi de la décision. « Dura Lex, Sed Lex (NDLR : la loi est dure mais c’est la loi) », a cité le maire. « Cette décision légale prend des proportions démesurées. Il est temps de rappeler que le cimetière accueille des chrétiens, des gens d’autres religions et des athées. Ce manque de tolérance ne correspond pas aux valeurs religieuses et républicaines qui m’ont été transmises. Je tenais à faire cette mise au point vu les informations partielles et partiales qui circulent. »

    * Pour contacter la mairie de Brou : Email de la commune de Brou: contact@brou28.com

    Source : L’Echo Républicain

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  • Islam la religion de paix et d'amour!

    A quel moment pendant leur manifestation interdite, ces islamistes ont ils été agressés par les forces de l'ordre?

    regarder en image.

    Ensuite, voici l'agressivité des islamistes!

    Cette photo n'a pas été prise à Damas, en Tunisie ou au Caire. Elle a été prise à Paris à 100 mètres de l'Élysée :

    France-manif-paris

     Où se trouve les condamnations de l'extrême gauche et des écolos gauchiste, où se trouve les condamnations des médias et des Bobos parisiens?

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