• http://www.francepresseinfos.com/2012/12/discrimination-au-college-roz-avel-de.html

    Discrimination au collège Roz Avel de Guerlesquin

     
    Communiqué de « JEUNE BRETAGNE »
     
    Nous vous avions fait part, au mois de septembre, d'une affaire de discrimination à l'encontre de Yann Vallerie, président de l'association Jeune Bretagne.
    Ce dernier, qui avait postulé au collège de Guerlesquin afin d'être assistant d'éducation, avait en effet été convoqué à un entretien d'embauche puis avait reçu une promesse téléphonique d'embauche dans la foulée, avant de se voir de nouveau convoqué quelques heures plus tard dans le bureau du principal du collège, M. Ezequel.
     


    Ce dernier l'informa qu'il avait effectué des recherches sur google et ainsi appris son positionnement politique. Il indiqua suite à cette recherche être dans l'impossibilité de continuer le processus de recrutement, le positionnement politique de Yann Vallerie n'étant selon lui pas compatible avec le personnel du collège, ni avec les élèves. Yannick Ezequel alla même jusqu'à avouer que ce qu'il faisait été passible d'être attaqué devant les tribunaux, puisque constituant un grave cas de discrimination politique.
     
    Dans le même temps, le collège avait recruté un nouveau bibliothécaire, en la personne d'Ismael Dupont, candidat du Front de Gauche lors des dernières élections législatives...

    Selon des témoignages oraux de parents d'élèves, ce dernier n'aurait pas hésité, alors que la déferlante médiatique s'abattait sur le collège de Guerlesquin et que les élèves se posaient légitimement des questions, à leur expliquer que Yann Vallerie était "un méchant" et que c'était pour cela qu'il n’avait pas été recruté dans le personnel du collège.
     
    Plus de trois mois se sont écoulés après que la plainte ait été déposée auprès du procureur de Brest mais également du défenseur des droits, par l'avocat de Yann Vallerie, maître Cyril Guillou. Trois mois, c'était le délai maximum qu'avait le procureur de Brest pour se saisir du dossier. Il ne l'a pas fait. La justice française de madame Taubira est une justice bananière et parodique.
     
    Si Yann Vallerie avait été refusé à cause de sa couleur de peau, de sa religion ou de son engagement politique marqué très à gauche, nul doute que le procureur de Brest se serait jeté sur le dossier, trop content d'endosser l'habit du "chasseur de bête immonde".
     
    Que va-t-il se passer désormais ? Eh bien le combat continue, et c'est sur la table du juge d'instruction que se trouve désormais le dossier. Nous sommes déterminés à aller jusqu'au bout. Et nous savons que nous sommes dans notre bon droit. Le dossier est également dans les mains du défenseur des droits.
     
    Nous souhaitons clairement provoquer une jurisprudence qui établisse clairement qu'il ne saurait y avoir de discrimination entre militants politiques, qu'ils soient patriotes ou autres.
     
    Chacun doit être protégé, y compris au niveau professionnel.
     
    Nous souhaitons également dénoncer le climat de terrorisme intellectuel de gauche qui pollue les institutions publiques bretonnes.
     
    Nous ne céderons pas !
     
    JEUNE BRETAGNE
    MOUVEMENT BRETON POUR L'IDENTITÉ, L'AUTONOMIE ET LA SÉCURITÉ
    WWW.JEUNE-BRETAGNE.COM
      
    Le racisme au deux visages! Patriote64
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  • http://www.francepresseinfos.com/2012/12/hollande-alger-pret-tomber-le-pantalon.html

    Hollande à Alger: prêt à baisser le pantalon

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  • http://fr.novopress.info/128757/alcool-au-volant-vers-la-tolerance-zero/

    Alcool au volant : vers la tolérance zéro ?

    23 décembre 2012

    Alcool au volant : vers la tolérance zéro ?
     

    Plus une seule goutte d’alcool ou le moindre petit verre de vin avant de prendre le volant, voilà la situation qui pourrait très bientôt prévaloir en France, comme c’est déjà le cas dans divers pays d’Europe, du nord notamment.

    C’est en tout cas ce qui ressort des propos du délégué interministériel à la Sécurité routière, Frédéric Péchenard, qui a affirmé dans le Journal du dimanche que l’interdiction de l’alcool au volant pourrait être très prochainement discutée, cette mesure visant prioritairement les jeunes.

     

    « Le zéro gramme d’alcool dans le sang au volant sera discuté au sein du Conseil national de sécurité routière, qui est un peu le parlement de la sécurité routière, notamment pour les 18-24 ans », a-t-il ainsi déclaré

    La tranche d’âge des 18-24 ans (9% de la population globale) représente 25% des morts sur la route et l’alcool intervient dans 40% de ces accidents mortels.

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  • Aucune dénonciation des grands médias, silence de la part des pseudos intellectuels de gauche, un éventuel arrangemment sur l'OPA de Tapie sur le groupe de presse Hersant, Mitterrand sort de ce corps, les socialistes sont de retour avec leurs magouilles!

    Patriote64

    http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2012/12/22/a-ce-point-la-c-est-pathologique-non.html

     

     

    A ce point-là c’est pathologique, non?

     

    Le fils de Robert Hersant, Philippe Hersant, actuel patron du groupe Hersant (dont on parle ces jours-ci à cause de la reprise de journaux du groupe par Bernard Tapie), est l’un des plus importants « réfugiés fiscaux » de Suisse. Il s’est installé à quelques mètres de la frontière, il y a dix ans, pour échapper à l’impôt sur les successions.

    Et depuis lors il a acheté un, deux, trois, quatre quotidiens suisses francophones indépendants (il n’en reste plus qu’un), en montant un groupe intitulé Éditions suisses Holding (ESH) qui a acheté plusieurs périodiques et possède des participations dans une imprimerie et des chaînes de télévision locales…

    http://www.lepoint.fr/monde/le-refuge-suisse-de-philippe-hersant-21-12-2012-1605106_24.php

     

    Le refuge suisse de Philippe Hersant

    En une décennie, Philippe Hersant, réfugié fiscal en Suisse, y a créé un petit groupe de presse, fort de quatre quotidiens.

    Philippe Hersant, le 27 avril 2010, à Nice.

    Philippe Hersant, le 27 avril 2010, à Nice. © Valéry Hache / AFP

    Dans son édition 2012, le magazine Bilan a rayé de la liste des 300 plus riches de Suisse le nom de Philippe Hersant. L'année dernière, cet exilé fiscal, installé dans le hameau de Cara, dans le canton de Genève, à quelques mètres de la frontière française, jouissait d'une fortune estimée entre 80 et 160 millions d'euros.

    Est-ce les difficultés du Groupe Hersant Média (GHM) qui affecte son patrimoine, comme le suggère le magazine économique suisse ? En Suisse, le fils de Robert Hersant a fait preuve de la même discrétion qu'en France. "C'est bien simple, chaque fois que nous parlons de son groupe, et nous en parlons souvent, il est impossible de mettre la main sur une photo de lui. Philippe Hersant reste le grand inconnu, le grand inconnu", ironise Christian Campiche, rédacteur en chef d'Édito, le magazine des médias suisses.

    Quatre quotidiens dans trois cantons

    Installé depuis le début des années 2000 sur la commune de Presinge, dans le canton de Genève, et propriétaire de trois bâtiments achetés autour de 10 millions d'euros, afin d'échapper à l'impôt sur les successions, Philippe Hersant s'est constitué en toute discrétion un petit empire de presse, à l'échelle de la Suisse francophone.

    Il a tour à tour acheté La Côte, à Nyon, une petite ville entre Genève et Lausanne, dans le canton de Vaud, puis L'Express à Neuchâtel, L'Impartial à La Chaux-de-Fonds (canton de Neuchâtel) et enfin Le Nouvelliste à Sion (canton du Valais), en 2010. De petits quotidiens, dont les tirages varient de 15 000 à 40 000 exemplaires mais bien implantés localement, restent toujours très rémunérateurs.

    70 millions de chiffre d'affaires

    À côté de cela, le groupe Éditions suisses Holding (ESH), installé à Fribourg, a mis la main sur des périodiques, comme Le journal de Cossonay et L'Écho rollois et aubonnois, ainsi que sur des publications gratuites, l'Arc Hebdo et Le Courrier neuchâtelois. Philippe Hersant possède également des participations dans une imprimerie à Neuchâtel et dans des télévisions locales, Léman Bleu et TVM3.

    Le groupe compterait 350 salariés et réaliserait un chiffre d'affaires de 70 millions d'euros. En mars dernier, les Éditions suisses Holding préparaient un numéro zéro, intitulé Côte à Côte, un gratuit qui devait être diffusé dans le département français de l'Ain. Mais Philippe Hersant a finalement renoncé à attaquer le marché français à partir de son groupe suisse, en raison des difficultés rencontrées par le Groupe Hersant Média (GHM) dans L'Hexagone.

    Plus que quatre journalistes

    "En fait, nous n'avons vu Philippe Hersant qu'une seule fois. Son discours était tellement inodore et sans saveur que nous avions plutôt envie de rire... si ce n'est qu'il annonçait des licenciements", raconte un journaliste du canton de Neuchâtel. Depuis, le quotidien L'Impartial ne compte plus que... quatre journalistes, qui ne traitent plus que la locale de la ville de La Chauds-de-Fonds."

    Après avoir promis qu'il ne toucherait pas aux rédactions, Philippe Hersant a créé en 2011 l'Agence romande de presse (ARP), une plate-forme composée de huit journalistes, fournissant des pages économiques, de société, d'actualité suisse et internationale aux publications helvétiques de ESH.

    Philippe Hersant peut-il encore s'étendre en Suisse francophone ? Il ne reste qu'un seul quotidien indépendant La Liberté, dans le canton de Fribourg. Les principaux quotidiens, La Tribune de Genève, 24 Heures, Le Matin et Le Temps, appartiennent à des groupes suisses allemands, Tamedia et Ringier, dont le siège est à Zurich.

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  • Un peu d'humour !Un peu d'humour !Un peu d'humour !Un peu d'humour !

     

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  • http://www.causeur.fr/parti-communiste-melenchon,20457

     

    Parti Communiste : le dernier bastion démocrate ?

    Face à Mélenchon, le PolitBuro n’est plus ce qu’il était

    pierre laurent pcf melenchon

    « Nous étions moutons, nous sommes devenus chats et qu’il est difficile de constituer un troupeau de chats ! »  résumait le communiste parisien Patrick Bessac1 quelques mois avant 36e congrès statutaire du PCF qui se tiendra début février à Aubervilliers. En attendant la grand-messe de 2013, au terme de laquelle toutes les instances du parti seront renouvelées, les 100 000 militants communistes à jour de cotisation votaient pour les motions en compétition, une sacrée rupture avec le centralisme démocratique d’oncle Jo ! Sitôt Oscar Niemeyer enterré, les héritiers de Thorez, Marchais et Hue (cherchez l’erreur…) remplissaient les urnes de leurs sections avec des bulletins numérotés de 1 à 4.

    Quatre textes d’orientation se disputaient en effet les faveurs des adhérents, avec deux lignes de fracture évidentes : le rapport au Front de Gauche – en clair, à Mélenchon – et à l’Union Européenne. Mais puisqu’on sait depuis Michels que parti rime avec oligarchie, les dés sont évidemment pipés, l’adhésion formelle à la « base commune » rédigée par Pierre Laurent et son équipe étant proportionnelle à son niveau de conformisme idéologique. Clin d’œil appuyé à Apollinaire, le texte majoritaire a recueilli 73.12% des suffrages communistes à l’issue d’une consultation interne dépassant les 54% de participation, preuve que le PCF s’intéresse autant aux idées que l’UMP à la pure rivalité des hommes. Ironie de l’histoire, un parti si longtemps sclérosé par le suivisme et l’allégeance au chef met aujourd’hui en musique un beau débat de fond, dont l’issue jouée d’avance restera néanmoins lettre morte, en dehors de quelques adaptations marginales. Il serait cruel de relever toutes les perles enfilées par l’insipide motion centrale « Rallumer les étoiles », de l’utilisation abusive de l’adjectif citoyen (l’inévitable « révolution citoyenne ») dont se gaussait allègrement un Philippe Muray, au bisounournisme « de la dignité humaine, du vivre ensemble, du respect de la laïcité et de la démocratie » qui tranche avec la déconstruction marxienne de tous ces concepts bourgeois !

    Au passage, notons que les critiques les plus acerbes contre la « base commune » majoritaire, proviennent des textes alternatifs 1 et 3, qui proposent tous deux la rupture du Front de Gauche. « Un texte hors du temps, à prétention poétique, multipliant les diversions sociétales et les faux problèmes » lit-on dans l’alternative 3, qui a obtenu l’assentiment de 5.82% des militants en proposant une renaissance orthodoxe d’un PCF dégagé de  « la tutelle de sociaux-démocrates qui cachent mal sous les vociférations gauchistes leurs positions réformistes ». Traduction : Méluche, fais tes valises et rentre à Paris !

    Armé d’une rhétorique souverainiste que ne renierait pas Nicolas Dupont-Aignan, le texte alternatif 1 préconise carrément un double divorce : avec le Front de Gauche d’un côté, l’Union Européenne de l’autre, loin de l’orientation « altermondialiste » qui est celle du PCF depuis le congrès de Martigues de 2000. Verdict : 5.7% des communistes ont dit oui à ce libelle qui rappelle les manifestes du CERES des années 1970.

    Continuons notre décryptage de la prose communiste à l’usage des néophytes.  Il y a les inclassables, qui veulent se faire entendre au sein d’un Front de Gauche redynamisé qui n’aurait plus peur de prôner une sortie pure et simple de l’UE (décidément, une obsession de ces satanés souverainistes rouges qui dominent deux motions sur quatre. Mais que fait la police de la pensée ? ). Une taupe bien introduite place du Colonel-Fabien me souffle que le kamarad Jérôme Leroy ne serait pas insensible à « ce texte alternatif 2 » qui proclame fièrement : « Le projet d’une « Europe sociale » sur la base du capitalisme est une chimère » mais tempère aussitôt « Le capitalisme signifie désormais la régression sociale permanente ». Une petite phrase a priori innocente où l’usage de l’adverse « désormais » déboulonne les piliers du communisme de combat : nos alternatifs insinuent-ils que le capitalisme fut vivable ? À lire leur principale revendication économique – « la suppression de la propriété privée des banques et de tous les grands piliers de l’économie »-  on se dit que le capitalisme d’Etat suscite encore quelque nostalgie, du planisme gaulliste d’Henri Guaino aux super-étatistes du PCF.

    Sur ces hautes considérations, passons à la rubrique matrimoniale. Parce que ces débats sans fin, passionnants au demeurant, n’infléchiront pas la direction de l’esquif Front de Gauche. Le cap de la direction ayant été approuvé à 75%, Pierre Laurent peut maintenant aborder la rive  du futur l’esprit occupé par ses petites bisbilles avec Jean-Luc Mélenchon. Ça tangue sérieusement entre l’ancien ministre de Jospin et le fils de l’apparatchik communiste Paul Laurent. À l’approche de la moitié de quinquennat, Méluche se rêve en Premier ministre de substitution d’un Hollande lassé par la social-démocratie, après une probable Berezina aux municipales de 2014. Laurent, fort d’un charisme d’écailleur d’huîtres à la Fête de l’Huma, mise plutôt sur le mouvement social et s’agace du présidentialisme obsessionnel de son impétueux partenaire tout en sachant qu’il lui doit les 11% de la présidentielle. Mélenchon, faute d’un véritable parti à sa disposition, doit s’appuyer sur les forces militantes communistes, non sans lancer quelques scuds parallèles pour concurrencer le PCF : Clémentine Autain, Christian Picquet et autres turbulents alternatifs.

    Comme quoi, à gauche, certains mariages arrangés ont au moins autant d’avenir que le « mariage pour tous »

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  • France télévision, télé d'état tendance surtout gauchiste, anonce une perte record de 42 millions d'euros pour 2013. La mauvaise gestion de cette entité n'est pas en remettre en cause, car elle est à l'image de la gestion de la France faite par les gouvernements successifs, de plus c'est une télé qui ne cherche nullement la rentabilité, la compétitivité, car elle est soutenu par la taxe de l'audio visuelle. La gauche majoritaire dans France télévision avec les Druker and Co n'ont pu faire évoluer cette télé des années 70/80, elle est resté encore très implanté dans le mitterrandisme et le Marchais, George, dans le monde de l'évolution et du renouvellement elle serait resté encore à l'âge du bronze.

    Il faut privatiser France télévision pour plusieurs raisons, l'efficience, dégager tous ces journaleux et présentateurs de gauche, et surtout supprimer la taxe audio visuelle qui n'aura plus de raisons d'être, ensuite assurer une qualité pour le consomateur!

    Patriote64

     http://www.latribune.fr/actualites/economie/20121221trib000738933/france-televisions-prevoit-une-perte-de-42-millions-d-euros.html

    France Télévisions prévoit une perte de 42 millions d'euros

    Copyright Reuters
    Copyright Reuters

      

    Obligé par l'état de baisser son budget, France Télévisions annonce que ses comptes vont plonger dans le rouge en 2013
     

    Avec une baisse budgétaire annoncée de 36 millions d’euros et un recul des rentrées publicitaires de 91 millions, France Télévisions prévoit une année 2013 placée sous le signe de l’austérité. Le groupe, dont le conseil d'administration s'est tenu vendredi a ainsi anticipé une perte de 42 millions d’euros pour l’exercice 2013. France Télévision a conclu 2012 avec des recettes nettes de 2,6 milliards d’euros, grâce à la redevance (2,1 milliards), la publicité (450 millions) et la subvention étatique (450 millions). Le groupe France Télé a connu une semaine difficile avec un mouvement de grève de 24 heures mardi dernier et des tensions atténuées mais toujours présentes entre Rémy Pflimlin et la ministre de la culture Aurélie Filippetti. Vendredi le journal Les Echos affirmait que France Télévisions avait prévu un plan de départs volontaires qui devrait concerner “entre 700 et 900 salariés d’ici 2015”. Des chiffres qui ont été contestés par France Télévisions. (Spurce : AFP)

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  • http://www.lexpress.fr/actualite/politique/affaire-cahuzac-chronologie-des-faits_1202271.html

    Affaire Cahuzac: chronologie des faits

    Depuis deux semaines, le site d'information en ligne Médiapart nous plonge au coeur d'une véritable intrigue politique. L'affaire dans laquelle est empêtré le ministre délégué au budget avance à coup de scoops et de menaces de poursuites judiciaires. Retour sur une enquête à tiroirs. 

    Affaire Cahuzac: chronologie des faits

    4 décembre: premières révélations 

    Le mardi 4 décembre marque le début d'une longue liste de révélations par le site Médiapart: "Le ministre du Budget Jérôme Cahuzac (PS) a détenu pendant de longues années et jusqu'en 2010 un compte bancaire non déclaré à l'UBS de Genève, selon une enquête de Mediapart qui s'appuie sur de nombreux témoignages et des éléments documentaires probants" écrit le site d'information. Le pure player déclare que les avoirs du compte auraient depuis été transférés, via des montages complexes, à Singapour. 

    Quelques heures plus tard, le ministre dément en bloc l'information et menace de poursuivre le site en justice. "Je n'ai pas de compte en Suisse et n'en ai jamais eu", se défend-il.  

    5 décembre: l'enregistrement

    Une nouvelle étape est franchie le lendemain de la publication. Le site d'information rend public un enregistrement sonore datant de 2000. Un homme -que Médiapart identifie comme étant Jerôme Cahuzac- s'inquiète d'un compte qu'il aurait ouvert dans la banque suisse UBS. "Moi, ce qui m'embête, c'est que j'ai toujours un compte ouvert à l'UBS, mais il n'y plus rien là-bas, non? La seule façon de le fermer, c'est d'y aller?"  

    Un nouvel élément s'ajoute alors aux accusations. Remy Garnier, dit "le Colombo du fisc", vient appuyer les révélations du site. En 2008, alors inspecteur des impôts, il aurait signalé à sa hiérarchie l'existence éventuelle d'un compte à l'UBS de Genève au nom de Jérôme Cahuzac. A l'époque, c'est lui qui est sanctionné pour avoir consulté le dossier de l'actuel ministre sans autorisation. 

    6 décembre: première plainte

    Le lendemain de la publication de l'enregistrement, le ministre délégué au Budget dépose une plainte en diffamation pour les révélations qu'il qualifie de "délirantes". Une enquête préliminaire est ouverte contre le site. Quelques heures plus tard, le fondateur du site, Edwy Plenel, se dit prêt à "offrir des preuves devant un tribunal" et dénonce un "conflit d'intérêt". 

    20 décembre: seconde plainte

    Jérôme Cahuzac dépose une seconde plainte pour diffamation contre le site avec constitution de partie civile. Le ministre révèle alors avoir entamé une démarche pour demander à UBS de certifier qu'il n'avait jamais détenu de compte chez elle et "clouer définitivement le bec" à Mediapart. Une procédure pas si évidente

    21 décembre:

    révélation de l'identité du détenteur de la bande

    Le détenteur de la bande audio diffusée par Médiapart s'appelle Michel Gonelle, un ancien rival politique de Jérôme Cahuzac. Alors élu RPR, il a perdu la mairie de Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne) au profit de l'actuel ministre délégué au Budget. Il est aussi l'avocat de l'agent des impôts à l'origine de la mise en cause du ministre. En citant une "source officielle", Mediapart assure que Michel Gonelle a appelé, le 15 décembre, "une vieille connaissance".  

    Cet interlocuteur est Alain Zabulon, ancien sous-préfet du Lot-et-Garonne qui se trouve être aujourd'hui le "directeur adjoint de cabinet du président de la République". Le site d'Edwy Plenel affirme que Michel Gonelle "raconte tout" au téléphone. Médiapart annonce aussi que le détenteur de la bande audio "révèle avoir confié il y a plusieurs années une copie de cet enregistrement à un haut magistrat de sa connaissance mais qui n'en a rien fait". Dans un communiqué du 9 décembre, Michel Gonelle avait pourtant "démenti catégoriquement" être la personne en possession de cet enregistrement. Mais, interrogé par Mediapart, il aurait déclaré: "Je ne démens pas." 

    Une remise en cause du démenti de Jérôme Cahuzac

    Le site poursuit en se moquant du démenti "embrouillé" du ministre. Jérôme Cahuzac s'est entretenu avec des journalistes de France Inter, le 19 décembre. Médiapart trouve qu'il a mis du temps avant de s'exprimer et que sa défense ne tient pas debout. "Si M. Cahuzac est certain qu'il n'en a jamais parlé avec quiconque, il n'a pas besoin du témoignage de son frère pour être certain que la voix de l'enregistrement n'est pas la sienne", ironise le journaliste Fabrice Arfi.  

    Une enquête sur les déclaration fiscales du ministre

    Mediapart affirme également qu'une enquête est actuellement menée par la direction régionale des finances publiques de Paris-Sud pour vérifier les déclarations fiscales récentes de M. Cahuzac. Il est, croit savoir le site, soupçonné notamment d'avoir sous-évalué le montant de son appartement parisien et déclaré un prêt parental déjà remboursé. Contactée, la direction des Finances publiques n'avait pas encore répondu à la mi-journée. 

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