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  • http://labrebisgalleuse.blogspot.de/2013/01/todd.html

    Todd

     
     
                                                                                

    Marine Le Pen soutenue par Emmanuel Todd qui se rend à quelques évidences ! Bravo Emmanuel... Europa ist quasi quasi Tot ! Mais, pour protéger ses arrières, alors qu'il admet que MLP a raison sur bien des points, dont économique, il ne peut s'empêcher de dire : "MLP, dont j'abomine le parti politique"... et ensuite, de dégueuler sur le FN,  en réalité sur la France. La stratégie habituelle des blablateurs  et de menteurs, qui, le plus souvent, n'ont pas leurs racines chez nous. Il a l'honnêteté de sortir  : "le communisme" est ma nature génétique" ! Vous pensez : le sacro-saint judéo-bolchévisme (100 millions de morts au passage). Merci Patrick ci-dessous, qui voit clair  !
     
     
                                                                  Allez, Manu, encore un effort !
     
     
    Notez la belle Etoile de Daviiiiid qui décore systématiquement les plateaux.
    Est-ce un effet physique, un reflet  naturel de la Lumière,
    ou est-ce une manipulation ?
    Si LHDDT, ex-technicien du spectacle, ce nous semble, pourrait  éclairer notre lanterne...
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  • http://zebuzzeo.blogspot.fr/2013/02/les-politiciens-marionnettes-des.html

    Les politiciens marionnettes des banksters

     

    Les citations suivantes sont toutes extraites de l’Argent Dette et de Bankster.

     
    Lenine
    Le moyen le plus sûr de renverser un ordre social existant consiste à corrompre la monnaie
     
               Maurice Allais, Prix Nobel de Sciences Économiques 1988
    Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents
     
     
               Henry Makow
    Les banquiers gouvernent le monde grâce à la dette qui correspond à l’argent créé à partir du néant. Ils ont besoin de gouverner le monde pour s’assurer qu’aucun pays ne faiblisse ou ne tente de les renverser. Aussi longtemps que les banques privées, au lieu des gouvernements, contrôleront la création de l’argent, la race humaine sera condamnée. Ces banquiers et leurs alliés ont tout acheté et tout le monde.
     
     
               Mécanique de l’argent moderne, Banque de Réserves Fédérale de Chicago.          
    Le processus proprement dit de la création monétaire se passe principalement dans les banques… les banquiers ont découvert qu’ils pourraient faire des prêts simplement en donnant leur promesse de payer, ou des billets de banque, à des emprunteurs. De cette façon les banques ont commencé à créer l’argent. Les dépôts de transaction sont les contreparties modernes des billets de banque. C’était une petite étape d’imprimer des billets en les créditant dans les livres comptables des dépôts des emprunteurs, que les emprunteurs alternativement pourraient « dépenser » en faisant des chèques, « imprimant de ce fait » leur propre argent.
     
     
               Woodrow Wilson, ancien président des Etats-Unis           
    Certains des plus grands hommes des Etats-Unis, dans le domaine du commerce et de la production, ont peur de quelque chose. Ils savent qu’il existe quelque part une puissance si organisée, si subtile, si vigilante, si cohérente, si complète, si persuasive…  Qu’ils font bien, lorsqu’ils en parlent, de parler doucement.
     
     
               John Kenneth Galbraith, économiste           
    Le procédé par lequel les banques créent de l’argent est tellement simple que l’esprit en est dégoûté.
     
     
               Graham F. Towers gouverneur de la Banque du Canada 1934-54          
    Chaque fois qu’une banque fait un prêt, un nouveau crédit bancaire est créé. De l’argent tout neuf.
     
     
               Napoléon Bonaparte, Empereur Français (1769-1821)          
    Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. [...] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain.
     
     
               David Rockefeller, Commission Trilatérale 1991          
    Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés.
     
     
               Rothschild Brothers of London          
    Les quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit tellement intéressés par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe. D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts
     
     
               William Lyon Mackenzie King, ex-premier ministre du Canada          
    Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile… Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois… L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation.
     
     
               Abraham Lincoln, président des Etats-Unis, assassiné          
    Le gouvernement devrait créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs. En adoptant ces principes, les contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en intérêts. Le privilège de créer et d’émettre de la monnaie n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande opportunité
     
     
               James A. Garfield, président des Etats-Unis, assassiné          
    Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce… et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent.
     
     
               John Adams, père fondateur de la Constitution américaine          
    Toute la perplexité, la confusion, et la détresse en Amérique ne provient pas des défauts de la Constitution ou de la Confédération ni du désir d’honneur ou de vertu mais de notre ignorance profonde de la nature des devises, du crédit, et de la circulation.
     
     
               Woodrow Wilson, président des Etats-Unis 1913-1921          
    Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes.  Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants.
     
     
               Benjamin Franklin          
    L’incapacité pour les colons d’obtenir le pouvoir d’émettre leur propre argent à l’écart des mains de Georges III et des banquiers internationaux fut la raison PRINCIPALE de la guerre d’indépendance.
     
     
               Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941 (Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque)          
    Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.
     
     
               Léon Tolstoï          
    L’argent est une nouvelle forme d’esclavage, il se distingue de l’ancienne simplement par le fait qu’il est impersonnel, il n’y a pas de relation humaine entre le maître et l’esclave
     
     
               Encyclopædia Britannica, 14ème Edition          
    Les banques créent du crédit. C’est une erreur de croire que le crédit des banques est créé dans toute mesure par le versement d’argent aux banques. Un prêt créé par la banque constitue un ajout significatif au volume d’argent de la communauté.
     
     
               Lord Acton, Lord Chief Justice of England, 1875          
    Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux banques.
     
     
               Sir Josiah Stamp, Governor of Bank of England, 1920.          
    Les banquiers détiennent la Terre. Si vous souhaitez rester leurs esclaves et payer le coût de votre propre esclavagisme, alors laissez les continuer à créer de l’argent.
     
     
               George H.W. Bush, 1992          
    Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncheraient. 
     
     
               M. Phillip A. Benson, Président de l’association American Bankers’ Association, 8 juin 1939          
    Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire).
     
     
               Andrew Gause, historien de la monnaie          
    Une chose à comprendre à propos de notre système de réserve fractionnaire est que tel lors d’un jeu de chaises musicales, aussi longtemps que la musique tourne, il n’y a pas de perdants.
     
     
                 Irving Fisher, économiste et auteur          
    Ainsi notre moyen national d’échange est maintenant à la merci des transactions de prêts des banques, qui prêtent, non pas de l’argent, mais des promesses de fournir de l’argent qu’elles n’ont pas.
     
     
               Marriner S. Eccles, gouverneur et président du CA de la Fed          
    S’il n’y avait pas de dette dans le système, il n’y aurait aucun argent.
     
     
               Abraham Lincoln, Président des Etats-Unis          
    Le gouvernement devrait créer, émettre et favoriser la circulation des monnaies et des crédits nécessaires à la satisfaction du besoin de dépense du gouvernement et du besoin d’achat des consommateurs. L’adoption de ces principes doit permettre aux contribuables d’économiser le paiement d’un gros volume d’intérêts. L’argent cessera de gouverner et se mettra au service de l’humanité.
     
     
               Rothschild          
    Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois.
     
     
               Charles A. Lindbergh          
    Le système financier est devenu la Banque centrale américaine (Federal Reserve Board). Cette banque centrale gère un système financier au moyen d’un groupe de purs profiteurs. Ce système est privé et son seul objectif consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant l’argent des autres.  Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve de confiance au monde. Lorsque le président signe cet acte, il légalise le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire. Les personnes ne s’en rendent peut-être pas compte pour le moment mais le jour du jugement n’est plus qu’à quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de loi
     
     
               Henry Ford          
    Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin.
     
     
               American’s Bulletin          
    Nous avons été communisés : la production doit être régulée de manière impitoyable par rapport à la consommation ou …. la fraude du crédit bancaire au détriment du public sera révélée
     
     
               Henry Ford          
    La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l’histoire
     
     
               Louis McFadden          
    Nous possédons dans ce pays l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais connu. Je veux parler de la Banque centrale américaine. Cette institution a appauvri les citoyens des Etats-Unis et a presque mené notre gouvernement à la faillite. Tout ceci est dû aux pratiques frauduleuses des vautours qui contrôlent cette situation. Un super état dirigé par les banquiers et les industrialistes internationaux qui s’associent avec plaisir pour asservir le monde
     
     
               Robert H. Hemphill, gestionnaire de crédits, Fed, Atlanta, Géorgie          
    Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère. Nous sommes, définitivement, sans système monétaire permanent. Quand on a une vision complète de l’ensemble, l’absurdité tragique de notre position désespérée est presque incroyable, mais il en est ainsi.
     
     
               1924 US Banker’s Association Magazine          
    Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation. Les dettes doivent être collectées et les hypothèques interdites le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons à travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement être dirigées grâce au bras fort du gouvernement représenté par les principaux acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses. Ces vérités sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent désormais à créer un impérialisme permettant de gouverner le monde. En divisant les votants grâce au système de parti politique, nous les manipulons afin qu’ils dépensent toute leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc grâce à une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous avons si bien planifié et accompli.
     
     
               Wright Patman, membre démocrate du Congrès 1928-1976 président du comité de la Banque et de la Monnaie 1963-1975          
    Je n’ai jamais vu personne ayant pu, avec logique et rationalité, justifier que le gouvernement fédéral emprunte pour utiliser son propre argent… Je pense que le temps viendra où les gens demanderont que cela soit changé. Je pense que le temps viendra dans ce pays où ils viendront nous accuser, vous, moi, et toute personne liée au Congrès, d’être resté assis sans rien faire et d’avoir permis à un système aussi stupide d’être perpétué.
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • http://www.contre-info.com/coup-de-force-socialiste-lachete-droitiste

    Coup de force socialiste, lâcheté droitiste

    assemblee-anti-nationale

    Le premier article du projet de loi sur le « mariage » homosexuel a été adopté par l’Assemblée anti-nationale.

    249 voix pour, 97 contre.

    Il y a 577 députés dont au moins 226 dits « de droite ». Cela signifie que moins de la moitié d’entre eux a jugé nécessaire de voter contre ce texte, alors que des millions de Français se sont inquiétés de ce projet, allant jusqu’à défiler sous les intempéries par centaines de milliers.

    De leur côté les parlementaires de gauche confisquent la souveraineté du peuple en imposant ce texte, alors que leurs propres voix ne constituent même pas la majorité des 577 députés.

     

    Tandis que Flamby soigne sa cote de popularité chez les Maliens…

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  • http://lagauchematuer.fr/2013/02/02/francois-hollande-%c2%ab-vous-les-copains-je-ne-vous-oublierai-jamais-%c2%bb/

    François Hollande : « Vous les copains, je ne vous oublierai jamais ! »

    Texte rédigé par Nicolas Contassot

    Il est compréhensible à défaut d’être normal qu’une nouvelle majorité installe des hommes et des femmes à elle aux principaux rouages de l’état. On peut penser qu’il est légitime que la politique choisie par les français ait besoin de partisans pour l’appliquer dans les différentes strates de la haute fonction publique.
    Mais là ou est la malhonnêteté intellectuelle, c’est quand on a passé le précédent quinquennat à vociférer sur les nominations de la droite, qu’on s’est engagé en tant que candidat à surtout ne pas faire pareil et que toutes ces belles promesses sont oubliées une fois parvenu au pouvoir : « Durant le quinquennat qui s’achève, il a été procédé à des nominations partisanes, parfois issues des cercles les plus proches, les plus intimes, voire des obligés. À l’avenir, les hauts fonctionnaires seront nommés sur leur compétence et leur expérience et la seule loyauté qui leur sera réclamée sera celle à l’égard de l’État, et non à l’égard du chef de l’État.» déclarait le candidat Hollande à Dijon, le 3 mars 2012. Ce jour-là, le socialiste s’était livré à un véritable réquisitoire contre Nicolas Sarkozy et les nominations dans la fonction publique pendant son mandat. Ce sera d’ailleurs l’un des leitmotivs de la campagne présidentielle du candidat socialiste: remettre en cause les choix humains du Président sortant, l’accuser de partialité dans ses nominations, dénoncer un «État UMP».

    Allant plus loin le soir du débat de l’entre 2 tours, il ajoute : « Moi, président de la République, je n’aurai pas la prétention de nommer les directeurs des chaînes de télévision publique, je laisserai ça à des instances indépendantes ». Preuve qu’on est toujours rattrapé par ses propos de campagne : la nomination d’Olivier Schrameck, ancien directeur de cabinet de Lionel Jospin à Matignon, à la tête du CSA vient rappeler les prises de position du Hollande premier secrétaire du PS à l’époque de la nomination de Michel Boyon à cette même place. Il avait alors tenu à dire combien il était «inquiet, consterné par cette nomination. Cet organisme va être exclusivement composé d’hommes et de femmes nommés par la droite, qui pourra croire que le pluralisme est respecté ?».

    Depuis le 6 mai, c’est la valse des copains : le juge Courroye, suspecté de sarkozysme, est démis. Le préfet de paris, idem. Quelques hauts fonctionnaires à la tête de hautes administrations font les frais de la chasse aux sorcière engagée par le nouveau président : Péchenard le directeur de la police nationale, Squarcini à la DCRI, Klarsfeld à l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration,… Les préfets et préfets de régions n’échappent pas à la purge en cours : ceux qui sont suspects de penser de travers sont remplacés les uns après les autres par de jeunes fonctionnaires au pedigree mince mais qui ont eu le bon goût d’être apparentés de près ou de loin aux socialistes.  Après viennent les amis, qu’il faut recaser. Jack Lang, 73 ans tout de même, vient d’être nommé président de l’Institut du Monde Arabe. De qui le rapprocher du Maroc… Les copains des affaires ne sont pas oubliés pour autant : tout le gouvernement s’emploie en ce moment à nommer Anne Lauvergeon à la tête d’EADS. Pour services rendus, naturellement. Pire, les copains de la 1° belle mère de France sont aussi de la promotion ! François Bachy, copain de Valoche et Directeur Adjoint de l’information de TF1, a rejoint la Caisse des Dépôts en tant que Directeur de la communication du groupe.

    Et concluons sur le fait cette épuration se fait dans le silence complice d’une caste médiatique qui n’avait pas de mots assez durs avec les nominations sarkozystes.  Comme quoi, l’appréciation d’une même réalité diffère selon si on croque… ou pas.

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  • A force de vouloir toujours répondre à la misère du monde tel le chevalier blanc, la gauche attire dans ses filets, certes un électorat, qui lui fait gagner des voix pour les élections, mais qui les détachent totalement de la réalité du terrain.

    Avec leur habituelle pédance, ces élus de gauches prèfèrent nous vilipender que de regarder en face la cause des conséquences. Si déjà au niveau municipal, départemental et même régional la gauche, comme l'UMP, est incapable de gérer correctement le budget primaire communal, maigre face à celui d'un état, comment pourrait il inverser la courbe au niveau national afin assainir les finances et redonner une réelle dynamique à l'économie française?

    Nous sommes encerclés par des incapables qui s'affairent à conserver leur siège d'élu que de rentrer dans la réalité, dans le vif du sujet. Leur seule idéologie est d'attirer les larmes de leurs concitoyens en mentant, édulcorant la réalité de la situation, ensuite c'est le couperet qui tombe, et qui paye la facture?

    Nous, et c'est pour cela qu'il faut réagir et voter intelligemment.

    Patriote64

      http://www.acteurspublics.com/2013/02/01/la-seine-saint-denis-peine-a-nouveau-a-boucler-son-budget

    La Seine-Saint-Denis peine à nouveau à boucler son budget

    © Witt/SIPA 

    Face à des dépenses sociales en augmentation constante, le département (PS) de Seine-Saint-Denis, présidé par Stéphane Troussel (photo), doit trouver entre 30 et 40 millions d’euros pour boucler son budget 2013. La chasse aux dépenses superflues est lancée.

    La Seine-Saint-Denis, département le plus pauvre de France, doit trouver entre “30 et 40 millions d’euros”, a estimé lors du débat d’orientation budgétaire du 31 janvier le vice-président du conseil général en charge des finances, Daniel Guiraud. “On peut très bien voter un budget avec 30 millions d’autofinancement, mais il est bien évident que plus on va vers 40 millions d’euros, moins on est contraint d’avoir recours à l’emprunt et plus on préserve l’avenir, puisque tout euro emprunté génère des dépenses. C’est autant de bonus pour faire face à un pic d’investissement”, a-t-il indiqué.


    Ce budget, qui s’élève à environ 2 milliards d’euros, est en effet grevé par des dépenses sociales en hausse constante. Le département, dont plus d’un cinquième de la population vit sous le seuil de pauvreté, compte quelque 85 000 allocataires du RSA. Et face à la hausse prévisible du chômage qui atteint déjà les 12 %, “le coût de cette allocation devrait par conséquent augmenter de 30 millions d’euros en 2013”, a déploré le président du conseil général, Stéphane Troussel, qui a pointé également “une augmentation du nombre de bénéficiaires de l’allocation autonomie comme de la prestation handicap [APA et PCH, ndlr]”.

    La veille, le 30 janvier, il avait rappelé avoir “de nombreuse fois alerté les autorités sur le fait que la situation financière du département n’est pas tenable à long terme”. Car si les dépenses sociales augmentent, les compensations dues par l’État, elles, ne suivent pas. En 2013, “la différence entre les dépenses sociales obligatoires (RSA, APA, PCH) et les montants versés par l’État à cet effet s’élèvera à 170 millions d’euros”, s’est ainsi plaint Stéphane Troussel. Un redoutable effet de ciseaux qui perdure depuis quelques années, à tel point que face à cette équation insoluble, Claude Bartolone, ex-président du conseil général, n’avait pas hésité à faire voter en avril 2010, de manière un peu artificielle, un budget en déséquilibre, vite corrigé par le préfet en accord avec le conseil général.

    Fonds d’urgence

    Cette menace, véritable acte de défiance dès lors qu’il est interdit à un département de voter un budget en déséquilibre, n’a pour l’heure pas été rééditée par Stéphane Troussel. Il faut dire que le contexte a quelque peu évolué. Certes, le département est toujours lourdement endetté. Il paiera en 2013 quelque 100 millions d’euros pour rembourser les échéances et intérêts d’une dette d’1 milliard d’euros. Mais d’un autre côté, de récents arbitrages ont donné un peu d’air aux finances de la Seine-Saint-Denis. Pour la première fois, le département a été éligible, à hauteur de 5,8 millions d’euros, au fonds d’urgence pour les départements mis en place par le gouvernement.

    D’autres recettes tirées des nouvelles règles de calcul du fonds de péréquation et du fonds de compensation de l’ex-taxe professionnelle, la CVAE, devrait permettre au département d’engranger près de 22 millions d’euros supplémentaires, soit au total 27 millions d’euros. Et ce n’est peut-être pas fini. “Je compte bien obtenir au moins autant lors de la répartition de la deuxième tranche de ce fonds d’urgence actuellement en discussion”, a souligné Stéphane Troussel, égratignant au passage le président PS du Sénat, Jean-Pierre Bel, qui entretient selon lui “un débat stérile” en réclamant que ces fonds aillent davantage aux départements ruraux.

    Plus d’impôts

    Stéphane Troussel espère surtout que la nouvelle majorité entendra son plaidoyer pour “une redistribution des richesses en Île-de-France” en créant un fonds de péréquation régional à l’occasion de la loi sur la décentralisation prévue dans les mois qui viennent. En attendant, “il faut qu’on racle sur toutes les dépenses superflues”, a-t-il dit, n’excluant pas “un recours à une hausse de la taxe foncière, actuellement à 14,09 %”.

    Dans les rangs de l’opposition, on raille de telles perspectives. Stéphane Salini, pour le groupe UDI, a mis l’accent dans un communiqué sur la double peine réservée aux familles de Seine-Saint-Denis : “Plus d’impôts, moins de services… et tout en haut de la liste des sacrifiés de votre politique, il y a nos enfants !” En conclusion, le groupe UDI demande au président du conseil général de “partager sa cagnotte”, en allusion aux 27 millions d’euros de recettes, “avec les familles et dans l’intérêt de nos enfants” et ce pour financer à nouveau les aides au transport et l’acquisition d’ordinateurs”.

      

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  • Marion, mes respects châpeau bas pour votre intervention dans l'hémicylcle de la couardise, l'arène de la lâcheté, le panthéon de l'imbécilité, votre brillante intervention à ne pas en douter a été mise sous silence par l'ensemble de la caste des medias, serviles de la gauche, grand propagandiste gouvernemental.

    Soyez assurée de mon soutient indéfectible.

    Patriote64

     

      

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  • L'accord de 60 millions d'euros entre Google et Hollande, ou comment Hollande réussi à conforter ses relations avec une presse française déjà soumise et larbinisée à l'idéologie gauchiste.

    Cette mauvaise presse française qui ne se remet jamais en question et qui a abandonné tous ses pans de liberté et d'expressions en les vendant au politiquement correct, afin de s'assurer une pérénité soumise au diktat de gauche ne se ravi pas plus que ça de cette accord, elle en aurait apprécié beaucoup plus.

    Les médias français ont tout abandonné en sacralisant les subventions, et de subvention en subventions pour en arriver à l'extortion de fond, afin d'écrire de la merde gouvernementale, triste fin que voilà. Le quatrième pouvoir est mort, vive le quatrième pouvoir, celui d'internet et de ses bloogers qui eux, prèfèrent combattre le totalitarisme et la soumission!

    Patriote64

    http://www.latribune.fr/technos-medias/medias/20130201trib000746452/google-hollande-arrache-60-millions-d-euros-a-eric-schmidt-pour-la-presse.html

    Google : Hollande arrache 60 millions d'euros à Eric Schmidt pour la presse

    Copyright Reuters
    Copyright Reuters
     
     
     

     

    Le géant de l'internet Google va mettre en place un fonds doté de 60 millions d'euros pour "faciliter la transition de la presse vers le monde numérique", a annoncé vendredi l'Elysée, au terme d'un accord signé entre Google et les éditeurs de presse français.

    François Hollande avait menacé Google de légiférer si un accord sur la rémunération des éditeurs de presse n'était pas trouvé avant le 1er février. L'Élysée et le patron de Google, Eric Schmidt, ont annoncé vendredi qu'un terrain d'entente avait été trouvé.

    60 millions d'euros et un "accord commercial"

    L'accord repose essentiellement sur deux points. D'une part, Google proposera un "accord commercial" qui permettra aux éditeurs d'utiliser les plateformes du moteur de recherche à "des conditions attractives". Mais le point essentiel, prévoit la création d'un fonds doté de 60 millions d'euros destiné à financer des projets des éditeurs dans la cadre de leur transition vers le numérique.

    Les droits voisins à la corbeille

    Eric Schmidt, a salué  "un accord historique dans l'intérêt du peuple français", après deux mois de négociations difficiles entre la France et la firme américaine. "Il vaut mieux avoir un accord qu'une loi, c'était la bonne approche", a-t-il souligné. Cette accord balaye en tout cas l'idée de la création d'un droit voisin, évoqué par François Hollande, afin de rémunérer la presse via des droits d'auteur. C'était la solution défendue par les éditeurs. Depuis décembre, ces derniers et Google étaient en discussion sous l'oeil du médiateur nommé par le gouvernement, Marc Schwartz, du cabinet de conseil Mazars.

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